Le Mouvement du 5-juin (M5-RFP) tendance Choguel K. Maïga a publié un communiqué, ce vendredi 18 avril 2025. Les leaders du mouvement, à l’issue d’une réunion sur la relecture de la Charte des partis politiques, ont fait des propositions sur les nouvelles concertations dont les phases régionales se sont achevées le jeudi 17 avril.
Au moment où l’armée malienne fait face à d’énormes défis, le M5-RFP juge « inopportun », ce moment pour des consultations pouvant créer les conditions de tensions sociopolitiques dans le pays. Dans son communiqué, le M5-RFP demande d’abord aux autorités de la Transition de « s’en tenir scrupuleusement aux Recommandations des Assises nationales de la refondation (ANR), déjà actées dans la nouvelle Constitution ».
Selon le M5-RFP, toute concertation sur le statut des partis politiques doit avoir comme objet de « proposer les modalités d’opérationnalisation des dispositions constitutionnelles en la matière », conformément aux recommandations de l’ANR. C’est dire que les nouvelles concertations doivent porter exclusivement sur : la réduction du nombre de partis politiques avec des conditions restrictives de création et de financement ; la relecture de la Charte des partis politiques, avec une réaffirmation du statut de chef de file de l’opposition ; l’interdiction du nomadisme politique des élus.
Parce que les recommandations issues des nouvelles concertations (régionales) sortent des assises et du respect de la Constitution, le M5-RFP déclare ne pas vouloir « s’associer à aucune dénaturation des résolutions de principe suffisamment claires de l’ANR ». Ces nouvelles concertations, selon le communiqué du M5-RFP, « ont tout l’air de tentatives de reprise desdites ANR ».
Mamadou TOGOLA / maliweb.net
Donnons la chance aux 399 ‘partis politiques’ de mourir et mettons sur place des critères tres clairs dans la charte qui permettent au Mali d’avoir des partis politiques et pas des ‘hommes forts’ qui créent avec leurs familles et amis des sociétés et entreprises familiales comme CNID=Mountaga Tall, PARENA=Tieblen Drame, MPR=Choguel Maiga, FARE=Modibo Sidibe, CODEM= Poulho, UDD=Hubert Coulibaly, SADI= Omar Mariko, etc. etc, a cette triste realite s’ajoute le M5-RFP tendance Choguel Maiga, le M5-RFP tendance Modibo-Operation-Riz-Sidibe, le M5-RFP tendance Jamil Bitar, le M5-RFP tendance Imam Oumarou Diarra, alors que la democratie exige des systèmes forts et pas des ‘hommes forts’!
Choguel Maiga a eu la liberté de créer son parti. Maintenant qu’est ce qu’il demande: la réduction du nombre de parti. Donc restreindre cette liberté, qu’il a eu, dont il a joui dans sa jeunesse, à d’autres Maliens, à la jeunesse malienne, au futurs cerveaux maliens.
Voilà comment Choguel Maiga montre qu’il n’a jamais été, au fond, un vrai démocrate.
399 partis politiques est une honte et une vraie indignation, Chacani l’ écervelé, vous avez commercialise la democratie au Mali et vous avez democratise la corruption au Mali, voici la verite. Les 399 partis politiques vont disparaître pour que des nouveaux partis naissent sous des nouveaux critères de la nouvelle charte des partis politiques a appliquer a tous: 1) représentativité, 2) pas de financement public pour les partis politiques, 3) la fin du nomadisme politique et 4) le strict respect de la majorité sortie des urnes!
Choguel Maiga tu sais que le peuple Malien a parle et nous allons appliquer ce qu’ il a dit pleinement et entierement.
399 ‘ partis politiques ‘ dans un pays c’ est du jamais vu c’ est une honte et une indignation car c’ est un vrai signe de division très maudite de notre pays! Honte a toi et a tous ces politiciens complexes, faibles et corrompus formates par la FrancAfrique.
Le Mali a besoin d’une refondation, c’est une évidence. Mais pas d’une refondation confisquée. Ce qu’il faut, c’est un processus ouvert, pluraliste, profondément démocratique — pas une transition verrouillée, manipulée en coulisses par l’armée pendant que quelques civils dociles jouent les figurants politiques.
Le processus est entre les mains du peuple Malien et nous allons appliquer pleinement et al tout ce qu’ il dira!
Is that M5 or agent working for Iman Dicko knowingly speaking nonsense under existing total circumstance for security.
Africa First.
People of Books.
Henry Author Price Jr aka Kankan
Tout a fait d’accord avec toi l’African! Une junte incapable et illégitime qui doit sa survie a des mercenaires payés en or n’arrivera jamais a museler le peuple Malian jaloux de sa souverainté confisquée par wagner. Sad to say but needed to be said! 🙂
PS: The replies you got from the perrot (Kinqui) and the mad/crazy one (Kankan) are idiotics as usual.
Nous nous souvenons que le General De Gaule a fait des décennies au pouvoir pour reformer et refonder la France, alors pourquoi nous précipiter dans le gouffre encore? Prenons notre temps pour le refondation du Mali. Donnons la chance aux 390 ‘partis politiques’ de mourir et mettons sur place des critères tres clairs qui permettent au Mali d’avoir des partis politiques et pas des ‘hommes’ forts qui créent avec leurs familles des sociétés et entreprises familiales comme CNID=Mountaga Tall, PARENA=Tieblen Drame, MPR=Choguel Maiga, FARE=Modibo Sidibe, CODEM= Poulho, UDD=Hubert Coulibaly, SADI= Omar Mariko, etc.etc, la democratie exige des systèmes forts et pas des hommes forts!
Ce communiqué du M5-RFP, tendance Choguel K. Maïga, pose une question cruciale pour l’avenir du Mali : sommes-nous en train de construire une démocratie solide ou d’organiser une transition sans fin pilotée par les militaires et leurs alliés civils ?
Le M5-RFP appelle à respecter strictement les recommandations des (ANR), désormais inscrites dans la Constitution. Jusque-là, rien de surprenant. Mais en creusant un peu, on voit poindre une tendance plus préoccupante : la volonté de figer le débat démocratique et de verrouiller l’espace politique.
Sous prétexte de moraliser la vie politique, le mouvement propose :
– de réduire drastiquement le nombre de partis politiques,
– de durcir les conditions de création et de financement,
– et d’interdire le nomadisme politique.
Certes, ces réformes partent d’un constat réel : le système politique malien est fragmenté, instable, souvent corrompu. Mais la solution ne peut pas être un filtrage à outrance qui écarte les nouvelles voix, réduit la concurrence politique et concentre le pouvoir entre les mains de quelques “partis autorisés”. C’est le chemin tout tracé vers une démocratie de façade.
Et pendant ce temps, les autorités de la Transition, toujours issues du coup d’État militaire de 2020, gagnent du temps, enterrent le calendrier électoral, et prétendent parler au nom du peuple à travers des assises déjà anciennes. Le refus du M5-RFP de participer aux nouvelles concertations régionales, sous prétexte qu’elles dénaturent les “résolutions de principe”, envoie un signal clair : le débat est clos, circulez, il n’y a rien à voir.
Mais la démocratie, ce n’est pas la répétition d’un texte gravé une fois pour toutes dans le marbre d’une Constitution. C’est un processus vivant, qui se nourrit du désaccord, du débat, du renouvellement des idées. Sans cela, on ne réforme pas un pays, on l’endort.
Le Mali mérite une refondation, oui. Mais une refondation ouverte, pluraliste et réellement démocratique, pas une transition verrouillée dans laquelle l’armée tire les ficelles pendant que quelques civils “loyaux” assurent la vitrine politique.
Africain, +1000.
Chakani: ++++399
M5RFP tendance Choguel Maiga, M5RFP tendance Modibo-Operation-Riz-Sidibe, le M5RFP tendance Jamil Bitar, le M5RFP tendance Imam Oumarou Diarra, que des enfantillages, la recreation est finie car les forces vives du Mali ont decide la dissolution des 390 ‘partis politiques’ existants et l’application de la nouvelle charte des partis politiques pour faire avancer le MALI KURA.