Alors que de nombreux présidents ou Premier ministres des pays de la sous-région étaient présents à l’investiture d’IBK, le 19 septembre 2013, la Mauritanie était représentée par son ambassadeur à Bamako. Du temps d’Amadou Toumani Touré, les relations entre la Mauritanie et le Mali étaient déjà crispées. Attaqué plusieurs fois sur son territoire par des terroristes basés au nord du Mali, Nouakchott critiquait régulièrement le pouvoir malien, accusé de laxisme face à ces groupes. L’absence du président Mohamed Ould Abdel Aziz à l’investiture semble témoigner de la persistance des difficultés entre les deux pays.
Suite à l’offensive des groupes armés début 2012, le climat de méfiance entre Nouakchott et Bamako qui existait sous ATT n’a pas changé. Et ce, malgré l’arrivée du gouvernement intérimaire.
La Mauritanie, qui a de liens historiques et tribaux avec certaines communautés arabes et touaregs du Nord-Mali, estimait, sans remettre en cause l’intégrité territoriale malienne, que certaines revendications des populations du Nord étaient légitimes. Et donc que Bamako devait négocier une solution politique avec les rebelles. Côté malien, l’activisme des dirigeants du MNLA, du MAA et du HCUA depuis la capitale mauritanienne a toujours fait grincer des dents.
Désaccords sur la mission de l’ONU
Nouvelles divergences, au moment du déploiement de la mission de l’ONU, la Minusma. Nouakchott était prête à envoyer des troupes, mais uniquement dans la région de Tombouctou, avec pour argument sa connaissance de la zone, des facilités d’accès pour le ravitaillement et la possibilité d’assurer en même temps le contrôle de ses frontières. Ce que Bamako a jusque là refusé, les autorités maliennes estimant que le choix du déploiement relève de sa souveraineté.
L’arrivée au pouvoir d’Ibrahim Boubacar Keïta ne semble pas avoir, pour le moment, permis d’apaiser les tensions. Les deux chefs d’Etat ont déjà laissé passer deux occasions de se rencontrer : le président IBK, en n’incluant pas la Mauritanie au programme de sa première tournée régionale et Mohamed Ould Abdel Aziz en n’assistant pas à l’investiture de son voisin.
Par RFI
La Mauritanie et l’Algérie sont indiscutablement du côté des bandits armés contre le Mali. Ces 2 pays soufflent le chaud et le froid mais ils ont toujours servi de base arrière pour nos terroristes rebelles et djihadistes. Ils sont le refuge de nos malfrats et constituent la destination de tous nos biens volés par ces bandits.
Nous devons être diplomates mais le Mali ne doit pas se tromper d’ami.
L’amitié marocaine est plus saine.
Prouver à ce parrain de la drogue qu’il est aussi vil qu’une bouse de vache 😛 😛 aux yeux des maliens,…est la seule fierté que je tire de transition. 👿 👿 👿 Au diable le putschiste 😈 😈 Aziz 😈 😈
La Mauritanie cest la voisine du Mali qui l’a poignarde au dos dans le moment le plus calamiteux de son histoire. La Mauritanie n’a meme pas pu penser au peuple malien qui etait dans la detresse et surtout a la recherche d’un ami/voisin consolant. Ce n’est pas judicieux pour un pays de badiner avec la case brulante de son voisin…cest tres tres dangereux!
Vous donnez beaucoup trop d importances aux comportements de ce pays et de ses responsables par rapport au destin du Mali !
De quoi avez besoin ?
L ennemi qui oeuvre pour vous détruire ne sera jamais satisfait sans atteindre son bût ultime, quoi que vous fassiez ;c est clair
C est aux responsables et à l’ ensemble des maliens de ne pas donner la moindre satisfaction à cet ennemi puisqu’il le connait
Jouez votre rôle en étant vigilants et rendez ; s il le faut plus de coups que vous n’ en recevez
C’est la seule condition de se faire respecter par rapport aux indélicatesses d un voisin teigneux et belliqueux
…….Face à IBK il cessera ou ca finira autrement. Ce type n’a jamais caché son soutien au MNLA qui divise notre pays mais d’une part, je renvoie la faute à nous maliens qui ne soutiennent pas aussi les opposants mauritaniens. Les noirs en MAURITANIE sont réduis en esclave et il doit d’abord résoudre ce problème au lieu de s’immiscer dans les affaires du MALI. Nous devons soutenir et armer les noirs de la Mauritanie pour qu’ils dégagent ce putain. Vive le MALI!
RFI sait que de defendre les ennemis du MALI, comme il fait toujours avec le bandit du MNLA.
le president mauritanien va encore nous dire la vérité,
l’affaire entre ATT et la mauritanie,j’etais pas la seule a critiquer ATT,nous avons defendu la mauritanie contre ATT,car il a laissé les islamistes s’instaler au nord du MALI,sans les combatre,cela lui a couté très chère,maintenent la page d’ATT est tourné,le president mauritanien continue toujours a creuser,IBK n’a pas visité le senaigal ni la guinée ni l’Algerie,mais leurs presients et premier ministre etaitent present a Bamako,malgré l’absence de president mauritanien,IBK a salue la mauritanie avec un grand remerciemenr.
Dionkonda a rendu visite en mauritanie avec une forte delegation,apres sa femme aussi etait,nous croyons que tout etait en bonne voie entre le deux pays,mais le president mauritanien n’est pas prete a tourner la page.
il nous tout simplement,j’ai choisi mon camp,je suis pro-MNLA,je suis favorable a la divison du MALI.
Mes amis je suis tres inquiet pour le mali,le mali ne tire aucune conclusion valable des evenments. Ou etais ce IBK quand l’etat malien a vendu son honneur et pactiser avec les terroristes????
Ou etais IBK et les grandes gueules maliennes quand les terroriste se sont installés au nord du mali et attaqués la mauritanie plus de 10 fois pour destabilisé le pays
qui a essayé de déstabilisé qui? quand la femme de ATT est prise sur les boutiques de luxe de paris avec des billets de 500 euros marqués comme argents de rançon espagnoles (enlever en mauritanie en amenés au nord du mali ?????
Un pays qui n’est responsable de rien qui rejette la responsabilité de sa mediocrité sur les autres c’est affligeant
c est bien comme ca..que les relations bilaterales restent au point-mort…pour un certain temps…apres on vera..
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