Sonko et Diomaye, c’est comme La Mecque et Médine, dit-on au Sénégal. Les Sénégalais ont choisi Bassirou Diomaye Faye pour lui confier les destinées du pays grâce au coaching et la supervision d’Ousmane Sonko qui, à travers ses astuces, sa ruse et les plans de ses stratèges, a imposé Pastef comme la seule alternative crédible pour assurer l’alternance au Sénégal.
Pour les Sénégalais, le leader de Pastef est l’architecte, l’artiste, le concepteur, le créateur, le fondateur du projet “Pastef les Patriotes”, du nom du parti dissous en juin dernier. Ousmane Sonko ne pouvant honorer le rendez-vous électoral avec le peuple à cause d’un empêchement causé par des affaires judiciaires montées de toutes pièces, suivies de la dissolution de son parti en juin 2023, les dirigeants de Pastef les Patriotes, en fin stratège, ont mis en branle un plan B qui permet aux Patriotes de présenter un candidat- de substitution à Ousmane Sonko, tout en contournant la mesure de dissolution du parti. La Coalition Diomaye Président était donc trouvée pour défendre les idéaux de ce parti antisystème. En effet, Pastef a toujours prôné un discours de rupture aussi bien pour la gestion des affaires publiques du Sénégal que pour la politique internationale.
Sonko est donc considéré, à juste titre, comme le père de la ” Révolution patriotique ” qui a porté Bassirou Diomaye Faye au palais présidentiel. Sonko et Diomaye, appartiennent à une génération très jeune, même si le leader de Pastef, Sonko, est le grand-frère. Appartenant au même corps des Inspecteurs des Impôts et Domaines où ils se sont côtoyés, les deux hommes ont développé au fil des années une complicité sans faille. “Je l’ai choisi par réflexion objective et choix stratégique. C’est mon petit frère”, expliquait Ousmane Sonko lors de la campagne électorale. Et Bassirou Diomaye Faye dans son adresse aux Sénégalais après son élection, a décerné une ” mention spéciale à Ousmane Sonko pour son désintéressement, sa détermination, sa vision, sa lucidité, son courage… qui ont fait que le projet a pu avoir un candidat “.
Alors, dans le système Bassirou Diomaye Faye, quelle place pour Sonko, président (au sein du parti PASTEF) du président de la République, que ses militants appellent d’ailleurs toujours président, même après l’élection de Diomaye ? Ils sont deux jeunes n’ayant jamais été dans les affaires et secrets d’Etat. Leur complicité résistera-t-elle aux exigences de gestion du pouvoir ? That is the question.
Amadou Bamba Niang, Journaliste et Consultant
IL FAUT SORTIR LE SENEGAL DES GRIFFES ET DES CROCS DE L ISLAM ET DE LA FRANCOPHILIE, LA MÉDIOCRITÉ ET L OBSCURANTISME, LIBERER LE SÉNÉGALAIS.
Of all actions new government perform I trust plus hope it eliminate peasantry plus in steps plus stages aggressively move toward developing plus maintaining comfortable world class modern living. As for religion no foreign religion have worked in Negroid Africans best interest to extent it give us parity in living conditions with Caucasians that created those religions. I am not interested in lying that they do.
Henry Author Price Jr aka Kankan
@LeGoupil33: Qui t’a dit le contraire, ce n’est pas Sonko cas-meme, tu veux créer entre Faye et Sonko un problème qui n’existe pas, occupes-toi de ta tres maudite France ou le royaume de SODOM et GOMORRA
Mon “cher” kinguiranke,
Cela ne change rien au fait que l’un est le président du Sénégal et que l’autre ne l’est pas. Et celui qui dirigera le pays, c’est le président.
Et il aura à composer avec les réalités du Monde
Qui t’a dit le contraire, ce n’est pas Sonko cas-meme, tu veux créer entre Faya et Sonko un problème qui n’existe pas, occupes-toi de ta tres maudite France ou le royaume de SODOM et GOMORRA
Moi je ne veux rien créer. Je vais observer et tu verras. Par ailleurs tu es toujours obsédé par ton penchant malsain comme si tu avais fait quelques expériences.
La question est plutot de savoir si le president va couper avec la corruption auquel le peuple l’a élu. Le plus important est l’intéret du peuple si il y répond pas democratie ou president ne servirons a rien comme ces 60 ans de democratie corrompues ou les jeunes sont obligé de fuir se noyer dans mer…
Très bonne analyse et merci!
Niang ne fais pas le prophète de malheur, sortons du monde égoïste et pessimistic