Pour préparer les futures élections dans notre pays, le Gouvernement a déposé un projet de loi électorale auprès de l’Assemblée nationale. Cette loi sera votée le 18 septembre prochain par les députés. Mais avant, l’opposition a organisé une conférence de presse samedi dernier à la Maison de la Presse pour dénoncer certaines parties de ce projet de loi notamment le parrainage des élus et le montant exorbitant du cautionnement pour les candidats à l’élection présidentielle. Pour eux, certaines dispositions de cette proposition de loi sont antidémocratiques et de discriminatoires.
Durant cette conférence, les leaders de l’opposition ont reconnu qu’ils ont été invités par la Commission « lois » de l’Assemblée Nationale pour donner leurs points de vue et argumenter leurs réserves sur le projet de loi électorale. Au cours de ces rencontres, les partis politiques de l’opposition ont mis l’accent sur le dysfonctionnement du cadre de concertation entre Ministère Administration Territoriale et les présidents des partis politiques. Pour l’opposition, c’est ce cadre qui devait produire un projet consensuel de Loi électorale. Malgré cet état de fait, les partis de l’opposition ont accepté d’apporter leurs contributions collectives audit projet. Au non de l’opposition, Modibo Sidibé, président du parti Fare a fait une déclaration dans laquelle, il affirme « De prime abord que les partis politiques de l’opposition pensent que le projet ne prend pas en compte les conclusions du comité de relecture de la loi électorale. Pire, il constitue un recul par rapport à l’ancienne loi. Les dispositions nouvelles, pour l’opposition sont source de conflit et pose de sérieux problèmes d’interprétation.
Concernant le suffrage universel direct censé donner plus de légitimité aux élus locaux, les partis de l’oppositions trouvent que cela peut non seulement poser des problèmes au niveau des entités régionales dotées de pouvoirs exorbitants, en conférant une légitimité plus forte pouvant déboucher sur le régionalisme, voire plus, mais il peut aussi accentuer le communautarisme, source de possible partition dans un pays où l’intégrité territoriale est fortement remise en cause.
En ce qui concerne la tenue des élections des conseillers des collectivités territoriales à des dates différentes dans une ou plusieurs régions, l’opposition n’approuve guère ce genre d’élection, qui entraine des conseils à mandats différents dans un même pays et fait planer le risque de partition du Mali.
Pour elle, l’Etat devra réunir les conditions de bon déroulement des élections globales au niveau national ».
Dans le projet de loi l’opposition s’oppose solennellement au mode de répartition des membres de la CENI entre les partis de la majorité et de l’opposition, basée sur le nombre de députés à l’Assemblée Nationale. Ce système pour elle, met en cause la crédibilité même de la CENI qui est une structure de contrôle et de supervision des élections. On ne saurait être juge et partie. Majorité et Opposition doivent avoir le même nombre de sièges afin de garantir des élections transparentes, crédibles et acceptables par tous.
L’opposition a rejeté totalement le parrainage proposé des élus et le montant exorbitant du cautionnement pour les candidats à l’élection présidentielle, traitant les dispositions de ces articles d’antidémocratiques, de discriminatoires et d’exclusion.
Elle demande le maintien du statu quo.
En revanche, l’opposition approuve les dispositions relatives à la prise en charge de la loi sur le genre pour le rôle prédominant des femmes dans l’avènement de notre démocratie, et du fait qu’elles représentent plus de 50% de notre population. Cependant, pour elle, des mesures doivent être prises pour une plus grande vulgarisation de la loi 2015/052.
Les partis politiques de l’opposition ne voient pas la nécessité de l’introduction du vote par anticipation des forces armées et de sécurité. Toutefois, si ce vote par anticipation doit avoir lieu, des conditions doivent être remplies telles que :
La publication de la liste du nombre d’agents des Forces Armées et de Sécurité votant par anticipation.
Yaddo
Source: Nouvelle Expression
IBK SE FOUT ÉPERDUMENT DES DANGERS QUE SES DÉCISIONS FARFELUES PEUVENT CRÉER AU MALI
UN PRÉSIDENT ABSENT ET INDIFFÉRENT DES PREOCUPATIONS DU PAYS.
IBK NE FAIT QUE S’AMUSER A PROVOQUER LES MALIENS
IL NE SONGE QU’ À FAIRE TOUT POUR SA RELECTION..
UN MOURANT UN MALADE AGONISANT QUI N’A AUCUNE CONSIDÉRATION POUR LE MALI ET LES MALIENS
REGARDEZ quatre photos des gangsters ils veulent qu’on donne notre pays pour dérober encore en deuxième fois non non non çà suffit.
Attention, attention on jette un os et ils se jettent dessus pendant ce temps, on oubli l’essentiel.
les critiques sur la manière d’ont la guerre contre le terrorisme et la lutte contre le chômage ainsi contre la corruption sont menées.
Restez vigilent citoyens.
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