PDES : Le parti continue d’enregistrer des adhésions massives à travers le pays

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Une semaine seulement après le lancement de son site Internet, le Parti pour le développement économique et la solidarité (PDES) du Président Ahmed Diane Séméga enregistre et continue encore d’enregistrer adhésions sur adhésions, ratissant ainsi de plus en plus tout le territoire national.

 

A l’allure où évoluent donc les choses prédire, et sans risque de se tromper, que sous peu, ce dernier né des partis ravira la vedette aux formations  les plus en vue du landerneau politique malien : entre autres, l’Adema-PASJ, l’URD, le RPM, le MPR, la CODEM…pour ne citer que ces partis. Aux dires des observateurs les plus avertis, le PDES est même en passe de devenir la deuxième politique du pays : c’est tout dire…

L’ossature et la force d’implantation subie du PDES sur le territoire national, la qualité intrinsèque des membres de son bureau, l’engagement de ses militants et sympathisants et la détermination de ses plus hauts dirigeants, entre autres, sont autant acquis et d’atouts qui militent en faveur d’une avancée et d’une promotion certaines du parti.

Déjà, plus de 17 députés ont officiellement rallié les rangs  du PDES. Et d’autres adhésions sont encore annoncées au niveau de l’Assemblée nationale.

Par ailleurs, on peut présumer qu’avant, pendant et après la session d’octobre de Hémicycle (qui se tiendra donc dans quelques jours, beaucoup d’autres ralliements promettent d’êtres enregistrés dans les rangs du parti. Aussi, bien des Maliens ne cessent de s’interroger sur cette fulgurante ascension du PDES.

Pour toute réponse, on peut tout simplement affirmer que le Parti pour le développement économique et la solidarité (PDES) du Président Ahmed Diane Séméga a choisi une bonne rampe, étudié tous les tenants et aboutissants, analysé tous les avantages et inconvénients pour se projeter avec résolution et assurance vers l’avenir. Comme dirait l’autre, celui qui veut aller loin ménage non seulement sa monture, mais étudie froidement son itinéraire (avec ses embûches et autres surprises) pour arriver à bon port. Et les formations politiques ne diront certainement pas  le contraire.

Par Oumar Diawara « Le Viator »

 

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