La France a “salué” samedi l’accord de sortie de crise signé la veille entre la junte au pouvoir au Mali et la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) et a appelé à sa mise en oeuvre “sans délai”, a déclaré le chef de la diplomatie, Alain Juppé.
La France “invite tous les acteurs maliens à mettre en oeuvre sans délai les dispositions prévues par l’accord, notamment celles destinées à permettre la tenue des élections présidentielles dans le meilleur calendrier possible”, a-t-il dit, précisant que Paris reprendrait, “dès l’installation des autorités constitutionnelles”, sa coopération bilatérale civile avec le Mali.
Source: TF1.fr – 07/04/2012
K la France nous fiche la paid; ils sont a la base de tt ce ki ce passe chez nous.
Les fantoches de la CEDEAO peuvent déjà sabrer le champagne. Blaise Compaoré, Ouattara et tous ces mangeurs de foies d’Albinos se frottent les mains ; et le Mali sera saccagé mais jamais par les violeurs de l’ECOMOG, de l’ONU ou d’ailleurs, si les Maliens ne prennent pas en charge eux-mêmes, la défense de leur intégrité et de leur souveraineté.
Depuis quand des néocoloniaux ont libéré un peuple d’Afrique? Surtout quand on reprend les mêmes et on recommence à Bamako, mais sans ATT pour la forme; un menu limogeage qui sauve un système néocolonial pourri qu’à dores et déjà accepté la Junte ; et pourquoi avoir osé un sursaut national qui ne va pas jusqu’au bout?
Ils ont gagné contre la Junte au profit de la bourgeoisie compradore malienne peu intéressée par le cadre national; mais qui tient à ses élections en tant que moments de consolidation de ses intérêts de classes, pendant que les racistes obscurantistes de l’AQMI et autres ethnicistes touaregs s’installent au nord. Pendant ce temps l’émiettement de la Nation peut se poursuivre, car dans le cadre du capitalisme néolibéral prédateur, initié par les multinationales minières et du pétrole, la Nation devient un anachronisme et un obstacle aux affaires; et cette conception devient également vraie pour la bourgeoisie nationale qui désormais préfère opérer dans des cadres d’intégration régionale type CEDEAO en lien avec des multinationales qui opèrent dans des espaces émiettés, sans la contrainte d’États nationaux forts. Les Soudanais, les Libyens, le vivent. Bientôt, c’est le tour du Mali, du Niger ou de la RDC suivant l’agenda de l’impérialisme occidental et des intérêts néocoloniaux des bourgeoisies africaines. Finit donc les principes de l’intangibilité des frontières. Ce qui intéresse les fantoches africains au pouvoir à Ouagadougou, Abidjan, Libreville ou N’Djaména, ce sont leurs intérêts personnels ou de classe. Et sans le combat d’une autre Afrique anti-impérialiste en face, l’émiettement et les partitions continueront; en plus des massacres de masses qui vont avec.
Les fantoches de la CEDEAO peuvent déjà sabrer le champagne. Blaise Compaoré, Ouattara et tous ces mangeurs de foies d’Albinos se frottent les mains ; et le Mali sera saccagé par les violeurs de l’ECOMOG, de l’ONU ou d’ailleurs, si jamais les Maliens ne prennent pas en charge eux-mêmes, la défense de leur intégrité et de leur souveraineté.
Depuis quand des néocoloniaux ont libéré un peuple d’Afrique? Surtout quand on reprend les mêmes et on recommence à Bamako, mais sans ATT pour la forme; un menu limogeage qui sauve un système néocolonial pourri qu’à dores et déjà accepté la Junte ; et pourquoi avoir osé un sursaut national qui ne va pas jusqu’au bout?
Ils ont gagné contre la Junte au profit de la bourgeoisie compradore malienne peu intéressée par le cadre national; mais qui tient à ses élections en tant que moments de consolidation de ses intérêts de classes, pendant que les racistes obscurantistes de l’AQMI et autres ethnicistes touaregs s’installent au nord. Pendant ce temps l’émiettement de la Nation peut se poursuivre, car dans le cadre du capitalisme néolibéral prédateur, initié par les multinationales minières et du pétrole, la Nation devient un anachronisme et un obstacle aux affaires; et cette conception devient également vraie pour la bourgeoisie nationale qui désormais préfère opérer dans des cadres d’intégration régionale type CEDEAO en lien avec des multinationales qui opèrent dans des espaces émiettés, sans la contrainte d’États nationaux forts. Les Soudanais, les Libyens, le vivent. Bientôt, c’est le tour du Mali, du Niger ou de la RDC suivant l’agenda de l’impérialisme occidental et des intérêts néocoloniaux des bourgeoisies africaines. Finit donc les principes de l’intangibilité des frontières. Ce qui intéresse les fantoches africains au pouvoir à Ouagadougou, Abidjan, Libreville ou N’Djaména, ce sont leurs intérêts personnels ou de classe. Et sans le combat d’une autre Afrique anti-impérialiste en face, l’émiettement et les partitions continueront; en plus des massacres de masses qui vont avec.
Toujours accusé les autres cela fait la honte du peuple malien. Mais vue l’article publiés sur jeuneafrique.com c’est pas étonnent de voir l’armée malien en difficultés, je peut pas comprendre que c’est la majorité de tout un armée GP qui as trahir son président sauf quelques un d’entre eux comme le lieutenant-colonel ABDINE GUINDO et ses hommes mes respects SOLDAT, la côte d’ivoire a besoin des SOLDAT comme vous messieurs. Vive l’afrique
Il est important de comprendre que la France est passee a la seconde phase de son plan et parle de ”solution politique”, de ”negociations” avec le MNLA pour leur accorder l’autonomie, c’est-a-dire une independance deguisee.
1. Or ni le president de la republique ni son interimaire n’a mandat pour ”negocier” avec qui que ce soit une modification des frontieres ou une modification de la forme de l’Etat (autonomie ou federalisme).
2. En dehors du peuple malien lui-meme qui est seul detenteur de la souverainete, personne n’a ce pouvoir au Mali. Personne n’a le pouvoir d’aller s’enfermer avec une partie quelconque pour ”negocier” ce genre de choses.
3. Une telle modification ne peut intervenir qu’a l’issue d’un referendum etendu a l’ensemble de la nation.
4. D’autre part la France veut une negociation entre le Mali et le MNLA. Or ce n’est pas le MNLA qui controle quelqie chose dans le nord du pays. C’est le groupe terroriste Ansar Dine et Ansar Dine dit qu’il ne demande aucune autonomie, independance ou federalisme.
5. Tous les pays, toute la communaute internationale ont tenu a preciser qu’ils tiennent a l’integrite tyerritoriale du Mali.
6. Finalement, pourquoi est-ce que la France ”exclut toute solution militaire” apres que les rebelles aient impose leur ”solution militaire” et qu’ils tiennent le Nord par les armes?
7.En consequence la seule solution est d’aider le Mali a recuperer l’integralite de son territoire car le President de la Republique n’a pas mandat pour modifier la forme de l’Etat a l’issue de ”negociations” avec une quelconque partie et si ca devait etre le cas ce ne serait de toutes les facons pas avec le MNLA qui ne represente pas grand-chose sur le terrain.
Jsui pas sûre d paris.ceci est un complot ,sinon parlez nous du nord du mali ki nous intéresse le plus
Vous avez voulu que sanogo et ses hommes partent
Vous voilà bientôt aux affaires une occasions pour vous de réparer les 20ans de défaite que vous et votre démocratie maquiller à causer sur notre pays
J’esper pour vous que que nos jeunes soldat tombé.à angel hoc ne restera ps impunis et qu’il y aura pas d’élections sans le retour de nos refusés dans leur foyer respectifs et la plus importante pas d’autonomie pas d’indépendance pour le nord de notre pays
ATTENTION Unisson nous pour combattre l’ennemis en commun (mnla aqmi ansar dine )
Nous ne voulons qu’une bonne issue pour notre pays,le reste est secondaire.
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