IBK ne peut pas, il n’en peut plus. En deux (petites) années, le chef de l’Etat a non seulement montré ses limites, mais il les a atteintes. Entre ce qu’il pensait de la fonction suprême étant au bas de la colline de Koulouba et la réalité de l’exercice du pouvoir depuis qu’il bosse au palais, Ibrahim Boubacar Kéïta s’est vite rendu à l’évidence de l’énorme fossé qu’il feignait de voir. Mal gouvernance, situation sécuritaire exécrable, crise financière sans précédent, le Mali se meurt à petit feu de ces foyers de feu allumés et ravivés par le héros de juillet-août 2013 à qui les Maliens ont accordé leur suffrage à hauteur de plus de 77%. Si le mal du pays va des premiers choix post indépendance et qu’il a trébuché durant les deux décennies de dictature, aujourd’hui, le Mali est à terre. Ainsi que les Maliens. Et nul espoir à l’horizon. Malheureusement !
Face à la gravissime situation que vit le Mali à l’heure actuelle, que peut faire IBK au-delà des discours ? « Nothing ! », répondront les Anglophones pour dire : Rien. Rien, d’autant plus que le troisième président de la République depuis l’instauration de la démocratie pluraliste au Mali a (déjà) grillé toutes ses cartouches, s’étant grillé lui-même par ses choix politiques qui ont précipité le pays dans l’abîme.
Pourtant, l’homme avait toutes les cartes en main pour réussir sa mission, ayant été plébiscité par une large majorité de ses concitoyens. Ceux-ci voyaient en lui, presque le messie, avec à l’esprit, certainement l’image du IBK 1er, ce Premier ministre rigoureux et sauveur qu’ils avaient connu entre 1994 et 2000. Mais, très vite après son accession au pouvoir, les espoirs s’affaissent, le doute plane avant de faire place au désespoir.
En effet, les Maliens ont découvert dans les premiers actes de « l’Homme de la situation » des signes évidents de rupture entre son discours électoraliste et la réalité. Au-delà de toutes les promesses fantasques dignes d’une campagne électorale, IBK avait « juré » de « bâtir un nouvel Etat » avec une « méthode, des moyens et des outils ».
Au lieu de ça, le peuple découvre un régime corrompu avec des scandales à gogo, des voyages princiers à l’étranger, une armée affaiblie et moins équipée, une méthode de gouvernance qui met la famille et les affidés au centre de la gestion des affaires publiques, une insécurité grandissante et l’éloignement de tout espoir de paix. Pendant ce temps, le peuple trime. Le citoyen anxieux cherche à joindre, dans la douleur, les deux bouts.
En deux ans, le président de la République n’a posé aucun acte de développement de rang. La faute ? Sans conteste, à sa mauvaise gouvernance, corollaire d’une gestion criblée de scandales financiers qui paralysent le fonctionnement de l’Administration, asphyxient l’économie et ternissent l’image du Mali. Mais aussi d’un cafouillage monstre dans la conduite et le déroulement du processus de paix d’Alger finalement conclu par la signature d’un Accord de paix les 15 mai et 20 juin 2015.
Où est passé la « Tolérance zéro » ?
Si IBK a chuté ( !), c’est dû, en grande partie, à la mauvaise gouvernance instaurée et qui a vu s’égrener des scandales au fil des mois. De l’avion présidentiel aux 1000 tracteurs, en passant par le contrat d’armement et les engrais frelatés, tous les scandales dégagent une forte odeur de corruption et de détournements de grande envergure. Or, dans son projet « Le Mali d’abord », le candidat IBK avait promis la « Tolérance zéro » en matière de corruption et de vol de deniers publics.
« La généralisation de la corruption a pour effet de freiner le développement global du Mali. Elle constitue, à terme, un danger pour la stabilité sociale et politique. Elle discrédite les acteurs politiques, décrédibilise la chose publique tout en sapant les assises morales de la société. Elle constitue une violation des droits fondamentaux des citoyens et accentue la vulnérabilité et la précarité des populations les plus démunies. Elle fausse les règles du jeu économique, subvertit la loi et donne naissance des situations de rente indues », peut-on lire dans le document. Qui poursuit : « La lutte contre la corruption sera organisée sur la base d’un principe, la Tolérance zéro et s’articulera autour des dix mesures suivantes: l’adoption des mesures législatives et règlementaires visant à renforcer la culture de la transparence, durcir les sanctions contre les personnes attentant aux intérêts de la Nation et mobiliser les différents segments de la société civile pour contribuer à l’éradication du fléau de la corruption; l’élaboration et l’application d’un Plan d’action pour lutter vigoureusement contre le fléau de la corruption (intégrant les conclusions pertinentes des Etats généraux sur la corruption); la création d’un Organe central de coordination de la lutte contre la corruption qui veillera à ce que la justice prenne en charge les conclusions des rapports des différentes structures de contrôle ; l’adoption d’une loi sur l’accès à l’information et la transparence dans la gestion publique en vue de promouvoir un environnement de transparence dans les relations entre l’administration et les citoyens et rendre obligatoire la publication des rapports annuels et bilans financiers de tous les organismes publics et toutes autres institutions bénéficiant de financements de l’Etat (partis politiques, associations, syndicats etc.)… ». Que de leurre au peuple ! Que de contrevérités à la nation ! Que de dribbles aux Maliens !
De tout ce chapelet d’actes promis, le président Ibrahim Boubacar Kéïta n’a pu poser le moindre. Au contraire, chez le Malien, la corruption est désormais ancrée jusqu’à l’os. Il suffit de rappeler les chiffres des rapports 2013 et 2014 du Bureau du Vérificateur général.
Le rapport annuel 2013 fait la synthèse de 18 vérifications effectuées dont 1 vérification de performance, 3 vérifications de suivi des recommandations ainsi que 14 vérifications financières et de conformité. Il ressort des vérifications financières effectuées au titre de 2013 des irrégularités financières d’un montant total de 80,21 milliards de FCFA dont 12,28 milliards de FCFA au titre de la fraude et 67,93 milliards de FCFA au titre de la mauvaise gestion.
Quant au rapport annuel 2014, il fait la synthèse de 16 vérifications dont 13 vérifications financières, 2 vérifications de performance et 1 vérification intégrée de conformité et de performance. Il fait état d’irrégularités financières totalisant la somme de 72,88 milliards de FCFA dont 33,86 milliards de FCFA au titre de la fraude (soit 46,46% du montant total) et 39,02 milliards de FCFA au titre de la mauvaise gestion.
Ces deux rapports annuels ont concerné des services centraux et déconcentrés, des programmes de développement, des marchés publics et des délégations de service public ainsi que des établissements publics.
La mauvaise nouvelle, c’est que le chef de l’Etat révèle avoir transmis plus de 200 dossiers à la justice. Mais apparemment, il n’a eu aucune suite. Où est passée l’autorité de l’Etat ? Et la Tolérance zéro ?
Où sont donc passés ces dossiers transmis à la justice ?
Deuxième échec d’IBK et non le moindre : c’est la situation sécuritaire du pays. Ces deux dernières années, l’insécurité est devenue le voisin de chaque Malien, qui vit dans un environnement sécuritaire plus qu’inquiétant.
Au fil du règne d’IBK, le peuple malien a assisté avec consternation et impuissance à la montée fulgurante des attaques djihadistes et terroristes non seulement au nord, mais aussi au centre et au sud du pays : Kidal, Gao, Ménaka, Ansongo, Nampala, Douentza, Boni, M’Boullikessi, Ténenkou, Dioura, Diafarabé, Dogo etc.
Les mines terrestres anti personnel, les attaques à mains armées, les vols de bétail, de cyclomoteurs, de voitures, les viols et autres agressions physiques sont légion sous nos cieux.
A Bamako, l’insécurité a atteint les cimes. Matin, midi et soir, les populations sont braquées, dépossédées de leur argent et de leurs biens, assassinées. Là, la forme d’insécurité a évolué dangereusement vers les attentats. Exemples implacables : l’attentat de La Terrasse, le 7 mars 2015 (6 morts) et celui du Radisson, le 20 novembre (22 morts). Entre les deux, Sévaré (Mopti) a vécu sa journée d’attentat, à l’hôtel Le Byblos, le 7 août (13 morts).
D’autres actes tels que la tentative d’assassinat d’un général de l’armée malienne (Abderrahmane Ould Meydou) et l’implantation de camps d’entraînement de terroristes et djihadistes en plein cœur de la capitale (Samanko) viennent rappeler aux Maliens qu’ils sont exposés intégralement et au quotidien à une mort certaine. Pire, aujourd’hui, il n’y a aucune politique nationale de sécurité au Mali. Or, l’insécurité généralisée et grandissante affecte dangereusement la paix sociale et annihile tout effort de développement.
Enfin, troisième gros échec d’IBK, et certainement pas le dernier : c’est l’état de dénuement généralisé dans lequel sa gestion a plongé le peuple malien. Aujourd’hui plus que jamais, le quotidien et le devenir des Maliens sont compromis. Plus de manger ! Plus d’argent ! La dèche dans tous les foyers.
Les plus optimistes des Maliens n’entrevoient aucune raison d’espérer en l’avenir. Le mode de gestion des affaires publiques a instauré un marasme économique et une crise financière sans précédent. Parce que les ressources financières qui auraient dû être injectées dans le développement du pays et la gestion du quotidien des Maliens ont été allouées à des fins de privilèges présidentiels, paralysant l’administration et assommant les Maliens.
Sékou Tamboura
Pour ma part, je pense que le défi de la paix et de la réconciliation nationale n’est pas la seule affaire du président de la république. A quoi serviraient les efforts du président en faveur de la paix et la réconciliation si nous populations sommes pas préparées à celles-ci ? Donc à mon avis, ce challenge est l’affaire de tous.
A mon avis, le Mali revient d’une crise militaro-politique qui a fragilisé le tissu social. Pour recoudre ce tissu social, il faut de la part de tout un chacun une volonté ferme car on ne peut avoir la paix et la réconciliation que si nous nous donnions les moyens pour y parvenir. Et cela réside dans note état d’esprit et l’acceptation de l’autre tel qu’il est sans distinction de race et d’ethnie.
Je pense que pour la question sécuritaire, le président a été toujours soucieux de la sécurité des personnes et de leurs biens. Et à cela, il a promis d’équiper les forces armées. Il a déjà fait parlé son cœur en leur donnant un hélico. En plus, l’adoption de la loi de programmation militaire en est une preuve de cette volonté à doter nos forces de moyens efficaces contre le terrorisme.
Je pense que la corruption sous l’ère du président IBK a beaucoup baissé et les indices en témoignent. Force est de reconnaître que beaucoup de mesures ont été prises quant à traquer les acteurs et à les punir. A mon humble avis, j’estime qu’il faut attaquer le mal à la racine c’est-à-dire UN CHANGEMENT DE COMPORTEMENT.
Dans le domaine de la paix et de la réconciliation,le président IBK déjà fait de nombreuses réalisations continue de travailler pour le cohésion entre tous les maliens.
Je pense que tous les maliens doivent aussi faire comme lui car c’est l’affaire de tous.
A Bamako, l’insécurité a atteint les cimes. Matin, midi et soir, les populations sont braquées, dépossédées de leur argent et de leurs biens, assassinées. Là, la forme d’insécurité a évolué dangereusement vers les attentats. Exemples implacables : l’attentat de La Terrasse, le 7 mars 2015 (6 morts) et celui du Radisson, le 20 novembre (22 morts). Entre les deux, Sévaré (Mopti) a vécu sa journée d’attentat, à l’hôtel Le Byblos, le 7 août (13 morts).
Ce n’est pas une justification mais il faut qu’on apprenne à être un peu réaliste tout pays surtout le notre qui n’est pas encore sorti de la crise connait le banditisme résiduelle et des attaques sporadiques. Nous pouvons nous réjouir car il y a des pays où les attaques djihadistes sont journalières et les morts se comptent par plusieurs dizaines.
Aussi nos forces de sécurités n’étaient pas préparées à la lutte contre le terrorisme mais si vous êtes objectif vous saurez que du travail est fait pour pallier à cette situation avec l’établissement de dispositifs sécuritaires un peu partout à Bamako et sa région et dans les zones sensibles du pays. Alors informez le peuple au lieu de l’intoxiquer! 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿
Dans le cadre de la paix,le président IBK a tout fait pour obtenir l’accord de paix qui a calmé les tensions entre les différents belligérants de la crise du nord Mali.
Nous savons que dans la nouvelles année qui commence cet accord sera appliqué dans son intégralité pour redonner la paix à notre pays.
Avec l’accord de paix,nous avons maintenant la patrouille mixte dans le nord de notre pays.
Cette patrouille est un signe de la présence de l’État dans cette zone.
Nous pouvons donc dire que la sécurité n’est plus loin de nous.
Le président IBK est le président qui a osé s’attaquer directement au problème de la corruption dans notre pays.
Cela veut dire qu’il a fait de cette lutte une priorité.
Attendons donc de voir les résultats cette lutte avant de nous prononcer.
Le chômage sous l’ère IBK a baissé d’un cran. En effet, lors de son accession à la magistrature suprême a décidé de faire son cheval de bataille le chômage des jeunes aà travers la création de 200 000 emplois. Et en deux ans, il a crée 81 000 emplois. Ce qui est à féliciter et à encourager.
Pour ma part, le président IBK a hérité d’un pays presqu’à l’agonie. Mais grâce à sa détermination et son amour pour la mère patrie, il a su redonné vie à ce pays. Partant de là, je souhaiterais que nous peuple du Malien, encourageons le président a redoublé d’effort afin de sortir le pays dans sa situation actuelle.
Au niveau de la création d’emploi,le président a déjà créé 81.000 emplois depuis son arrivée au pouvoir.
Il est toujours dans cette logique et nous savons que d’ici la fin de ses deux mandats le chômage ne sera qu’un vieux souvenir.
Je pense que la population doit comprendre une chose,c’est que nous revenons d’une crise militaro-politique qui a fragilisé le pays. Donc, les choses peuvent pas aller comme sur des roulettes. Il faut confiance à IBK et son gouvernement et je pense qu’ils ont besoin de nos soutiens pour sortir le pays dans sa léthargie.
« Je veux être, avec vous et pour vous, l’artisan de l’émergence du Mali de nos rêves. Je veux redonner espoir à cette grande Nation qui rêve d’occuper fièrement sa place, et toute sa place, dans le concert des Nations qui comptent. Pour le Mali, je veux être ce capitaine de bateau qui tient fermement la barre en faisant fi de tous autres calculs mesquins ou de tous agendas secrets. Pour vous, mes chers compatriotes, il n’est pas de sacrifices qui ne méritent d’être consentis, dussent-ils être ultimes »
JE PENSE QUE TOUT EST DANS CET EXTRAIT DU DISCOURS DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE A L’OCCASION DE LA NOUVELLE ANNÉE.
TOUT LE PAYS CONNAIT DES DIFFICULTÉS ET NOTRE PAYS NE DÉROGE PAS A LA RÈGLE MAIS ON NE DOIT PAS LES UTILISER POUR CALOMNIER CELUI QUI TIENT LE POUVOIR MAIS IL FAUT PLUTÔT PROPOSER DES VOIES ET MOYENS POUR QUE CETTE SITUATION PUISSE ÊTRE JUGULER. LE PRÉSIDENT IBK A PRIS LE POUVOIR DANS DES CONDITIONS QUE NUL N’IGNORE DANS CE PAYS ET DIRE QU’EN DEUX ANNÉES ONT LUI DEMANDE DE FAIRE DU PAYS LE PLUS MODERNE D’AFRIQUE.
NOTRE PAYS NE POSSÈDE PAS LES MÊMES ATOUTS QUE CERTAINS PAYS QUE CERTAINS CITENT EN EXEMPLES ET SI LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE EFFECTUE AUTANT DE VOYAGE C’EST JUSTEMENT POUR RECHERCHER DES PARTENAIRES QUI PEUVENT ENTREPRENDRE DES ACTIVITÉS QUI PUISSENT OFFRIR DE L’EMPLOI A NOTRE JEUNESSE ET BOOSTER NOTRE ÉCONOMIE MAIS MALHEUREUSEMENT IL NE BENEFICIE PAS DE LA COMPRÉHENSION DES UNS ET DES AUTRES A CAUSE DE LA MANIPULATION DE L’INFORMATION QUE FONT DES PERSONNES QUI SE PRÉSENTENT COMME DES SAUVEURS DE CE PAYS MAIS QUI EN RÉALITÉ A UN MOMENT OU A UN AUTRE ONT OCCUPE DES RESPONSABILITÉS TANT AU PLAN NATIONAL QU’INTERNATIONAL SANS QUE PERSONNE ENCORE MOINS LE PAYS NE PUISSENT EN BÉNÉFICIER. COMPRENONS IBK CAR IL EST LA SOLUTION POUR NOTRE PAYS ET AIDONS LE A ATTEINDRE SES OBJECTIFS.
VIVE LA PAIX ET LE DÉVELOPPEMENT AU MALI!
« Nous avons l’ambition d’offrir de l’emploi aux jeunes » dixit le président IBK lors de la célébration de la journée nationale de l’industrie.
En plus des 14 116 emplois du 1er janvier au 31 juillet 2015, 71 652 emplois durables ont été générés par les activités économiques sur l’étendue du territoire national, soit 36% de la promesse du Président de la République. Et du 1er juillet au 30 septembre 2015; 5795 emplois dont 3684 sont des contrats à durée déterminée et 2111 à durée indéterminée.
Ces chiffres démontrent que la volonté est là il faut donc croire en IBK.
je pense que nous n’avons pas eu tord d’accorder notre suffrage au président IBK.
Par conséquent nous devons le féliciter pour les avancées connus depuis son accession à la présidence et nous devons le soutenir et l’accompagner pour le reste des projets qui n’ont pas encore connu de réalisation.
Il me semble que le journaliste qui a rédigé cet article n’est pas résident au Mali car à l’en croire, le pays serait à l’abîme pendant que la situation s’est améliorée en deux ans de gestion. L’Etat sous l’impulsion du président est à pieds d’oeuvre malgré la crise que nous avions connu, à remettre le pays sur les rails. D’ailleurs, le président a été élu pour un mandat de cinq et c’est au bout de celui-ci que les uns et les autres pourront donner un bilan de cette gestion. Pour l’heure, le président mène bien la mission qui lui est assigné.
IBK et son gouvernement ont créé des emplois pour diminué le taux du chômage, commandé des matériels de combat pour nos forces armées. IBK a beaucoup fait pour le Mali durant ces 2ans, grâce à lui que l’énorme dette intérieure a été totalement apurée. Le taux de croissance est l’un des plus rayonnants de l’espace communautaire. Il était à 7, 2% en 2014.
Et on dit toujours qu’il ne fait rien. A te sabali té sah!
Je constate qu’il y au moins des gens qui sont dotés d’objectivité dans ce pays. Même si toutes les promesses du gouvernement n’ont pas encore été tenues du fait des certaines réalités qu’aucun malien n’est censé ignoré; il faut reconnaitre que nous sommes sur la bonne voie. C’est pourquoi je salue personnellement les progrès du président et de son équipe
Les Maliens devraient se donner la main pour bâtir ensemble le Mali.
Comme dit un célèbre adage que l’union fait la force.
Compte tenu de la devise du Mali, un peuple, un but ; une foi, les Maliens sont tous les mêmes alors donnons-nous la main pour renforcer cette devise et faire renaître le pays qui a trop souffert.
Vive le développement, Vive le peuple malien; Vive le président IBK
Je félicite le président pour ses actions en faveur du bien-être de la population et de la jeunesse en particulier. Je souhaite de tout mon cœur que les nombreux projets entamés soient couronnés de succès et que l’accord de paix qui avance tant bien que mal aille à son terme pour unifier le pays à jamais.
Merci aux présidents de la république, à son gouvernement et à tous ceux qui participent de près ou de loin à ces actions.
Pourtant, l’homme avait toutes les cartes en main pour réussir sa mission, ayant été plébiscité par une large majorité de ses concitoyens. 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)
C’est parce que vous êtes un vrai ignorant que vous jugez que le président IBK a échoué. Pourquoi donc vouloir faire le bilan avant l’heure et à la place du plus grand juge qu’est le peuple?
Arrêtez vos calomnies et attendez dans deux ans pour voir si vous pourriez l’ouvrir mais puisque vous ne savez pas ce qu’est la honte ;vous l’ouvrirez certainement! 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄
Le Mali actuel est dirigé par un responsable, alors monsieur le journaliste ne cherche pas d’autre argument pour cela, vraiment il faut que les Maliens sachent que cette coopération va permettre au Mali d’avoir une atmosphère pure et claire.
On reconnait la capacité d’un journaliste à travers ses articles et ces idées qu’il évoque.
Vous ne dites que des mensonges, alors arrête de dire des bêtises sur l’autorité du pays, le plus précisément au président IBK.
situation sécuritaire exécrable, 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯
Vraiment malade ces journaleux; la situation sécuritaire a été plus exécrable qu’en 2012-2013 où pris de peur et de panique nous en sommes arrivé à faire appel à la france pour venir nous aider à sécuriser notre pays. Vous devez vraiment changer de refrain en voulant toujours montrer que la situation sécuritaire dans notre pays c’est dégradé sous la gouvernance du président IBK. Il faut être vraiment malade pour toujours vouloir encrer cette bêtise dans notre cerveau.
On reconnait la capacité d’un journaliste à travers ses articles et ces idées qu’il évoque.
Vous ne dites que des mensonges, alors arrête de dire des bêtises sur l’autorité du pays.
Les vrais ennemis du pays sont ceux qui critiquent le président et son gouvernement.
Monsieur le journaliste, si vous avez rien à dire, mieux vaut fermer vos petites bouches car, vous êtes en train d’embrouillés les fans de Mali web et de Mali jet. Quel pauvre journaliste, vous faites la honte de la presse Malienne.
Le président IBK est un homme que la population Malienne cherche depuis longue temps, compte tenu de tout cela certain cherche à nuire le gouvernement.
Le président IBK est entouré par ces propres ennemis qui voulaient seulement handicaper le gouvernement.
IBK ne fait du favoritisme dans le choix de ces ministres donc c’est la compétence qui prime et d’ailleurs je ne vois pas un membre de sa famille occupé un poste nominatif si on veut parler de Karim, du beau père et autre. Ils ont été élu donc arrêter vos articles à la con
Il est pour la bonne gouvernance c’est pourquoi il veut tout mettre en oeuvre pour éradiquer la corruption de notre société. Cela représente un réel frein de développement et il a jugé bon de mandater les nouveaux magistrats de mettre un accent particulier sur la corruption
Aucun malien ne peut se plaindre de la gestion des affaires d’IBK durant cette année. Le pays est sombré dans une crise sans précédent. Conscient de cette situation, je suis convaincu que le bilan d’Ibrahim Boubacar Keïta est salutaire.
Les institutions financières FMI et autres approuvent le mode de gestion de notre finance et prévoit une croissance de 5,7%. Cette croissance rejaillira sur la population mettant fin aux souffrance de nos parents.
Vous n’avez que ces scandales dans la boucle comme si d’autres actions de bonne portée ne sont pas suivies
Les journalistes doivent comprendre qu’un président est jugé sur 5 ans et non 2 ans. Nous pouvons dire que le bilan est positif dans la mesure notre économie est assainie et les actions de développement se posent, nous ne pouvons qu’être fiers du président.
Nous avons toujours eu confiance en IBK et nous continuerons d’avoir confiance en lui car les actes qu’il pose prouvent une qu’il est une personne digne de confiance.
Il ne cesse de se battre pour améliorer les conditions de vie de ses compatriotes.
Nous pensons qu’il est vraiment l’homme qu’il faut à la tête du Mali.
Merci président.
IBK a promis l’équipement des forces de sécurité et doté le camp de Ségou d’un hélico. A cela il faut ajouter les différents accords de partenariat signés avec les USA et l’UE pour la lutte contre le terrorisme
Les actions de développement menées par IBK sont nombreuses et sont à encourager car sans paix tout projet de développement est un échec. IBK a mis un point sur la lutte contre la corruption, la création d’emploi pour les jeunes.
Depuis qu’IBK est là l’économie se porte bien grâce à son équipe dynamique, très dévouée au travail. Il ont sure trouver la confiance des partenaires financiers et des financements des projets pour notre pays.
IBK est à saluer et féliciter pour ses efforts pour la paix et la construction des infrastructures offertes aux différentes localités de la région Ségovienne. C’est un bâtisseur dont nous avons besoin ici au Mali.
Pourquoi tant de dénigrements à l’encontre de celui qui veut sortir ce pays de l’ombre dont on a été plongé
Tous ceux qui soutiennent la défaite de notre président ne connaissent pas peut-être les réalités de ce pays au contraire c’est grâce à DJONCOUNDA que nous sommes là, pas le moindre effort de IBK c’est lui qui a puis organiser les élections c’est lui qui provoquer la conférence de Bruxelles même si ce dernier a trahit son PM. DIARRA
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Tous ceux qui soutiennent la défaite de notre président ne connaissent pas peut-être les réalités de ce pays au contraire c’est grâce à DJONCOUNDA que nous ne sommes là pas le moindre effort de IBK c’est lui qui a puis organiser les élections c’est lui qui provoquer la conférence de Bruxelles même si ce dernier a trahit son PM. DIARRA
En réalité IBK fait son mieux, et comme on le dit, qui fait les choses en cachette fini par faire apparaitre par surprise.
Si la crise malienne n’as pas connu un avancement envers un mauvais sens,
C’est grâce à IBK,
Si la confiance des partenaires financer ont regagné la confiance de réinvestir au Mali, c’est grâce à IBK,
Si le Mali continue d’être respecté malgré toutes les grandes difficultés qu’il a connu, c’est grâce à IBK,
En ce peu de temps, IBK a beaucoup fait pour cette nation, ce n’est pas facile de changer un pays d’un jour au l’an-demain.
Il faut du temps pour que le Mali soit un pays envié comme il le faut. IBK par sa bonne leadership à pu produire des raccourcies pour que le malien puce s’épanouir.
En réalité IBK fait son mieux, et comme on le dit, qui fait les choses en cachette fini par faire apparaitre par surprise.
Si la crise malienne n’as pas connu un avancement envers un mauvais sens,
C’est grâce à IBK,
Si la confiance des partenaires financer ont regagné la confiance de réinvestir au Mali, c’est grâce à IBK,
Si le Mali continue d’être respecté malgré toutes les grandes difficultés qu’il a connu, c’est grâce à IBK,
En ce peu de temps, IBK a beaucoup fait pour cette nation, ce n’est pas facile de changer un pays d’un jour au l’an-demain.
Il faut du temps pour que le Mali soit un pays envié comme il le faut. IBK par sa bonne leadership à pu produire des raccourcies pour que le malien puce s’épanouir.
quoiqu’on dise, les salaires, bourses et autres charges sont régulièrement versés et dans le temps. Mieux, et selon des hauts cadres des milieux financier et économique, les finances publiques n’ont jamais aussi bien géré que ces temps-ci. En tout, cas ceux là qui opèrent dans le secteur des activités économiques ne diront pas le contraire. L’argent du contribuable n’est plus utilisé comme par le passé. Tous ceux qui s’aviseraient à contourner les principes rigoureux de gestion des ressources publiques l’apprendront à leur dépend. Le chef de l’Etat a donné des orientations claires et nettes pour le traitement des dossiers sans aucune interférence sur la justice qui n’a jamais libre que maintenant. Les diverses interpellations de ces derniers temps et tous ceux qui attendent de l’être, sur la question des détournements de fonds publics constituent* des avertissements.
Pour le bien de la nation, d’après mes analyses, Le président est celui que nous devons suivre, je ne vois pas comment d’autre peuvent se permette de contredire ses dits, nous voulons assister à un Mali émergeant cela ne peut être sans le soutien de l’ensemble des maliens au président.
Les voisins envieront le Mali au firmament de l’horizon tel le hisser au rang, toujours envié mais jamais atteint, de « Grenier de l’Afrique de l’Ouest ». Pour concrétiser le discours ambitieux comme il a aussi instruit le Gouvernement d’affecter plus de 15% de nos ressources budgétaires au secteur agricole, et de prendre toutes initiatives susceptibles d’amorcer le décollage véritable de ce secteur.
Le Cadre macroéconomique s’est nettement amélioré : l’économie malienne a renoué avec la croissance jugée salutaire. Et continue à se porter mieux. La reprise, soutenue par le secteur agricole, devrait être plus forte à l’année écoulée, mais les performances de ce secteur restent nettement en deçà de notre espoir collectif, ce qui est vrai, à en croire le président. Malgré la coopération dynamique engagée par le Gouvernement avec ses « partenaires techniques et financiers (PTF) », qui a permis la mise en œuvre du programme appuyé par la Facilité élargie de crédit ainsi que celle des accords de prêts avec l’Union européenne, la Banque mondiale et les principaux partenaires bilatéraux et multilatéraux du Mali pour un montant global d’environ 390 milliards de FCFA », l’an dernier. En outre, selon le chef de l’Etat les investissements structurants que nous avons consentis confirment la tendance régulière à la croissance de notre économie nationale.
Nous avons confiance en la gestion du président IBK pour le bien de ce pays. Dans sa quête de ramener la paix et la quiétude, le régime, il faut le dire et à haute et intelligible, a réussi la prouesse de maintenir le cap économique. Les commentaires de l’UEMOA en font foi. L’énorme dette intérieure a été totalement apurée. Le taux de croissance est l’un des plus rayonnants de l’espace communautaire. Il était à 7, 2% en 2014. Qui dit mieux.
Mr. le journaliste, même quand tu n’aime pas le lapin ne conteste pas qu’il possède des grandes oreilles. Avec la gestion du pays nous constatons que les avancées sont à hauteur de souhait. Aujourd’hui, deux ans après l’arrivée du Président Ibrahim Boubacar Keita, les maliens, ont eux-mêmes l’obligation morale de faire le bilan. Ce qui a été fait, et ce qui reste à faire. Nous évitant l’économie des réussites ou des échecs, le régime actuel sur le plan sécuritaire fait ce qu’il peut, en tout cas, mieux que ce qu’il a trouvé en venant aux affaires. Ceux qui voudraient encore évoquer la débâcle militaire de Kidal, doivent tout simplement de réfléchir par deux fois. Le Mali, ce jour là, n’a pas perdu Kidal.
Le Président Ibrahim Boubacar a été élu à un score jamais réalisé au Mali avec plus de 77%. Avant lui, personne n’avait obtenu une marée humaine électorale. Peut-être, après lui, quelqu’un d’autre obtiendra difficilement un tel score de la part des maliens. Seulement, en guise de bilan à mi-parcours, c’est-à-dire, ce qu’il a réussi ou non au cours des deux ans passés à la tête de notre pays, la sagesse commande à la fois l’humilité et la retenue. Quoiqu’élu à un score jamais égalé ou plébiscité pour des amoureux de superlatifs, le Président Ibrahim Boubacar Keita, a hérité d’un pays anormal, un pays exsangue, un pays économiquement, socialement et financièrement à terre, des faits de l’invasion jihado-terroriste, de la gestion calamiteuse d’une junte ayant fait irruption sur la scène politique à la faveur de la gestion chaotique des affaires publiques d’un règne corrompu et mercantiliste. Pour ne rien perdre de vue, un pays réduit à sa plus petite expression où absolument tout est prioritaire.
Un adage bamanan propre de chez nous au Mali, ne dit- il pas, que celui qui travaille sous la pluie, n’a aucune chance de se faire apprécier valablement ? Les deux ans du Président de la République, Ibrahim Boubacar Kéïta, à la tête du pays, sont à l’image de celui qui sue sous la pluie.
Selon le Ministre Mamadou Igor Diarra, Les recettes budgétaires vont dépasser le cap des 1 000 milliards de FCFA en 2016. Il a aussi assuré des réalisations seront fait pour d’avantage booster l’économie.
Grace à Ibrahim Boubacar Keita et ses hommes, plus 1552 logis ont été construit, sur les 50 000 promis d’ici l’horizon 2018, pour abriter 1552 foyers sans abri. Lieu de montrer aux uns et aux autres que le chef de l’Etat a aussi posé des actes salutaire.
Après tous ces résultats colossaux annoncés par le Ministre de l’économie Mahamadu Igor Diarra. Je ne pense pas que le Mali soit confronté à une crise économique, à moins que ce dernier se donne la joie de mentir devant Dieu et les hommes.
Ces années passées par le chef de l’Etat au pouvoir n’ont pas comblé les attentes des maliens certes. Mais nous ne pouvons pas n’ont qualifié ces années comme neutres. Quand même s’il arrive à armé l’armée malienne comme il le faut. Beaucoup de chose peuvent changer.
Je ne peux pas dire que le régime en place assure à 100% la sécurité des maliens. Mais selon, les dires du chef de l’Etat et le Ministre de la défense, des équipements militaires ont été déjà commandé auprès de nos fournisseurs.
Les failles du système sécuritaire ont débutés au Mali depuis que les recrutements militaires ont été conditionnés à l’argent. Avec cette arrivé des terroristes, les choses ne feront qu’empiré c’est sûr.
Les terroristes sont présents au Mali bien avant l’accession d’IBK à la tête du pouvoir. C’est vrai qu’après son arrivée, les choses prennent de jour en jour de l’ampleur. Malgré tout je convie le peuple au calme et à la patience, peut-être bien que les choses peuvent prendre une autre tournure après.
De toute évidence, la crise qu’à secouer notre pays a conduit le peuple dans une souffrance incomparable aux autres dernières années. Les maliens ont subi toutes sortes d’humiliation ces derniers temps. RAISON pour laquelle, ils ont porté leurs seul et unique espoir à était IBK. A présent c’est à lui d’approuver sa reconnaissance aux maliens.
Les années passées par IBK au pouvoir ont été un combat de la paix et pour la stabilité du pays. Il est venu au pouvoir, trouvé le pays plongé dans un gouffre profond de crise. Il est venu trouver le pays dans une crise sans précédent. Il s’est battu et à obtenir la signature d’un accord de paix. Son combat de tous les jours s’oriente à présent vers la stabilité totale du pays. Soutenons-le !!!
😉 😉 😉 Il faut du temps pour sortir ce pays dans la crise, même cinq ans est insuffisant pour cela. Comme nous le savons tous notre pays est plongé dans ce trou cela fait au moins 20 ans. Donc, patience. 😳 😳 😳 😳 😳 😳
Ibrahim avait promis de doter nos forces de sécurité et de défense des équipements nécessaires pour les permettre d’assurer leur mission régalienne et ne manque pas un seul instant de le redire et de le promettre de nouveau. En déplacement dans la troisième région, Sikasso il a fait savoir aux militaires du camp Tièba qu’ils leur ont empêché de leur doter des armements nécessaires. Et qu’il le fera ou sa vie n’aura pas de sens. Ne soyons pas pressés.
Vu la réalisation qu’a fait IBK dans la résolution de la rébellion, toutes choses montrent que son pouvoir à conscience d’être le dirigeant d’un pays en guerre. Tout le monde sait qu’il est venu au pouvoir en période exceptionnelle, contrairement à Alpha et le médiocre ATT. Donc il lui faut du temps.
Ibrahim Boubacar Keïta est un patriote. Son gouvernement est à la fois issu de la crise et le premier régime post-crise. La corruption est un fléau qui existe depuis bien avant le pouvoir que nous connaissons actuellement. Il ne ménagera aucun effort pour instruire la baisse du budget des institutions afin de faire avancer ce pays.
Mr LE JOURNALISTE NE VOUS LASSEZ PAS A NOUS ÉCLAIRER SUR LES CASSEROLES DU RÉGIME EN PLACE, CAR LE MENSONGE A BEAU COURIR PENDANT CENT ANS ;LA VÉRITÉ L’ATTRAPERA EN UN SEUL JOUR.IBK ET SA CLIQUE AURONT A AFFAIRE AVEC LES TRIBUNAUX MALIENS TÔT OU TARD, ILS VONT DEVOIR SE JUSTIFIER DEVANT L’HISTOIRE. ILS PEUVENT SE FOUTRE DU PEUPLE PENDANT UN BOUT DE TEMPS ,MAIS ILS NE POURRONT PAS SE FOUTRE DE NOUS PENDANT TOUT LE TEMPS.COMME IL LE DIT LUI MÈME “ALLAH KA TIGNE DEME” ALLAH DUN BE TIGNE DEME TÔT OU TARD .ON NE PEUT PAS S’AMUSER A PRONONCER LE NOM DU BON DIEU SUR LE MENSONGE ,UN JOUR CELA VA VOUS RATTRAPER.
Mr le journaliste, les menaces d’Ibrahim Boubacar Keïta sont toutes normales. Il commencera leur mise en scène bientôt. Celles-ci consistent à mettre en garde tous les malfaiteurs.
Le Mali avance et bouge dans tous les secteurs. Seulement que l’insécurité secoue le pays, sans le sous-estimée. Ce sont tout simplement les récents affrontements entre les groupes armés qui ont freiné le processus de paix dans ce pays, déjà entamé après le parachèvement du 20 juin 2015 de l’accord par la CMA à Bamako. Cet accord constitue une victoire pour IBK et pour tout le Mali.
La paix et la réconciliation sont aujourd’hui les attentes primordiales des citoyens maliens. Depuis que l’accord de paix issu du processus d’Alger a été signé jusqu’à l’heure actuelle, rien ne rassure. Donc pour que la paix ne reste pas une chose inaccessible pour ce pays, nous dévons faire recours à la conférence d’entente nationale, comme prévue par l’accord, et la période intérimaire.
Il est facile pour vous de critiquer avec une plume aussi bête que celle, Tamboiura. La corruption règne dans ce pays depuis des décennies. Ce n’est pas aujourd’hui que vous allez le dénoncer, Mr le journaliste. Tous les citoyens sont déçus de la mal gouvernance des deux ex-régimes démocratiques.
Ibrahim Boubacar Keïta avant son arrivée au pouvoir et les lendemains de sa prise de fonctions avait promis de relancer notre économie à un stade qu’il n’a jamais connu auparavant. Pendant son exercice, un budget de 1% a été affecté dans le domaine de l’agriculture. Il a dotés les agriculteurs de 1000 tracteurs. Cet acte un plus pour le bilan des deux ans et un certain nombre de mois qu’IBK a fait au pouvoir.
La gestion d’Ibrahim Boubacar Keïta a été toute secouée par la crise et l’insécurité de tous les côtés. Cette période, je la décrète «la paix en perspective». Un accord signé n’a pas jusqu’à présent pu apporter la paix à notre pays. Faute de bonne volonté de certaines parties, les groupes signataires de la CMA. Le gouvernement a fait un grand pas. Mais il ne pouvait pas faire autre que ce qu’il a fait.
Les deux ans et quelques mois qu’IBK vient de faire au pouvoir ‘ont pas pu être tous roses pour les maliens ; et ne pouvaient pas non plus l’être. La crise en faveur laquelle Ibrahim Boubacar Keïta a pris le contrôle des affaires de l’Etat entre ses mains ne pouvait pas lui permettre d’offrir la rose aux malien en si peu de temps. Mais j’espère que le reste de son mandat sera profitable et agréable pour le retour de la paix.
Deux ans et quelques mois écoulés au pouvoir, Ibrahim Boubacar Keïta a fait de son mieux. Prions Dieu qu’il fasse encore mieux. L’accord d’Alger a été signé les 15 mai et 20 juin 2015. Il ne reste plus que son application intégrale. Merci à lui pour les efforts tant déployés en ces deux ans.
Je ne me lasserai jamais de le dire et redire haut et fort, IBK a hérité d’un pays à bout de souffle que ce soit économiquement, politiquement et tant d’autre. Les prédécesseurs d’IBK ont mal géré le pays, leurs modes de gouvernance étaient à la pointe de la corruption, de l’impunité. Evidement le pays a fini par sombrer dans une crise sans antécédent. IBK n’est pas le fautif mais il est élu pour trouver une suite favorable aux maux de notre patrie.
Pour votre information les rapports du VEGAL ne sont pas ignorés par IBK. Ils sont déjà en possession de la juridiction compétente. Nous sommes dans un pays démocratique, alors le pouvoir exécutif ne peut s’interférer dans le domaine du pouvoir judiciaire. Donc la justice malienne traite d’abord les différents dossiers avant de se prononcer. IBK a belle et bien dit « nul n’est et ne sera au-dessus de la loi »
Les détracteurs qui accusent le régime en place d’adopter une négligence vis-à-vis de l’insécurité grandissante. Alors que pensent-ils de cet exploit des autorités et des forces de l’ordre et de sécurités. Il faut savoir que le gouvernement et les forces de l’ordre ont aussi fait des exploits dans l’affaire de sécurité. Dans le combat contre l’insécurité il n’y a jamais eu de risque zéro le gouvernement met tout en pratique pour déjouer à savoir les attaques perpétrés sur le sol malien.
IBK a promis à tous les maliens de réformer notre armées, lors des élections présidentielles de 2013. Les résultats de l’armée est déjà salutaire, IBK est à féliciter de son engagement pour le rétablissement de notre armée. Les promesses deviennent une réalité, fini les rêves promesses vaines. Le gouvernement est à féliciter des exploits de son armée.
Depuis plus de 20 ans le Mali est sous l’ensorcèlement de la corruption, une corruption encouragé par les régimes en place de l’époque. IBK a décrété l’année 2014 pour le début de la lutte contre la corruption. Un fléau qui existe depuis 20 ans ne peut pas prendre fin en une année, soyez sérieux.
Normal, que les 2 ans soit ainsi pour ceux qui veulent qu’elles le soient. Après tout on ne peut pas redresser un pays qui fait plus de 20 ans dans la malice des dirigeants dans les régimes passés. Un pays qui a été trahi pendant toutes ces années avec une économie rabaissé, une armée nulle, une éducation vouée à l’échec, la sécurité des personnes et des biens et même l’intégrité territoriale sont tous menacés et le pays se retrouva sans mille doutes dans un chaos total.
L’économie malienne a souffert de la crise mais les prévisions de croissance, la poursuite du soutien financier de la communauté internationale et les mesures envisagées par le ministre des Finances permettent d’espérer que le pays retrouve son sentier de croissance des années 2000-2010. Durant cette décennie, le PIB a cru au taux annuel moyen de 5,7 %. Le PIB malien a enregistré en 2012 un recul de 0,4%, après une année 2011 dont la croissance avait déjà été assez faible (2,7%). Mais la croissance a rebondi en 2013 avec 1,8 % puis a été de 7,2% en 2014. En 2015, le taux de croissance est estimé à 5,5%.
Cet article est un article incitateur à la haine, les journalistes apatride, de mauvaise foi et corrompus se permet de manipuler la conscient des pauvres citoyens avec des stupidités de toute sorte. Ces journalistes crève la faim la stabilité de leur pays importe peu le plus important à leur yeux est de se remplir la poche avec des miettes, qui peuvent même pas couvrit leurs déplacements.
Aux accusations de surfacturation et de délits d’initiés voire la violation des règles des marchés publics, le gouvernement, à travers des services techniques du ministère du Développement rural, a réagi que le d’acquisition des 1000 tracteurs a été passé conformément au Décret n° 08-485/P-RM du 11 août 2008, modifié, portant procédures de passation, d’exécution et de règlement des marchés publics et des délégations de service public. Dans une note, il est indiqué qu’il a été procédé à un appel d’Offres International Restreint le 30 avril 2015 pour la fourniture de mille (1.000) tracteurs et accessoires pour le compte du ministère du Développement Rural en quatre (04) lots.
En moins de 2 ans on ne peut pas redresser un pays qui a fait plus de 20 ans dans une crise existentielle et multidimensionnelle. Les défis sont énormes et prendront plus de temps qu’on ne le pense. IBK reconstruit les maux dont travers le pays et il commença par la base pour mieux cerner les différentes difficultés existentielles. Cela est une politique de gouvernance plus crédible et plus avantageux.
En tout cas un voleur ne peut pas construire un pays!
Surtout un voleur Soulard qui n’a aucun respect pour le peuple qui a voté pour lui et qu’il a ensuite volé avec 500000 voix supplémentaires inventées par le délinquant Moussani Sinkoni Coulibaly.
Si tu arrives à la tête d’un pays en crise et que tu es compétent tu élabores un plan de sortie de crise et un plan de relance économique et sociale du pays.
Ces deux plans nécessitent des investissements publics colossaux dont il faut vite planifier et chercher des financements adéquats.
Mais en 2 ans IBK a beaucoup bu du champagne et du whisky et à fait 10 fois le tour du monde de Qatar à New York en passant par Paris, Bruxelles, Berlin, et n’tachidon!
Il a Preferé volé des milliards avec les plus grands voleurs du Mali comme les Kagnassy et autres petits délinquants comme Ben Barka, Fily Bouaré, Louis Camara de Funès, Blaise Mogotigui Sangaré, Zoumana Mory Coulibaly, Djimé Diallo, Kassoum Tapo, Maître Konaté, Igor, ect.
En deux ans de pouvoir il a ainsi volé 300 milliards et planifie de voler 500 milliards avant 2018.
Cela fait 800 milliards d’investissements publics perdus pour le Mali et c’est autant de routes, d’hôpitaux, d’infrastructures d’adduction d’eau potable, d’électricité, de télécommunications, d’aménagement agricoles, d’usines, d’écoles et d’universités perdus pour le Mali.
Et c’est aussi plus de 100000 emplois directs et autant d’emplois indirects perdus pour le Mali et tant pis pour la jeunesse malienne au chômage qui n’ose pas se lever pour réclamer son droit à un emploi digne et à une vie descente pendant que IBK et sa famille volent leurs milliards et boivent du champagne avec Davido ou du vin mousseux avec Anne Hidalgo à Paris.
Réveillez vous peuple du Mali sinon le Mali ne sera plus récupérable.
A bon entendeur salut.
Quand on est inspiré d’une conscience noir toujours prompte à dénigrer le chef de l’Etat de son pays. On prend au moins la peine de se cultiver, les prendre connaissance de ce qui est fait, de ce qui est en train de se faire et de ce qui doit se faire.
Kassin, les livres de cuisine que vous écrivez pour tenter bêtement de dissuader le peuple malien à ne plus respecter l’autorité en place sont nuls et sans effet. Pour ma part, je ne trouve pas l’intérêt de te lire, parce que j’ai souvent l’impression d’être devant la copie d’un attardé mentale.
Tu fais des vannes à deux balles, tu compte le nombre de whisky qu’aurait bu le président en lieu et place du champagne. C’est une fois de plus, la bassesse intellectuelle qui a pris le dessus sur ce qui devrait être le débat politique made in MALI.
C’est à croire que les maliens de l’extérieur sont au dessus de ceux, vivant au bled. Dieu seul sait ce qu’ils font dans les pays du TOUBAB pour survivre.
Kassin, En plus de balayer les rues dans l’hexagone, j’ai comme l’impression que la bonne éducation n’a jamais été ton dada. C’est dommage, parce que, le mali a besoin de tous ces enfants pour aller de l’avant. Mais, toi, la MALI t’a visiblement perdu. Tes commentaires sortent de l’ordinaire, on a tendance à croire que tu viens d’une autre planète.
Vous avancez les chiffres que même un videur de poubelle en Français ne saurait dire. A vous lire, on croirait que vous maîtrisez les dossiers, pourtant, il n’en rien de tout cela.
Le peuple est réveille depuis belle lurette. Ton incitation à la haine est une manipulation. Tu es en Europe et tu envois les enfants des gens dans la rue. Ta femme, tes enfants, ton père et ta mère peuvent faire le boulot. Malheureux
Comédien 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Kassin est rigolo, il avance des chiffres pour induire les maliens dans son erreur, dans sa bêtise 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Un véritable rigolo. Son argumentation tourne toujours autour de la même chose. Comme, une machine, il répète la même chose depuis toujours 👿 👿
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