Dans la perspective de l’élection présidentielle 2018 : Moussa Sinko Coulibaly décapite la classe politique traditionnelle

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Même au sein du Rassemblement pour le Mali (RPM), les sceptiques commencent à faire des yeux doux au Général Moussa Sinko Coulibaly. Malgré le discours de réticence et les appréhensions, de nombreux cadres embouchent la trompette du « vrai changement » qu’exhibe « l’officier félon » dont parle le Secrétaire général du RPM, Me Baber Gano.

maliweb.net – Selon de bonnes sources, le Général Moussa Sinko Coulibaly est d’ores et déjà épaulé par les ex-ministres Malick Coulibaly, Jean-Marie Idrissa Sangaré, le constitutionnaliste Bréhima Fomba… L’on murmure également que l’ex-Premier ministre Moussa Mara lui ferait les yeux doux. Un ex-ministre RPM et certains cadres du parti présidentiel l’ont rencontré ces derniers jours. Que se sont-ils dit ? Mystère et boule de gomme. Ce qui est sûr, c’est que le général démissionnaire des FAMAs semble avoir, comme l’aveugle qui lapider quelqu’un, le pied sur la pierre.

Malgré la rencontre de remobilisation du RPM avec son président fondateur, IBK, le week-end dernier, le ver est déjà dans le fruit. Le doute s’est emparé de certains caciques. Au point le 1er vice-président de l’Assemblée Nationale, Moussa Timbiné a dû reformuler son discours : « Je ne crois pas qu’IBK ne puisse pas se porter candidat ». Le ton trahit que le scepticisme a atteint les tisserands. Et le « IBK sera candidat et nous allons gagner » du président du parti, Dr Bokary Tréta ne convainc pas. Et surtout pas les ténors de la convention des partis politiques de la majorité présidentielle (CMP) qui semblent raser les murs.

Des sources affirment que des leaders de la CMP cherchent leur point de chute politique. Certains lorgnent du côté du Général Moussa Sinko Coulibaly et d’autres sont « en réflexion ». Histoire de voir l’horizon de la présidentielle 2018 se dégager à compter de janvier-février prochain avant de sortir de leur cachette.

Pendant ce temps, le patron de l’Ecole de maintien de la paix poursuit ses discrètes concertations pour « ne plus laisser la gouvernance actuelle demeurer à Koulouba ».

Si l’ex-ministre de la Justice Malick Coulibaly est déjà identifié comme l’un des premiers lieutenants du Général Moussa Sinko Coulibaly, les autres sont encore peu connus. Il s’agit, selon nos investigations de l’ex-ministre de la Communication (aux premières heures du régime IBK), Jean-Marie Idrissa Sangaré et certains caciques de la plateforme « Anté a banna », opposé à la révision constitutionnelle. Il s’agit du constitutionnaliste Bréhima Fomba et d’autres comme Mahamadou Konaté. Sans compter les soutiens évidents dont dispose le jeune Général de 45 ans au sein de la grande muette.

A la question de savoir comment il peut atteindre son ambitieux objectif sans appareil politique de soutien, Moussa Sinko Coulilaby estime que « le Mali a besoin de toutes les forces vives, de toutes les énergies positives qui existent dans le pays. On ne va pas créer forcément un appareil spécifique, mais un mouvement, une plateforme qui permettra d’absorber toutes les énergies positives, une plateforme qui va accueillir des partis politiques, des associations, des ONG, des individus, toutes personnes soucieuses d’un vrai changement dans ce pays. C’est vers là qu’on veut aller, c’est-à-dire un mouvement populaire qui permettra de fédérer toutes les énergies ».

Un discours qui a des échos favorables même dans les rangs de l’opposition traditionnelle à IBK, considéré à tort ou à raison comme ne pouvant pas rassembler les Maliens.

Et sur ses rapports avec l’ex-junte d’Amadou Haya Sanogo, Sinko assure que ce qui est important dans son projet c’est qu’il est national et que « tous ceux qui vivent sur le sol national et ceux qui sont en dehors, les Maliens qui sont là, les étrangers, que tout le monde trouve un espace d’épanouissement dans ce projet ». Un message qui semble attirer au sein du microcosme politique national. Conséquence : des militants de plusieurs formations politiques rêvent de se débarrasser de leurs cartes de militants pour se rapprocher de celui que l’on murmure comme « homme de la France ».

Ce qui n’est pas à écarter du fait que de nombreux Maliens déplorent aujourd’hui un certain échec de la vieille garde politique. Ce que la France de l’opération Serval devenue Barkhane n’ignore point. Et Sinko d’affirmer qu’il a entamé son « complot » depuis longtemps. Avec quelles complicités ? C’est omerta total. « Ce n’est pas maintenant que j’ai commencé à travailler avec les acteurs de la classe politique, à les contacter. Cela fait très longtemps qu’on mûrit la réflexion, les partis politiques et les hommes politiques font partie de la solution et il faut intégrer tout le monde… », a-t-il expliqué, la semaine dernière lors d’une interview. Un discours qui va certainement affaiblir la classe politique actuelle en en emporter des pans. Vers des cieux fédérateurs ? Pour peu que cela ne conduise vers un consensualisme à la sauce ATT.

Boubou SIDIBE/ La rédaction de maliweb.net

Commentaires via Facebook :

29 COMMENTAIRES

  1. Le Mali a impérativement besoin d’un changement radical classe dirigeante. Que tous ces vieux “babouchards”, enturbannés ou pas, aux chapelets longs ou courts, rouges ou noirs, qui ont tous construit des villas et d’imposantes fermes agricoles avec l’argent du peuple, quittent le plancher et se mettent à la disposition, c’est-à-dire mettent leurs compétences à la disposition des jeunes patriotes compétents pour diriger dignement et sereinement le Mali. Aucun homme politique de plus de 50 ans ne devrait plus prétendre diriger ce pays qui n’a que 57 ans d’indépendance politique. Persister à faire valoir ses rides dans un langage politique pitoyable et dépassé serait a mon avis faire preuve d’indécence et de crime contre le Mali. (Haketo be ala)

  2. Nous sommes, au Mali comme beaucoup de pays Africains, dans une démocratie ordurière que certains nomment bananière.
    Les institutions chargées de contrôler les élections sont indignes. Elles sont là pour le plaisir du petit tyran qui nomme et destitue leurs responsables à sa guise. C’est ce qui a fait dire à Omar Bongo ” On ne peut pas organiser une élection et la perdre ”
    Au Mali, rien ne marche correctement, et cela, dans tous les secteurs de l’administration. Du sommet à la base, rien ne tient debout. Il n’y a pas une seule institution fiable.
    Ce grand bazar fait le miel de tous les dirigeants qui se succèdent. Il leur permet de falsifier aisément toute sorte de document pour détourner les votes et se faire élire, réélire et encore réélire. Puis, si cela ne suffit pas, changer la constitution pour se présenter et se représenter n fois.
    Tant que ce grand foutoir existera, nos démocraties resteront une vitrine pour légaliser et pérenniser toute sorte de régime imbécile.

    Que celles et ceux qui doutent, sachent que le clan IBK qui dilapide, saccage et ruine l’économie et l’image du Mali restera au pouvoir jusqu’au bout ultime. Tout, absolument tout sera fait pour cet objectif.
    On peut organiser une élection présidentielle chaque matin, IBK, son gouvernement et sa famille gagnerons haut la main.
    Seule une révolution générale ou la mort pourra nous débarrasser de cette calamité.
    Une calamité que nous nous sommes données un jour de 2013 dans la joie et la bonne humeur. La déception fut à la hauteur de l’enthousiasme. Le fruit n’a pas tenu la promesse des fleurs.
    Cependant, si ce régime a pu faire ce qu’il a fait, c’est tout simplement parce que le mode de gestion de ce pays lui a facilité la tâche.
    Un Pays qui a érigé la corruption, le laxisme, l’impunité, la médiocrité et le ” BATARA-YA” en mode de gestion.
    Mais, que les Maliens se rassurent. Comme on dit, ” il n’y a pas de problèmes dont l’absence de solution ne fini par résoudre “

    • Keletigui

      Woaw !
      Mon frere, ton commentaire est juste SUPERBE, tant sur le fond que sur la forme!
      Et c’est hélas tellement rare sur maliweb que le fait méritait d’être souligné.

      Houbien ?🙄

  3. comrade Moussa Coulibaly will you bring me home? I could earn billions before 2020 when my assets are to be released to me plus those assets do not equal billions. You would not regret bringing me home plus I intend to immediately go to work. Irregardless of what you might do in my condition please stay thorough plus simple with your explanation thus avoid complicated explanation by acknowledging there are contingencies in conditions but, share information on what is norm of condition? Despite having been schooled in part in France you could be winning leader Mali so desperately need to lead it out of centuries of leadership by incompetent leaders who thought themselves excellent. If anything they were excellent sycophants. As for my remark about education in France contemporary history show France is a loser that makes it way on leftovers more powerful nations do not want thus, we need lead people of Mali away from mindset France plus sycophant leaders of Mali have imposed upon people of Mali. That is a mindset designed for losers. It is simple to be a winner if you possess will. You do what is timely in your nation best interest toward development plus maintenance modern living plus self-determination. Sometimes you move in steps to thereof go from stage to stage plus other times you able to proficiently go from stage to stage but in all cases you timely act in your nation best interest with modern living plus self-determination being ultimate guideline. WE WERE BETTER IN EVERY WAY WHEN WE WERE PEOPLE OF BOOKS. Very much sincere, Henry Author (people of books) Price Jr. aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan aka Gue. translationbuddy.com

  4. De quelle démocratie vous parlez quand plus des trois-quarts des maliens boudent les urnes à chaque élection ????
    Etes-vous pour la docratie ou plutôt pour l’olygarchie mafieuse ?
    Les militaires ont bien fait d’organiser le coup d’Etat. Ils ont malheureusement déçu le peuple quand ils sont arrivés au pouvoir. Nous, représentants de la majorité silencieuse et absente des lutent politiques, nous avions souhaité que les putchshistes fasse un nétoyage complet et parfait de la scène politique malienne. C’est là qu’ils ont échoué !!!
    C’est comme si on demande à un jeune homme d’enfanter sa nouvelle épouse, et l’idiot se met à raconter sa vie pendant toute la nuit de noce à la très belle vierge !

    • On ne peut pas nettoyer avec quelque chose plus sale que la saleté elle-même. Les militaires étaient plus pourris que ceux qu’ils voulaient nettoyer, ce qui ne laisse aucun doute le mobile de leur putsch qui n’était d’autre que la peur d’aller en guerre.

  5. IB KEITA et Moussa Sinkhole COULIBALY: un clivage de destin entre le maître et son esclave.
    Quand le Mande Massa veut s’éterniser aux pouvoirs à tout prix, l’autre veut un “changement” comme un tremblement de terre pour couvrir ses actes de forfaits contre la “démocratie” car il est marqué au fer rouge”PUTSCH”.

  6. Dans la perspective des élections de 2018, il y a une autre crise non aussi résiduelle à l’endroit de la quelle, il avoir un œil. Voici mon plaidoyer.

    Une autre merde d’histoire de collectif pour la réconciliation pointe à l’horizon, dans le cadre de la gestion du Football. Rien ne va marcher tant qu’on n’applique pas les textes.
    On l’a dit et on ne cesserait de le répéter, la solution n’est pas dans les réconciliations, c’est dans les textes législatives et réglementaires.
    Ce qui est arrivé, c’est suite à l’irresponsabilité du Département des sports qui n’a pas appliqué les décisions de justices suites aux plaintes impliquant le bureau sortant et le collectif des frondeurs.
    Cette crise-là qui s’était expatriée jusqu’à Zurich, dans les arènes du football Mondial, a fini par contraindre le Président sortant à renoncer à un second mandat à la tête de l’instance dirigeante de notre sport roi. Et cela, malgré les résultats historiques, glanés sous son mandat, par les différentes catégories de nos sélections nationales.
    La crise actuelle quant à elle, n’est que la deuxième mi-temps de la série précédente.
    Faute d’user des moyens légaux pour la résoudre, notre football se retrouve encore plonger dans cet engrenage meurtrière qui finira par décimer tous les talents qui ont émergés ces dernières années et du coup, exterminée « toute une génération de footballeurs talentueux ».
    Et en pareil circonstance, il nous faudra au moins une dizaine d’année pour rebondir de nouveau.

    Je lance un appel à Monsieur le Président de la République, « l’Arbitre principal » de cette série sans fin. À vous de siffler la fin du match pour que le vainqueur savoure sa victoire et le vaincu se prépare pour les compétions futures.
    Les supporteurs des deux camps se tirent dessus à coup d’injures graves à travers (des médias interposés ; des conférences de presses ; de réunions entre collègues), de gaz lacrymogène, et même de couteaux.
    Les stades de football, jadis reconnus par le règne de fairplay, se sont transformés en champs de bataille où les supporters armés jusqu’aux dents, et disposant des arsenaux militaires les plus sophistiqués, n’hésitent pas à tirer sur tout ce qui bouge.

    Monsieur le Président, la situation s’est tellement dégradée à telle enseigne que pour que la paix règne dans le centre du Pays « pardon, dans le rond central » de l’aire de jeu, il faut négocier un accord de paix à l’issu du quel, les points suivants doivent être convenus :
    1- Signature d’un cesser le feu entre les belligérants,
    2- Cantonnement des combattants,
    3- Désarmement, démobilisation et réinsertion des combattants dans les différents corps, qui sont :
    a. Les clubs de premières et deuxièmes divisions,
    b. Le corps des arbitres,
    c. Les associations des supporteurs des causes perdues,
    d. Les médias qui jouent à la partialité,
    e. Le bureau fédéral de l’équipe qui joue en catimini,
    f. Le collectif de l’équipe qui joue à la chaise vide,
    g. Le collectif des survivants des conflits fratricides,
    h. Le collectif des ramasseurs de balles,
    i. Le collectif des vendeurs et vendeuses,
    j. Le collectif des organisations départementales des sports chargé de la gestion de la crise du Football avec mandat de création d’un comité dit de « NALOMALISATION », etc.
    M. le Président, cette crise est loin d’être terminée, il ne s’agit plus d’une crise résiduelle. Les dernières élections du Bureau Fédéral se sont tenues en deux endroits, suite à l’insécurité ambiante.
    La première s’est tenue au centre-sud de la ville tant disque la seconde a eu lieu au centre-nord.
    Malgré cette délocalisation, les résultats issus des urnes n’ont pas permis de départager les candidats. Les protagonistes n’ont pas attendu la proclamation des résultats, ils sont immédiatement rentrés en belligérances, malgré les assurances données par la représentante de la communauté internationale (FIFA) et celle de l’instance Africaine (CAF).

    Nous espérons, INCHALLAH ! M. le Pdt, une issue favorable à cette crise qui n’a que trop durée.

  7. Cette vermine d’ex-putschiste voit arriver la chute de son protecteur ibkon, et il tente de se tailler un costume de “personnalité politique” en pensant (naïvement) échapper a la justice quand zonkeba aura dégagé ! Mais là, il rêve… Il a fait PARTIE INTEGRANTE de cette bande d’assassins qui ont volé et pillé le pays, qui ont torturé et exécuté, qui ont tenté de camoufler les assassinats en “morts au combat), etc!!!!!!!!! Alors s’il pendre ne pas payer l’addition juste en jouant les acteurs politiques, il blague !

    • Si vous étiez militaire au Mali, vous auriez probablement agi selon le climat ambiant. Critiquons, certes, mais analysons de manière sereine la décrépitude dans laquelle végète le pays. Faisons des analyses critiques assorties de propositions. Il doit bien y avoir des alternatives crédibles. “Houbien”?
      Quant aux “aboyeurs” sur la France, chacun est libre de ses délires. Sans la France(Hollande), nous serions tous des barbus puants avec des chapelets roussis par la latérite de Bamako. A Koulouba, il y’aurait certainement des hauts parleurs grésillants qui terroriseraient les citoyens depuis 3 heures du matin au grand désarroi de nos charmants(es) hiboux(es) nocturnes. Respects.

  8. Le style Macron auquel veut jouer Monsieur Sinko ne marchera pas dans un pays clientéliste comme le Mali

    Moussa Sinko a commis une grosse erreur en démissionnant.
    Le pouvoir est déjà entrain de sortir ses dossiers pour le faire taire comme cette rumeur de rapport du vérivicateur quand Sinko était ministre de l’administration.

    Sinko serait plus brave et pardonné par le Peuple s’il avait organisé un putsch. Le Peuple applaudirait car il regrette d’avoir été manipulé par le CNRDE pour élire ce crocodile d’IBK.
    La communauté internationale approuverait également la chute d’un vieux président maladif, malpropre et incompétent.

    Bref, la situation ne serait pas pire si Sinko devient président par un moyen quelconque y compris le putsch car les maliens ont tout vu et acceptent tout sinon IBK ne serait pas au pouvoir.
    Mais Sinko doit se mettre en tête que lui comme l’aveugle que lui et le CNRDE ont fait élire ont leur place en prison.
    En attendant que le Peuple ait l’opportunité de les faire payer, ils peuvent guerroyer pour des dividendes.

  9. Monsieur le Journaliste on te comprends assez mais pensez qu’un arriviste ou un situationniste comme Moussa SINKO dirige notre pays à son état actuel est vraiment obérant. S’il c’était porté volontairement pour aller sauver le septentrion malien, notamment Kidal ou tout du moins éviter le massacre de Diago, comme l’a fait ceux qu’il prétend imiter, le Général Dé gaule en 45 ou Amadou Toumani TOURE pour l’avènement de la démocratie, il allait passer haut les mains aux présidentielles; nous sommes plus prêts à sacrifier notre pays à un aventurier

  10. La candidature du président IBK est déjà acquise. Il sera candidat en 2018 et gagnera inchallah.

    Pour ce qui est des problèmes internes du RPM, ils trouveront des solutions comme toujours. Comme on le dit le linge sale se lave en famille. Les artisans trouveront les mots et actes justes pour parler d’une même voix pour terminer en beauté le premier quinquennat du président IBK et faire en sorte qu’il commence le second également avec le soutien de tous.

    • FB .

      I BOUARE!!#
      Tu es vraiment un bon griot pour le RPM et ton Mandé Massa….
      Personne ne sait combien tu as réçu pour ton boulot d’homme de paille pour un régime suffoqué et aux abois.
      Du courage mon frère pour défendre ces mensonges politiques qui nous piègent tous les jours.

      Paid to play.

  11. C’est vraiment marrant que certaines personnes voient à n’importe qui un sauveur. Si c’est Moussa Sinko qui est l’alternative pour 2018 autant plébiscité IBK sans élection. Toux ceux qui ont fait le bruit dans ce pays ne font pas le poids devant IBK. Il faut se donner donc espoir avec un général démissionnaire pour espérer tomber dans le partage du gâteau. Cela démontre à suffisance comment l’opposition malienne est nulle. Mais pour ce qui est des prétendus soutiens à Moussa Sinko je crois l’auteur de cet article doit être son agent de communication.

  12. Même si la réélection de IBK n’est souhaitée par personne, ce n’est pas ce trou du cul de putschiste que les Maliens choisiraient pour devenir leur président. Ce petit p****mérite de se retrouver près de ses copains tueurs de bérets rouges derrière les barreaux, puisqu’il l’a clamé haut et fort, qu’il libérera ses camarades dès son intronisation. Une autre source de tension à perspective dans ce pays. Mais attention, cet enfoiré doit avoir de bonnes raisons de tourner le dos à cet incapable président, qui a montré ses limites. IBK en tout cas ne vaut rien. Voter IBK de nouveau, c’est voter la partition du Mali. Depuis son installation à la tête de ce pays, le Malien n’a pas respiré l’air de la liberté, de la paix et de la tranquillité. Si des barons du régime se cachent pour rencontrer ce ***de Général à deux balles, c’est qu’ils ont compris, que rester avec IBK n’est pas la meilleure chose à faire. Il y’aura toujours des mécontents qui, croyant qu’en se liguant avec cet enfoiré de militaire contre le président, assumeront leur vengeance. Le pays est tellement transformé, que personne ne sait plus où mettre de la tête. Dieu lui même est fatigué des problèmes du Mali. Ce Général, s’il présume, que c’est en arrivant à la tête du pays qu’il changera la situation, il a tout faux. Il devait demeurer dans l’armée et aller combattre les djihadistes car, la place d’un militaire, c’est dans l’armée et non dans la politique. S’il avait aidé à libérer le pays, il aurait eu l’adhésion totale des populations sans coup férir. C’est même une honte pour lui, de déserter l’armée en cette période tournementée du pays. Moussa Sinko est un déserteur, un point c’est tout. Tout le monde est déboussolé en ce moment trouble pour notre pays.

    • Toi tu ne veux pas Moussa Sinko pour 2018. l’auteur de cet article le veut. URD soumaila.Yelema dit Moussa Marra. Fare dit Modibo Sidibe. Sadi dit Oumar Mariko. Modibo Diarra,etc etc. Tous ce monde veut la place d’IBK. C’est pourquoi IBK restera à sa place en 2018. Ces gens ne feront jamais de consensus.

  13. J’adore lire de tels articles. On dirait que Boubou Sidibé fait de la géomancie. Ila affirme des choses qui me font sourire. Tu es le petit ange qui suit Sinko partout pour savoir qui est avec lui et qui lui fait les yeux doux. Trop fort wallaye. Une analyse politique froide, me fait dit que Sinko est un amateur. Un Président reste Président jusqu’au jour de sa passation. Dans un pays comme le Mali, un officier se lève et dit haut et fort, “je me concerte avec des gens, vous allez voir d’ici fin décembre…”, dès ce moment, il doit être mit aux arrêts pour sédition, dans la mesure où sa déclaration se passe alors qu’il est encore en fonction. Pourquoi je dis que cet officier de valeur a fait un mauvais choix, c’est le fait qu’il n’a pas d’appareil derrière. Le fait politique est important, il n’y aura plus un deuxième cas ATT au Mali selon moi. Tous les partis politiques doivent se battre pour que ces indépendants ne viennent pas au pouvoir. Changement oui, mais pas un putschiste qui à mit le pays à plat et qui qui a bénéficier du confort et de la sollicitude du pouvoir.

    • Il n’y aura pas d’alternance par ce que vous n’arriverez jamais à faire un choix. Tous ces candidatures ouvre la voie à la réélection du président IBK en 2018

  14. Je ne m’inquiète aucunement pas de savoir qui sera président en 2018, ou même s’il y aura des élections. Par contre, je m’étonne qu’un citoyen fasse des aveux quelques années seulement après son forfait, et personne ne lève le petit doigt pour le traduire en justice. Ni pour la forfaiture elle même, ni la diffamation sur les conditions d’élection du président. Par ailleurs, je demeure convaincu que le ministre-avocat a la preuve de la félonie du petit (par la taille et par le parcours) général.

    • J’adore lire ce genre de commentaires sur Maliweb! ça fait vraiment du bien!
      Sans blague, peu de choses m’étonnent encore dans notre doux Mali… mais restons optimistes…

    • Un dangadén reste un dangadén. Tu as eu le grade de général par les moyens et pour des raisons que tu connais, un **** comme toi, général sans jamais avoir tiré un seul coup de fusil, tu démissionnes pour faire de la politique. C’est le hakè qui te rattrape ou la malédiction

  15. 👦LE PROBLEME DU MALI N EST PAS UN PROBLEME D INDIVIDU, CHAQUE MALIEN EST EGAL A TOUS LES MALIENS! ILS ONT TROQUE LES VRAIES VALEURS
    A DE LA PACOTILLE, LE PROBLEME EST SOCIETAL ET CULTUREL, TANT QUE NOUS N APPRENNONS A AGIR ENSEMBLE POUR NOUS EXPRIMER! OUI AGIR POUR NOUS EXPRIMER ET ENSEMBLE! LA SITUATION PERDURERA ET NOUS SERONT ENVAHIS PAR LES FRANCOARABES👦

    👦IBK N EST PAS LE MEILLEUR ,MAIS,, AUCUN NI DE LA CLASSE POLITIQUE EXISTENTE NI CE FAMEUX INEXPERIMENTE MANIPULE INCONSCIENT DE GENERAL D UN PAYS OCCUPE N EST POURTANT MEILLEUR ET AURRAIT FAIT EXACTEMENT SINON PIRE QUE IBK DANS L EXERCICE QUI S ECOULE EN 2018!

    POURTANT POUR RESPECT POUR LE MALI, POUR STABILITE DES PROCESSUS IL FAUT UNE CONTINUITE ET SOLIDIFIER LES BASES QUE IBK ET LES MALIENS SE SONT DONNES, MEMES SI PETITES!!!…,

    QUI PEUT ME DIRE QUE LE S NOUVEAUX VENUS UNE FOIS AU POUVOIR POURONT NE BASCULERONT PAS LES FAIBLES ACQUIS A L INTERRIEUR DU MALI SURTOUT MAIS TRES SUREMENT A L EXTERRIEUR!…..

    LA CONTINUITE EST ESSENTIELLE ET NECESSAIRE!

    EN 2013 L UNANIMITE DES VOTES IBK DANS UN MALI A TERRE ETAIT LA PEUR DEVANT LE DEFI SECURITAIRE ET POLITIQUE MAIS SURTOUT DEVANT UN PAYS EN MORCEAU PAR LES ATT+DIONCOUNDA+GENERAUX QUE VOUS OUBLIEZ DEJA, AUJOURDHUI OUI IL YA ENCORE DE L INSECURITE MAIS PERSONNE NE PARLE PLUS JAMAIS DE ZAZAWADOUX REVES COMME C ETAIT A L INTERNATIONAL, L UNICITE DU MALI NE FAIT PAS DE DOUTE!

    FACE A L INSECURITE ACTUELLE IL FAUT DES STRATEGIES LOCALES ET LES MASSES POPULAIRES DOIVENT ETRE CONSCIENTISEES ET MOBILISEES ET ENCADREES PAR L ARMEE ET L ADMINISTRATION LOCALE EN TOUS LIEUX ET TOUS TEMPS! 👦

  16. Si ce n’est que IBK a fait de ce pays un grand cirque, un troufion comme ce vaurien du CNDERRIÈRE ne devrait même pas oser. Quelqu’un qui a fait un putsch au nom de la Rébellion au Nord et que 5 ans après n’a pas encore tiré un seul coup de feu en direction de l’ennemi se croit assez crédible au point de se présenter comme un Messie. Il paraît que entre la peste et la rougeole, on choisit la rougeole. IBK est la peste

    • ILS ont oublie CE q ETAIT le Mali avant IBK….!
      UNE TERRE DE PAIX ET D opulence!!!!
      VOILA LE TRAIT GENERAL DE L ISLAMISE EN LIBYE OU AU MALI…,INGRATS ET BETE S MAIS GOURMANDS!!!

      • “ILS ont oublie CE q ETAIT le Mali avant IBK….!
        UNE TERRE DE PAIX ET D opulence!!!!
        VOILA LE TRAIT GENERAL DE L ISLAMISE EN LIBYE OU AU MALI…,INGRATS ET BETE S MAIS GOURMANDS!!!”

        LOL…….

        LHomme Faust
        Boston, MA. USA

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