Il y a aussi l’agression de Dioncounda Traoré, à son époque Président de la transition par une foule agitée conduite par les associations « Yèrèwolo Ton », « COPAM » et autres pour lui demander de quitter le pouvoir après l’expiration du délai constitutionnel de 48 jours, sous l’œil complice de la junte de Sanogo. Un crime, faut-il le rappeler, resté aussi impuni. Car au regard de la gravité de l’acte criminel perpétré par rapport à la petite peine de six mois avec sursis infligée aux auteurs. A savoir, contre 3 personnes seulement alors que d’autres complices qui ont activement participé au coup sont toujours dans la nature. Ou en fuite dans d’autres pays.
Ils ne doivent pas trop se réjouir de cela car selon certaines sources, les autorités envisagent de revenir sur l’affaire pour leur infliger une peine maximale à la dimension du crime commis pour servir la jurisprudence nationale. Toute procédure qui nécessitera l’interpellation d’autres complices en fuite comme Fatoumata Doumbia, Moussa Sanogo ou Karamoko Sylla qui ont été d’un rôle capital le jour de l’agression de Dioncounda Traore. Et ce, afin qu’on mette fin à cette situation d’impunité décriée de plus en plus par les organisations des droits de l’Homme et certains acteurs de la société civile comme Me Brahima Koné. Lequel avec son nouveau livre intitulé « Combattre l’impunité », met en garde les autorités contre cette impunité et les appelle à rendre justice et dignité pour les victimes.
Modibo Dolo
o mali on a beaucoup vu entendu vecu il est temps qu on se reveille ces histoires n ont plus de place une raison plus que raison doit faire comprendre a tout le monde la vrai verite des choses mais le malien est ce qu il est dans son habitude de balader son nez dans toutes les sauces.JE regrette mais la verite est la verite si on est croiyant tout court.
Comments are closed.