Dans un communiqué signé de son président, l’honorable Souleymane Dembélé, en date du mardi 13 septembre 2022, le parti Demain C’est Aujourd’hui (DCA) salue et soutient la plainte du Mali contre la France au Conseil de sécurité des Nations-Unies, et appelle l’ensemble des Maliens à « l’union sacrée autour de ce combat de dignité, de patriotisme et de réaffirmation de notre souveraineté sous l’impulsion des autorités de la Transition ».
« Le Parti Demain C’est Aujourd’hui a appris, par voie de presse, la saisine du Conseil de Sécurité de l’Onu par le Gouvernement de Transition aux fins de tenir une réunion d’urgence sur des faits de violations de souveraineté et d’aides aux groupes terroristes contre le Mali. Le Parti Demain C’est Aujourd’hui salue et soutient cette initiative des autorités de la Transition ».
Aussi, lance-t-il un vibrant appel à l’ensemble de la classe politique et de la société civile « pour l’union sacrée autour de ce combat de dignité, de patriotisme et de réaffirmation de notre souveraineté sous l’impulsion des autorités de la Transition et du leadership de Son Excellence le Colonel Assimi Goïta, Président de la Transition, Chef de l’Etat ».
Par ailleurs, le parti Demain C’est Aujourd’hui estime que « l’opportunité est offerte pour nous, la nouvelle génération, d’accomplir notre mission générationnelle et mieux encore, de la réussir pour la postérité ».
Par conséquent, le parti DCA « exhorte les dignes fils du pays à constituer un rempart pour faire échec à toutes les entreprises funestes savamment orchestrées des ennemis de l’intérieur et de l’extérieur, en ces moments d’épreuves ».
Enfin fait sien l’adage bien connu de chez nous, l’honorable Souleymane Dembélé rappelle aux plus sceptiques : « Au moment de la mort, il n’y a point d’espoir pour la vie et au moment de la vie, point d’espoir pour la mort »
Pour rappel, le Mali, à travers le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, a adressé, le 16 août 2022, une correspondance au Conseil de Sécurité des Nations-Unies, dans laquelle, il demande une réunion d’urgence sur la situation de son pays.
Dans sa correspondance, le Mali accuse avec des preuves documentées la force française « Barkhane de fournir des renseignements et armes aux terroristes via des vecteurs aériens aux terroristes.
De même, dénonce-t-il, « la Force Barkhane utilise, malgré la dénonciation de l’accord de défense qui liait les deux pays, des vecteurs aériens tels que des drones, des hélicoptères militaires et des avions de chasse pour entraver les activités de l’armée malienne ». Une plainte restée sans suite auprès du Conseil de sécurité de l’Onu n’a toujours pas réagi.
S. Camara
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