Les différents audits nationaux et internationaux par rapport à l’achat de l’avion présidentiel et les équipements militaires ont montré à suffisance que les populations Maliennes vivent véritablement un régime de gabegie. Les déclarations faites par le premier ministre, le ministre des finances, le président de la République par rapport au montant de l’achat de l’avion a montré tout le mensonge fait au peuple contrairement à la vraie réalité étalée après le rapport du vérificateur et celui de la cour des comptes. La vérité étant l’objectif premier de tout ce que l’on veut entreprendre, l’on est en droit de se demander si le régime n’a pas fait le choix de la voie de l’improvisation dans la conduite des affaires de l’Etat quand on sait qu’après une année de gestion des affaires publiques, le régime manque encore de vision. IBK saura-t-il s’entouré d’une équipe d’hommes et de femmes solides à tout égard en vue de restaurer la crédibilité de l’Etat fortement atteinte?
Il n’y a plus rien à dire, le régime IBK a connu l’un des plus grands revers de son mandant : des marchés négociés en dehors de toutes les lois et règlements en vigueur avec des surfacturations jusqu’à hauteurs de plusieurs dizaines de milliards de nos francs. Il s’agit là d’actes de forfaitures qu’on peut qualifié d’indignes de la part des commis de l’Etat qui avaient juré de servir les misérables populations. L’on se rappel encore des propos d’IBK lors de sa prise de fonction. « Ça ne sera pas du gâteau à partager ». Pourtant on vient de partager ce qui est plus qu’un gâteau. IBK aura-t-il les coudées franches pour sévir ? Pour l’instant, le premier magistrat continue à observer un silence total sur une affaire de corruption qui demande le départ de ceux-là qui ont commis cette forfaiture. Aujourd’hui, tout citoyen qui a réellement appréhendé et qui a compris dans la forme et dans le fond ce problème de surfacturation s’inquiète du sort de notre pays face aux partenaires techniques et financiers. La situation est telle aujourd’hui que le régime doit rassurer les partenaires techniques et financiers pour faire décoller l’économie. Au lieu de s’embourber davantage dans l’improvisation, le régime doit savoir que la quête de la vérité est l’objectif premier de tout processus même cette réconciliation dont il cherche aujourd’hui. De l’interpellation du premier ministre Moussa Mara sur l’avion présidentiel, que de narrations entendues. D’après un politologue « on peut mentir pour avoir le pouvoir mais on ne peut continuer à diriger un pays dans le mensonge ». Et, à notre politologue d’ajouter « qu’une fois que le peuple prend conscience de la situation réelle, il devient une force matérielle… ». Le cas du peuple Burkinabé en dit long. Aujourd’hui, le président IBK doit s’assumer face à ses prédateurs de notre économie qui n’ont d’autres soucis que de sucer un Etat déjà sous perfusion.
Fakara Faïnké
La fermeture de la frontière est une mesure a envisager, mais ce n’est pas l’essentiel. Le vrai problème de ce pays c’est l’incivisme, le laxisme et l’inconscience érigés en système de gestion et en valeur culturelle. Sans le laxisme, ce patient ne peut passer la frontière sans les mesures élémentaires d’investigation et de notification pour le suivi et sans surtout l’inconscience invétérée des responsables de Pasteur qui ont manifestement voulu dissimuler le cas.
Notre pays est gagne par le laxisme et cela a connu son paroxysme avec ATT…. IL faut sévir sérieusement sur les coupables. Tout le monde se croit tout permis et effectivement se permet tout. Il y a qq jours une dame a accroche ma voiture . Elle avait clairement tort, mais c’est elle qui s’est mise a vociférer comme une forcenée dans la rue en me traitant malgré mes cheveux blancs de tous les noms d’oiseaux. Je croyais rêver , mais c’était bien la réalité. Ce pays est foutu si on ne resaisit pas avec un minimum de civisme.
Le Mali est le pays le plus corrompu de la planète celons le rapport transparence international
Face à un gouvernement d’une telle INCONSCIENCE (au sens propre du terme : dans un état second, comateux ou évanoui), et d’une société civile malienne qui peine à réagir vigoureusement de façon coordonnée contre la mal gouvernance, je crois sérieusement que le FMI doit aller plus loin dans la mise sous tutelle et de dégraissage du Mali (comme pour la Grèce ou d’autres pays européens qui s’y plient naturellement en période de disette): conditionner la reprise de ses décaissements à la suppression du poste de Premier Ministre, la limitation du nombre de Ministères à 15-16, la réduction des budgets de l’Assemblée Nationale et de la Présidence, la vente de l’avion d’IBK, l’arrêt/audit du marché du Secrétariat de la Présidence qui au démarrage de ses travaux actuels de rénovation était en excellent état, etc.etc.
Maintenant, on apprend que le Gouvernement malien propose publiquement à ses créanciers nationaux de renoncer à 40% de leur dû.
Il y a ici manifestement “bande organisée” et “association de malfaiteurs”; Dans TOUS les pays du monde, TOUTES les polices savent bien que qui dit “bande organisée”, dit FORCEMENT “chef de bande”…
Et pour le chef de bande, PERSONNE (pas plus les experts du F.M.I que nous!) n’a besoin de “chercher”… Seul un PRESIDENT pouvait se permettre de verrouiller autant de services à la fois et d’enfreindre autant de règles à la fois!…
Et seul un PRESIDENT pouvait se risquer dans des marchés truqués portant sur des CENTAINES DE MILLIARDS!!!
Et mieux, seul un président SUFFISAMMENT CON pour pouvoir penser en 2014, que des magouilles d’une telle ampleur pouvaient encore passer inaperçues 🙄 comme “au bon vieux temps” 🙄 🙄 🙄
Or, le président on en a QU’UN, et en plus con à ce point, ça équivaut carrément à un portrait robot!
vraiment trop c’est trop ils nous ont menti depuis le départ,en portant le chapeau sur leurs prédécesseur,en faisant croire au population que ces eux la solution;or c’est des vrais fauteurs de désordre,dire des mensonges pour tromper la population,mais non et non 👿 👿 👿 ils ne trompent qu’eux-même.”le cacas n’est pas une épine mais quand tu marche dessus,tu boiteras”
:mrgreen:.
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