Au Mali, la polémique sur la fin de la transition entre les tenants du pouvoir et une partie de la classe politique ne baisse pas. Dans la foulée de ce débat sur l’interprétation des textes, le M5-RFP, tendance Dr Choguel Kokalla Maïga, principale allié des militaires au pouvoir, estime que la durée de la Transition est fixée de six mois à cinq 5 ans conformément aux recommandations des assises nationales de la Refondations depuis que le Mali est sorti de la CEDEAO.
Le débat sur la fin de la transition continue d’opposer les pros et les anti prolongation de la transition. La classe politique est divisée en deux parties entre l’idée de poursuivre la transition jusqu’à l’installation des nouvelles institutions et ceux qui constatent la fin juridique de la transition depuis le 26 mars 2024.
Le mouvement du 5 juin, tendance favorable au premier ministre Dr Choguel Kokalla Maïga, rejette l’idée d’un vide juridique constaté par une partie de la classe politique. Pour les proches du Chef du gouvernement, la transition prendra fin avec l’installation des nouvelles institutions issues des élections libres et transparentes. Pour cause, ils estiment que depuis le retrait du Mali de la CEDEAO aucun protocole ne lie le pays à cette organisation relativement à un chronogramme électoral établi au détriment de la volonté exprimée par l’ensemble des Forces vives lors des Assises Nationales de la Refondation.
Pour le M5-RFP, la transition est désormais conforme aux recommandations desdites Assises qui, selon lui, a clairement établi la durée de la Transition de six (6) mois à cinq (5) ans. De quoi fait dire au M5-RFP que le Gouvernement reste confortablement dans les délais pour l’organisation des prochaines élections. Le mouvement règle ses comptes avec une classe politique ayant récemment boycotté les invitations du chef du gouvernement. «Il n’y a rien de nouveau dans le fait que ces partis et forces vives , qui se sont toujours opposés à la marche et à tous actes de la Transition, se retrouvent dans un jeu trouble pour contester sa progression sous prétexte que la date convenue pour l’élection présidentielle ait été reportée », critique le M5-RFP proche de Choguel.
L’article 190 de la Constitution brandi comme nouvelle preuve
Cette tendance du M5-RFP qui partage la gestion du pays avec les militaires rejette l’idée selon laquelle la transition politique a pris fin le 26 mars 2024. Dans la foulée, elle brandit l’article 190 de La Constitution de la 4ème République promulguée le 22 juillet 2023 qui précise dans ses dispositions transitoires que «les Institutions établies continuent d’exercer leurs fonctions et attributions jusqu’à la mise en place des nouvelles institutions issues des élections prochaines».
Les proches du premier ministre de transition Dr Choguel Kokalla Maïga citent comme troisième preuve l’article 22 de la Charte de transition révisée du 25 février 2022 qui dispose, selon eux, que « la Transition prend fin avec l’élection présidentielle organisée par les autorités de la Transition, la prestation de serment et la passation des charges au nouveau Président élu ». Le M5-RFP tendance Choguel qualifie ces partis politiques signataires ayant constatés la fin de la transition d’user « de mauvaise foi » et d’être nourris d’une intention de tromper l’opinion nationale. Le M5-RFP tendance Choguel estime que ce n’est qu’un prétexte pour les signataires de la déclaration pour hypothéquer leur entrée dans un gouvernement d’union nationale. « La formation d’un gouvernement d’union n’aura comme conséquence que d’hypothéquer le processus de Refondation en cours auquel ces partis politiques n’ont jamais cru et adhéré », constate le M5-RFP
Dans le même ordre d’idée, ce M5-RFP souligne que l’organisation des élections pour l’installation des Institutions nouvelles sensé mettre fin à la transition ne pourra se tenir sans un préalable incontournable déjà engagé par les Autorités de la Transition. Il s’agit, selon le M5-RFP, de l’élaboration et l’adoption des textes portant lois organiques et lois ordinaires d’application prévues par les dispositions de la nouvelle Constitution. Au nombre desquelles il cite : la loi électorale déterminant les dispositions complémentaires relatives à l’élection du président de la République, celle qui détermine les dispositions légales relatives à la procédure de destitution du président de la République, les lois ordinaire et électorale fixant les modalités de représentation des Maliens établis à l’extérieur à l’Assemblée nationale et celle déterminant les modalités d’élection ou de désignation des députés et des sénateurs.
Siaka DIAMOUTENE/Maliweb.net
Nous disons au President Assimi de continuer a être le capitaine du bateau-Mali pendant les 10 années a venir nous sommes prets pour construire un avenir pour le Mali.
Political Class efforts demonstrate there is likelihood that should not be taken lightly of Strong NATO influence within that group searching for ways to destabilize Mali plus AEs in manner that will lead to return of governance that allows NATO to again plunder Negroid Africa while our citizens fall to what will become genocide of peasantry. We are in god speed taking actions to prevent like occurrence plus must be transparent plus in explicit language put forth that what is occurring in Mali plus AEs nations in steps plus stages.
We must keep our efforts moving forward in all we are capable of securing. In that we seem unable to secure we must in timely god speed find way to secure it. Unity of Africa is at issue plus we will no longer leave it to elderly Negroid African leaders who are ass kissers of NATO. Different Africa is present to be managed by courageous, younger, intelligent plus work smart group of Africans.
I advocate doing equitable business with NATO but not presence of NATO armies on African soil. For hundreds of years before armies of NATO nations became known as NATO they bought grief to Negroid Africans plus that have not changed. It is simply is being more cleverly conducted from outright plundering to trafficking of illicit drugs that finance terrorists imposing terrorism on Africans necessitating we spend huge amounts of government budget on defense against terrorists. that money would be spent on upgrading living conditions. To upgrade living conditions we must take austerity type management on everything except war effort. African ingenuity is obligation not choice.
Henry Author Price Jr aka Kankan
sangare l’écervelé, tu continues avec ta diarree verbale pleine d’inepties et d’idioties, peux-tu répondre a ma question: combien d’années la transition en France a dure sous le general De Gaule? Ou combien d’années la transition au Ghana a dure sous Jerry Rawlins? Le peuple Malien n’a pas besoin de ses faux fils voleurs, corrompus et nepotistes que sont tes politiciens de mauvaise race sans education et tres mal élevés!
DEGAULLE a été élu président du conseill par les députés.
Il n’a pas fait la transition, espèce de dérangé.
Rawlings était dans la période de parti unique.
Ce n’était pas la transition.
Donc MOUSSA TRAORE aussi a fait une transition de vingt trois ans.
Espèce de dérangé.
Va te soigner!!!
sangare l’écervelé tu ne connais pas tes leçons d’histoire et je ne suis pas surpris et loin de la!
La CONFISCATION DU POUVOIR est actée.
Il y a l’impression que la manipulation qui a consisté à accuser les hommes politiques d’être responsable de l’insécurité en cours a fonctionné.
ORGANISER LES ÉLECTIONS, C’EST RAMÈNER AU POUVOIR LES HOMMES POLITIQUES CONTESTÉS.
C’est une évidence car les partis politiques sont confondus à ces hommes politiques qui ont exercé le pouvoir alors que certains ont rajeuni leurs directions politiques.
LA MANIPULATION DOIT ÊTRE SOUTENUE PAR DES ACTES DE GOUVERNANCE TENDANT À AMÉLIORER LA SITUATION ÉCONOMIQUE DE LA POPULATION POUR QU’ELLE SE PERPÉTUE.
Avancer des arguments farfelus afin de ne pas organiser les élections est audible pour ceux qui sont convaincus que les hommes politiques sont responsables de l’insécurité,que seuls les militaires sont efficaces.
Ces arguments deviennent inaudibles,même pour ces naifs, si la situation économique ne s’améliore pas,mais se dégrade au fil des jours.
L’ÉCONOMIE COMMANDE TOUT!!!
Ça veut dire que les OPPORTUNISTES POLITIQUES sont tellement obnubilés par le pouvoir qu’ils n’arrivent pas à comprendre que s’accrocher au pouvoir,c’est connaître le sort réservé aux présidents MODIBO KEITA,AMADOU TOUMANI TOURE et IBRAHIM BOUBACAR KEITA.
Quand le peuple n’a pas d’autres moyens de sanctionner les tenants du pouvoir,il fait appel à la violence.
CHOGUEL MAIGA agit contre ses intérêts politiques et personnels sans le savoir tellement aveuglé par la soif du pouvoir.
Il suffit de constater la situation des proches d’IBK qui ont refusé tout partage du pouvoir que réclamait avec insistance le chef de fil de l’opposition SOUMAILA CISSE.
Ce dernier était entrain de sauver le pouvoir d’IBK, mais il était tellement assoiffé de pouvoir qu’il ne pouvait pas comprendre que la proposition de SOUMAILA CISSE est salutaire.
SOUMAILA CISSE AVAIT COMME RECOMMANDATION ENTRE AUTRES L’ÉCART DES HOMMES MAFIEUX QUI ONT FINI PAR ÉCARTER IBK.
Il voulait une partie des pouvoirs du président de la République.
Une méthode expérimentée avec succès au Kenya.
AUCUN MILITAIRE N’OSE ÉCARTER LES PREMIERS ET DEUXIÈME DES ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES.
Ils sont plus que légitimes,s’ils sont au sommet de l’Etat.
IBK a raté l’occasion de neutraliser politiquement,non pas ses adversaires politiques, mais ses ennemis qu’il croyait ses amis,même des fils pour certains d’entre eux.
CHOGUEL MAIGA est entrain de pousser les COLONELS PUSCHISTES à commettre les mêmes erreurs.
AUCUN POUVOIR NE PEUT RIEN CONTRE LA VOLONTÉ INÉBRANLABLE DU PEUPLE DE SE LIBÉRER, surtout un pouvoir à plusieurs têtes qui se fissure aisément avec la pression populaire.
Plaider pour la longévité de la transition pour un chef de gouvernement,c’est ignorer ses intérêts.
CHOGUEL MAIGA est entrain de renforcer ses adversaires politiques.
Bientôt la population malienne va considérer ces hommes politiques honnis comme ses sauveurs tant la crise économique sera insupportable.
Plus les puchistes restent au pouvoir, plus la situation économique s’aggrave.
Seules les élections vont contribuer à améliorer la situation économique.
Aucun acteur économique n’ose intervenir au Mali tant que les puchistes y sont installés.
Demandons- nous quelle etait la duree de la transition en France sous le General De Gaule? Et aussi la duree de la transition au Ghana sous Jerry Rawlins? Sortons du logiciel de la CEDEAO ou de la FRANCEDEAO et batissons notre Mali notre patrie sans les prescriptions ou les pressions des ennemis du Mali. Le Burkina Faso et le Niger doivent faire de même. Que vive l’AES pour le bonheur des peuples Maliens Burkinabe et Nigeriens.