L’union fait la force, c’est bien connu. Pourtant, l’opposition malienne n’arrive pas encore à accorder les violons afin d’être une force de veille de la gestion du régime actuel. Et cela ne peut qu’arranger le chef de l’État.
L’opposition malienne est face à l’un de ses vieux démons : la division. Car si l’on assiste à un semblant d’entente en son sein, dans le fond cette opposition n’arrive pas à parler le même langage. Pour surmonter cette difficulté, certains leaders veulent que l’opposition exerce une forte pression sur le pouvoir afin de l’obliger à engager la réflexion sur la situation des régions nord de notre pays. Car la mise en place des autorités intérimaires fâche et divise même la classe politique malienne. Le problème aussi, c’est que les leaders de l’opposition malienne sont trop divisés pour se mettre tous ensemble autour d’une table. Chacun joue sa carte dans son coin. Or cette mésentente entre leaders politiques ne fait qu’arranger le pouvoir actuel.
Le perfectionnement des institutions. Cela aurait été une calamité, à faire relever d’une malédiction si nous n’avions rien appris, rien retenu des différentes crises que le pays a traversées. «Fabricando fit faber», disent les Latins, à savoir que c’est en forgeant que l’on devient forgeron. Ignorance ou simple jeu langagier ? Les Maliens, dans leur discours public courant, opposent deux concepts : politique et développement. Ils en font deux ordres de réalité, disposés en deux pôles opposés aussi bien dans le sens que dans la signification. Le développement serait l’incarnation de la vertu. La politique serait la personnification du mal. Pour le politique malien, en effet, la politique est le champ clos de tous les coups bas. Tendres et enfants de chœur, s’abstenir. Et le politique, tout comme le politicien, l’un et l’autre étant mis dans un seul et même panier, c’est le diable, dans tous ses faits et méfaits, dans tous ses tours et détours. N’est-il pas temps que cette opposition qui a maintenant un statut particulier puisse jouer pleinement son rôle afin de sauver le navire Mali.?
Paul N’GUESSAN
Quel quand soit leur nature et leur comportement, qu’ils restent souder seulement au moins moins pour chauffer cet régime bidon qui n’est pas du tout a la hauteur pour amener quelque chose de potable a notre pays. L’opposition le système divisé pour mieux régner est entrain de vous guetter, mais je sais que vous avez de l’expérience pour contourner leur petit jeu. Il faut dénoncer tout ce qui est défavorable pour le Mali ,critiquer , dire tout même si ses partisans vont mourir de coté on s’en fou .
IBK N’EN A RIEN À CIRER,…IL PLANE DANS LE FIRMAMENT..
ET QUAND DESCEND SUR TERRE, IL MARCHE SUR UN TAPIS ROUGE..
ON CHASSÉ UN CHEVAL QUI TRAVAILLAIT TROP ET ON PRIS UN OISEAU QUI NE FAIT QUE S’ENVOLER…ET IL REVIENT, IL SE POSE SUR LES BRANCHES DES ARBRES..
LES MALIENS POUVAIENT VOIR LE CHEVAL DE PRÈS….MAIS POUR VOIR L’OISEAU, IL FAUT REGARDER TRÈS HAUT…
ATT==LE CHEVAL
IBK-==L’OISEAU
MYLMO ==YABÉ
Il faut savoir que l’opposition est plus qu’unis dans ces actions bien plus la mouvance présidentielle. mercredi 30 mars 2016, les responsables de l’opposition malienne étaient face aux média à la Maison de la presse pour dénoncer le Projet de loi N°16-06/5L portant modification de la loi N°2012-007 du 07 février 2012 portant Code des collectivités territoriales modifiée par la loi N°2014-052 du 14 octobre 2014. Ce projet de loi sur les autorités intérimaires qui est déjà sur la table de l’Assemblée nationale doit, en principe, être voté ce jeudi 31 mars 2016 par les députés. Et selon l’opposition démocratique et républicaine, si le projet venait d’être voté, la loi consacrerait non seulement une violation flagrante de la Constitution malienne mais aussi serait un pas de plus vers la partition du pays. A cet effet, l’Opposition a invité le groupe parlementaire Vigilance républicaine et démocratique à ne pas voter le projet de loi. En outre, les conférenciers demandent au gouvernement de retirer ledit projet de loi. La conférence de presse était animée par le chef de file de l’opposition, l’honorable Soumaïla Cissé, en présence des autres leaders de l’opposition dont Tiébilé Dramé du Parena, Daba Diawara du Pids et bien d’autres.
Dans une déclaration lue par le président du parti de l’indépendance de la démocratie et de la solidarité (Pids), Daba Diawara, l’opposition s’insurge contre les autorités intérimaires inclues dans l’accord pour la paix et la réconciliation nationale issue du processus d’Alger. « Le gouvernement a déposé sur le bureau de l’Assemblée nationale un projet de loi portant modification de la loi N°2012-007 du 07 février 2012 portant Code des collectivités territoriales modifiée par la loi N°2014-052 du 14 octobre 2014. La Conférence des présidents du Collectif des partis politiques de l’opposition démocratique et républicaine, réunie le 28 mars 2016 au siège du PS Yelen Kura, a considéré que l’objet dudit projet est triple : substituer une autorité intérimaire à la délégation spéciale ; faire exercer par ces autorités intérimaires toutes les fonctions dévolues aux conseils communaux et aux conseils de cercle et de région ; renvoyer à un décret pris en Conseil des ministres la détermination des modalités de mise en place des autorités intérimaires, y compris les dispositions spécifiques relatives aux collectivités du Nord », a déclaré Daba Diawara. Avant d’ajouter qu’il est prévu par le projet de décret que dans les régions de Gao, Tombouctou, Kidal, Ménaka et Taoudénit, les membres de ces autorités intérimaires seront désignés par le gouvernement, les groupes armés (la Coordination des mouvements de l’Azawad et la Plateforme) et les autorités traditionnelles. A l’en croire, les autorités intérimaires seront constituées d’agents des services déconcentrés de l’État, de représentants de la CMA et de la Plateforme, de la société civile et d’anciens membres des conseils qu’elles vont remplacer. La Conférence des présidents du Collectif des partis politiques de l’opposition démocratique et républicaine souligne que si le projet était voté, la loi constituerait non seulement un recul démocratique mais aussi consacrerait une violation flagrante de la Constitution et des lois. Aux dires des opposants, si le projet était voté, cette loi serait un pas de plus vers la partition du pays. « Si le projet était voté, la loi ouvrirait, en matière de gestion et d’administration du territoire, la voie à un partage pouvoir souverain
Notre marakake’ grand frere perdu de Nioro, notre Cisse-idiot qui est de l’AZAQUELQUECHOSE avec un margouillat rouge sur leur torchon (FAUX DRAPEAU DE L’AZAQUELQUECHOSE) et notre FOULAKE-DJALAN parce qu’il est culturellement plus bamanan que… FOULA! Ce son eux les amis opposants de yugu-idiot!!!!! Que faire? LES TROIS ENSEMBLE ONT EU MOINS DE 24% A’ LA DERNIERE ELECTION PRESIDENTIELLE!!!!
Modibo Sidibe’, LA RETRAITE EST MEILLEURE!!!!
TIEBLE’, LA ZAWIYA T’ATTEND!!!
SOUMI-PERDANT, SI TU NE PEUX PAS CONVAINCRE TES….. CONS….. PATRIOTES DE L’AZAQUELQUECHOSE, TU NOUS REMETTRA NOTRE PASSPORT MALIEN! On revendique notre TRAORE-MOUSSO AUSSI !!!!!!!!!!!!!!
il n’y a pas de l’opposition bien structuré au mali , les partis qui la compose sont géré comme des PME privés des communicants politiques , le constat est que les leaders de ces formations organisent leur propre faiblesse , ils veulent être tous chefs de l’opposition
IL N’Y A PAS D’OPPOSANT EN DEHORS DE MARIKO. LE RESTE “GUEULE” JUSQU’A CE QU’ON LES INVITE A LA SOUPE ROYALE DE LA FAMILLE.
Nos fameux opposants ne font que reflechir mais malheureusement, rien de bon ne sort de leur reflexion!!!!
Donc ils ne réfléchissent pas!
L’opposition malienne, c’est l’instant pur, elle vit dans un instant qui ne pense pas, qui ne réfléchit pas, mais qui commenttant l’instant présent donne l’impression qu’il pense, réfléchisse!
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