Après avoir passé la journée de jeudi dans le nord du Mali avec les soldats français, le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est entretenu vendredi 8 mars à Bamako avec le Premier ministre malien de transition, Diango Cissoko, et le président par intérim Dioncounda Traoré.
Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a poursuivi, vendredi 8 mars, sa visite surprise au Mali. Après avoir passé la journée de jeudi dans le nord du pays avec les soldats français, il s’est entretenu à Bamako avec les autorités de transition maliennes. Le ministre a été reçu successivement par le chef du gouvernement malien, Diango Cissoko, et par le président par intérim, Dioncounda Traoré. En fin de journée, il devait se rendre au Burkina Faso et s’entretenir samedi matin avec le chef de l’État, Blaise Compaoré.
À l’issue de sa rencontre avec Traoré, Jean-Yves Le Drian s’est déclaré « frappé par la volonté exprimée du président malien d’aboutir à des élections » d’ici le 31 juillet. Un délai qui semble toutefois difficilement tenable, alors que les opérations militaires continuent dans une partie du pays.
Civils tués par des jihadistes
Parallèlement, quatre civils ont été tués dans la nuit de jeudi à vendredi par des islamistes présumés dans la région de Tombouctou (nord-ouest), selon des sources concordantes.
« Quatre habitants de Tonka (à 100 km au sud de Tombouctou, NDLR) ont été tués par des hommes armés non loin de chez eux en brousse », a declaré à l’AFP Mamady Konipo, le maire de la localité, joint par téléphone depuis Bamako. « Nous croyons que ce sont les islamistes qui ont fait ça pour voler la voiture des gens tués », a-t-il ajouté. L’information a été confirmée par une source sécuritaire malienne.
08/03/2013 à 16h:32 Par Jeune Afrique
Bonsoir,
Le respect de la date des élections présidentielle et législatives au Mali, en juillet 2013, est lié à la volonté, à l’engagement et à l’implication de TOUS dans l’organisation et à une préparation minutieuse.
Si on lance minutieusement le processus global, dès maintenant, ces élections se feront dans de bonnes conditions.
Ce processus doit intégrer une préparation minutieuse des élections et un démarrage soutenu des travaux de la commission de dialogue et réconciliation.
Une forte implication de cette commission aidera à la tenue d’élections paisibles.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
E-mail: Webanassane@yahoo.com
IL EST VRAIMENT TEMPS D’ALLER VERS LES ELECTIONS AFIN DE DÉGAGER UNE LÉGITIMITÉ CLAIRE ET CRÉDIBLE DE NOS INSTITUTIONS. LES ARRESTATIONS ARBITRAIRES SANS QU’ON SACHE LE POURQUOI ET AU COMPTE DE QUI, DÉMONTRE CLAIREMENT QU’IL YA DU BAZARS DANS LE PAYS .A VRAIE DIRE LE GOUVERNEMENT DE TRANSITION N’A PAS DU TOUT DE PRISE RÉELLE AVEC LES ÉLÉMENTS INCONTRÔLÉS DE LA CAPITALE(SANOGO ET SES AMIS)POUR LES HISTOIRES DE TRAITEMENTS ET DE PRIMES C’EST PROPREMENT SCANDALEUX! A UN MOMENT QU’ON SOLLICITE LES MALIENS POUR AIDER L’ARMÉE
Comments are closed.