Soumaïla Cissé s’est exprimé jeudi 23 août pour la première fois depuis que la Cour constitutionnelle du Mali a déclaré définitivement élu à la présidence Ibrahim Boubacar Kéita. L’opposant a déclaré qu’il ne reconnaissait pas le verdict de la Cour, avant d’appeler à la mobilisation générale.
Très en verve, Soumaïla Cissé a affirmé faire partie des 18 candidats sur les 24 à l’élection présidentielle malienne à avoir dénoncé « les fraudes massives ». Selon lui, les résultats du scrutin du 12 août sont désormais également contestés par une partie de l’opinion publique.
En tout cas, il « rejette catégoriquement et sans équivoque les résultats proclamés par la Cour constitutionnelle », qui désigne Ibrahim Kéita élu Président de la République. A ses yeux, « cette institution s’est discréditée en se constituant prisonnière volontaire d’un régime autocratique ».
Soumaïla Cissé l’affirme : « Je ne céderai pas – en votre nom – à faire établir votre victoire, par tous les moyens légaux, politiques et pacifiques ». En conséquence, il ne reconnaît « pas élu le président déclaré ».
Et pour la suite de ce qui pourrait paraître comme un début de crise postélectorale, il appelle les jeunes, les autres candidats à la mobilisation générale.
L’homme officiellement déclaré battu au second tour de la présidentielle, appelle ce samedi 25 août à une marche dans la capitale malienne pour que « la démocratie malienne se restaure ».
A Nouakchott, en Mauritanie, IBK a affirmé qu’il n’y avait pas eu de fraude lors de l’élection présidentielle malienne
24-08-2018
Publié le 24-08-2018
Le Blanc emmerdant est une espece nuisible…
Depuis le début des élections l’opposant Soumaila est dans la contestion,contestation qui va jusqu’à contester la cour constiutionnelle bie avant même la proclamation des résultats du premier tour.La décision de la cour est sans appel ,la revocation des juge est impossible, c’est pourquoi il fallait accepter ,le toilettage de la constition,afin de créer une instance de régulation .La cour des compte devrait aussi voir le jour afin de réguler la cour suprême.Cest la constition même qui a fait de ces juridictions des NONARQUES.Il n’y a pas de voies légales, ni pacifique,sauf de se mettre au dessus de nos instances ,et cela ne peut se faire que par un rapport de force qui ne sera accepter par aucune démocratie au monde.Cela peut ressembler au cas SANOGO,EN CAS DE BLESSURE du chef de file de l’opposition ,il ne pourra pas aller se soigner en FRANCE comme la derniére fois.Le Mali une fois de plus ne veut pas d’une autre guerre ,puisqu’on est dèjà en guerre comme si cela ne suffisait pas:Honte à qui chante pendant que Rome brûle ,s’il n’a la lyre et les yeux de Neuron.
Abas La Republique Malizawad de Boua pour que vive la Republique du Mali, Unie, Forte et Prospere.
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