Plateforme politique pour la présidentielle 2018 : Dix postulants à Koulouba se jurent fidélité

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Cheick Modibo Diarra et Aliou Boubacar Diallo

Comme «l’union fait la force », Aliou Boubacar Diallo et Dr Cheick Modibo Diarra viennent de donner forme à leur entente politique visant à renouveler la classe politique malienne, dans la perspective de la prochaine élection présidentielle

-Maliweb.net- En vue de constituer une alliance de gouvernance en cas de succès électoral d’un des leurs, Aliou Boubacar Diallo de l’ADP-Maliba, Cheick Modibo Diarra du RpDM, Moussa Mara de YELEMA, Jeamille Bittar du MC-ATT, Amadou Djigué du MJCD, Modibo Koné, Moussa Oumar Diawara dit Baty de Mali Emergence et d’autres leaders sont en discussions avancées pour « se mettre dans la peau d’une nouvelle majorité présidentielle ». Un communiqué conjoint devrait être signé dans ce sens pour peut-être aider le premier candidat déclaré du groupe, le leader de l’ADP-Maliba, Aliou Boubacar Diallo à mieux se lancer dans la course pour la présidentielle du 29 juillet 2018.

Mais la question qui se pose est de savoir quelle est l’assise réelle de ces leaders politiques ? De combien de députés et de maires ou élus communaux disposent ces partis. Peuvent-ils véritablement bâtir une union sacrée nouvelle en court-circuitant les ténors de la classe politiques comme le RPM, l’ADEMA, l’URD, les FARE ? Rien n’est moins sûr. Mais, ces responsables croient dur comme fer en l’avenir et la force de la plateforme naissante. L’on ne peut qu’à attendre et voir ce que cette initiative politique peut donner.

Boubou SIDIBE/Maliweb.net

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8 COMMENTAIRES

  1. Macron voulait se méler et semer le désordre en concert avec ses complices de l’OTAN contre Maduro et le Venezuela à l’air bien “malin” maintenant avec ses Champs-Elysée tout cassé!

    Au lieu de calmer le “jeu” et de rétablir tout simplement l’ISF, Macron surenchérit une fois de plus:
    Il ne veut pas revoir sa politique fiscale, mais en plus il annonce par l’intermédiaire de sa ministre (encore) une dégradation sociale!
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/03/17/retraites-agnes-buzyn-evoque-un-allongement-de-la-duree-de-travail_5437383_3224.html
    D’autre part il continu sa fuite en avant, ne veut pas de RIC, ce qui démontre qu’il a prit tout ceux qui sont tombé dans son panneau que ses débats “citoyens” n’était qu’un leurre et une perte de temps histoire de détourner l’attention des français!

  2. Il y’a combien de coalition pour l’alternance dans ce pays? On ne sait même pas combien au juste. Et chacune de ses coalitions croit être l’alternative. La minorité qui crie alternance va se perdre dans tout ce désordre. En somme l’alternance n’aura pas lieu. C’est la continuité avec IBK qui est la vérité.

    • FB, il y a plus de 170 partis politiques!!! CONCLUSION: PLUS DE 160 PARTIS POLITIQUES NE SOUTIENNENT PAS LA PLATEFORME POLITIQUE DECRITE DANS L’ARTICLE!!!
      QUE FAIRE????? C’est toujours bon de voir la campagne PRESIDENTIELLE remettre au peuple malien une partie de son argent!!!! SI LES CANDIDATS VOUS DONNENT DE L’ARGENT POUR LES SOUTENIR, IL FAUT LE PRENDRE AVEC VOS DEUX MAINS!!!! LE JOUR DE L’ELECTION, VOTEZ POUR IBK!!!!!

  3. Quand IBK venait en 2013, il n’avait que 11 députés, donc ce n’est pas une question d’élus. Au Mali les gens préfèrent les candidats pour leur personnalité sinon les élus ne comptent pas. L’URD et l’ADEMA avaient plus d’élus qu’IBK et Soumi a plus dépensé qu’IBK pendant les campagnes mais les maliens l’on préféré avant de déchanter. Ils réfléchiront cette fois-ci par mille avant d’aller choisir un président.

  4. Aliou Diallo, Cheick M. Diarra, Moussa Mara, Modibo Koné, Bati, Jamil Bittar etc…Tout le monde sait que ce regroupement n’ira nul part, car pas suffisamment d’élus sur le terrain. Aussi chacun de ces gens ont un EGO surdimensionné. Qui va être le porte drapeau de ce regroupement. S’il s’agit d’aller au 1er tour en rang dispersé et se retrouver après, je vous prédis que dans ce regroupement celui qui arrivera en tête aura difficilement 2%. Fasse Dieu que nous ayons la chance de vivre la prochaine présidentielle.

  5. La fidélité des leaders politiques de notre pays laisse à désirer et n’est pas sûre, pas du tout sûre des exemples élégants existent à cet effet. De toutes les façons qui vivra verra, l’échéance n’est pas loin. Pour le pauvre peuple malien, la politique est égale au mensonge, avec de tel électorat aucune élection normale ne semble plausible. La démocratie semble condamnée pour le Mali, car avant de dénouer cette situation face au peuple. Un peuple totalement traumatisé par le comportement de la classe politique malienne; mais, mais, mais ce peuple meurtri finira par comprendre et ce jour là la classe politique sera humilié et les choses tournerons au vinaigre pour cette classe politique. Le Mali et dans un ouragan sans précédent qui précipitera le pays dans une turbulence incommensurable très bientôt.

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