Poids de la famille-scandales-mauvais choix des hommes : Les gaffes d’un mandat

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Le Mali est au centre des incertitudes, et même des inquiétudes. « Dieu a abandonné le Mali ! C’est une malédiction divine qui vise le pays» : ce sont là des convictions exprimées par de nombreux concitoyens désemparés par le sort qui s’abat sur le Mali, balloté entre une crise sécuritaire qui menace (toujours) sa stabilité, les scandales financiers et autres pratiques dignes d’une République bananière. Mais cette situation désastreuse du pays ne semble guère préoccuper les tenants du pouvoir. À commencer par « Monsieur plébiscité » dont le mandat est  terni par une série d’affaires politico-financières. Conséquences ? L’accaparement des leviers de l’Etat par la famille, les courtisans et autres affidés, la dilapidation des ressources publiques, le mauvais choix des hommes, les erreurs de castings et autres pratiques liées à la mauvaise gouvernance… Autant de maux qui plongent le Mali dans un gouffre profond sous la présidence d’IBK.

Au sortir d’une crise aussi profonde, le Mali avait besoin d’un homme à poigne, pour consolider, non seulement sa démocratie mise à mal par le putsch du 22 mars 2012, mais aussi les acquis d’un retour à la paix légués par la transition. Le pays avait besoin de quelqu’un qui pouvait « finir la rébellion », faire du Mali un Etat UN et indivisible. Les regards ont convergé vers IBK, élu sans coup férir. L’homme justifie d’un passé où il avait convaincu plus d’un par sa méthode rigoureuse de gestion des affaires publiques. Mais, ses compatriotes ne tarderont pas à réaliser qu’ils se sont lourdement trompés. Le mythe qui le faisait passer pour « L’homme de la situation » ou encore « L’homme à poigne », n’a pas résisté à l’épreuve du pouvoir. Aujourd’hui, en plus de la situation sécuritaire, toujours précaire, l’économie malienne est en lambeau, le tissu social effrité, le front syndical mouvementé, l’administration morose. Touchons du bois ! Mais, les Maliens ne sont assurément pas au bout de leur souffrance. En effet, comment espérer au changement quand le président IBK fait de la République la chose de sa famille, en y plaçant des membres ou proches de sa famille ? Comment espérer au changement quand IBK lui-même ne semble avoir aucun souci pour les maigres ressources de l’Etat? Comment espérer encore au changement quand des pratiques frauduleuses (marchés de gré à gré) deviennent monnaie courante ?

 

Le poids de la famille…

Dans cette tournure démagogique, devenue célèbre, Jean-Marie Le Pen assimilait la nation à la famille : « j’aime mieux mes filles que mes cousines, mes cousines que mes voisines, mes voisines que des inconnus et les inconnus que des ennemis. » Dans cette logique, il a formé sa fille pendant des années dans le but de lui léguer « son » parti, le Front National. Mais ici, au Mali, le fiston attend que papa soit élu pour se forger un destin, celui d’un homme politique. Et sans formation, ni expérience, il est propulsé président de la commission de la défense de l’Assemblée Nationale, dans un pays en guerre. Qui dit mieux ? Le Mali est bloqué sous le poids de la famille, des clans et des sous clans qui détiennent les réalités du pouvoir. Telle est la réalité, même si dans un entretien accordé à Jeune Afrique le 22 mai 2014, IBK déclare avoir été contre l’élection ( ?) de son fils à la présidence de la commission de la défense. Même topo en ce qui concerne le président de l’Assemblée nationale, Issaka Sidibé, le beau-père de Karim. Idem pour le gouvernement où la famille est représentée par Hamadoun Konaté (beau-frère du président) qui occupe le ministère de la solidarité, de l’action humanitaire et de la reconstruction du nord. « Je ne souhaitais pas qu’il occupe ce poste et j’avais là aussi un autre candidat, mon ancien directeur de campagne, Abderrahmane Niang, un expert auprès des Nations unies. Les cadres de mon parti sont aussitôt montés au créneau pour exiger que ce soit l’un des leurs, en l’occurrence Sidibé, qui prenne le perchoir. Allais-je humilier mon propre parti ? Là encore, j’ai bien dû céder. Que tout cela prête à controverse et à réflexion, j’en conviens. Mais est-ce un crime ? Je ne le pense pas », s’est justifié le Président. Mais par ces propos, IBK prouve qu’avec lui, le Mali est géré autrement. Ainsi a-t-il érigé un système de gouvernance fondé sur la famille, le clan, les relations. Un système qui paralyse le fonctionnement de l’Administration, où la compétence et le mérite sont sacrifiés ou foulés au pied. Pourtant, IBK avait toujours promis de mobiliser les ressources humaines de qualité au tour du Mali. Cette promesse se traduit aujourd’hui par l’accaparement des postes de responsabilité par les membres du clan et leurs alliés. C’est cette méthode de gestion qui nous a conduits au désastre, caractérisé par des scandales successifs qui asphyxient l’économie et ternissent l’image du pays. Les affaires sombres les plus emblématiques sont celles liées à l’achat de l’avion présidentiel au sujet de laquelle le FMI (Fonds monétaire international) et la Banque mondiale étaient sortis de leur réserve pour exprimer leur mécontentement. En effet, hors de toute inscription budgétaire,  20 milliards de francs CFA ont été sortis des caisses de l’Etat pour acquérir un Boeing 737 non encore immatriculé au nom du Mali, alors même que le pays dispose d’un avion présidentiel (Boeing 727) en bon état et dont l’assurance contractée auprès de l’assureur londonien, Allianz, avait été renouvelée jusqu’en 2015.  Le Bureau du Vérificateur général a été commis par le Fmi pour auditer cette affaire, ainsi que la section des comptes de la Cour suprême par le gouvernement malien. Les rapports de ces deux structures de contrôle sont accablants : des surfacturations comprises entre 29 milliards et 38 milliards sont décelées.

 

Encore des scandales

Au même moment, était révélée aux Maliens et au monde entier la nature d’un marché de gré à gré de 69 milliards de FCFA attribué, en violation des règles des marchés publics, à un proche de la famille présidentielle, Sidi Mohamed Kagnassy, directeur général de la société Guo-Star Sarl et promu aussitôt après conseiller spécial du président. Avec l’avenant, le marché a finalement porté sur 108 milliards de FCFA. Le fait que le marché soit attribué de gré à gré est un piétinement flagrant des principes élémentaires de passation de marché public. Pire, dans le même contrat, les Maliens apprendront que  le ministre des Finances, Mme Fily Bouaré, a couvert ce marché par  une garantie de 100 milliards de francs CFA. Des personnalités, l’on se souvient, avaient profité de ces affaires pour se sucrer en se livrant à des surfacturations dont seules les Républiques bananières ont le secret.

Après l’affaire de l’avion présidentiel et des équipements militaires surfacturés, le Malien lambda était loin de s’imaginer qu’un autre scandale, portant lui aussi sur des milliards de FCFA, éclata. Ce énième scandale portait sur une soixantaine de milliards F CFA destinés à l’achat de l’engrais pour les paysans, sous forme de prêts à rembourser dès la fin des récoltes dans les opérations de développement rural. C’est un minuscule GIE (Groupement d’intérêt économique, le même genre d’entreprises qui font le ramassage des ordures dans nos quartiers) qui était chargé de l’attribution, à travers un avis d’appel fort douteux, de ce gros et juteux marché à des fournisseurs, parfois sans foi ni loi. Il a fallu qu’un concurrent mécontent crache dans la soupe, en soumettant au test de conformité l’engrais d’un rival à un laboratoire de la place, pour que le pot aux roses soit découvert et que la vérité dans toute son horreur commence à être étalée sur la place publique. Le président de la République a promis la fermeté dans ce dossier, au cours de la session du Conseil supérieur de l’agriculture qu’il a présidée le 16 mai dernier. L’opinion a longtemps attendu sa réaction. En vain.

Cependant, l’impunité encourageant de nouvelles atteintes à la morale publique, une nouvelle affaire dite « des 1000 tracteurs » a été révélée à l’opinion malienne par le Parti pour la renaissance nationale ( PARENA) qui, après investigations, est parvenu à la conclusion que la passation dudit marché n’a pas respecté les règles régissant le code des marchés publics. Du point de vue du PARENA, il y a eu  une procédure irrégulière et frauduleuse de gré à gré déguisé, un délit d’initié et des surfacturations qui ont fait perdre à l’État  plusieurs milliards de francs CFA.

Le dernier scandale en date : l’attribution des 1552 logements sociaux de Tabacoro, dans laquelle il a été orchestré une véritable magouille à ciel ouvert. En plus des ministres de la République et des cadres de l’administration, le ministre Dramane Dembélé a distribué des villas « sociales » à la famille du Premier ministre Modibo Kéïta. Ainsi, sous IBK, le Mali est entré dans une nouvelle ère des logements sociaux. Désormais, tous les bénéficiaires doivent avoir un caractère particulier : être militant ou sympathisant d’un parti de la mouvance présidentielle, ou avoir un lien avec un président ou un membre des institutions de la République. Rares, et même très rares sont les Maliens lambda qui ont vu leur nom sur la liste des bénéficiaires de logements sociaux de Tabacoro.

Comme si cet accaparement des biens de l’Etat ne suffisait pas, les Maliens assistent à une dilapidation des ressources publiques. Les princes du jour, à commencer par le président de le République, baignent dans l’opulence au moment où la grande majorité des citoyens rasent le mur.

 

Le budget passe de 9 à près de 20 milliards FCFA

Le régime IBK a suffisamment démontré son caractère budgétivore. De son accession au pouvoir à nos jours, le budget de la présidence est constamment revu à la hausse. La preuve ? Le 1er budget préparé par l’administration IBK  a affecté à la présidence de la République la somme de 9 milliards 300 millions de francs CFA pour 2014. En 2015, ce budget a été porté à 14 milliards 600 millions, soit une augmentation de 57%. D’à peu près 16 milliards en 2015, le budget de Koulouba est passé à 19,3 milliards en 2016.

Celui de 2015, à titre de comparaison, équivalait à celui affecté à la santé des populations dans les principaux hôpitaux du pays.  Mieux, la même année, la sécurité alimentaire avait 500 millions de FCFA contre 300 millions pour l’alimentation de Koulouba qui était de 61 millions en 2013. Et dire que les laudateurs du régime continuent de nous faire croire qu’IBK œuvre pour le bonheur des Maliens. Que dire encore des voyages du Président à l’extérieur (près de 90 voyages à l’extérieur), de leurs coûts pour le contribuable malien? Ou encore de la rénovation du Palais présidentiel et de la résidence privée du président? Pour mémoire, le 27 mai 2015, le conseil des ministres avait attribué un marché, d’un montant de 5 milliards 993 millions 489 mille 955 francs CFA, à l’entreprise « Groupement EIFFAGE » pour rénover le Palais.

N’en parlons pas de sa résidence privée qui, en chantier permanent, a déjà fait couler beaucoup de salive. Ce sont là quelques actes et faits qui sont en contradiction avec les différents slogans de campagne d’IBK. En effet, il promettait de faire le « bonheur des Maliens» et de rétablir leur « honneur et leur dignité ». La réalité est tout autre.

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Issa B Dembélé

Commentaires via Facebook :

33 COMMENTAIRES

  1. Je pense qu’on ne doit pas créer des polémiques autour des affaires ou il n’existe pas. Je ne vois pas de raison de se plaindre dans cet affaire sauf si on n’en veut au régime au régime au pouvoir.

  2. La presse malienne a perdue toute sa crédibilité et sa dignité, parce que le manque de professionnalisme manque le plus dans ce milieu. Les journalistes maliens racontent toujours des balivernes.

    • Please stop, you have the right to support this regime if you want, but this article is full of facts and evidences that have been publicly known and can be verified.

  3. C’ n’est pas IBK qui a nommé tous ses proches qui font partie de la gestion de l’État a ces postes. Ils ont occupé ses postes dans la règle. Les détracteurs font pour pousser la population à la haine et la violence.

  4. Par rapport aux membres de la famille du président aux affaires,j’estime que cela ne doit pas être vu en mal puisque c’est par leurs compétences qu’ils occupent ces postes ou cette via soufrage qu’ils sont à se poste.

  5. A propos des membres de la famille présidentielle aux affaires: « C’est par leurs compétences qu’ils occupent ces postes ». Je pense qu’on ne doit pas créer de polémique face à cela. Ou d’autre on été élu par par le peuple en question.

  6. Je pense que vous n’avez rien compris lorsque vous parlez de corruption s’il y a un corrompu c’est qu’il y a un corrupteur. de vous à moi toi tu as été corrompu et ton corrupteur est un opposant qui te file les billets de banque chaque week-end. il devons tous faire violence sur sois.

  7. monsieur le journaliste à voir vous comprenez bien la langue de molière mais que fais tu pour ton pays? tu parles de corruption alors que tu es corrompue. soyons honnête la gouvernance du président IBK est la meilleur que le mali est connu contrairement à ses prédécesseurs.

  8. Le régime en place est à saluer car la mauvaise gestion et la corruption ont été les premières luttes de ce régime. Félicitation à vous car nous voulons un vrai développement. Nous maliens devons aider ce régime car c’est nous qui sommes à la base de la corruption.

  9. le régime d’IBK a fais de la bonne gouvernance une priorité pour un développement propice. le peuple malien a mis sa confiance en IBK ace 77 % des voix alors nous devons l’encourager car il est là pour nous.

  10. Même si tu n’aimes pas le lièvre il faut reconnaître qu’il cour. Le pays était dégradé par la faute de ses prédécesseurs. Toi petit journaliste là tu veux qu’il fasse du mali comme les USA en deux de gestion vu la gravité de la situation du pays.

  11. Continuez dans votre bêtise de “ma famille” au lieu de nous mettre ensemble pour construire le pays. C’est bien de parler sans évidence!
    Même si des personnes ont été indexées pour des fautes, leur culpabilité n’a pas été prouvée. La justice est en train de faire son travail alors de grâce arrêtez de nous emmerder avec vos sottises!

  12. Je crois que nous devons laisser le président IBK travailler parce que lorsque nous voyons d’où notre pays vient on ne demanderait l’impossible. La gouvernance du président IBK a certes connue des bas mais cela ne veut pas dire qu’il n’a pas de vision pour sortir notre pays de la crise. S’il tient à l’accord de paix; c’est justement parce que c’est un moyen efficace pour apporter d’abord la paix et ensuite permettre d’établir les bases d’un développement qu’il veut pour ce pays. Le président de la république connait les aspirations des populations de ce pays mieux que quiconque. Il est en train d’établir le cadre institutionnel pour que notre pays puisse aller de l’avant. Si nous connaissons tous ces problèmes aujourd’hui, c’est parce que notre pays a accumulé de nombreuses tares durant toutes ces années et il convient de les corriger.

  13. Le président IBK quelques soit ce qui peut se dire a une très belle optique pour notre pays. Mais quand on a un pays qui n’est pas encore sortis totalement de la crise on ne doit pas acculer le président de toute part. On doit plutôt l’accompagner pour une gestion plus efficiente et plus transparente. Cela passe par la critique positive mais pas par la diffamation et le mensonge comme on le constate de plus en plus.

  14. Le président IBK est dans une dynamique qui n’a rien à avoir avec celle de ses prédécesseurs. Cela se traduit par la feuille de route du gouvernement qui prend en compte la plupart des aspirations profondes du peuple. Ses exploits vont surprendre plus d’un car nous n’allons rien accepter sans preuve et ceux qui passent leur temps à crier au scandale sur tous les toits devront fournir les preuves de ce qu’ils affirment que nous allons comparer aux actions du président IBK.
    Jusqu’à présent il est la solution aux problèmes de ce pays et les deux années de son premier mandat permettront de prouver que nous n’avons pas eu tort de voter pour lui.

  15. Chez nous au Mali c’est qu’on se focalise plus sur les personnes au lieu de juger les faits. On prends la doxa comme le sésame pourtant la vérité est dans la plupart des cas toute autre. Nous devons voir les choses sans faire appel à une quelconque subjectivité et avec réalisme comme ci dessus indiqué mais combien ont l’humilité pour le faire?
    Tous ceux qui veulent ce donner de l’importance ont pour objet de jeter le discrédit sur la gestion du gouvernement et des moutons les suivent par pur fanatisme sans analyser les faits.
    Cela ne doit pas distraire nos dirigeants car au final ce sont les faits qui seront jugés.

  16. Quand on ne voit pas plus loin que le bout de son nez, on ne sait pas se rend pas compte du fait que ce <> se fout de son peuple. Ajoutez à cela, sa volonté d’augmenter les avantages des anciens 1ers ministres, après ce sera les anciens présidents, tous ça pour lui même et ses proches. Pendant ce temps, les budgets des secteurs vitaux baissent, réfléchissez un peu, ouvrez les yeux, les moutons

  17. Si Ibrahim Boubacar Keïta avait fait de la république la chose de sa famille comme tu le martèles dans cet article, cher journaliste, le Mali n’allait âs retrouver son intégrité territoriale avec la signature de l’accord de paix et de réconciliation issu du processus d’Alger.

  18. Le poids de la Famille… De n’importe quoi seulement. Quand un journaliste ‘a pas de quoi publier sur les sites d’informations et tous les réseaux sociaux, il se donne à une telle pratique. Si ce n’est pas pour déstabiliser le pouvoir d’IBK, je ne sais pas ce que le journaliste cherche. En tout cas pas dans le souci d’informer le peuple.

  19. Les pseudos scandales de nos journalistes et autres hommes politiques sont destinés à détruire le pouvoir d’IBK pour permettre à certaines personnes malintentionnées de prendre le pouvoir dans ce pays. J’ai besoin de preuves pour croire à la véracité de vos pseudos scandales.

  20. Dans la gouvernance d’IBK la seule que les maliens peuvent se plaindre est le fait qu’IBK fait appel à tout le monde y compris ses ennemis politiques. La famille n’est d’actualité sous IBK. C’est le mérite qui est dans les services. Tu es incapable, tu te casses. C’est simple.

  21. Quand je vois certaines personnes parler de famille dans la gestion du président IBK, je ne sais pas ce qu’ils veulent dire exactement. Depuis que le Mali est devenu un pays à aujourd’hui, aucun régime n’a été franc, clair droit et honnête que l’actuel. Toute personne qui occupe un poste sous IBK le mérite.

  22. Ces personnes doivent comprendre qu’un président est jugé sur 5 ans et non 2 ans. Nous pouvons dire que le bilan est positif dans la mesure notre économie est assainie et les actions de développement se posent, nous ne pouvons qu’être fiers du président.
    Le problème d’emploi des jeunes est à un niveau appréciable avec plus de 81.486 sur 200.000 promis en 2012.

  23. Je pense que ces agissements sont significatifs à tout point de vue c’est à dire ces personnes veulent tout simplement empêcher IBK de réussir là où ils ont échoué. Ils sont à la base du chaos que nous vivons. Ils ont mis le Mali en retard par leur mauvaise gestion de l’argent du contribuable

  24. Aujourd’hui, nous sommes à 6% de croissance. C’est un vrai exploit pour le Mali car très bientôt la population sera soulagé. Cet exploit a permis d’avoir une aide de 2.4 milliards pour la relance de notre économique du FMI. Les partenaires financiers et techniques sont tournés vers le Mali. Nous sommes tous heureux de la gestion d’IBK

  25. Ce sont les détracteurs qui veulent créer la psychose en criant à tout moment aux scandales et à la mauvaise gouvernance. Ces personnes ont servi le pays alors qu’on a rien vu de concret.
    Ils doivent laisser le président travailler en arrêtant de lui mettre les bâtons dans les roues.

  26. On ne peut pas reprocher au président de travailler avec des personnes que le peuple à élire tels que Karim et le président de l’assemblée nationale. Cela montre vraiment que vous n’avez rien dans le crâne.
    IBK travaille avec les plus méritants et compétents prêts pour la cause du Mali.

  27. Je pourrais dire bonne arrivée à ce journaleux. Nous avons fini avec cette histoire. Le président est en plein travail pour développer notre pays. Donc si tu n’as rien à dire au peuple qui a droit à l’information vraie alors il faut la boucler définitivement. Pacotille de journaliste

  28. RACINE DEVRAIT EXPLIQUER AUX MALIENS LA PRÉSENCE DE CETTE FAMILLE.

    MAIS QUEL JOURNALISTE MALIEN OSERAIT LUI POSER LA QUESTION..

    POURQUOI LE GOUVERNEMENT NE VA PAS EN DÉBAT CONTRADICTOIRE AVEC L’OPPOSITION POUR QUE LES MALIENS PUISSENT AVOIR LA RÉPONSE À CERTAINES QUESTIONS QUI LES PRÉOCUPENT AUJOURD’HUI..

    QUEL EST LE VILLAGE NATAL DU PÈRE DE IBK..
    DE QUELLE FAMILLE AU MANDÉ VIENT-IL..

    JUSQU’AUJOURD’HUI, PERSONNE NE SAIT DE QUELLE CONTRÉE DU MANDÉ IL IBK EST ORIGINAIRE..

    POURQUOI IL N’Y A PAS D’EAU POTABLE ET D’ÉLECTRICITÉ À BAMAKO, ALORS QUE LES FACTURES N’ONT PAS BAISSÉ..

    POURQUOI LES FAMILLES DES VICTIMES DE LA MECQUE N’ONT PAS ÉTÉ DÉDOMMAGÉES..

    POUR IBK REFUSE DE DÉMÉNAGER À KOULOUBA..
    ET COMBIEN IBK COUTE AUX MALIENS PAR RAPPORT AUX AUTRES PRÉSIDENTS..

    • OUI IDY..MÊME À COUP DE PIED DANS LA PARTIE DU CORPS OÙ LE DOS PERD SON NOM..

      ET SOYEZ EN SÛRS, IL VA PARTIR…DE LA BONNE OU DE LA MAUVAISE FAÇON.

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