Pdes en commune I : L’autoritarisme de Saran Traoré

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Elle veut se faire incontournable parce qu’elle s’est enrichie sous ATT. Comment ? Allez-y le savoir.
Qu’à cela ne tienne, coordinatrice du PDES en commune I, elle contribue à faire fuir aujourd’hui de nombreux militants et sympathisants du parti sous d’autres cieux par ses agissements inopportuns.

Le parti pour le développement économique et la solidarité (Pdes) s’occupe depuis des mois à son implantation afin de pouvoir tenir ses premières assises qui détermineront la suite des événements. Pour ce fait, un délai avait été donné à chaque région de pouvoir clôturer son implantation. Malheureusement, il n’a pu se réaliser.

Aujourd’hui, toutes les régions et les communes de Bamako sont à pied d’œuvre pour l’atteinte de cet objectif. Si les autres essayent de colmater les brèches, en commune I, celle qui est dénommée Saran «gossi» Saran, femme d’un richissime commerçant de Banamba, nous dit-on et qui s’est brusquement enrichie elle aussi, pose d’énormes problèmes aux autochtones de la commune. Ceux qui en souffrent plus sont les militants et sympathisants du parti à Doumanzana, Nafadji, Petit Paris et Marseille. Où, malgré le rejet de ses protégés, elle veut coûte que coûte les imposer.
Face à cette volonté d’imposer ses désirs, certains responsables désabusés, après avoir adressé des lettres de protestation au bureau national provisoire sont aujourd’hui sur le pied de guerre. Ils risquent même de claquer définitivement la porte du parti si rien n’est fait.

Alors, question : Saran serait-elle indispensable au parti ? Certainement non car le cimetière est plein de beaucoup de Saran qui s’estimaient incontournables et indispensables. Qu’elle mette de l’eau dans son vin pour le rayonnement du parti ou qu’elle quitte pour de bon.
Abou BOLOZOGOLA, Stagiaire

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