Le ministre Moustapha Ben BARKA face aux médias : Au nombre des questions abordées, celle de l’HUICOMA

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Moustapha Ben Barka, ministre de l’industrie et de la promotion des investissements

Le samedi, 16 août 2014. à la Chambre de Commerce et d’Industrie du Mali (CCIM). Le ministre de l’Industrie et de l’Investissement, Moustapha Ben Barka, a animé un point de presse au cours duquel il passera les conditions d’investir au Mali, la question de l’Huicoma, le retour du Mali à l’AGOA et les défis à relever en matière de ressources humaines.

Dans sa déclaration liminaire,  le ministre Ben Barka a passé en revue les prérogatives de son département et celles des services rattachés. C’est après qu’il brossera la situation du nord du pays, de la vie industrielle de notre pays  et des critères réservés aux investisseurs étrangers. Au plan industriel, le climat des affaires a subi plus ou moins gravement les effets de la crise du nord.

Pour mieux attirer les investisseurs dans notre pays, les conditions favorables et privilégiées envisagées pour les hommes d’affaires et les opérateurs économiques, désireux de venir investir au Mali ont été abordées par le ministre Moustapha Ben Barka.

En termes de conditionnalités, le seul questionnaire à remplir avec toutes les précisions requises est de souligner dans quel secteur on veut investir, où et avec quels moyens. Il faudra préciser la nature d’entreprise ou d’activités à mener, le capital d’investissement, le siège social, la qualité et le niveau du personnel, la maitrise des lois et  règlements intérieurs, etc.

Parlant du tissu économique national, le conférencier fera allusion au secteur des textiles. Précisément du coton malien.

Au passage, le ministre a émis l’ardent souhait de voir le Mali devenir un pays exportateur du basin au lieu de demeurer réexportateur. Car, le Mali est un grand pays producteur du coton. Donc, il faut que le fabrique du basin.

Au cours des débats, le ministre B. Barka a salué le retour de notre pays dans l’à l’AGOA. Mais, ce retour ne suffit pas à lui seul. Car, il faudra œuvrer à ce que tous les produits maliens puissent être éligibles.  Ce, en ce sens que les Américains tiennent beaucoup à leurs critères de qualité, de quantité et de performance qu’un produit puisse être admis sur leur marché national. Il a déploré de la problématique de financement à la base du blocage de beaucoup de projets d’industrialisation.

Qui dit investissement ou industrie, dit obligatoirement question de personnel qualifié. Et, là également, notre pays connait des sérieux problèmes à résoudre. Puisqu’on est en crise profonde de ressources humaines aptes et qualifiées.

Le secteur des mines, l’office du Niger, la culture de la canne à sucre (faisant objet de convoitises par le Qatar et d’autres pays occidentaux) et des produits fruitiers et des légumes visés par le Maroc et la Tunisie ont été abordés par le ministre.

Pour ce qui est de l’arrêt de l’HUCOMA, Ben Barka tranche, en précisant que cette unité industrielle doit obligatoirement reprendre ses activités.

Et, en fin, il laisse entendre que la Presse aussi est une entreprise tout comme les autres. Donc, pour bien produire et vendre, la presse doit être accompagnée par les banques de la place.

Dans ce contexte, il manifeste la disponibilité de son département d’accompagner les médias.

 

Fassoko Coulibaly

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5 COMMENTAIRES

  1. Bonjour! Soyez objectifs dans vos critiques! Je ne vois pas du tout ce que vous reprochez à ce jeune ministre. Qu’ont fait ces prédécesseurs pour ce pays? alors foutez lui la paix et laisser le travailler. C’est quelqu’un qui a fait ses preuves ailleurs alors pourquoi pas chez lui? Bon vent M. le Ministre!

    • Quel travail it travaille ce connard d’incompetant et de rate, tous de la meme racialle de “la famille IBK d’abord”, quelle preuves a t-il fait de toute sa vie? Tous les memes idiots de la “famille IBK d’abord”

  2. C’est le neuveu national celui-la, un crane vide avec un bec de lievre avance, un autre tare de “la famille d’abord”, veritablement le Mali est tombe tres bas avec un regime dictatorial, corrompu et nepotiste d’IBK.

  3. Après une année de détournements MASSIFS de fonds publics, ces incapables se présentent devant le peuple malien avec zéro projet.

    Incroyable!

    Il sont partis au Qatar

    Ils ont reçu le roi du Maroc

    Ils ont reçu Christine Lagarde du FMI

    Ils ont été reçus par le Millenium Challenge à Washington.

    Mais ils n’ont pu financer aucun investissement au Mali parce qu’ils n’ont aucun projet.

    Et ils osent dire qu’ils ont un ministère de la PROMOTION des investissements?

    Moi ça me donne la nausée ce genre de MENSONGES ET D’ESCROQUERIE!

    Wa salam!

  4. Merci Mr le Ministre pour votre vision e belle intention mais au Mali c’est l Mafia q’il fo combattre; des incultes sont instrumentalisés pr des miettes pr faire couler l tissu industriel naissant o profit d ceux q veulent ns réduire en marché pr leurs produits. Pour c q est des ressources humaines, il faut parvenir à former en mettant nos écoles à niveau (long terme) e par l’octroi d bourses d formation (en flot). Un adage dit: “on n refuse pas d laver son visage parce q les yeux sont crevés”. Vs avez vos besoins, les bourses e les pauvres élèves d ns écoles décriées. IL FAUT OBLIGATOIREMENT FORMER L MEILLEURS A SOUHAIT POUR L TRAVAIL EXISTANT. Cela est l seule alternative car tte autre démarche n fera q compromettre l’avenir d c pays très meurtri e pr l quel nos enis préparent 1 disparition prochaine. TOUT ACQUIS DANS C BAT MONDE DOIT ETRE DEFENDU E PERSONNE N VIENDRA L FAIRE A NTRE PLACE. INVESTISSONS C Q’IL FAUT SINON L IRRESPONSABLES MANGERONT L RESTE. Courage Mr l Ministre!

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