Mr Racine Thiam, directeur de la communication présidentielle : « Avec le forum de Kidal, prévu pour fin mars, la paix est en passe d’être gagnée »

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Dans son ‘’Rendez-vous avec Koulouba’’ Racine Thiam, en charge de la Communication du président IBK était face à la presse. C’était mercredi dernier, à la Maison de la Presse. C’était l’occasion pour le Directeur de la Communication de la Présidence de faire le point des activités du président de la République, depuis un mois.

«Il existe aussi des silences coupables ou tout simplement accablants. L’impératif de communiquer, la contrainte de tout expliquer en démocratie ont rendu le silence suspect, dès lors le malaise s’installe quand le silence dure trop longtemps», écrivons-nous dans notre parution n°724. On n’a cessé de le décrier depuis deux ans. IBK est face à un défi de communication. Le silence comme arme face à des attaques de plus en plus véhémentes ne saurait être une solution. En charge de la Cellule de la communication de la Présidence, depuis six mois, l’ex-Directeur de la Communication de Orange-Mali est en train de réussir là, où, des journalistes chevronnés ont, pour ainsi dire, laissé des plumes.

Lors de cette deuxième sortie, Racine Thiam a éclairé la lanterne des journalistes sur la gestion ‘’IBK’’ du pays, sur la diplomatie malienne dans le monde, sur l’état de l’armée, la plainte du BIPREM et même sur l’état de  santé du président de la République. Ainsi parlant de la gestion d’IBK, le Directeur la Communication affirme que les choses avancent. A ses dires, le président IBK est méthodique dans la gestion des affaires publiques. « La priorité était de rétablir l’intégrité du Mali, qui est l’honneur des Maliens. Avec le forum de Kidal prévu fin mars, la paix est en passe d’être gagnée», indique-t-il.

Ce chantier étant avancé,  soucieux du panier de la ménagère, le président IBK fait d’énormes efforts pour que le prix des denrées de premières nécessités restent stables. « Quand le président IBK venait au pouvoir, le taux de croissance était de 2% mais actuellement, il s’élève à 7% », a fait remarquer M. Thiam qui ajoute, par ailleurs, que les reformes entamées ne tarderont  pas à faire effet.

La diplomatie malienne va bien et la visite du président allemand et du Premier ministre français le prouve à suffisance. Concernant les rumeurs sur la santé du Chef de l’Etat, Racine Thiam affirme : « IBK se porte très bien ». Parlant de la plainte du BIPREM, Thiam n’entend donner à cette affaire plus d’importance, qu’elle n’en a. « tout ce qui excessif est insignifiant », dira-t-il.

L’un des points saillants de ce ‘’Rendez-vous avec Koulouba’’ fut les éclaircissements sur l’armée. Fort de 13 000 hommes, l’armée s’apprête à recruter, en 2016, 10 000 soldats supplémentaires, selon le Directeur de la Communication de la Présidence. Dans le cadre du renforcement de notre outil de défense, R. Thiam indique que l’acquisition d’un avion de transport de troupes C295 de Airbus est, désormais un acquis.

Mamadou TOGOLA

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2 COMMENTAIRES

  1. Voici un message pour la Jeunesse Malienne à lire et à partager pour qu’ensemble nous bâtissons un Mali d’Après
    "IMAGINONS ENSEMBLE LE MALI D'APRES"
    Chers jeunes leaders Maliens, aux lendemains de l’indépendance de notre pays, nos jeunes dirigeants ont compris très tôt la nécessité et l’urgence de bâtir Mali unique dans sa diversité au cœur de l’Afrique. Le Mali devrait être mue par une jeunesse éclairée, instruite, engagée, citoyenne et mobilisée, actrice et bâtisseuse.

    La paix, la démocratie, la liberté, la création de richesse et l’épanouissement collectif sont le crédo qui, inexorablement, alimentait la flamme de l’espoir. Espoir des jours heureux, espoir des hommes accomplis, espoir d’un Mali prenant à bras le corps les rennes de sa destinée.

    C’est l’occasion idéale et le lieu propice pour rendre un hommage mérité à tous les pionniers, à tous les porte-étendards de ce mouvement à savoir nos aînés, nos parents qui ont payé dur le prix de la liberté. Il est aussi important de mentionner comme contributeurs certains de nos dirigeants qui rêvent et croient encore à ces idéaux en travaillant d’arrache-pied pour la consolidation des Etats unis d’Afrique.
    Nous voulons une « jeunesse unie dans l’action pour un Mali d’après ». Mais nous projeter dans le futur avec des ambitions fortes nécessite une autopsie autrement dit un diagnostic des 20 années passées pour mieux appréhender l’avenir avec franchise, honnêteté et courage.

    En effet, Comment comprendre que ici au Mali ont disposent des plus vastes potentialités agricoles et que nous ayons encore et toujours faim ? Comment admettre que des initiatives de développement sont utilisés pour piller le Mali, Aliéner, paupériser, distraire la Jeunesse Malienne qui s’organisent tant bien que mal. Et tout avec l’accord implicite, voire la complicité de certains Maliens, africains et surtout français.

    Comment comprendre Il n'y a pas si longtemps, la misère était assimilée à l'Inde, la famine était assimilée à la Chine. Aujourd'hui, ces pays ont réduit leur pauvreté au point de devenir des pays émergents pendant que nous trainons le pas ?
    Comment admettre que notre sous-sol recèle les plus grandes richesses, fauniques, halieutiques et de la flore la plus diversifiée qui soit et que nous comptions parmi les plus pauvres au monde ? Comment réunir autant de compétences, d’érudits, d’intellectuels et que nous soyons les moins bien instruits ?…».

    Que de chemins parcourus en 55 ans ! Que de soubresauts connus ! L’Union Africaine a plié sous le poids de ses rêves avortés, mais ne s’est pas rompu ; signe de sa volonté inébranlable, voire inaliénable, d’aller de l’avant.

    Le temps des crises sur le continent, la déperdition de la jeunesse, les systèmes éducatifs nationaux parfois en déphasage avec les besoins du type de citoyen voulu, le système sanitaire ne couvrant pas la population et les grandes pandémies, ont emporté plusieurs de nos concitoyennes et concitoyens.

    Les défis de la guerre, la montée fulgurante du chômage des jeunes, la paupérisation des milieux ruraux, les ajustements structurels très peu favorables à l’émergence d’une économie florissante, sont autant d’obstacles à vaincre par la jeunesse actuelle, tant celle du continent que de la diaspora.

    Le rêve de la jeunesse c’est aussi un Mali solidaire, capable de dialoguer et négocier de façon transparente avec le reste du monde. Un Mali en paix avec une jeunesse bien éduquée, bien formée et en bonne santé.
    Les vingt dernières années se sont caractérisées pour le peuple malien en général, la jeunesse malienne en particulier à un chemin de croix sans fin. Toutes souffrances à une fin, ‘’cessons d’avoir peur ’’ pour écrire une nouvelle page de l’histoire de notre pays le Mali.
    Parce que nous croyons que chaque génération a le devoir de travailler pour les générations futures et parce que nous croyons aussi que nos destins sont liés d’une manière ou d’une autre. Nous somme une force d’avenir, nous devons militer pour contribuer activement à l’instauration d’un état de droit et de paix dans notre pays, nous devons, nous s’activer pour bâtir le ‘’ Mali d’après’’. Nous sommes à ce titre capable de proposer des orientations politiques, économique et social pour notre génération et pour notre pays.
    Jusqu’à quand ? Jusqu’à quand le peuple, la jeunesse, la République, la Démocratie, l’Etat seront insultés, bafoués, foulés aux pieds par certains hommes politiques mafieux que sont ‘’nos responsables politiques’’ d’hier et d’aujourd’hui ? Jusqu’à quand ? Jusqu’à quand notre lâcheté, notre infantilisme, notre cupidité, laisseront l’innocente jeunesse périr ; nos pères, nos mères, nos frères et sœurs mourir de maladies et de famine. Certains sont-ils plus maliens que nous ?
    Jeunesse Malienne, lève-toi donc et marche pour un mali Uni.
    Oumarou Mohamed Lamine
    Agronome de Formation
    bahoumarou@yahoo.fr

  2. MR; THIAM avant d’ arriver le président IBK au pouvoir je peux vous dire que la croissance était de 0,1% en 2011 jusqu’au 31 décembre 2012 notre pays a été tomber dans le trou malgré un peu de fort le gouvernement de transition …

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