Le Premier ministre malien Cheick Modibo Diarra est arrivé à Paris ce lundi 26 novembre 2012 pour s’entretenir avec les autorités françaises du raffermissement des relations entre les deux pays, indique un communiqué de la primature déposé lundi (25 novembre) matin à Xinhua.
Le texte précise que le déplacement du Premier Ministre s’ inscrit dans le cadre de ses efforts destinés à maintenir et à renforcer la mobilisation de la communauté internationale autour du Mali pour accélérer le recouvrement de l’intégrité territoriale de notre pays.
Le chef du gouvernement doit notamment rencontrer le ministre français des Affaires Etrangères, Laurent Fabius, pour évoquer l’ appui de la France en vue de la reconquête des régions illégalement occupées par les terroristes et les narcotrafiquants, selon le communiqué..
Pour rappel, lors de sa rencontre avec la presse nationale et internationale, tenue le lundi 5 novembre dernier, le ministre malien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Tiéman Coulibaly, avait évoqué les raisons de sa présence chez le médiateur de la CEDEAO, le président du Burkina Faso, Blaise Compaoré, qui avait reçu à la veille des représentants du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et d’Ançar Dine Iyad Ag Ghali.
Evoquant sa présence dans la capitale burkinabé, le chef de la diplomatie malienne avait laissé entendre : « quand les protagonistes (MNLA et Ançar Dine, Ndlr) vont à Ouagadougou ou ailleurs, le Mali y ira pour s’exprimer. (..). Là où on parle du Mali, je dois y être. On ne va plus parler du Mali à notre absence ».
Il reste à savoir si le déplacement du Premier ministre malien, Cheick Modibo Diarra, à Paris, s’inscrit également dans ce cadre. En tout cas, le communiqué n’a pas indiqué cela.
Par ailleurs, une délégation du MNLA a été reçue jeud dernier à Paris, à sa demande, par des hauts fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères.
L’Alliance des Démocrates Patriotes pour la Sortie de Crise ( ADPS, un regroupement de partis politiques et d’organisations de la société civile, Ndlr) a « condamné avec la dernière rigueur la rencontre officielle qui vient d’avoir lieu à Paris entre les séparatistes du MNLA et le ministère français des Affaires Etrangères », indique un communiqué déposé vendredi à Xinhua.
Il est à noter que le Conseil de sécurité de l’Organisation des nations unies (ONU) a adopté le 12 octobre 2012 la résolution 2071, portant préparation de l’envoi d’une force militaire internationale au Mali. Une autre résolution est attendue dans le même sens très prochainement suite au rapport du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon.
Publié le 2012-11-27 10:05:07 | French. News. Cn
DEVANT CONTRIBUER A LA COHÉSION NATIONALE, LES CONCERTATIONS NATIONALES ET LES NÉGOCIATIONS SONT INCONTOURNABLES.
L’ENGAGEMENT RESPONSABLE DE CHAQUE PARTIE PRENANTE ET LA COHÉSION NATIONALE CONDITIONNERONT UNE SORTIE DURABLE DE LA CRISE AU MALI EN GARANTISSANT LA NON IMPUNITÉ, LA RESTAURATION DE L’INTÉGRITÉ TERRITORIALE ET DE L’UNITÉ ET LA RÉCONCILIATION NATIONALE MAIS AUSSI LA PAIX ET LA SÉCURITÉ PÉRENNES.
Bonjour,
Les concertations nationales et les négociations doivent être INCLUSIVES et OUVERTES aux régions, à la diaspora et à toutes les parties prenantes, A TRAVERS UN ENGAGEMENT RESPONSABLE.
Ce dernier fait que doivent y prendre part tous les Maliens, de toutes les communautés, qui acceptent les principes (refus du terrorisme, non impunité, respect des droits de l’homme, coexistence pacifique, …) et les conditions (pour les groupes armés (MNLA, Ansar Dine, Gandakoye, …): dépôt des armes, indivisibilité du Mali et laïcité) retenus d’un commun accord lors de ces dernières.
Il fait partie du guide et de la plateforme de concertations nationales et de négociation pour une sortie durable de la crise, que j’ai proposés au Président, aux Maliens et au médiateur.
Les concertations nationales sont INCONTOURNABLES pour apporter des réponses à la difficulté qui fait qu’on a du mal à les rendre inclusives et ouvertes (à travers l’engagement responsable) et que les parties prenantes ont du mal à s’entendre sur leurs termes de référence donc leur finalité, les opérations et leurs ordonnancement pour apporter une réponse durable à la crise au Mali.
Plusieurs éléments peuvent contribuer à expliquer cette difficulté tels que : l’exclusion de certains Maliens, la non compréhension par certains Maliens de ce qu’on veut faire, les égos de certains membres des parties prenantes, leurs desseins inavoués, les amalgames, la haine, l’engagement en ordre dispersé qui nuit à la cohésion et à la garantie d’une solution pour le bien-être collectif.
Ce sont certains des aspects bloquants qu’il faut expliquer, les mettre de côté ou bien les traiter, comme le futur réellement souhaité, les opérations à traiter pour y parvenir et leur ordonnancement à travers une feuille de route (ce qui est indispensable à faire tout de suite et l’ordre des opérations pour y arriver, comme la nécessité ou pas d’organes de transition additionnels, la restauration de l’intégrité territoriale, les élections, les grandes lignes de ce qu’il faut faire juste après les élections).
Sans ce travail préalable à tout, on risque d’avancer dans le désordre, sans cohésion, sans traiter ce qu’il faut et sans consensus entre les parties prenantes sur la problématique rendant difficile, voire impossible, la négociation.
Ce qui peut nous amener à la fin de la transition sans rien faire de concret, comme la libération des zones occupées, la tenue des élections justes, qui sont les objectifs majeurs de cette transition.
L’aspect cohésion nationale est très important et prédétermine la suite.
Les concertations nationales aideront à créer cette dernière autour du futur souhaité.
L’engagement responsable de chaque partie prenante et la cohésion nationale conditionneront la réussite de la sortie durable de la crise au Mali en garantissant la non impunité, la restauration de l’intégrité territoriale et de l’unité et la réconciliation nationale mais aussi la paix et la sécurité pérennes.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC et Gouvernance
E-mail : Webanassane@yahoo.com
Freres maliens, freres africains, freres humains, LE FRONT ANTI-NEGOCIATION EST NE. faites passer le mot: dans les villes, campagnes, hameaux et villages, contres et bougouda, les peuples du Mali ne pardonneront jamais a leur dirigeants de comparer et de compromettre L’AVENIR DE 14 MILLIONS DE PERSONNES POUR SAUVER 1500 (OU MOINS) PERSONNES.
SUR FACEBOOK, DANS VOS EMAILS, VOS CORRESPONDANCES, DANS LES SOTRAMAS, DANS LES BUS SUR VOS MOTOS ET DANS VOS VOITURES, DANS VIS GRINS DE THE, DANS VOS SALLES DE CLASSE DANS VOS CONVERSATIONS TELEPHONIQUES, DITES LE AVEC force et conviction : JAMAIS DE NEGOCIATION AVEC LE MNLA OU ANSAR DINE.
Les europeens ne doivent pas pousser le Mali a negocier avec des gens qui ont enleve leur compatrioteS pour le vendre a AQMI. L’Algerie ne doit pas se faire la voix d’apatrides et de trafricquants qu’elle a chasse de chez lui ET AU MEME MOMENT elle refuse la moindre concession a SES COMPATRIOTES DE LA KABYLIE.
QUEL HONNEUR ET QUELLE DIGNITE Y A-T-IL POUR UNE ETAT, UNE NATION A S’ASSOIR ET DISCUTER AVEC UN GROUPE QUI NE VEUT PAS VIVRE AVEC LES AUTRES.
Il est plus que temps, Associations des ressortissants du Nord, hommes politiques, societe civile, Religieux et athes, somas et donsos,paysans, eleves, Maliens du Nord, Maliens du Sud, maliens de l;Est et Maliens de l’Ouest,C’EST MAINTENANT LE MOMENT DE SE LEVER ET DE DIRE NON, NON, NON. NOUS NE VOULLONS PAS DE NEGOCIATION AVEC NI ANSAR DINE, A PLUS FORTE RAISON LE MNLA. C’est aujourd’hui que vous devz elever vos voix, crier haut et fort. Sinon demain il sera trop tard. Demain, vous serez mis devant le fait accompli.
DEMAIN, CE SERAIT COMME DANS CES ELECTIONS OU LES LENDEMAINS, VOUS VOUS REVEILLEZ AVEC QUELQU’UN QUE VOUS N’AIMEZ PAS, simplement parce que vous n’avez pas voter du tout.
UN ETAT, UNE NATION DIGNE ET RESPECTE N’A PAS PEUR NI HONTE DE NEGOCIER AVEC une communaute qui se sent marginalise, avec une region sujette a des difficultes, une partie de la population qui a un avis contraire, mais JAMAIS AU GRAND JAMAIS AVEC UN GROUPE DE PERSONNES, QUI POUR DES INTERETS PERSONNELS, ONT PACTISE AVEC DES TERRORISTES,LE CARTEL DE LA DROGUE POUR METTRE LE PAYS A GENOU ET QUI ONT COMMIS AU VU ET AU SU DE TOUS :viols, meurtres gratuits, destruction du tissu economique et provoque le deplacement des milliers de personnes, au nom desquels, ils pretendent commettre ces forfaits.
ATOUS LES REBELLES: VOUS NE VOULLEZ PAS VIVRE AVEC NOUS? ALLEZ AILLEURS
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