Après une présidentielle réussie, les regards des états-majors politiques sont tournés à présent vers les élections législatives, histoire pour de nombreux aventuriers politiques de grignoter quelques signes de légitimité.
Dans cette fièvre politico-électorale, le gouvernement de la transition en fin de mission n’est pas si bien avisé de se lancer dans une offensive de continuation, disons de prolongation de dossiers plus ou moins encombrants.
En effet, à la lecture de l’actualité on peut légitimement se poser la question de savoir à quoi jouent les autorités de la transition ?
Tout d abord, qu’est ce qui peut pousser un pouvoir crépusculaire à négocier et conclure tant de marchés et de contrats en déphasage manifeste avec ses deux mandats dont la seule source de légitimité est le consensus national et international, à savoir : libérer le nord et organiser les élections ?
Cette propension illégitime à vouloir rester aux affaires va encore plus loin avec à la cuvée une silencieuse opération de bradage du patrimoine public de l’Etat qui soulève la question suivante : le gouvernement cherche t-il à frayer un désert matériel au futur régime chargé de reconstruire un pays déjà à terre ?
Tout de même, qu’est ce qui emmène ce même gouvernement à se projeter dans la programmation d’élections législatives au 27 octobre prochain alors que ni les textes, ni les circonstances ne l’y obligent réellement ?
En vérité, l’objectif in fine de toutes ces manœuvres n’est il pas de nourrir une entreprise susceptible d’empêcher au nouveau président de la République d’avoir une majorité parlementaire pour lui infliger, qui sait, une cohabitation désastreuse ?
C’est dire que les spéculations sur ces faits assimilable a du sabotage vont bon train, encore que, convenons-en une fois pour toutes, tous ces actes décalés par rapport à l attente réelle de la population, ne résisteront point à la très probable censure et révision de l’imperturbable futur locataire de Koulouba, qui garde un silence respectable et républicain depuis la fin de la campagne pour le second tour.
L’élection d’un nouveau président de la république dans la concorde et la transparence est venue rassurer les opinions les plus sceptiques sur la capacité du peuple malien à dessiner son avenir et à tenir la boussole de sa réhabilitation. Dans ce sens, il était attendu de tout pouvoir dit de transition d’assurer la continuité historique pour donner corps et sens à l’Etat, et à la Nation une raison sacerdotale ! Mais au regard de ce qui passe de façon vertigineuse depuis quelques semaines et vu ce qui a été posé comme acte de gouvernement, on peut dire objectivement que notre fameuse transition nous donne du grain à remoudre : nominations à outrance aux postes de responsabilités, passation de marchés de plusieurs dizaines de milliards en procédures exceptionnelles, octroi de licences de téléphonies, achats de centaines de véhicules civils , autorisations d’explorations pétrolières, etc. Quel gâchis !
Cette attitude détériore l’atmosphère de la bonne marche de l’Etat et du respect du principe républicain. Il aurait été plus sage et plus politiquement correct de laisser certaines prérogatives gouvernementales mais hélas délicates à la prochaine équipe qui aura les coudées franches pour mieux les conduire avec responsabilité et obligation de résultat après en avoir analysé tous les contours.
Mettre un nouveau gouvernement avec tant de défis latents dans un océan d’engagements antérieurs à son mandat, dans un contexte aussi délicat, c’est le pousser lâchement à s’aventurer sur un champ de mines où chaque pas peut s’avérer grave de conséquence. Apres le geste de Soumaila Cissé, le 3ème et dernier gouvernement de la transition doit savoir raison garder et se consacrer à préparer un terrain propice à la stabilité et au passage de témoin en toute assurance et esprit de responsabilité. En un mot, ne poser aucun acte d’inconfort pour le futur et légitime gouvernement.
Le peuple averti du Mali prendra ses gardes et ne tombera pas dans ces pièges tendues à dessein. Il s’assumera résolument dans la cohérence de ses options claires du 28 juillet et du 11 août 2013. A bon entendeur salut !
Souleymane SIDIBE pour Maliweb.net
Pour ma part, on ne me fera JAMAIS avaler que la nomination du crétin est le SEUL fait de Dionkiss! Il est certes criticable sur bien des points, mais il n’est pas non plus complètement débile!
Lancer cette nomination ne pouvait QUE soulever la rage et la vindicte de 90% du peuple, ne pouvait QUE mettre notre armée fragile en ebullition, etc, etc… Et aucun homme politique NORMAL n’aurait pris sur lui de s’attirer les foudres d’un pays tout entier par une telle énormité! Aucun! Et surtout à quelques jours de partir…
Cette nomination (qui coïncide très curieusement avec l’inévitable “remerciement” qu’IBK devait à Sanogo pour son soutien, très curieusement!…), et Dionkiss ne peut qu’avoir été dans tout ça l’exécuteur officiel de cette forfaiture!
Je suppose que la contre-partie que celui-ci peut en attendre devait être suffisamment alléchante!
Mais le silence TOTAL d’IBK démontre et confirm un peu plus son implication personnelle! A mon sens…
Quand aux contrats signés en catastrophe avec des sociétés fictives enregistrées aux Caïmans, je ne pense pas qu’il s’agisse d’un piège quelconque destiné au gouvernement suivant, mais plus simplement, d’un désir sordide (et systématique!) de se bourrer les poches avant de partir!
TU REVIENDRAS A’ DE MEILLEURS SENTIMENTS INCHALLAH!!! POUR LE MOMENT, C’EST LA HAINE QUI ENVAHIT TON PETIT COEUR!!!
Comment Dioncounda et sa bande de merde peuvent-ils se permettre de prendre des decisions aussi graves qui engagent l’avenir de notre pays a quelques semaines de leur depart?Dioncounda et son equipe ne devraient gerer que les affaires courantes surtout au momnet ou nous avons un President elu?
La pratique republicaine veut que le president elu soit consulte sur de telles decisions et que celui-ci mettre son veto si necessaire.Dans ce pays ,la seule chose que l’on sait faire de mieux c’est le vol.Ceux qui croyaient que cette crise aura ouvert les yeux aux maliens ,doivent dechanter.Nous avons un peuple mal eduque qui ne voit rien venir jusqu’a ce que les choses lui petent a la figure.
C’EST BIEN LE MEME KINGUIRANKE’ QUI A INSULTE’ LE MALI EN DECHIRANT SON PASSPORT…MALIEN ET EN DISANT QU’IL N’AVAIT PLUS RIEN A’ VOIR AVEC LE MALI!
KINGUIRANKE, DJONCOUNDA A TOUJOURS SON PASSPORT… MALIEN ET IL EST LE PRESIDENT PAR INTERIM DU… MALI!!!
IL FAUT CESSER TON THEATRE. DJONCOUNDA EST LE PRESIDENT JUSQU’AU 4 SEPTEMBRE. UNE FOIS QU’IBK PRETE SERMENT LE 4 SEPTEMBRE 2013 COMME PRESIDENT DU MALI, IL PRENDRA LES MESURES QU’IL JUGERA NECESSAIRES POUR NOTRE FASO. POUR LE MOMENT, C’EST DJONCOUNDA LE PRESIDENT. NE MELANGEONS PAS LES CHOSES!!!
L’ETAT C’EST LA CONTINUITE’!!!
JE PEUX TE DONNER COMME EXEMPLE L’ANCIEN PRESIDENT AMERICAIN GEORGES H. BUSH QUI A DECIDE’ D’UNE INTERVENTION MILITAIRE AMERICAINE EN SOMALIE EN DECEMBRE (APRES SA DEFAITE AUX URNES FACE A’ CLINTON)! POURTANT IL SAVAIT QUE CLINTON ALLAIT LE REMPLACER EN JANVIER!!!
L’ETAT DOIT CONTINUER A’ FONCTIONNER NORMALEMENT!
Tu es peut etre aux USA mais tu ne connais pas l’actu americaine mieux que moi.En envoyant les GIs en Somalie,Bush a bel et bien obtenu l’aval de Clinton d’abord.
Le peuple doit descendre dans la rue pour chasser ce Gouvernement avec des gourdins. Il n’est constitué que d’inconscients incompétents!
vous avez raison Alsace. cependant , nous peuple comprenons tous ces actes posés et ne jujerons aucunement IBK sur des actes qu’il n’a pas posé malgré que l’état soit une continuité. quand aux nominations bidons tout sera reboulé.J’ai pourtant depuis hier dit sur maliweb que j’ai l’impression que Dionkounda regrette la réussite des élections et qu’il n’a pas envie de partir.
Le mathematicien, sournoisement veut détruir le Mali après son départ.
Si non comment comprendre qu’un interimaire qui doit partir dans peut de jour face des nominations injuste dans une armée dejat divisée? Il n’a plus le droit de nommer qui que se soit.Son mandat est terminé.
Djonhiss veut trahir le Mali car il ne pensait pas que le mali allait réussir son élection. Maintenant, il veut le K.O.
J’ai confiance à Kankélétigui qui s’aura gérer cette situation d’injustice car les maliens ont voté ton intégrité et non ta complaisance.
Ne tombez pas dans ce piège posé par ce Djonkiss qui veut toujours le pouvoir qu’il n’aura plus jamais au Grand Mali.
Dieu aimant le Mali, a voulu que Djonkiss nous revelle sa vrai nature avant que les Maliens ne le prennent pour un Héros
Attention Grand IBK les maliens vous regarde et maintenant Tolérence ZERO.
La jeunesse ne se laissera plus trompé
Petite analyse politique:
Il faut vite aller aux élections législatives. Les dates arrêtées sont bonnes pour la principale raison qu’il faut doter aussitôt le pays d’une assemblée légitime permettant au nouveau président de gouverner démocratiquement. Sinon le président serait obligé de gouverner par ordonnances faute de majorité collée aux suffrages exprimés.
Ainsi, IBK n’a nullement intérêt à repousser ces dates car la dynamique actuelle lui permet en toute probabilité d’avoir une majorité absolue ou relative à l’assemblée, conditions préalables pour appliquer son programme et avant d’aborder les dossiers chauds.
De plus, le fait que les dates soient fixées dores et déjà par les autorités de la transition garantit la neutralité du processus engagé. Et les contraintes temporelles seront respectées par le nouveau pouvoir.
Bonjour
Malheureusement il est de tradition dans notre pays pour un gouvernement sortant de mieux protéger ses arrières a travers des nominations stratégiques et surtout de se remplir les poches au maximum en vidant les caisses de l’état au détriment du peuple malien. Depuis la transition dirigée par ATT a nos jours ça a toujours été ainsi chers compatriotes. Sortons de nos silences et battons nous pour confier la gestion de ce pays a des hommes intégres et patriotes. C’est vrai qu’au Mali sur chaque million de maliens il y a au mieu un seul patriote le reste ne pense qu’à sa gueule. Après un sanogo général pour nous divertir ils dilapident nos maigres ressources et la classe politique dans un souci de positionnement brille par son silence!!! Pas un seul leader n a eu le courage de dénoncer cette promotion absurde!!!
Le fait que les autorites de transitionne fait que miner le terrain pour le nouveau president est une verite’ qu’on ne peut pas nier. Cela va se regler bientot car l’aigreur que ressent les bientot grands chomeurs du Mali les poussent a multiplier d’ardeur pour racler le fond du tresor publique et signer des contrats redoutables et s’offrir des indemnites et salaires gonfles des ministres et premier ministres.. Sans honte ni hesitation. Bonne specialite’ de Dioncounda et consorts..
Il y a une continuite’ de l’etat qu’on ne doit pas perdre de vue! IBK pretera serment le 4 septembre 2013. C’est a’ partir de ce jour que son mandat debute. D’ICI LA’, NOUS AVONS UN PRESIDENT PAR INTERIM QUI FAIT UN EXCELLENT TRAVAIL. TOUTES LES DECISIONS QU’IL EST ENTRAIN DE PRENDRE, ONT POUR BUT DE FACILITER LA MISSION DE SON SUCCESSEUR! DJONCOUNDA A FAIT PREUVE D’UNE SAGESSE EXTRAORDINAIRE. IL A MIS LE MALI AU-DESSUS DE TOUTES LES AUTRES CONSIDERATIONS!
LE PRESIDENT DUMENT ELU IBK DOIT CONSOLIDER LES REALISATIONS DE DJONCOUNDA!
CEUX QUI TEMPETENT CONTRE DJONCOUNDA, ONT DES INTENTIONS CACHE’ES! ILS LUTTENT POUR LEURS PROPRES PETITS INTERETS. LE MALI NE LES CONCERNE PAS!!!
Interview exclusive! Avec
Habib Sylla, président du haut conseil des maliens de l’extérieur.
Après dix huit mois de crise sans précédent, les Maliens ont élu leur nouveau Président de la République qui incarne les valeurs d’un homme d’Etat. L’élection d’Ibrahim Boubacar Kéïta a été saluée par M. Habib Sylla, Président du Haut Conseil des Maliens de l’Extérieur résident au Gabon. Dans l’interview qu’il a bien voulu nous accorder, il parle les défis qui attendent le nouveau Président, la contribution du HCME à son élection, et la santé de son Institution.
Le Progrès: Monsieur Habib SYLLA bonjour! Les Maliens viennent d’élire leur nouveau Président de la République; quel commentaire faites-vous en tant que Président du Haut Conseil des Maliens de l’Extérieur ?
Habib Sylla: En tant que porte parole de la diaspora,je tiens à manifester ma très grande satisfaction face à l’élection du nouveau Président de la République du Mali. La démocratie malienne s’est montrée très exemplaire aussi bien en ce qui concerne le déroulement du scrutin que de l’attitude patriotique affichée par l’ensemble des candidats.
Le Progrès: Etes-vous satisfait du déroulement du scrutin ?
H.S: Plus que satisfait dans la mesure où nous avons tous suivi le déroulement de ce scrutin aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du Mali. Et s’il y’a une constante à relever c’est bien que la transparence qui entoure le déroulement de ce scrutin ne fait l’objet d’aucune contestation. D’ailleurs, les différents observateurs de la communauté internationale ainsi que les acteurs de la société civile sans parler des médias dont vous faites partie, ont été des témoins privilégiés de cette grande réussite. Donc, Je pense en toute sincérité que ce scrutin fera date et qu’il sera un exemple pour l’ensemble des pays d’Afrique et pour le monde.
Le Progrès: Beaucoup de gens craignaient une crise post électorale au Mali, mais le candidat vaincu SoumaïlaCissé s’est rendu chez son challenger pour le féliciter avant les résultats officiels. Quelle appréciation faites-vous de ce geste ?
H.S.: Vous savez, les Maliens de la Diaspora, que nous sommes, avons été touchépar cette belle scène à laquelle le monde entier a été témoin. C’est un acte de Bravoure ! Je pense que le candidat SoumaïlaCissé est à féliciter. Et cela permettra certainement à tous les maliens de comprendre davantage que l’élection présidentielle n’est pas une guerre, mais plutôt une compétition.Et le fait que le finaliste accepte de façon démocratique, bien avant même la proclamation des résultats officiels, de reconnaitre sa défaite et aller vers le vainqueur le saluer, n’est qu’une manifestation de l’esprit de cohésion et d’unité qui a toujours caractérisé le peuple Malien. Par ailleurs, cette scène inédite prouve que la victoire d’Ibrahim Boubacar Keïta a été sans appel ; Saluons ce geste hautement appréciable de SoumaïlaCissé. Et j’en profite pour féliciter tous les sympathisants et militants de tous les partis ayant participé à cette compétition car ils ont tous contribué à la réussite de ce scrutin.
Le Progrès : Selon vous, quelles doivent être les priorités du futur Président de la République ?
H.S.:Vous savez, la crise que nous avons vécu a gravementremis en causela solidité de nos institutions et plus grave encore, c’est l’autorité d’Etat qui a été complètement mise à mal. A cet égard, il me semble que la grande majorité de nos concitoyens ont pris la mesure de la situation. Car je vois dans le plébiscite massif à l’endroit d’Ibrahim Boubacar Keïta une reconnaissance de sa stature d’homme d’Etat. Si les maliens l’ont élu avec une majorité aussi franche c’est qu’ils ont estimé que pour repartir de l’avant il fallait un homme fort et capable de réunifier cette nation. Je fais parti de ceux là. En effet je pense que le président le sait, car il l’a évoqué à plusieurs reprises durant sa campagne, qu’il faudra remettre en route l’appareil d’Etat et l’ensemble des organes institutionnels afin de réaffirmer notre intégrité territoriale. La situation au Nord a été stabilisée mais il reste du travail. Le président IBK a été le premier à se rendre à Kidal pendant la campagne électorale, c’est bien la preuve que la question de l’intégrité territoriale du Mali fait parti de ses priorités. Le président Keïta a aussi signifié dans son programme sa volonté de permettre à l’armée malienne de disposer de matériels d’armement adaptés pour garantir notre sécurité. Par ailleurs, je pense que la corruption qui gangrène nos administrations sera un fléau à combattre pour la nouvelle équipe dirigeante. Enfin la situation de l’emploi sera le grand défi du nouveau président. Dans son programme présidentiel, il a promis un fonds pour l’emploi de 250 Milliards de FCFA qui devra s’articuler autour de plusieurs axes de son programme économique pour la croissance.
Le Progrès: Quelle analyse faites- vous de la nomination du capitaine Amadou Haya Sanogo au grade de général ?
H.S.: Je pense à raison ou à tort que le capitaine Sanogo et le président par interimDioncoundaTraoré ont été des collaborateurs et des acteurs majeurs durant la période de crise, et que si aujourd’hui cette crise a pu connaître le dénouement aussi favorable dont je me félicitais précédemment, c’est que cette collaboration a été d’une certaine façon fructueuse. J’ai une grande confiance aux autorités de transition et je leur reconnais un sens de responsabilité indéniable. Le capitaine Sanogo est un soldat Malien comme les autres, il aurait pu atteindrece grade à travers une évolution plus conventionnelle ; Mais si le rôle qu’il a joué dans la stabilisation de la crise malienne lui fait mériter une telle promotion, pourquoi ne pas l’en féliciter.
Le Progrès : Comment se porte le Haut Conseil des Maliens de l’Extérieur?
H.S.: Le Haut Conseil des Maliens de l’Extérieur se porte très bien. Vous savez, avant que je ne prenne la tête de cette institution, les divergences et divisions dans plusieurs des bases établies dans plusieurs pays étaient source de cacophonie. Très récemment encore, les inquiétudes au niveau des Etats-Unis d’Amérique ont pu être réglées, un bureau des Etats-Unis d’Amérique a ainsi vu le jour, il y’a tout juste quelques semaines. Et aujourd’hui au moment où je vous parle, il n’ y a, à ma connaissance, aucune crise dans aucune de nos bases, nous parlons de la même voix. Aussi, le président de la république ayant mis en avant le rôle des maliens de l’extérieur dans son programme présidentiel à travers les mesures phares decréation d’une maison des maliens de l’extérieur, création d’une banque réservée à la diaspora afin d’orienter les investissements. Le Haut Conseil des Maliens de l’Extérieur entend prendre toutes ses responsabilités afin de faire réussir le président Ibrahim Boubacar Keïta dans sa mission.
Le progrès: Votre mot de la fin, Monsieur le Président
H.S.: Je profite de l’occasion pour saluer tous les Maliens pour avoir permis la tenue de cette élection crédible, transparente, libre, apaisée et acceptée de tous et qui s’est passée sans problème et je félicite les autorités de la Transition pour leur travail exceptionnel. J’adresse une mention spéciale à la communauté internationale pour son soutien sans faille à l’endroit du peuple malien.
Interview réalisée par
Bally Salif SISSOKO et AMADOU T DANSOKO
cet article a du ce que je pense
Merci Mr. Sidibe. N y a-t-il pas des lois ou des restrictions qui empechent un gouvernement surtout de transition qui d’ailleurs avait deux missions principales qui lui etait assignees a savoir: la reconquete du nord et les elections presidentielles, de se livrer a coeur joie a signer des contrats, faire des nominations, a fixer les dates des elections legislatives, acheter des vehicules de service non seulement a la fin de son mandat mais aussi apres l’election presidentielle et a deux semaines avant l’investiture du nouveau president. Il n’est dit nulle part que c’est la transition qui doit mettre sur place l’equipe du nouveau president. Quelqu’un veut-il deja mettre des batons dans les roues du nouveau gouvernement? Tout ca se passe au nez et a la barbe du peuple qui ne dit rien jusqu’a ce que la merde s’installe et il vat accuser la victime. IBK DOIT PUREMENT ET SIMPLEMENT REVENIR SUR TOUS CES CONTRATS SIGNES, CES NOMINATIONS EN LES PASSANT AU PEIGNE FIN. SEULEMENT AU MALI.
🙄 🙄 🙄 ?IL est completement fou votre DONKISSS,car il perdu la notion du temps ,et veut le faire revenir à tout prix 👿 👿 👿 👿 quel honte 😯 😯 😯 ➡ ➡ ❓ ❓
RIP pour notre Etat!!!!!!!!!!!
Il faut un CONTROLE de CONSTITUTIONNALITE des decisions gouvernementales.
Que fait de plus notre cour constittutionnelle a part proclamer des resultats d’election ❓ ❓ ❓
Enough is enough. 👿 👿 👿
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