Afin de trouver une solution à la grave crise politique que traverse la Mali, le président Ibrahim Boubacar Kéita a reçu mardi 7 juillet des représentants d’une trentaine de candidats aux législatives déclarés élus lors de la proclamation des résultats provisoires par le ministère de l’Administration territoriale, mais par la suite recalés par la Cour constitutionnelle qui proclame les résultats définitifs des élections. La rencontre de mardi n’a pas débouché sur de solutions concrètes malgré des propositions du président malien.
La présidence de la République du Mali les appelle dans un communiqué « le collectif des candidats contestataires des résultats des législatives ». Mais eux préfèrent le titre de « députés élus et spoliés par la Cour constitutionnelle ». Pendant plus de deux heures, leurs représentants ont rencontré le président Ibrahim Boubacar Keïta pour trouver une solution à la crise. Pour le moment, le problème reste entier.
Adama Diarra était membre de la délégation qui s’est rendue au palais présidentiel. « La réunion n’a rien donné de précis en terme de solution, mais il était important que le président de la République puisse échanger avec les acteurs principaux, ceux-là même au sujet desquels la crise est survenue », dit-il.
Mais au cours de la rencontre, le président IBK a évoqué la possibilité de recaser tout ce monde au sein du futur Sénat. Proposition non acceptée. « Le président de la République a évoqué cette question du Sénat en terme de solution politique. Mais nous avons réitéré notre opposition qui est celle d’entrer en possession de nos sièges », poursuit Adama Diarra.
Les discussions se poursuivront avec un médiateur, le Haut Conseil islamique du Mali. Mais pour le moment, il devient clair que le président IBK n’envisage pas dans l’immédiat une dissolution de l’Assemblée nationale, alors que l’oppositon durcit le ton.
À ma connaissance, nous n’avons pas encore de sénat au Mali. Alors, pourquoi parler d’un sénat non existant dans un contexte de contestations des résultats des élections législatives ? En ce moment, un sénat n’a aucune utilité pour les Maliens, sauf pour gaspiller davantage les maigres ressources de l’État.
Une crise sociopolitique est comme une maladie infectieuse; sans traitement elle ne fait que s’aggraver.
À mon avis, la meilleure façon de rétablir la justice consiste à organiser les élections législatives partielles dans les circonstances électorales où les résultats font l’objet de contestation.
Je ne suis pas sûr que IBK soit réellement déterminé à résoudre cette crise. À cause de cette attitude, le Président risque d’exacerber la colère des Maliens contre lui et son régime. Ce qui pourrait lui coûter extrêmement cher et, par conséquent, à notre pays.
La sante mentale d’IBK est en question et tres serieusement, ce n’est pas qu’il veut ou ne veut pas mais il est fou, regardes ses gestes et actions, il n’est plus normal, il est mentallement incapable de gerer le Mali et c’est ce qu’il faut voir dans cette situation.
Boua le ventru IBK rentre dans l’histoire comme le president le plus grand corrupteur, le nullard, le voleur, le sans vertu et le sans honneur que le Mali n’ait jamais connu. C’est lui qui nomme les Senateurs? Ou est le Senat au Mali? Boua hallucine et reve apres avoir vole le vote des deputes correctement elus, il leur reconnait qu’il leur a vole leurs votes et puis leur dit d’accepter de sieger dans un Senat fictive! Le Mali est perdu car nous n’avons plus de president, la sante mentale de Boua est tres preoccupante, Boua est tres serieusement malade, Boua a perdu ses faculties de jugement!
Il y a trop de gens a mettre d’accord il faut IBk et un negociateur serieux pas ces rigolos
Faites confiance a IBK et il nous sortira de cette crise
Vous voyez bien qu’ils sonbt remplit d’Ego ils ne veulent même pas leur nom mais un autre nom
C’est normal ils proposent tous des solutions différentes on ne peut trouver de solutions avec ces gens là../
Comments are closed.