Cette récupération fait suite à l’agression par des inconnus du chroniqueur et caricaturiste, Madou Kanté dit Maréchal Madou ka Journal. L’occasion faisant le larron, l’opposition politique accuse le pouvoir d’être derrière cette agression. Une attitude qualifiée d’incrimination.
La révision constitutionnelle en cours a donné l’occasion à des politiciens en perte de popularité à revenir sur le devant de la scène politique. Au nom du refus du référendum, ces derniers ont quitté le champ politique pour faire de la propagande. Tous les moyens sont bons pour y parvenir.
L’agression par des inconnus du chroniqueur et caricaturiste Madou Kanté dit Maréchal Madou a donné l’occasion à ces agitateurs à venir sur le devant de la scène. Non pour donner pour éclairer les lanternes du Peuple sur leur refus, mais pour fustiger le pouvoir en place d’être derrière cette agression barbare.
Cela, nonobstant la condamnation de cet acte par le Gouvernement. En outre, plusieurs membres du Gouvernement se sont rendus au chevet du blessé admis à l’Hôpital du Mali pour s’enquérir de son état et apporter la compassion du Gouvernement à la victime, avant de prendre en charge tous les frais de traitement et d’hospitalisation.
Une enquête est en cours pour situer les responsabilités sur cette agression. Malgré la bonne foi affichée par le pouvoir, l’opposition accuse et a pris à son compte cette affaire devenue politique.
Pourtant, l’intéressé dit n’accuser personne dans ce qui lui est arrivé, qu’il pardonne à son bourreau et dit s’en remettre à la volonté du Bon Dieu. Il exprime ses reconnaissances à tous ceux qui l’ont manifesté de compassion. Mais, malgré tout, les détracteurs du régime d’IBK continuent d’accuser le pouvoir d’en être à la base de cet acte agressif.
Que dire de l’attitude de ceux qui accusent ?
Pour se faire entendre, les opposants multiplient des meetings et conférences de presse pour fustiger le Gouvernement. Des manifestations qualifiées de récupération politico-politicienne par les citoyens médusés. Le contexte actuel que vit le pays ne prête pas à ces genres de mouvements.
Au contraire, l’heure est à la réconciliation des cœurs et des esprits. Personne n’a à gagner en attisant la haine des uns contre les autres. Le plus urgent reste la construction du pays. Un message que doivent comprendre les agitateurs de ces derniers temps.
Ambaba de Dissongo
Le pouvoir est moralement responsable de tous ceux qui se passent à cause de la tension créé par la révision inopportune de la constitution.
La culpabilité juridique est laissée à la justice de déterminer.
L’opposition est dans son rôle de dénoncer les dérives successives du pouvoir qui ont conduit à cet acte crapuleux.
Depuis 2013,les erreurs du pouvoir conduisent à des drames incalculables.
La plus illustre est son refus d’appliquer l’ accord de Ouagadougou conduisant aux événements de MAI 2014 à kidal,faisant des morts aux sein des hauts fonctionnaires de la république.
La mise à l’écart d’une frange importante de la société à la préparation et l’élaboration de l’ accord d’Alger,la lâcheté du pouvoir à exiger l’application du dit accord sans que l’autre camp ne dépose les armes conduisent à favoriser les terroristes contre nos forces armées faisant des dizaines de morts dans les rangs des nôtres sans compter les morts civiles.
Le pouvoir d’Ibk est responsable moralement des milliers de morts de nos compatriotes depuis 2013.
Un avocat moyen peut aisément prouver la culpabilité du président de la république dans un procès équitable.
La dernière erreur est la révision constitutionnelle préparée en catimini,ensuite imposée aux maliens.
Le pouvoir actuel à une manière despotique de conduire les affaires de la république en traitant d’apatrides ses adversaires politiques.
Quel. Journaliste maudit !
prend ton os et ferme la
Ambaba de Dissongo, tun’as rien à dire. Merci.
Tu as perdu la meilleure occasion pour te taire
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