Le soutien à la transition et la formation d’un gouvernement composé de tous les regroupements politiques du pays sont des préoccupations de la présidence de la République. À cet effet, elle a initié une série de rencontres avec la classe politique. Ce mercredi, c’était au tour du mouvement Ensemble pour le Mali (EPM), composé de partis politiques de l’ancienne mouvance présidentielle. Il a été reçu au palais présidentiel de Bamako par un proche du président Bah Ndaw.
Les chefs des partis politiques de l’ancienne majorité présidentielle ont massivement effectué le déplacement. Devant le représentant du chef de l’État, qui était en déplacement à l’extérieur, ils ont tous tenu le même discours : pour une transition réussie, il faut que le prochain gouvernement élargisse sa base politique.
Le Premier ministre malien Moctar Ouane est actuellement en pleine consultation, et les leaders politiques reçus au palais n’ont pas caché que leurs formations sont prêtes à participer à la future équipe. Le souci d’inclusivité a été retenu par tous.
Mais lors de la rencontre, l’organisation des prochaines élections a également été au centre des discussions : des intervenants ont réclamé le financement des partis politiques comme l’exige la loi. Ils ont l’impression qu’au sommet de l’État certains veulent leur couper les vivres.
Les interlocuteurs du représentant du président Bah Ndaw ont également demandé aux autorités de la transition de fixer les priorités, à environ neuf mois des prochaines présidentielles et législatives. « La transition ne peut pas tout faire. Si ça va dans tous les sens, il y a risque de dérapage », prévient un homme politique présent à la rencontre.
Enfin, les uns et les autres lors de la rencontre ont reconnu que la question sécurité demeure une préoccupation.
Y a-t-il eu des bruits de bottes à Bamako ?
Dans le même temps, les chefs militaires auteurs du coup d’État du 18 août dernier ne sont pas consultés, du moins pour le moment. Certains s’inquièteraient même des portefeuilles qu’ils occupaient dans l’équipe sortante.
Tout a commencé le week-end dernier. Après sa reconduction à son poste, le Premier ministre Moctar Ouane entame les consultations pour la formation d’un nouveau gouvernement. Intervient alors ce qui pour certains est une information, et pour d’autres une simple rumeur : des troupes de l’armée venues de l’intérieur du pays auraient renforcé des positions militaires dans la capitale et ses environs. Pourquoi ? Parce que des hauts gradés de l’ex-junte ne sont pas contents, craignant de quitter le gouvernement.
Les deux informations ont été démenties par les mêmes militaires auprès de personnalités. Mais la tension était perceptible. D’après nos informations, les présidents ghanéen et ivoirien, deux poids lourds dans le dossier malien, ont même été alertés. Sur place ici, la troïka composée des représentants de l’UA, de la Cédéao et de la Minusma, entre en contact avec les autorités pour calmer le jeu, avant de rendre public un communiqué : soutien ferme aux dirigeants de la transition, avec espoir d’une transition inclusive, insiste le même communiqué.
De notoriété publique, le président Bah N’Daw et son Premier ministre forment désormais un duo qui fonctionne. Ils entendent librement nommer librement les membres de la future équipe. Et cette fois-ci, il semble que les haut gradés de l’ex-junte ne sont pas encore au centre des tractations.
La meilleure maniere de resoudre les problemes du Mali c’est de fusiller les politiciens de Bamako toutes tendances confondues. Il faut liquider au moins 200 personnes impliquees dans des dossiers sales.
J’imagine que tu feras partie des 200 personnes, n’est-ce pas?
N’importe quoi!
Une tres bonne solution car ainsi on se debarasse de tous les voleurs, les surfactureurs et les delinquents financiers!
Tche je suis certain que Joe fait parti et sa famille fait partie de ces 200 a fusiller a 4.00 heures du matin, c’est pouquoi il reagit de cette maniere indescente!
Oui on peut commencer par ta famille, toi le faux malien qui as déchiré ton passeport…😂😂😂
QUI VA CONSULTER MON PEUPLE?
CE PEUPLE HORS DE BAMAKO!
CE PEUPLE HORS DE L ISLAM!
CE PEUPLE NONFRANCEXCISE’!
CE PEUPLE RESILIENT!
CE BRAVE PEUPLE!
CELUI DE TIENEKEH KROU’BALI!
CELUI DE NOUFA TRAORE!
CELUI DE SAMBA DIALLO!
CE LUI AMION DOLO!
CELUI DE SOULEY TOUREH!
CELUI DE AG AZAMANE ET DE AG BAMBARI!
CELUI DU KHASSO ET DE NARA et de NIORO!
🙂 CE PEUPLE HORS DE BAMAKO DOIT DECAPITER BAMAKO! ET SES MAHONNETES, HYPOCRITES 🙂
coupez l’aide aux partis politiques, c’est du gaspillage.
Ces politicards c’est un peu comme le chewing-gum malabar sous les baskets ou le scotch du capitaine Haddocks, impossible de s’en débarrasser. Nous savons tous qu’une force qui est politique ne peut pas être d’opposition, elle est de collaboration…Et dire que les magistrats osent l’ouvrir encore pendant que les boubeye et les bacari tréta …se la coulent douce…Prrrrrrrrr SAN PORON TCHI
𝔹onsoir
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C est ridicule. Ces consultations c est du n importe quoi pour tromper encore les pauvres maliens. On n a pas besoin de consultation de groupements pour connaître les maliens intègres digne honnête voulant le bonheur du peuple. Soyons sérieux et intellectuel. La bonne manière demande d abord à diffuser des critères de sélection qui seront analysés et commentés par les gens avec ou sens propositions. Les maliens pourront même aller jusqu’à proposer des gens. A présent il n y a pas de critères rigoureux de sélection du président, du gouvernement, des députés, directeurs, membres des institutions etc.
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