Notre Rédaction invite le PDES Ségou à se ressaisir. Il ne faut pas faire la confusion entre un prestataire de service et un militant. Si beaucoup montrent une adhésion de façade au PDES soit pour avoir un avantage de tel ou tel baron, le communicateur crédible doit se soustraire du jeu politique pour la réussite de ses missions d’information des populations. Voulant vaille que vaille faire signe de vie après son « enterrement à Ségou», le cadavre a cherché à créer la zizanie dans notre rédaction en figurant le nom de notre Rédacteur en chef non moins Directeur des programmes de notre radio sur la liste d’un pseudo bureau mis en place à un moment où nombre de ses membres étaient absents. Ils n’ont été informés ni en amont ni en aval. Uniquement pour avoir une liste kilométrique.
Dans notre précédente parution nous vous avons livré un article titré « le PDES enterré à Ségou ». Au lieu de reconnaître le bien fondé de notre déclaration des apprentis politiques n’ont trouvé autre chose à faire que de chercher à violer la neutralité du groupe SANIYA Communication. En cherchant à semer la zizanie et la calomnie dans notre rédaction. Ils se sont trompés de cible. Des opportunistes qui pensent que tout se vend et que tout s’achète, comme ils ont été, eux-mêmes achetés et vendus viennent de montrer aux ségoviens que le PDES n’est qu’une construction mensongère, ridicule, sans fondement et composé d’éléments limités et politiquement enterrés à Ségou. Ave tout le respect que nous avons pour le PDES réel.
Dans un communiqué laconique présenté sur un papier sale, envoyé même à notre rédaction, ils ont mentionné le nom du Directeur des programmes de la radio SANIYA non moins rédacteur en chef de votre journal comme le secrétaire adjoint au conflit. Paradoxalement au moment de mettre le nom de Karamogo Moussa Balla Ballo, ce dernier n’était même pas à Ségou encore moins à la réunion de mise en place d’un bureau mort né. Mieux ils n’ont même pas daigné composer son numéro pour avoir son avis. C’est exactement les mêmes pratiques qu’ils ont faites en montrant pendant la « vaste opération de débauchage » dans les structures du CNID. Le cas du Maire de Sakoïba devait leur servir de leçon. Ils avaient crié partout pour dire que ce dernier à regagner les rangs du PDES Ségou. Il a fallu une sortie spectaculaire de ce dernier pour les faire taire. Des exemples sont nombreux. Oubliant que nous sommes uniquement des prestataires de service ayant comme mission d’informer les populations ; la réaction de Karamogo Moussa Balla Ballo alias KMBB ne s’est pas fait attendre. Surpris et stupéfait notre confrère s’est présenté au siège du parti PDES pour demander aux inventeurs de revenir immédiatement sur leur écrit et de diffuser cette correction par les mêmes canaux d’information utilisés. Ils ont dit que c’est Nouhoun Diarra qui devrait se charger de faire cette correction. Nous avons appelé Nouhoun qui jusqu’ici refuse de décrocher. Il a mis nos contacts en quarantaine. Ce jeune entré dans la politique à la faveur des mouvements estudiantins est l’exemple type du nomadisme politique. Il a fait tour à tour l’ADEMA, le RPM et aujourd’hui le PDES au sein duquel ses obsèques politiques ont eu lieu. Comment Nouhoun a- t- il adhéré au PDES après de temps de service rendus à ce jeune homme par le RPM ? Suite à une malversation foncière que nous développerons plus tard, le maire de Ségou avait porté plainte contre X. Les enquêtes préliminaires effectuées ont prouvé que celui qui fut vice président du conseil de cercle sous les couleurs de l’ADEMA, le maire chargé des questions foncières sous les couleurs du RPM n’avait pas les mains propres. Gardé à vue au commissariat, Nouhoun ne doit la liberté qu’à l’intervention des bonnes volontés. Sevré des ventes de terrains multiples qu’il effectuait, diminué par une campagne législative et une campagne municipale, depuis son échec au poste de 1er adjoint au maire Nouhoun assiste impuissamment au crépuscule de sa vie politique Ségou. Sachant que sa carrière politique se terminera peut être au « Grand Lycée » Nouhoun a trouvé que le PDES peut être un refuge pour lui. C’est pourquoi de façon inattendue, il a démissionné du RPM pour se retrouver dans le PDES malgré les privilèges et les honneurs que le RPM lui a accordés. Cependant nous tenons à informer le PDES que notre groupe de presse n’est ni contre un individu, ni contre un parti politique mais contre l’injustice, l’ingratitude, l’oisiveté. L’éthique et la déontologie de notre profession nous exigent la neutralité. Dans le bureau d’une liste kilométrique beaucoup d’autres personnes contestent déjà la présence de leur nom. Alors nous sommes en droit de poser quelques questions aux responsables du PDES à Ségou. Comment ce bureau – t- il a été mis en place ?
Comment peut-on désigner des gens en leur absence et sans leur accord au Préalable ? Voilà des gens auxquels tout le monde devra se méfier car qui vole un œuf volera un bœuf. Qui ment avant d’être élu mentira toujours. Qui trahit trahira toujours.
La Rédaction