Le contexte de la Révision Constitutionnelle est largement compris par les populations maliennes désormais. En effet, IBK a tenu coûte que coûte en juin 2017 à faire sa révision constitutionnelle sans succès, car le peuple l’a rejeté à cause des raisons avancées par le Président de la République et son gouvernement. Réellement, cette révision est demandée par IBK pour partager le Mali en deux entités différentes, à la suite de la signature de l’Accord d’Alger pour la paix et la réconciliation en 2015. Cet accord a été fait sans demander ni l’avis du peuple, ni celui de ses représentants qui sont les députés de l’Assemblée Nationale, ni de la vieille cloche constitutionnelle qui sonne sans être sollicitée.
L’erreur d’IBK a été de faire signer l’accord sans le soumettre à un référendum national, car ledit accord et l’accord subsidiaire de juillet 2015 ont primé sur notre constitution, alors que cela devrait être le contraire. Il y a 15 exigences dans l’accord dont l’application est fatale à l’intégrité territoriale et à l’unité national à savoir :
1) L’Accord du 15 mai est reconnu « fondamentalement insuffisant » au regard des « revendications du peuple de l’Azawad ». En clair, ce que le Mali a signé le 15 mai 2015 n’engage que lui: les rebelles, eux, ne reconnaissent que les nouvelles clauses approuvées par l’Avenant du 20 juin 2015.
2) L’Azawad est reconnu comme « entité politique, juridique et territoriale ». Cette disposition fait passer l’Azawad pour un mini-Etat fédéré ou, à tout le moins, pour un territoire autonome. Ce n’est plus, comme le gouvernement tentait de le faire croire, un simple terroir socio-culturel comparable au Banimonotié, au Ganadougou, au Kaarta, au Khasso ou encore au Kénédougou.
3) Le Mali s’engage « à reconnaître et à réparer les crimes qu’il a commis depuis 1963 dans l’Azawad » en oubliant que des milliers de maliens ont perdu la vie à cause de ces rebelles touaregs aussi. Bien entendu, aucune réparation de la par des rebelles séparatistes et terroristes azawadiens qui ont allègrement pillé, violé et amputé les pauvres citoyens maliens du nord depuis 1963!
4) La CMA est appelée à « demeurer dans sa mission primordiale de défense et de lutte pour les aspirations du peuple de l’Azawad ». En clair, la CMA est reconnue comme une armée légitime au service de l’Azawad dont on sait qu’elle aspire à l’indépendance !
5) Il est décidé la « création d’une assemblée régionale regroupant les régions de Gao, Tombouctou, Kidal, Ménaka et Taoudéni dont les prérogatives relèvent des domaines spécifiques de l’Azawad »: cette disposition regroupe tout le nord (deux tiers du Mali) pour le soumettre à l’autorité légale des groupes armés qui, du fait de leur supériorité militaire, ne manqueront pas de contrôler l’« assemblée régionale » prévue !
6) Le Mali accepte de « surseoir à l’organisation de toute élection jusqu’au retour des réfugiés et jusqu’à la mise en œuvre du nouveau découpage administratif » territorial. On comprend maintenant pourquoi les rebelles s’opposent à toute élection dans le nord, y compris aux régionales maintes fois programmées.
7) Le Mali accepte de « prévoir et déterminer le quota qui sera affecté à l’Azawad pour les départements de souveraineté, les grands services de l’Etat, les représentations diplomatiques et les organisations internationales. Vous l’aurez noté: les rebelles de l’Azawad ne se contentent pas de garder le nord sous leur coupe exclusive; ils auront aussi un « quota » d’ambassadeurs, de consuls et de ministres. Et pas n’importe quels ministres: des ministres de « souveraineté » comme ceux de la Défense, de la Justice, des Affaires Etrangères ou de l’Administration Territoriale. Il ne faut donc plus exclure de voir un jour Algabass Ag Intallah nommé ministre de la Justice ou de la Défense du Mali!
8) Les forces de défense et de sécurité à l’intérieur de l’Azawad seront composées à 80% de ressortissants de l’Azawad ainsi qu’au niveau des postes de commandement. Cette disposition consacre la mainmise militaire de la CMA sur tout le nord. Avec 80% des soldats et chefs militaires, quel gouverneur élu pourrait-il leur tenir tête ? Comment parler d’« armée malienne » quand le Mali ne détient que 20% des effectifs et des commandants militaires déployés au nord?
9) Pendant la période intérimaire, mettre en place des unités spéciales mixtes comprenant 80% de ressortissants de l’Azawad. Cela signifie qu’en attendant la mise en place effective de l’armée hégémonique azawadienne, des unités militaires mixtes feront la loi au nord, composées de 80% de rebelles. Vous voyez maintenant pourquoi, malgré la propagande officielle, les patrouilles mixtes n’ont jamais pu fonctionner!
10) Les zones de défense et de sécurité seront sous le commandement d’un ressortissant de l’Azawad. C’est-à-dire que l’autorité militaire suprême du nord sera exercée par un officier issu des groupes armés rebelles.
11) La CMA définit elle-même la liste des combattants et détermine leur grade dans le cadre de leur intégration dans « l’armée nationale reconstituée ». En clair, si la CMA veut ériger un berger touareg, un arabe voir un bédouin au rang de général ou de colonel, elle n’aura qu’à le dire.
12) Considérer la création et l’utilisation de milices comme un acte criminel, sous ce chapitre, la CMA engage le Mali à livrer la guerre à tous les groupes d’autodéfense pro-Mali, en particulier le GATIA, le Ganda Koy et autres Ganda Izo.
13) Le mécanisme opérationnel de coordination (MOC) sera présidé par la MINUSMA et coprésidé par les deux parties (Mali et CMA). Par conséquent, la CMA et le Mali font jeu égal.
14) Affectation d’un fonds spécial pour l’Azawad sur le budget de l’Etat à hauteur de 40% sur une période de 20 ans en vue de résorber un retard de plus de 50 ans. Ainsi donc, l’Azawad (1. 293. 000 habitants, soit 9% de la population nationale) raflera 40% du budget national pendant 20 ans ! A ce rythme, nous autres du sud (13, 2 millions d’habitants) finirons bien par brouter de l’herbe ! La CMA gagne, en définitive, le beurre, l’argent du beurre, la vache et la laitière.
15) Exploitation des ressources minières et énergétiques de l’Azawad soumise à l’autorisation préalable de l’Assemblée inter-régionale, après avis de l’Assemblée régionale. Un quota de 20% de la production sera affecté à l’Azawad avec priorité à la région concernée. C’est entendu: sans l’autorisation des rebelles, aucune ressource du nord ne peut être exploitée. Et s’ils donnent leur autorisation, le Mali devra reverser à la « région concernée » 20% des ressources exploitées. Alors, de quoi le budget national se nourrira-t-il ?
En somme, ces clauses de l’Accord sont si graves qu’on s’est gardé de les écrire noir sur blanc. On a plutôt tenté de les masquer en écrivant qu’elles seront « prises en compte dans le cadre de l’application ». Une manière de tenter une application en catimini. Or, lesdites clauses sont trop nombreuses et trop lourdes pour passer inaperçues. Elles donnent un alibi permanent à la CMA pour ne pas déposer les armes. Malheureusement, le Mali n’a pas assez de force pour les renégocier.
Egalement IBK avait été alerté par l’opposition qui a si bien vu qu’il fallait des concertations nationales pour dégager une plateforme et une vision nationale avant de s’engager dans les pourparlers cruciaux d’Alger pour le présent et l’avenir du Mali et de la sous-région. Mais le Président IBK a préféré sous-traiter à la République d’Algérie et à son Président, la souveraineté du Mali. Les documents issus de ces négociations premières ont comporté beaucoup de faiblesses notamment :
– La notion de zone de développements des régions du nord ;
– La notion de régions intégrées ;
– La représentation des communautés du nord au niveau national, la répartition des pouvoirs entre l’Etat et les régions et la gestion de la sécurité après la signature de l’accord.
Pour éviter au Président IBK d’entrainer le Mali sur une pente raide, l’URD, fidèle à son engagement à mettre le problème du nord au-dessus des querelles politiciennes, a souhaité que les consultations préparatoires des futures assises des pourparlers d’Alger associent le plus largement toutes les composantes de notre société. IBK malheureusement, n’est pas allé dans le sens des vœux de l’URD. Conséquences de cet entêtement, les notions de ‘’zone de développement des régions du nord et des régions intégrées, le principe de représentation des communautés du nord au sein des instances nationales, le partage des pouvoirs entre l’Etat et les régions ont fait leur apparition pour la première fois dans notre gouvernance. IBK devrait savoir que la gestion d’un Etat exige que les bonnes idées soient analysées avec sérieux par un plus grand nombre de citoyens, au lieu de s’accrocher à l’idée de personnes qui sont les obligées ignorantes toutes les autres même si elles sont bonnes. Encore une fois de plus, les évènements ont donné raison au chef de file de l’opposition par rapport à sa vision de la résolution de la crise malienne.
Même lors de la présentation du projet d’accord, IBK a instruit à son ministre des affaires étrangères de le parapher lorsque le Président Hollande avait tapé du point sur la table en disant que les négociations étaient terminées. C’est ce même ministre des affaires étrangères qui avait laissé entendre avec certitude que l’accord n’impactait pas sur la constitution de 1992 avant de se rétracter en avouant qu’il avait un impact sur la constitution du 25 février 1992.
Là où les responsables de la rébellion ne géraient que 40 000 âmes ont refusé de parapher sans l’avis de leur population, parce qu’ils ont de l’égard et du respect à l’endroit de leurs mandants, IBK dans l’indifférence totale vis-à-vis du peuple a ordonné à son ministre des affaires étrangères de le parapher sur place avant de quitter Alger. Joignant la parole à l’acte, le 20 mai, les représentants de la CMA n’étaient pas à Bamako où les attentait la Communauté Internationale.
Fâché, IBK a lancé à l’image du Président Hollande que les négociations étaient terminées. Il a fallu quelques jours après pour que deux ministres du gouvernement malien se pointent à Alger pour se voire imposer un accord subsidiaire qui consacre la partition du Mali désormais sans l’avis des maliens. Dans cet accord subsidiaire, la démocratisation à la base au niveau des collectivités et des communes,a été remplacée sous nos yeux par la dévolution du pouvoir local et régional aux groupes armés avant tout cantonnement et tout désarmement. Autrement dit, ce sont des hommes en armes et les comparses qu’ils auront adoubés qui vont être installés, avec la bénédiction de la ‘’communauté internationale’’, à la gestion des collectivités territoriales des cinq régions du nord, où elles auront en particulier la tâche de préparer les listes électorales et d’organiser les futures opérations électorales et référendaires.
Les citoyens réalisent de plus en plus que les autorités étatiques n’ont pas la capacité de les résoudre. La démobilisation des citoyens conjuguée à l’érosion de la confiance à l’égard de l’Etat et la hausse du sentiment d’insécurité sont autant de signaux inquiétants qui doivent être pris en compte pour éviter un basculement du pays dans l’instabilité totale.
L’accord d’Alger a fait perdre le pouvoir d’IBK sur les populations du nord et le monopole de l’usage de la force qu’il devrait exercer. Nos représentants désignés contre tous les principes de connaissances sur les questions touaregs et les rébellions successives se sont montrés complètement passif dans le processus d’Alger.
Vu toutes ces difficultés, comment Boubou CISSE peut-il aller prendre des engagements avec la France au nom d’IBK ? C’est le même qui a échoué sur tous les plans exceptées la prévarication, la concussion et la corruption ?
Boubou CISSE doit se rassurer que rien n’est encore joué, pour qu’il s’hasarde sur cet engagement relatif à l’agenda de la tenue du référendum constitutionnel. Il aurait été mieux pour lui d’attendre les conclusions du dialogue national inclusif.
Mais la parole est une balle de fusil, une fois sortie, on ne peut plus la rattraper. Si ce délai n’est pas tenu à cause des mouvements de contestations, Boubou CISSE et son mentor seront-ils emportés par la réaction du peuple, qui ne voit aucun bénéfice, ni aucune plus-value à cette révision constitutionnelle, car Kidal est devenu un Etat dans un Etat contrairement à ce que IBK veut nous faire croire.
Siramakan KEITA
Révisez et chutez!
EL Hajj Niyefôkoyésegou,LE “Révisez et chutez!” EST AUSSI UNE VICTOIRE POUR CES CRIMINELS.
POURQUOI NOUS DISONS CELA, NOUS PATRIOTE ???
PARCEQUE ILS ONT DÉJÁ EMPOCHÉ DES CENTAINES DE MILLIONS D’EUROS, ET VEULENT RENDRE LE SERVICE PROMIS ET PARTIR COMME TOUT CRIMINEL LE FERAIT SANS SE SOUCIER DES CONSÉQUENCES. ILS IRONT VIVRE Á PARIS SOUS PROTECTION, Á LA MECQUE SOUS PROTECTION, AU CANADA SOUS PROTECTION, ….. SOUS PROTECTION DE LEURS COMMANDITAIRES FASCISTES , COLONIALISTES.
DONC, EL Hajj Niyefôkoyésegou,LE “Révisez et chutez!” EST AUSSI UNE VICTOIRE POUR CES CRIMINELS.
LA SEULE ET UNIQUE SOLUTION EST DE LES CHASSER Á TEMPS, DE NE PAS LEUR PERMETTREMÊME DE FIXER UNE DATE POUR CE SIMULACRE DE RÉFÉRENDUM, CAR ILS VONT FALSIFIER LES RÉSULTATS.
CELUI QUI EST VOLEUR, MENTEUR ET CRIMINEL CONGÉNITALEMENT NE RECULE PAS DEVANT LE CRIME DE MASSE. DONC LA SOLUTION, L’ UNIQUE SOLUTION, EST DE L’ EMPÊCHER, LUI FERMER LA PORTE AU NEZ OU EN LE NEUTRALISANT S’ IL PERSISTE ENCORE ET ENCORE.
CELUI QUI EST VOLEUR, MENTEUR ET CRIMINEL CONGÉNITALEMENT NE RECULE PAS DEVANT LE CRIME DE MASSE. DONC LA SOLUTION, L’ UNIQUE SOLUTION, EST DE L’ EMPÊCHER, LUI FERMER LA PORTE AU NEZ OU EN LE NEUTRALISANT S’ IL PERSISTE ENCORE ET ENCORE.
La raison du soutien de la France à IBK fermant les yeux sur la confiscation flagrante du pouvoir en juillet-aout 2018 réside dans un deal conclu qui consiste à appliquer intégralement l’accord d’Alger.
BOUBOU CISSE EST UN BON SOLDAT AU SERVICE DU CLAN PRÉSIDENTIEL.
Il exécute à la lettre les instructions du MANDE MASSA.
Mais en face du pouvoir et désormais dans le gouvernement, des forces d’opposition résistent.
LA PHRASE DU DISCOURS PRÉSIDENTIEL DE LA FÊTE DE L’INDÉPENDANCE QUI A ÉNERVÉ LES GROUPES ARMÉS EST UNE VICTOIRE POUR TIEBILE DRAME.
Leur porte-parole reconnaît, en creux, que TIEBILE DRAME influence le président.
Les dirigeants de la CMA savent qu’un patriote qui a maintes fois risqué sa vie pour ce pays dirige la diplomatie, qu’avec sa force de persuasion IBK finira par rejoindre sa thèse.
IBK est maintenant partagé être ses partenaires:ceux de l’intérieur avec lesquels il a signé un accord politique de gouvernance et ceux de l’extérieur qui constatent la force de résistance du peuple malien aux pressions extérieures.
DE LA RUE, LA RÉSISTANCE A PRIS UNE AUTRE FORME PLUS PAYANTE AU CONSTAT DE L’ÉNERVEMENT DES DIRIGEANTS DE LA CMA.
Les forces politiques qui ont préféré rester à l’écart du gouvernement exercent la pression sans descendre dans la rue.
Avec la mauvaise gouvernance au sommet de l’État et l’incompétence de celui qui est sensé incarner LA FIERTÉ MALIENNE expliquant l’humiliation de tout un peuple, on constate la force de résistance du peuple.
CE PEUPLE RÉSISTE À UN COMPLOT INTERNATIONAL ENTAMÉ EN JANVIER 2012 PAR LES ASSASSINATS LÂCHES ET CRIMINELS DES SOLDATS MALIENS À AGUEL’HOC.
Dr BOUBOU CISSE a intérêt à s’aligner pour ne pas voir son nom inscrit sur le panneau des apatrides au service de l’impérialisme français dont les premiers noms sont ceux des officiers subalternes du 19 novembre 1968.
IBRAHIM BOUBACAR KEITA et ses officiers supérieurs complètent désormais la liste.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
Á PROPOS DE LA “Fenêtre d’Overton” :
POUR SITUER TOUTE L’ ACTION DÉMAGOGIQUE ET CRIMINELLE DE BOUBOU CISSÉ ET DE SON EMPLOYEUR IBK, LE MENTEUR NOTABLE ET PATENTÉ.
Une idée semblable à la fenêtre d’Overton a été exprimée par Anthony Trollope en 1868 dans son roman Phinéas Finn (en) :
« Beaucoup de ceux qui, auparavant, considéraient la législation sur le sujet comme invraisemblable, la verront désormais simplement comme dangereuse, voire juste difficile. Et ainsi, avec le temps, elle en viendra à être considérée comme une possibilité, puis comme quelque chose de probable, et enfin elle deviendra l’une des quelques mesures dont le pays a absolument besoin. C’est de cette manière que se forge l’opinion publique. »
VOILÀ LE JEUX CRIMINEL AUQUEL SE LIVRENT IBK ET SES COMPLICES:
VIOLER LA NATION MALIENE, COMME IBK L’ A FAIT PENDANT SON DISCOURS MANIPULATEUR, MENSONGER , ANNIVERSAIRE DE L’ INDÉPENDANCE, COMME BOUBOU L’ A DÉCLARÉ DÉPUIS PARIS LORS DE SA DERNIÈRE VISITE CHEZ SES MAÎTRES FASCISTES, ESCLAVAGISTES, COLONIALISTES, VOLEURS ET MENTEURS.
Les limites des tyrans sont fixées par l’endurance de ceux qu’ils oppressent.
NOUS , PEUPLES INTÈGRES DU MALI, PEIPLES INTÈGRES DE L’ AFRIQUE AUTHENTIQUE, DE L’ AFRIQUE DE NOS AÏEUX INCONTESTABLEMENT DE SPIRITUALITÉ INTÈGRE SACHONS QUE :
– LES LIMITES DE NOS TYRANS SONT FIXÉES PAR L’ ENDURANCE QUE NOUS OPPOSONS Á LEUR OPPRESSION.
Le chef abolitionniste Frederick Douglass, né esclave, a décrit comment l’opinion publique limite la capacité des personnes au pouvoir d’agir en toute impunité :
« Trouvez simplement ce qu’un peuple est prêt à subir en silence, cela vous donnera la mesure exacte de l’injustice et du mal qui lui seront imposés, et cela continuera jusqu’à ce que se manifeste une résistance par les mots ou la violence, ou les deux. Les limites des tyrans sont fixées par l’endurance de ceux qu’ils oppressent. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fen%C3%AAtre_d%27Overton
Passage en force de la révision constitutionnelle : C’ EST CLAIREMENT VIOLENTER LE PEUPLE MALIEN, C’ EST PIÉTINER LA DIGNITÉ DE LA NATION MALIENNE.
LA VIOLENCE-RÉPONSE Á LA VOILENCE DE BOUBOU CISSSÉ NE SAURA TARDER.
NOUS EN AVONS ASSEZ DES TRAITRES , DES VOLEURS, DES CORROMPUS QUI VONT PRENDRE LEUR AGENDA, FEUILLE DE ROUTE, DES INSTRUCTIONS Á PARIS.
NOUS EN AVONS ASSEZ DE CES GENS SANS VALEUR, DES MINUS-HABENS ÉTERNELS ET CONGÉNITAUX PLACÉS AU SOMMET DE L’ ÉTAT.
LA VIOLENCE-RÉPONSE NE TARDERA PAS, CAR NOUS NE LAISSERONS PERSONNE NOUS VOLER NOTRE VIE, NOTRE JEUNESSE, NOTRE AVENIR, ET CELUI DE NOS ENFANTS.
LE SENS PROFOND DU POUVOIR DE GOUVERNER RÉSIDE EN LA SAGESSE D’ ÉCOUTER LE PEUPLE, DE RESPECTER SES DROITS ÉLÉMENTAIRES, DE LUI FAIRE PROFITER SES RICHESSES NATURELLES, SES IMPOTS PAYÉS Á L’ ÉTAT, MAIS PAS DE LES OLER ET DE LES FAIRE PROFITER Á UN PAYS ÉTRANGER COMME LA FRANCE.
Á PROPOS, BOUBOU CISSÉ , CE CRIMINEL NOTOIRE DES MILIEUX FINANCIERS MAFIEUX , NE DEVAIT EN AUCUNE FAÇON SE TROUVER AU SOMMET DU GOUVERNEMENT MALIEN.
DEPUIS LE MINISTÈRE DES MINES JUSQU’ Á NOS JOURS CE BOUBOU A CAUSÉ PLUS DE DÉGAT FINANCIER QUE TOS LES CRIMNELS FINANCIERS RÉUNIS DES 30 DERNIÈRES ANNÉES.
AU MINISTÈRE DES FINANCES, BOUBOU FUT ET CONTINUE JUSQU’ Á NOUS Á ÊTRE AU CENTRE DE TOUT LE BANDITISME, DE TOUTE LA CRIMINALITÉ FINANCIÈRE QUE SE SOIT Á L’ INTÉRIEUR DU MALI COMME DANS LES RÉLATIONS AVEC LES “PARTENAIRES TECHNIQUES ET FINANCIERS” DE LA MAFIA EXTÈRIEURE.
BOUBOU CISSÉ DOIT SIMPLEMENT PARTIR.
Le Président de la République (IBK) a des urgences à faire dans notre pays que d’envisager une telle réforme.
Nous pouvons être d’accord sur ce projet que si IBK arrive à mettre en place des certains choses dans notre Pays, à savoir:
-1, mettre l’administration sur l’ensemble du territoire national de Kayes à Kidal,
-2, arrive à sécuriser l’ensemble du territoire national de kayes à Kidal contre la tuerie quotidienne de notre peuple,
-3, arrive à rassembler des Maliens et des Maliennes sur un seul voie,
-4, luter efficacement contre la Corruption dans notre Pays,
-5, (….).
A défaut de tout ça, qu’il range ce projet dans un placard et l’oublier d’une façon définitive.
Les autorités maliennes sont incapables de contrôle l’ensemble du territoire national de Kayes à Kidal et ils nous parlent de la révision constitutionnelle, pour quelle raison ?, la région qui est occupée depuis des années par de séparatistes ne participera -t-elle pas au référendum ?
Ou cette région ne fait plus partie de notre Pays ?
Pourquoi ne vous battez pas pour la récupération immédiate de cette région qui vous échappe depuis des années au lieu de nous parler cette reforme ?
Vous devriez plutôt exiger la réouverture immédiate des écoles qui ont été fermés depuis des années au lieu de chercher d’ajouter une autre crise à la crise actuelle.
Pour ma par, j’appelle des maliennes et de maliens à se mobiliser d’une façon massive et continue contre ce projet.
Si la situation actuelle de notre pays n’est pas importante aux yeux de Président de la République, qu’il n’essaie pas non plus d’aggraver la situation.
Nous n’avons rien contre M le premier ministre M Boubou CISSE, mais nous serons en désaccord avec tout ceux qui soutiennent cette réforme car notre pays traverse une crise très importante qu’il n’a jamais connu dans son histoire.
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Le Président de la République (IBK) a des urgences à faire dans notre pays que d’envisager une telle réforme.
Nous pouvons être d’accord sur ce projet que si IBK arrive à mettre en place des certains choses dans notre Pays, à savoir:
-1, mettre l’administration sur l’ensemble du territoire national de Kayes à Kidal,
-2, arrive à sécuriser l’ensemble du territoire national de kayes à Kidal contre la tuerie quotidienne de notre peuple,
-3, arrive à rassembler des Maliens et des Maliennes sur un seul voie,
-4, luter efficacement contre la Corruption dans notre Pays,
-5, (….).
A défaut de tout ça, qu’il range ce projet dans un placard et l’oublier d’une façon définitive.
Les autorités maliennes sont incapables de contrôle l’ensemble du territoire national de Kayes à Kidal et ils nous parlent de la révision constitutionnelle, pour quelle raison ?, la région qui est occupée depuis des années par de séparatistes ne participera -t-elle pas au référendum ?
Ou cette région ne fait plus partie de notre Pays ?
Pourquoi ne vous battez pas pour la récupération immédiate de cette région qui vous échappe depuis des années au lieu de nous parler cette reforme ?
Vous devriez plutôt exiger la réouverture immédiate des écoles qui ont été fermés depuis des années au lieu de chercher d’ajouter une autre crise à la crise actuelle.
Pour ma par, j’appelle des maliennes et de maliens à se mobiliser d’une façon massive et continue contre ce projet.
Si la situation actuelle de notre pays n’est pas importante aux yeux de Président de la République, qu’il n’essaie pas non plus d’aggraver la situation.
Nous n’avons rien contre M le premier ministre M Boubou CISSE, mais nous serons en désaccord avec tout ceux qui soutiennent cette réforme car notre pays traverse une crise très importante qu’il n’a jamais connu dans son histoire.
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