Mise en œuvre de l’accord d’Alger : Le Parena préconise le recours à la conférence d’entente nationale et la période intérimaire

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Tiebilé Dramé

Réfléchir ensemble et faire des propositions pour sauver ensemble le Mali. C’est l’exercice auquel le parti pour la Renaissance nationale (Parena) a invité le Samedi, 12 décembre au Centre international de conférences de Bamako (Salle Balla Moussa Keïta), la classe politique et la société civile malienne, spécifiquement les représentants de partis politiques, les dirigeants de la plateforme et de la Coordination des Mouvements de l’Azawad (cma), des leaders religieux, associatifs, ainsi que des responsables syndicaux. Avec comme thème de débat, « le nord, le processus de paix, la situation sécuritaire, six mois après la signature de l’accord d’Alger », le parti du bélier blanc, a touché à la corde sensible des participants dont les langues se sont complètement déliés (voire interventions en pages 4 et 5). Pour relancer le processus de paix « ensablé », le Parena propose que la conférence d’entente nationale s’ouvre au plus vite, que son objet soit élargi aux questions relatives à la paix, à la stabilité, à la réconciliation nationale, à la gouvernance et à l’indispensable refondation des institutions, à travers une révision constitutionnelle. Puis la période intérimaire pour la mise en œuvre des conclusions de la CEN. Ce sera pour le Parena un passage à la  quatrième République, pour moderniser, rationaliser nos institutions et notre dispositif électoral.

Pour le président du Parena, Tiebilé Dramé, en ce mois de décembre, la situation dans notre pays n’incite pas à l’optimisme. Du 1er janvier à la fin du mois de novembre, quelques 350 personnes sont mortes au Mali. Parmi ces victimes directes de la crise malienne figurent, des Maliens mais aussi des enfants d’autrui qui ont pris le risque de venir mourir chez nous afin que nous puissions nous relever, parlant des « casques bleus,  morts pour le Mali ». A la mémoire des victimes du conflit au Mali, Tiebilé Dramé a fait observer une minute de recueillement.

Les 15 mai et 20 juin derniers, après près d’une année de tractations, les parties engagées dans le dialogue inter-malien d’Alger ont signé un Accord pour la paix et la réconciliation. Destiné à restaurer la paix et la stabilité au Mali, cet accord a bénéficié d’un large soutien de la totalité de nos voisins, de l’Afrique  et de la communauté internationale tout entière, selon le président du Parena. Selon Tiebilé Dramé, six mois après, en dépit des déclarations de bonne foi et d’une dynamique bien perceptible de réconciliation (la dynamique d’Anéfis, et les nombreuses réunions organisées par le gouvernement ) le processus de paix connaît des lenteurs préoccupantes au moment où la situation sécuritaire se détériore sur tout le territoire et, conséquence de l’insécurité rampante, les dizaines de milliers de Maliens qui vivent dans les camps de réfugiés, au lieu de revenir, voient leurs nombres grossir… « Or, comme chacun le sait, le retour ou le non retour des réfugiés est une des meilleures jauges de la situation sécuritaire », indique Tiebilé Dramé.

Plus de 350 morts en 2015

« L’année 2015 a commencé avec l’attentat de Inarinkidane (Ménaka) qui a coûté la vie à Aroudeïni Ag Hamatou, maire d’Anderamboukane. De cette date à l’attaque sanglante contre un convoi de migrants entre Tabankort et Anefis, le 28 novembre, quelques 350 personnes ont perdu la vie au Mali. Une centaine d’Incidents armés  ont été enregistrés. Près de la moitié de ces incidents se sont produits après la signature de l’Accord d’Alger. « Bien que les signataires de l’Accord aient mis fin à l’état de belligérance, la Plateforme et la CMA se soient réconciliés, l’on assiste à une dégradation inquiétante de la situation sur tout le territoire due à une recrudescence des activités de groupes armés d’un autre type: ceux qui n’ont pas pris part au processus d’Alger », a fait remarquer le conférencier.

Plusieurs sources indiquent un regain d’activités d’AQMI, qui s’est signalée, fin novembre, de manière singulière durant une réunion intercommunautaire à Boujbeha, selon Tiebilé Dramé, qui sera confirmé par le témoignage d’un participant à ladite réunion du nord Sidi Ali Ould Bagna, ayant assisté à cette scène. Selon ce témoignage à  partir de 10 de Tombouctou, c’est Aqmi qui règne en maître absolu, en l’absence totale de l’Etat. Mais sait-on désormais que ce n’est pas qu’au nord seulement qu’Aqmi sévit. « L’attaque contre le Radisson a aussi mis en évidence les faiblesses de la gouvernance de la sécurité par les autorités maliennes, les faiblesses de la gouvernance tout court au Mali », a indiqué Tiebilé Dramé. Il a relevé trois moments importants dans le processus de paix entamé pendant la transition. D’abord le « le temps des hésitations, des déclarations contradictoires, des atermoiements, de la méfiance, voire de la défiance vis à vis de l’Accord préliminaire de Ouagadougou. Cette étape nous a conduits à la guerre et à l’humiliation de mai 2014 », a assené le président du Parena.

Machine grippée

Puis, « l’étape d’Alger au cours de laquelle, selon tous les témoignages, notre gouvernement s’est présenté beaucoup plus en spectateur qu’en acteur du destin du pays ». Et enfin, « la période post Alger marquée par des lenteurs », dit-il. On ne sent pas notre gouvernement jouer un rôle locomoteur, d’entraînement des parties maliennes et de l’action de la communauté internationale dans la mise en œuvre de l’Accord, souligne le conférencier. « On ne sent pas que les choses sont claires pour le gouvernement… pas de vision re fondatrice, de mobilisation nationale pour re fonder la gouvernance et les institutions, donnant l’impression que le processus est quelque peu ensablé ».
Pour le Parena, s’il est appliqué, l’Accord dessinera les contours d’un autre Mali. « C’est pourquoi nous avions souhaité en vain des discussions sérieuses avec  toutes les forces vives du pays avant la conclusion de l’Accord. Nous voyons aujourd’hui les conséquences  de l’autisme du gouvernement. L’immobilisme dans lequel le processus baigne aujourd’hui résulte du manque de mobilisation du pays pour la mise en œuvre d’un accord capital pour la paix, la stabilité et la réconciliation nationale », poursuit le conférencier.

Les propositions du Parena

Il a rappelé la position du Parena qui considère l’accord, malgré les réserves, comme un acquis, comme « une étape de la longue quête de paix et de stabilité au Mali, qui doit être approfondie, renforcée ». C’est pourquoi le parti du bélier blanc souhaite des concertations pour une appropriation nationale de l’Accord d’Alger. « Devant les lenteurs et les difficultés actuelles, devant la dégradation de la situation sécuritaire et pour éviter un ensablement gros de dangers pour le processus de paix, nous préconisons le recours à deux dispositions pertinentes de l’Accord: la « conférence d’entente nationale (CEN) » et la « période intérimaire ».

Pour relancer le processus, le Parena propose que la conférence d’entente nationale s’ouvre au plus vite, que son objet soit élargi aux questions relatives à la paix, à la stabilité, à la réconciliation nationale, à la gouvernance et à l’indispensable re fondation des institutions. Commencera alors, au plus vite, la période intérimaire pour la mise en œuvre des conclusions de la CEN, pour le passage à la  quatrième République, pour moderniser, rationaliser nos institutions et notre dispositif électoral. « Toujours, pour donner un souffle nouveau au  processus de paix, nous recommandons la tenue dans les meilleurs délais d’une rencontre Majorité- Opposition-Société civile-Mouvements signataires de l’Accord d’Alger pour préparer la CEN et dire notre détermination commune à sauver notre pays, à soulager les souffrances de notre peuple à l’intérieur comme à l’extérieur », a conclu le président du Parena, Tiebilé Dramé.

 

B . Daou

 

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89 COMMENTAIRES

  1. Lorsque Mr Tioèbilé avance ces propos;en tant que maliens,moi j’ai vraiment honte.
    Mais moi je voudrais lui de mander de me dire quelle a été sa contribution personnelle à lui pour éviter un chaos à notre pays.
    Il ne s’agit pas de diagnostiquer un problème, mais il faut aussi et surtout y apporter des solutions adéquates.
    Que Dieu protège notre pays de ses ennemis…

  2. Nous remercions tous les groupes d’avoir accepté de prendre part aux différentes négociations qui ont abouti à la signature l’accord de paix.Nous remercions aussi IBK pour son engagement personnel dans sa lutte pour de paix.Vive le Mali… 😛 😛 😛 😛

  3. Tous les maliens se sont réjouis de la signature de l’accord de paix.Cette signature qui a vu la participation des différents groupes va tout d’abord consacrer la paix dans le septentrion de notre pays.Ensuite,elle donnera la tranquillité à tout le Mali et enfin incitera les investisseurs à avoir confiance en notre pays.
    Merci il faut que chacun y mette du sien.
    Merci au président IBK d’avoir favorisé cette démarche. 😀 😀 😀 :-

  4. La paix dans notre Maliba est notre bien commun à tous.Nous devons donc travailler pour qu’elle soit effective pour le bonheur de tous. 😛 😛

  5. Le Mali est en ce moment sur la bonne voie pour aller à la normalisation.Cette normalisation est l’œuvre de tous ceux qui y on t mis du sien pour que notre pays retrouve la paix.
    Nous remercions le Président pour sa clairvoyance et sa sa détermination. 😛 😛 😛

  6. Le gouvernement Malien fait tout pour le bonheur des Maliens, malgré tout cela certains comme TIEBILE et ses compagnons cherchent de nuire à la gouvernance d’IBK, que honte de la part de TIEBILE DRAME.

  7. Il faut que TIEBILE DRAME et son parti arrête de faire des reproches inutiles, après l’histoire d’engrais frelaté, c’est maintenant l’affaire de tracteur, ha !!!!!!!!!!!!! Quel honte de la part de TIEBILE DRAME.

  8. Les autorités maliennes ont toujours montrées leur ferme volonté de mettre en application ces accords qu’elles ont-elles-mêmes voulus.
    Tiébilé est sans ignorer que la mise en œuvre d’un tel accord nécessite beaucoup de moyens financiers matériels et humains donc contribuons tous à l’application de cet accord au lieu d’accuser les autres d’être de mauvaise foi.

  9. Le souhait des autorités de ce pays est d’apporter la paix, la réconciliation et la cohésion sociale à leur population donc il ne faudrait pas douter de leur bonne foi et être un peu patient.
    Les autorités ont marqué leur engagement pour ces accords et je suis sûr qu’elles le tiendront.

  10. Débout chers maliens soutenons nos forces armées, le gouvernement.
    Arrêtons les accusations inutiles. Restons un et indivisible, ensemble nous allons combattre tous les ennemis du Mali.
    Il est temps de voler de nos propres ailes, personne ne pourra venir sauver notre pays a part nous-même.

  11. L’accord de paix connait des obstacles comme tout accord d’ailleurs mais il y a des avancées.
    Je pense donc qu’il est temps qu’on se donne la main, soutenir le président, nos forces armées, le gouvernement, leurs montrer à quel point ils peuvent compter sur la population, c’est sure que le Mali retrouvera le bonheur car avec l’accord de paix Plateforme,Gatia, Cma, Fama: c’est une famille maintenant!
    VIVE LA PAIX AU MALI

  12. La volonté affichée des autorités de Bamako doit un être un gage de bonne foi de leur part. Que la plateforme et la CMA soient un peu patients. Ce sont des étapes et ils vont les franchir dans les conditions idéales. Il ne sert à rien d’entamer des actions que certaines personnes attendent pour mettre leurs plans sataniques en œuvre.
    Les acteurs engagés doivent parler de la même voix pour une réussite des accords.

  13. La Plateforme et la CMA peuvent saisir le CSA car lui seul peut user de tous les moyens pour que l’accord soit mise en application mais ils savent très bien la situation économique du pays donc il n’y a pas de pression qui vaille parce que l’accord dans tous les paramètres de son application nécessite beaucoup de moyens financiers.
    Que Tiébilé évite de se lancer dans des polémiques qui mettront à mal l’accord acquis au prix de lourds sacrifices de la part de l’état.

  14. Depuis l’arrivé d’IBK au pouvoir, son objectif est de maintenir la paix et renforcer la sécurité du pays, il faut que la population comprenne IBK, car ce qu’il fait c’est pour que le pays retrouve la paix et la stabilité.

  15. Le gouvernement avec à sa tête le président ont fait assez de sacrifices pour que cet accord voit le jour et soit mis en application. Et il est conscient de ces blocages il faut qu’il y ait une compréhension de la part de la CMA et de la plateforme à l’égard du gouvernement pour que cet accord ne soit pas un de trop..
    Je pense aussi que l’accord a été expliqué à l’opposition après signature de ce fait je ne sais pas de quelle concertation parle encore le bélier.
    Tout ce qui doit avoir lieu c’est dans le cadre du CSA.

  16. C’est une bonne initiative d’attirer l’attention des uns et des autres sur les blocages que connaissent l’accord mais toujours des conférences de presse c’est un peu trop car comme stipulé dans le paragraphe e) de l’article 1 de l’accord, les parties doivent recourir à la concertation et au dialogue pour la résolution des différends.
    Ça tout le monde le sait alors que Tiébilé arrête de nous distraire…

  17. L’accord de paix a été obtenu après d’énormes sacrifices. Cependant, certains paramètres restent à être mis en œuvre. Le président IBK a été l’initiateur de cet accord et aujourd’hui des gens veulent se faire passer pour des anges pendant nous tous savons le rôle qu’ils ont joué dans cette crise.
    Qu’ils sachent qu’ils n’ont rien à exiger car le MALI n’est pas leur propriété privée.
    Le président IBK est conscient de toutes ces réalités mais dans l’application de tout programme il y a des dispositions pratiques à prendre donc qu’ils mettent balle à terre.

  18. Une opposition qui cherche coûte que coûte à mettre des bâtons dans les roues du pouvoir. Ils voient le mal partout et n’ont jamais tenté d’apporter de bonnes initiatives, des propositions de gestions adéquates. Quoi pensez d’elle réelle ?

  19. Les questions humanitaires sont évoquées pour créer les conditions pour un retour des populations refugiées et déplacées ainsi que leur intégration communautaire et leur réinsertion économique. Chaque partie, mais également les organisations non gouvernementales, ainsi que les agences internationales sont invitées à jouer leur rôle dans ce segment dans la bonne foi, la transparence avec le seul souci de secourir ceux qui sont dans le besoin.

  20. Il n’y a pas d’opposants au Mali seulement des assoiffés qui agissent à leur intérêt personnel non au nom du personnel. Le cas TIEBILE est fini avec IBK, il pense au développement du pays plutôt qu’à un homme qui n’en vaut pas la peine

  21. Ibrahim Boubacar Keïta a tout mis en n’œuvre pour que cet accord puisse aboutir. Les différents belligérants doivent faire preuve de bonne foi et de responsabilité et respecter leurs engagements. Tous les acteurs sont appelés à donner le meilleur d’eux même pour que cette quête de la paix puisse aboutir.

  22. C’est une opposition immature, irresponsable et sans visage donc de quoi peut-on attendre d’une telle opposition.
    Il faut avoir l’amour pour son pays sinon vouloir saboter une visite d’état

  23. C’est cette même opposition qui injurie le président à toutes les occasions
    IBK est pragmatique, il fait du tic au tac et passe à autre chose car les chantiers sont vastes alors de quoi à s’emmerder avec des petits messieurs

  24. Certes l’accord est à sa phase d’applicabilité et tous les observateurs sont unanime que les conditions sont favorables pour aller à la paix. Donc arrêtez de mettre en mal la cohésion sociale que nous recherchons dans notre pays.

  25. Chers journalistes,quelques soient vos tentatives de sabotage,ce processus ne souffrira d’aucune ambiguïté.
    Grâce à la bonne volonté du président IBK et des acteurs politiques de bonne foi,elle ira à son terme pour le bien être des maliens que nous sommes.
    Merci président pour votre combat.

  26. Nous avons besoin du soutien de nos partenaires qui nous ont toujours soutenu durant ce moment de continuer dans cette lancée.
    Le défauts de moyens ralentissent le processus donc nous comptons sur eux

  27. Le président envisage faire un remaniement dans les jours à venir pour intégrer les chefs de la CMA et la plate forme. Ce sont les étapes à suivre et nous y parviendront

  28. Il faut savoir des efforts sont déjà consentis pour la paix telles que les patrouilles mixtes, la commission de vérité et réconciliation donc il faut y croire.

  29. A nous de garder une position bien apprécier pour que le processus de paix puce retrouver leurs chemins.
    Les hommes politique jouent un grand rôle dans la mise en oeuvre de cet accord, il faut que tous les maliens soit unis avec le gouvernement afin que cette paix puce être une réalité. La Paix, la Paix rien d’autre que la paix, notre volonté à nous tous est la paix au Mali.
    Vive la paix.

  30. La paix est notre volonté à nous tous.
    Vive la paix et la réconciliation.
    Vive le gouvernement malien qui se soucis de la volonté de sa population qui est la paix et la réconciliation.

  31. Nos politique doivent se tourner à l’union national, OUI il est temps, et grand temps que nous soyons unis envers une nation qui nous appelle tous, le Mali a besoin de notre contribution en acte et en conscience pour faire revenir la paix et la stabilité.
    Nous souhaitons le retour à la paix et nous avons de la chance d’avoir un gouvernement qui lutte envers ce sens. Il ne reste plus qu’apporter nos accompagnements en ce gouvernement.

  32. “Mise en œuvre de l’accord d’Alger : Le Parena préconise le recours à la conférence d’entente nationale et la période intérimaire”: Il faut le dire et le redire encore s’il le faut. Aucun accord n’est parfait mais cet accord, je l’ai dit plusieurs fois, constitue une très bonne base pour faire la paix, traiter des questions de fond qui ont entraîné des difficultés au nord de notre pays, restructurer notre appareil sécuritaire et créer ainsi les fondements d’un Etat de nouveau en mesure de faire face à ses obligations.
    Si on l’applique dans la lettre mais surtout dans l’esprit, avec bonne foi, il y a de bonnes chances que le Mali retrouve de nouveau de bons espoirs vers demain.
    Nous devons suivre et supporter notre gouvernement pour la bonne mise en oeuvre de cet accord.

  33. Le comité de suivi de l’accord s’est réuni plusieurs fois et a pu adopter son règlement intérieur. Espérons qu’à partir de là, on pourra engager des mesures urgentes sur les plans sécuritaires (cantonnement, désarmement…), humanitaires et de réconciliation (retour des réfugiés notamment) ainsi que les actions de développement.

  34. Tout le monde n’a pas intérêt à la paix, notamment les terroristes et les trafiquants de drogue qui feront tout pour que l’accord ne puisse pas être correctement appliqué et que les Maliens ne se réconcilient pas car cela signifierait la fin de leur quiétude et de leurs activités illicites et destructrices pour notre pays et le Sahel. L’accord ne sera jamais en danger si les Maliens se donnent la main pour faire halte à ces vendeurs de morts.

  35. Quel qu’en soit, l’opposition ou la majorité, nous sommes tous de cette nation et la nation ne peux être construite que par la contribution de tout un chacun. On fait la paix pour nous et pour la nation, comment est-ce que cette paix peut-elle connaitre des traînes ?
    Suivons les décisions du gouvernement et disons-nous que tous ce que nous faisons c’est pour le Mali.

  36. Nos leaders politique doivent apporter l’essentiel à la nation ce moment est celui qui coute très chère à la nation. Nous devons être la paix car, la paix est un comportement, nous devons jouer ce comportement pour l’intérêt de la nation sans chercher quelque chose d’autre comme récompense. Nous sommes conscients de la bonne volonté du gouvernement pour le retour de la paix au Mali.

  37. Les processus pour la paix et la réconciliation ne dépend toujours que de nous, il faut qu’on se dit que nous sommes prêt pour le MALI, sans aucune arrière-pensée.
    Comme le dit le président de la république lors de la signature de l’accord de paix du 20 juin à Bamako, “il n’y a pas de plus beau que le retour de la paix et de la réconciliation au Mali “.
    Donnons-nous la main pour faire la paix…

  38. C’est à nous de faire la paix avec nous même. sinon il est important de comprendre que le gouvernement n’a jamais manqué à ses engagements, nous sommes conscient que des ennemis de ce pays qui se disent en accord avec le Mali rendent toujours difficile la mise en œuvre de la paix au Mali.
    Mais nous devons nous dire que cette paix ne viendra que de nous-même, que c’est de nos comportement, de nos façons de voir les choses et de nos façons de nous aimer entre nous.
    Nous avons tous dit la paix et rien que la paix nous satisfait.
    Vive la paix…

  39. Cette initiative est vraiment objectif, Les acteurs politiques et autres souches de la société maliennes et sans exception se mettre ensemble pour trouver une suite favorable à cette problème de crise multidimensionnelle . Le gouvernement malien est prêt pour tout afin de sortie le pays de cette crise d’insécurité existentielle, nous remarquons qu’en plus de la l’opposition la plateforme aussi s’en est engagé.

  40. Toute la population malienne est fière de la tenue de cette conférence salutaire dont vient participer tous les acteurs politique, la plateforme et des souches de la sociétés. Cette conférence entre tout les souches maliennes montrent plus la détermination des acteurs politiques à résoudre les multiples crise aux Mali.

  41. Toute la population malienne cette initiative du Parena. La population malienne remercie le Parena pour avoir donner une autre perspective dans la gestion de la multiple crise malienne. La population malienne commence à retrouver ces acteurs politiques quelles avaient perdue jusque là.

  42. Comme on le dit si bien ” l’union fait la force”, la démocratie a connu le vrai sens que sous le régime d’IBK. Le régime au pouvoir veut la participation de tous les acteurs politique dans la gestion du pays. Cet union entre l’opposition et la CMP peut engendrer de nouvelle nouvelle perspective dans la gestion du pays. ➡ ➡

  43. Que ce genre conférence entre toute les souches de la population malienne doit se multiplier d’avantage. La rencontre est dans le cadre de trouver des suites favorables à la sortie de crise malienne. La crise malienne est une crise qui demande l’union de tous les acteurs politiques et tous les souches maliens.

  44. La population malienne est plus que ravi, de cette conférence. Le plus important reste l’intérêt générale du Mali. Vue la crise dont traverse notre pays, ce genre d’union est sacré, pourvue qu’elle aboutisse à quelque chose d’objectif, de crédible et de constructifs.

  45. Je pense que cela ne doit continuer d’avantage, l’union entre l’opposition et la majorité, la plateforme et tant souche de la société active est toujours salutaire et objectif. C’est dans le cadre de trouver une suite favorable pour les multiples crises dont traverse notre pays.

  46. Rien ne vaut la paix car c’est dans la paix que nous pouvons entreprendre plusieurs chose. L’union est le seul remède dans la crise malienne, tous les souches de la population maliens doivent faire preuve de bonne foi et patriotisme.

  47. Je pense que le Parena devrait commencer par cela, c'est à dire à faire des proposition avantageux pour notre pays. Sinon les critiques ne sont pas la solution, la crise malienne a besoin du concour de toute les souche de la société.

  48. Tièbilé Dramé a été sage cette fois-ci dans son intervention. Les maliens doivent faire appel à la conférence d’entente nationale et de la période intérimaire. Ces deux choses sont des dispositions de l’accord qui fait débats. En dehors de cette conférence, des débats doivent voir le jour aussi. Les maliens sont rares à connaître les dispositions essentielles de l’accord d’Alger. D’où la nécessité de recourir au plus vite possible aux propositions de Tièbilé Dramé, le petit monsieur devenu grand monsieur. 😆 😆 💡 💡 💡

  49. Un parti politique est celui qui se prononce pratiquement sur les difficultés que traverse le pays en s’appuyant sur des preuves et en faisant des propositions après avoir critiquer tout ce qu’il juge mauvais pour la bonne marche de la nation. Si seulement les autre partis de l’opposition ainsi que de la majorité pouvaient aire la même chose que la Parena et que celui-ci reste dans cette logique. 😥 😥 😛 😛 😛

  50. Lors de cette conférence le porte-parole de la Plate-forme a pris la parole. Dans son intervention il a invité les citoyens à se pardonner les uns et les autres. Vu la situation actuelle du pays, je crois que notre seule chance de tourner, si non déchirer cette page est de se pardonner et faire recours à la conférence d’entente nation dans la période intérimaire. 💡 💡 💡 💡 💡

  51. Pour sauver le Mali nous devons tous agir ensemble. Cette conférence du Parena est salutaire pour la paix et la réconciliation nationale. Le plus important est que certains membres de la Plate-forme étaient présents à cette conférence, notamment son porte-parole, Harouna Toureh. 😀 😀 😀 😛 😛 😛

  52. Les actes qu’ont posés les autorités de ce pays en faveur de la paix et de réconciliation sont d tels que si ce ne sont pas les parties elles-mêmes, nul ne peut compromettre la paix. Dommage que ce sont ces mêmes partis qui ont été les premières à violer cet accord. Certes, l’acte du Parena est bon pour le processus de paix. Mais son président n’a pas jusqu’à présent enterré la hache de guerre avec le chef de l’Etat. Sinon nous savons tous que le régime ne fait pas de chose pouvant d’avantage sombrer le processus de paix. 💡 💡 💡

  53. Je tiens à informer le président du parti Parena, Tièbilé Dramé sur la bonne foi du gouvernement dans l’application de l’accord issu du processus d’Alger. Depuis les signatures du 15 mai et du 20 juin 2015, les autorités maliennes ne ménagent aucun effort pour amener toutes les parties à respecter les engagements pris. Dieu merci cela a permis aux groupes armés de la Cma et de la Plate-forme d’enterrer la hache de guerre entre eux. 😥 👿 👿 👿

  54. La paix au Mali est impossible tant que les partis politiques, la société civile, en somme tous les acteurs de la paix ne s’impliquent pas dans sa mise en œuvre intégrale. Pour se faire ont doit privilégier le recours à la période intérimaire et faire en sorte que la conférence prévue par l’accord voit le jour. 😳 😳 😳 😆 😆 😆

  55. L’accord pour la paix et la réconciliation nationale stipule dans son dispositif qu’une conférence d’entente nationale sera organisée pour expliquer certaines parties de l’accord, telle que l’appellation « Azawad » qui fait polémique. 👿 👿 👿 💡 💡 💡

  56. Pour la première je trouve le parti Parena de Tièbilé Dramé dans une logique d’un parti conscient de son devoir et de la situation du pays. Tous les maliens, sans exception, sont soucieux du devenir de cette nation. La paix est à la porte il ne reste plus que de l’accueillir et cela en recourant à la conférence d’entente nationale pour d’avantage éclairer les citoyens sur certaines dispositions de l’accord. 😀 😀 😀 😛 😛 😛 😳 😳 😳 😳 😳

  57. L’initiative du Parena en faveur de la paix et de réconciliation nationale est bonne. Pour une fois, pour le retour rapide de la paix, il nous faut préconiser le recours à la conférence d’entente nationale et la période intérimaire.

  58. La paix et la réconciliation sont aujourd’hui les attentes primordiales des citoyens maliens. Depuis que l’accord de paix issu du processus d’Alger a été signé jusqu’à l’heure actuelle, rien ne rassure. Donc pour que la paix ne reste pas une chose inaccessible pour ce pays, nous dévons faire recours à la conférence d’entente nationale, comme prévue par l’accord, et la période intérimaire. ➡ ➡ 😛 😛 😛

  59. Le Mali a besoin de chacun de nous tous, ne laissons pas notre pays s’engouffré dans le sombre pendant que nous pouvons nus unir pour le sauver. Bon vent à ce nouveau comité de coalition majorité-opposition. Ce pays fait appel au devoir patriotique de tous ses fils. Unissons nos forces pour porter haut le Mali. La majorité a fait preuve de maturité et patriotique, seul le Mali compte.

  60. J’espère de tout cœur que l’opposition malienne accepte pour une fois de contribuer à la reconstruction de notre chère patrie. Les critiques ne nous amènent à rien de concret, or si on unisse nos forces on peut tous ensemble relever le Mali. 😳 😳 😳 😳

  61. Voilà enfin une initiative salutaire et soutenable. Il n’est jamais trop tard, cette initiative de Tièbilé mérite bien un salut. C’est en proposant qu’on peut rebâtir ensemble ce pays et non en critiquant.

  62. 😳 😳 😳 😳 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 Tièbilé Dramé ne sait même pas ce qu’il dit, tantôt il défend l’accord tantôt il dit le contraire. jetez un coup d’œil sur ces deux liens et vous verrez bien. 😀 😀 😀 😀

    TIEBILE DRAME : «IL FAUT CONSIDERER L’ACCORD D’ALGER COMME UNE ETAPE DE LA QUETE DE PAIX AU MALI»
    http://www.malinet.net/politique/tiebile-drame-il-faut-considerer-laccord-dalger-comme-une-etape-de-la-quete-de-paix-au-mali/

    «L’ACCORD D’ALGER OUVRE UN BOULEVARD A LA PARTITION DU MALI»
    http://www.liberation.fr/planete/2015/05/15/l-accord-d-alger-ouvre-un-boulevard-a-la-partition-du-mali_1309859

  63. Après avoir planifié le tract contre la visite d’Etat d’IBK à Paris, ce #Petit Monsieur de la République reste toujours sur sa position. Mais j’avoue que ce n’est pas vous, c’est plutôt les maliens. Ils devraient casser votre maison de porcherie depuis fort longtemps.

  64. Je suis d’accord qu’on doit réfléchir ensemble et faire en même temps des propositions pouvant sauver le Mali. Par contre, il faut reconnaitre que ce monsieur ne sait pas quel chemin emprunté. Il dit une chose et son contraire à tout moment.

  65. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 Il y’a à peine 5 mois, Tièbilé Dramé disait ceci sur l’accord d’Alger :
    Tiebilé Dramé : «Il faut considérer l’Accord d’Alger comme une étape de la quête de paix au Mali»
    Il y’a 5 mois Ibrahima DIA Politique, Slider
    La Coordination des mouvements de l’Azawad a signé samedi l’accord pour la réconciliation et la paix au Mali. Vous dites que cet accord, ne ramènera pas la paix et la stabilité. Pourquoi?
    Je suis de ceux qui considèrent l’Accord comme une étape de la longue quête de paix et de stabilité au Mali. Je salue la médiation internationale, l’Algérie et en particulier Ramtane Lamamra pour les immenses efforts consentis pendant les douze derniers mois pour aider les Maliens à se retrouver. Tout au long de la crise sécuritaire et institutionnelle que nous avons connue, le Mali a bénéficié d’une exceptionnelle mobilisation internationale que nous n’oublierons jamais. Cependant cet accord n’est pas parfait.
    Tout le monde l’a dit. Il ne ramènera pas une paix durable au Mali sans initiatives nouvelles. Maintenant que les groupes de Kidal l’ont signé, il faut passer à l’étape des concertations nationales inter-maliennes pour « malianiser » le processus, Sans cela, la mise œuvre sera très difficile.
    Vous avez conduit les discussions pour les accords de Ouagadougou signés en 2013. Les accords d’Alger sont-ils une avancée suffisante selon vous?
    Outre un cessez-le-feu qui a été respecté pendant de longs mois, l’Accord de Ouagadougou du 18 juin 2013 avait, d’un commun accord, fixé les balises : l’intégrité du territoire, l’unité nationale et la forme laïque et républicaine de l’État. Il avait aussi prôné le retour de l’État et des forces armées nationales au Nord ainsi que le cantonnement des combattants rebelles.
    Malheureusement pour le Mali, le processus d’Alger a commencé après une année de pourrissement marquée par des atermoiements de toutes natures du leadership malien et un rapport de forces totalement défavorable suite aux aventures irresponsables du mois mai 2014 à Kidal lors de la visite du Premier ministre et la guerre improvisées.
    L’Accord d’Alger porte les stigmates des tergiversations maliennes, de la douloureuse défaite militaire de mai 2014 et de l’humiliation de la Nation qui s’en est suivie. Il préconise une réorganisation du territoire qu’on ne peut pas considérer comme une avancée dans la mesure où elle contient les germes de la guerre civile intercommunautaire et de la partition du pays.
    Comment?
    L’Accord d’Alger crée, à la suite de discussions avec les seuls groupes armés, un autre Mali, celui de la région-État disposant de pouvoirs considérables dirigée par un président élu au suffrage universel direct et dont les décisions sont immédiatement exécutoires. Et pour bien faire, ce président de région-État est un hyper-président car il est à la fois, président de l’Assemblée Régionale, président de l’Exécutif Régional et chef de l’Administration.
    La démocratie, c’est la séparation des pouvoirs et la décentralisation, c’est l’organisation des contre-pouvoirs locaux. Là, nous avons la concentration et la confusion des pouvoirs. Appliquées au Nord du Mali dans les circonstances présentes, ces recettes entraîneront fatalement des conflits, donc l’instabilité.
    Vous étiez dans le gouvernement en 1991, lorsqu’il a fallu mettre en oeuvre les accords de Tamanrasset. Comment expliquez-vous l’échec de cette mise en oeuvre et de la mise en oeuvre de l’accord de 2006?
    L’Accord de Tamanrasset a été signé le 6 janvier 1991 par le régime finissant du président Moussa Traoré. Le Mali était alors traversé par de puissantes revendications démocratiques qui ont emporté la dictature en mars 1991.
    La chute d’une dictature vieille de 23 ans a provoqué une grande instabilité. La volonté politique ne faisait pas défaut. C’est ainsi que nous avons négocié un nouvel accord: le Pacte National d’avril 1992 dont la mise en œuvre a ouvert une période de vingt années d’intégration nationale et dont nul ne peut contester les effets bénéfiques. La rébellion de janvier 2012 a mis fin à vingt années d’une politique d’intégration nationale au Mali. Il y a eu, certes, des erreurs, mais la volonté politique n’a pas fait défaut. Encore moins l’attachement à une solution par le dialogue.
    En quoi la situation est-elle différente aujourd’hui?
    La mise en œuvre de l’Accord de Tamanrasset de janvier 1991, du Pacte National d’avril 1992 et de l’Accord d’Alger de juin 2006 a, entre autres, entraîné un allègement du dispositif militaire au Nord, l’effacement progressif de l’État. Profitant de cette situation, les preneurs d’otages du GSPC et d’AQMI, les trafiquants de drogue ont élu domicile au nord de notre pays. En outre, le Mali a été la victime collatérale de l’effondrement du régime libyen. Nous n’avons pas su gérer ces défis. Voilà comment nous nous sommes retrouvés au fond de l’abîme.
    Comment le pays doit-il poursuivre la quête de la paix aujourd’hui?
    Il faut considérer l’Accord d’Alger comme une étape de la quête de paix au Mali et passer à une autre étape. Au regard des imperfections de l’Accord du 15 mai, des réserves émises par toutes les parties au processus d’Alger, il serait judicieux de passer à la phase des concertations inter-maliennes pour une appropriation nationale du processus, pour améliorer le texte, préciser ses dispositions qui fragilisent l’unité nationale et la stabilité du pays.
    Vous dites vouloir discuter avec les groupes jihadistes pour parvenir à la paix. Pourquoi et comment?
    J’ai effectivement dit qu’il faut envisager de parler avec tous les acteurs de l’instabilité au Mali, y compris les jihadistes maliens. Il faut anticiper, prévenir pendant qu’il est encore temps. Nous avons besoin d’un répit pour reconstruire notre outil de défense et de sécurité, pour reconstruire notre État.
    Vous dites que l’Etat est aujourd’hui fragilisé. Qui en est responsable selon vous?
    Les crises de 2012, la rébellion et le coup d’État militaire ont provoqué l’effondrement de l’État malien. L’occupation des 2/3 du pays pendant de longs mois a aggravé la situation. A partir d’août 2013, le Mali a élu un président de la République pour conduire la sortie de crise et reconstruire l’État.
    Malheureusement, une fois installé, le Président s’est cru Président d’un pays normal: les dérives de gouvernance, les atteintes répétées à la morale publique et la mauvaise gestion du dossier du Nord ont énormément fragilisé le pays. Il ne faut pas chercher ailleurs: la responsabilité du Président est entière.
    Comment peut-on aujourd’hui améliorer la sécurité dans le pays, Au nord comme au sud?
    La multiplication des incidents armés pendant les six premiers mois de l’année fait frémir. Aucune région n’a été épargnée: certes, le Nord et le Nord-Est, mais aussi le delta du fleuve Niger, la capitale et même le sud lors de l’attaque du 10 juin contre les postes militaire, de gendarmerie et de police de Misseni dans la région de Sikasso. Il est urgent de mettre au point une stratégie nationale autonome de stabilisation et de sécurisation du territoire.
    Propos recueillis à Bamako
    Par Leïla Beratto

  66. Comme c’est lamentable de votre part Tièbilé, vous avez encore l’audace de soulever la voix après tout ce que vous avez fait à ce pays. A votre place, je me porterai disparu pendant tout le restant de cette année.

  67. Tièbilé Dramé ne sait même pas ce qu’il dit, tantôt il défend l’accord tantôt il dit le contraire. jetez un coup d’œil sur ces deux liens et vous verrez bien.
    TIEBILE DRAME : «IL FAUT CONSIDERER L’ACCORD D’ALGER COMME UNE ETAPE DE LA QUETE DE PAIX AU MALI»
    http://www.malinet.net/politique/tiebile-drame-il-faut-considerer-laccord-dalger-comme-une-etape-de-la-quete-de-paix-au-mali/
    «L’ACCORD D’ALGER OUVRE UN BOULEVARD A LA PARTITION DU MALI»
    http://www.liberation.fr/planete/2015/05/15/l-accord-d-alger-ouvre-un-boulevard-a-la-partition-du-mali_1309859

  68. N’avez-vous pas honte de vous prononcer sur l’accord de paix et la réconciliation ??? Je rappelle qu’avant cet accord d’Alger, vous a été conclure l’accord de Ouaga. Donc, attention sinon vous risquez de tomber dans votre propre piège.

  69. Si nous avions commencé par cela, nous ne saurions pas être là aujourd’hui. Comme on le dit l’erreur est humaine mais persévérer dans l’erreur c’est ce qui est diabolique. C’est vraiment le moment que nous comprenions que personne ne sauver notre pays plus que nous même. Vive le Mali uni !!!

  70. Voilà quel coup d’espoir pour la stabilité et la réconciliation du Mali. Voir les fils du Mali au tour d’une table pour discuter l’avenir du Mali, c’est vraiment un grand espoir pour l’avenir de ce pays qui a tant souffert par des divergences politiques.

  71. Tout ce que ce que le dialogue n’a pas arrangé aucune autre chose ne peut arranger cela. Le dialogue c’est un signe sagesse, d’amour et de grandeur. Cette initiative est vraiment sage !!!

  72. L’avenir du Mali dépend de nous et sans notre bonne volonté le Mali ne sortira jamais de ce trou de trahison par les gens qui prétendent nous aider. Donnons-nous les mains et faire avancer ce pauvre pays de plein d’avenir.

  73. Si les hommes politiques de notre pays avaient compris le sens de la démocratie dans cet onglet depuis le début, nous n’allions pas nous retrouver dans ce gouffre. Mais l’espoir est permis et pouvons aussi.

  74. Nos attentes vis-à-vis de cet accord sont très bien compréhensibles, car la population à vraiment souffert de cette crise, mais il ne serait pas judicieux de mettre la charrue avant les bœufs !!

  75. Seul le dialogue peut tout régler et nous donner tout. C’est l’union qui donne la force. Sans la paix il n’y a pas de développement. Vive le Mali uni et réconcilié !!!

  76. Je prie pour PARENA pour que Dieu leur donne la sagesse et la force de continuer sur ce chemin de bonheur, d’amour et de sagesse. C’est vraiment impressionnant de voir le parti du bélier blanc de réfléchir à une telle initiative. Bravo au bélier !!!

  77. Si le grand bélier avait compris que l’opposition est tenue comme le gouvernement dans la réussite du développement du pays n’allait pas se comporter comme il le faisait sans raison valable. Bravo à vous et du courage à tous les hommes politiques du Mali !!!

  78. Prenons l’exemple seulement sur la politique de notre pays allié ou ami la France. Depuis l’attentat de CHARLI HEBDO à ceux du 13 Novembre 2015, la politique a fait preuve de démocratie et de patriotisme. Mais pourquoi nous ne faisons pas la même chose pour sauver notre pays ??

  79. Cette mise en œuvre se fera, cela est sûr, mais elle ne peut pas se faire en un clin d’œil, i faut un temps considérable pour qu’elle soit parfaite, du moins, comme les maliens le souhaitent !!!

  80. Quand on se dit pessimiste devant toutes les situations ça fini par devenir un problème, car on ne peut plus voir le bon côté des choses !!! La mise en œuvre de cet accord se fera comme nous le souhaitons tous dans ce pays !!!

  81. Tièbilé Dramé ne se permettra jamais de dire la vérité sur le président de la république ou encore son gouvernement, surtout quand elle les encense, parce qu’il ne peut pas se voir dire du bien de ces derniers !!

  82. Cet accord fera l’objet d’une réussite totale pour le président de la république et son gouvernement et pour tout le MALI, sa mise en œuvre ne fait pas l’ombre d’un doute pour moi en tout cas !!!

  83. ” l’étape d’Alger au cours de laquelle, selon tous les témoignages, notre gouvernement s’est présenté beaucoup plus en spectateur qu’en acteur du destin du pays.”
    Mr Tièbilé, ayez un peu de bonne foi pour reconnaître que l’accord de paix est une panacée pour une sortie de crise réussie. Donc, épargnez le peuple de vos propos pessimistes car c’est vous le véritable frein au bonheur de notre MALIBA. ❗ ❗ ❗

  84. Je sais quand même que, même si tous les maliens meurt à part Tièbilé, il ne sera jamais le président de la république du MALI car c’est un bouffon tout fait !!! DIEU même ne veut pas qu’il soit président, le seul pays où il peut être président c’est le ” Parena ” parce que c’est un pays rempli de moutons comme lui !!!

  85. Ce n’est pas la première fois que Tièbilé veut porter préjudice à l’image du président de la république, juste parce qu’il ne lui a pas donné l’occasion de voler les pauvres contribuables de ce pays comme il l’a fait sous Alpha et sous ATT !!!

  86. La mise en œuvre de cet va bon train, nous n’avons aucun soucis à se faire pour sa bonne tenue !!! Cet accord sera exemplaire, nous n’avons que faire de ce que pense ce bouffon de Tièbilé !!!

  87. Depuis que Tièbilé n’a pas eu de place au sein de l’administration dirigeante de ce pays, lui et aucun membre de son foutu parti d’ailleurs, il ne veut que porter la poisse au président de la république comme si c’était de sa faute. Alors que c’est lui-même qui s’est donné une mauvaise image dans ce pays avec ces actes de vol et de corruption !!!

  88. Certes, l’accord de paix d’Alger connait une lenteur, mais elle ouvre une porte vers la paix et la réconciliation nationale du peuple. Il faudrait que nous nous approprions cet accord pour un Mali un et indivisible.

  89. L’opposition malienne est une bande d’incapable !!! Elle est animée par des personnes qui n’ont aucune envie que ce pays se sorte de cette merde, précisément Tièbilé Dramé qui ne voit que ses intérêts personnels, pas ceux du MALI !!!

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