La formation du gouvernement se fait toujours attendre au Mali. Les différents acteurs politiques n’arrivent pas pour l’instant à trouver un consensus.
-Maliweb.net- La formation du gouvernement traîne et bien malin celui qui pourra dire quand est-ce qu’il sera mis en place. Le chef de l’Etat et l’opposition, notamment le FSD (Front pour la sauvegarde de la démocratie) et la COFOP sont au stade de proposition et de contre-proposition.
Ce qui est symptomatique du climat de méfiance entre les différents acteurs politiques, qui sont très loin d’être sur la même longueur d’onde, en témoigne les observations apportées par le FSD sur le protocole d’accord transmis par le Premier ministre. « Nous avons constaté avec étonnement que votre document, sans aucune explication, remplace et annule celui que nous avions envoyé au président de la République », relèvent Soumaïla Cissé et ses amis.
Pourtant le FSD fait de l’adoption d’un accord politique comme condition sine qua non de sa participation dans le gouvernement. Les frontistes exigent la tenue du dialogue nationale avant tout autre chose et demandent la mise en parenthèse du programme du président de la République « Notre grand Mali avance », qui selon Soumaïla Cissé et ses amis n’est pas adapté au type de gouvernement qui sera mis en place. Si le FSD se dit disponible de poursuivre le dialogue pour un accord politique assorti d’une feuille de route, rien ne dit qu’Ibrahim Boubacar Keïta acceptera ses conditions. Ceci est d’autant plus vrai que le Chef de l’Etat semble se désengager au profit du Premier ministre. Or la COFOP et le FSD souhaitent l’engagement personnel du président de la République.
C’est donc un dialogue de sourd qui s’installe entre les différentes parties. Et l’espoir d’un gouvernement de large ouverture s’effondre comme du beurre au soleil. « Les négociations sont pour l’instant dans l’impasse et chacun campe sur sa position », reconnait un acteur politique, qui dit espérer tout de même « un dénouement heureux de la situation dans les heures à venir ».
Ce qui est sûr neuf jours après la nomination de Dr Boubou Cissé, le pays attend toujours la formation d’un gouvernement. Il n’est pas alors exclu de voir la formation du gouvernement sans la participation de l’opposition. Quoi qu’il en soit l’accouchement du gouvernement dirigé par Dr Boubou Cissé se fera dans des conditions difficiles.
Abdrahamane Sissoko/Maliweb.net
Vous êtes trop drôle quand même!
Vouloir une chose et son contraire.
Vous avez voulu l démocratie.
En démocratie il y a une majorité et une opposition.
Et c’est normal que l’opposition fasse des critiques.
Si vous ne voulez pas voir ces critiques il faut demander en Corée du Nord.
Sinon au Mali même demain on va critiquer la mauvaise gestion du pays.
On va le faire piannnnnn!
Si cette période de formation du gouvernement pouvait encore durer. Les farouches opposants sont devenus muets, inaudibles. Si on les appelle au téléphone ils préfèrent ne pas décrocher, sinon bref à la réponse pour ne pas déborder avec la crainte que son interlocuteur ne prenne la liberté de porter des critiques sur le pouvoir. Pour Mr X, il serait sous surveillance des liens d’enquêtes de moralité, parce il aurait des chances de figurer dans la nouvelle équipe gouvernementale. Quel vent frais pour nos tympans !!! Si ça pouvait durer pour la régénération de nos tympans usés par des rumeurs malsaines entretenues par de personnes mal intentionnées plaidant la fin du monde !!!
Boua IBK n’a aucun agenda ou un programme pour le developpment du Mali et son future, tout ce qu’il a c’est de mettre Ben Barka au Secretariat de la Presidence a Koulouba, c’est la famille d’abord et le reste après! IBK s’en fout du Mali et des Maliens.
Bonjour Frère Ag Azamane.
Très heureux de te retrouver.
Je souhaite bismillah de retour du guerrier par la plume , Kassin, qui force mon estime par sa tribune de ce matin qui montre, à souhait, que ce think tank n’est pas rouillé et que, même un jour du 1ier Mai férié pour les travailleurs du monde Kassin est sur les remparts de la lutte pour réhabiliter le Maliba enterré par son PR depuis 2013 qu’il est à la tête du Pouvoir Suprême Policailleurie et Armé et casquette “retrait stratégique” de fuite des bidasses mal encadrés et sous équipés.
Sincèrement
Et oui, la boulimie du pouvoir, ce n’est pas que dans les rangs de la majorité. L’épidémie de famine a, depuis la présidentielle, atteint l’opposition malienne. Une opposition qui, dans tous ses compartiments, à l’occasion de ce remaniement ministériel, est en train d’être ravagée par un appétit glouton face à l’offre opportune du président IBK de mettre en place un gouvernement de large ouverture. Toutes choses qui a aiguisé les crises d’estomac au sein d’une opposition qui désormais, d’une seule et même voix, s’égosille et réclame sa part du gâteau gouvernemental : « un Accord politique clair de partage de responsabilités assorti d’une feuille de route transparente connue de tous »
Pourquoi le Mali nage t-il dans la crise depuis 2012?
Je devrais plutôt écrire depuis 2006.
C’est quand ATT s’est rapproché des touareg Imghas de la zone de Ménaka en nommant comme chef d’état major particulier de la présidence l’actuel général, El Hadj Gamou que ses ennemis jurés, le touareg ifoghas de Kidal, Iyad Aghali et Ibrahim Ag Bahanga lui ont tournés le dos.
La tentative d’ATT de rallier toutes les fractions touareg du Mali à la cause du Mali prend un échec cuisant et Bahanga rentre en rébellion armée contre le régime d’ATT jusqu’à à sa mort accidentelle en 2011 dans le désert entre le Mali et la Libye.
Iyad Aghali a profité de son poste de diplomate au Moyen Orient offert par ATT pour tisser des liens solides avec le Qatar et s’assurer un financement pour ses projets personnels et se rapprocher de l’Aqmi dans le but de créer un état islamique au nord du Mali.
Dans la détérioration de la situation sécuritaire du nord du Mali entre 2002 et 2010, fait de prises d’otages occidentaux par l’Aqmi, de trafics de drogue, de cigarettes et de rébellion touareg armée de Bahanga, les touareg installés en France, en Belgique et en Suisse ont eu l’opportunisme de créer le MNLA, le mouvement national de libération de l’Azawad.
Un mouvement dont le récépissé d’association fut donné naïvement par le régime ATT, sous l’appellation « MNA, Mouvement National de l’Azawad ». Les touareg du Mnla par opportunisme y ont ajouté le L pour y introduire la lutte de « libération » du nord du pays qu’ils appellent Azawad.
Ils ont largement profité de la crise libyenne pour s’armer lourdement et déferler par milliers sur le nord du Mali.
Dans la chronologie des ces événements, il y a deux choses qui ne fonctionnent pas correctement au Mali, les services de renseignement et la diplomatie.
Le régime ATT vouait une confiance aveugle à l’Algérie et à la Libye de Kadhafi pour résoudre l’irrédentisme touareg du nord du Mali et semblait totalement abandonner l’option militaire comme cela fut évoquée dans les accords de paix signés en Algérie entre 1991 et 2009.
IBK alors en opposition qui s’était offusqué contre les accords d’Alger de 2009 est allé encore plus loin dans la compromission avec les rebelles touareg en juin 2015 car il reconnaît non seulement leur Azawad mais régionalise carrément la sécurité du pays et tente même de modifier la constitution du pays pour cela sous la pression de la France et toujours avec une confiance aveugle à l’Algérie.
Les rebelles du Mnla devenus ceux de la CMA (Coordination des mouvements de l’Azawad) qui n’avaient pas hésité une seconde à déserté en masse l’armée et les administrations du Mali pour leur projet sécessionniste entre novembre 2011 et avril 2012 du nord du pays, sont pour l’occasion en embuscade pour avoir cette régionalisation dans la constitution du Mali, étape indispensable pour eux avant de demander encore une indépendance de leur Azawad.
Durant tout ce temps depuis 2002 jusqu’à 2019, les services de renseignement maliens sont restés médiocres pour prévenir et déjouer les attaques armées contre le pays, l’armée est plus que faible et se fait toujours surprendre dans ses propres camps de fortune et la diplomatie du pays est inexistante ou inefficace.
Dans ces conditions, les gouvernements successifs d’ATT à IBK font semblant de protéger le pays et ses populations civiles mais ils n’ont ni moyens ni méthodes ni stratégie pour faisant face aux défis sécuritaire du pays.
Ils suivent à la lettre soit l’Algérie et la Libye (ATT) soit la communauté internationale et l’ONU (Dioncounda et IBK) qui elles mêmes suivent la France et ses fonctionnaires du Quai d’Orsay qui ont une vision erronée ou délibérément biaisée de la réalité du pays.
De 2013 à 2019, IBK a beaucoup voyagé et a fait beaucoup de bruit avec beaucoup de gouvernements, mais il n’est jamais parvenu à avoir ni un bon service de renseignement, ni une bonne armée ni une bonne diplomatie. Donc il ne s’est donné en aucun moment aucun attribut de souveraineté pour sortir la tête de l’eau et apporter du réconfort au Mali durant 6 ans.
L’Etat malien s’affaiblît comme une glace qui fond au soleil à cause principalement de la corruption à ciel ouvert, du népotisme à tous les coins de l’administration et de l’armée, de l’amateurisme des hauts fonctionnaires, du clientélisme des acteurs politiques, de l’opportunisme associatif et religieux qui endorment le peuple malien et l’empêche de s’affirmer comme nation indépendante et souveraine et surtout des gaspillages financiers et matériels du régime IBK.
Les maigres ressources du pays qui devraient servir à renforcer l’Etat et son armée et à investir dans les bases du développement du pays (routes, électricité, eau potable, santé, éducation, télécommunications, etc) sont systématiquement détournées et dilapidées au vu et au su de tous sans que cela ne dérange personne.
Le régime IBK reste spectateur docile dans la résolution du crise du pays et se laisse allègrement entraîner par la Minusma, l’ONU et la France, passés maîtres dans les rôles peu glorieux d’acteurs principaux du grand théâtre sanglant du nord du pays.
Sans stratégie, ni moyens ni voix diplomatique, IBK et ses gouvernements successifs regardent impuissants la situation sécuritaire se déliter également dans les régions du centre du pays (Mopti et Ségou) avec les islamistes d’Amadou Kouffa et son corollaire de conflits ethniques stupides mais sanglants entre populations dogons et peuls.
Les populations civiles du sud du pays qui nagent dans l’insouciance et l’indifférence totale et coupable, suivent assidûment quelques auto proclamés chefs religieux qui haranguent les foules par dizaines de milliers et pèsent sur les actions politiques du pays tout gouvernement confondu depuis maintenant belle lurette.
Au nom de la paix, des compromis inadmissibles et des avantages indus sont accordés soient aux rebelles touareg soient aux agents les plus corrompus des administrations contribuant à faire saigner inutilement le trésor public sans aucune avancée ni sur le plan sécuritaire du pays ni sur le plan du développement du pays.
Tout une armée de jeunes désœuvrés, végète par millions de têtes dans le chômage de masse, sans perspective ni espoir d’en sortir et se fie corps et âme à des apprentis chefs religieux qui se partagent le grand marché de la désillusion populaire depuis le temps de l’AMUPI jusqu’au HCI pour en faire un juteux business de la misère populaire et de l’opportunisme à la malienne.
C’est sous l’impulsion de quelques uns de ces chefs religieux et à la suite d’un nième massacre des populations civiles au centre du peuple, que Soumeylou Boubeye Maïga a rendu le tablier après une rencontre à Koulouba entre IBK et Mahamoudoun Dicko, alors président du Haut Conseil Islamique du Mali et une motion de censure à l’assemblée nationale contre son gouvernement, votée à l’unisson par les députés de la majorité comme de l’opposition.
Pour le remplacer, le Dr Doudou Cissé, précédemment ministre de l’économie et des finances, prend les rênes de la cité administrative Mouamar El Ghadafi de bamako, après sa nomination par IBK et on attend toujours son gouvernement après 12 jours que Boubeye soit parti.
S’il parvient à s’attaquer à la grande corruption et s’investit pleinement à la reconstruction d’une vraie armée,tout en revigorant la diplomatie et les services de renseignement du pays pour prévenir les attaques suicides et stabiliser le centre pays, ce serait un début de solution à la crise qui hante le pays depuis 2012, sinon il serait ni plus ni moins qu’un autre premier ministre de passage.
Il doit faire très attention à la réforme constitutionnelle empoisonnée qui l’attend sûrement et faire preuve de beaucoup d’intelligence et de rigueur sinon il chuterait plutôt que prévu.
Dans tous les cas, c’est aux maliens d’y prendre conscience et de se dire qu’ils sont les seuls vrais acteurs à détenir la clé de la stabilité du Mali et se donner les moyens d’y parvenir qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige.
Quel dialogue encore? On ne va plus gaspiller le moindre sous du contribuable malien. SBM en a initié et vous avez sabotter. Vous n’êtes que des opportunistes égoïstes qui croient que ce pays leur appartient.
IBK N’a pas d’agenda !
Né min ye IBK dja abokè
CHÈ TIWILI KABO AFANKA !
Alpha nous ont bien dit depuis ! Un haut responsable sans programmes
bienvenus les hommes uniformes pour corriger les irascibles et indécrottables mules de la république
T. Sankara, vous laisserez les FAMAs loin de votre mauvaise politique!!!
Les elcteurs ont choisi “notre grand Mali qui avance”! IBK N’IRA PAS CONTRE LE CHOIX DU PEUPLE!!!
Soumaila Cisse’ et ses amis ont envoye’ un torchon qui demande au president de violer la constitution!
On a le culot de nous dire que Demba et RASBATH sont des juriste et Sanogo est prof. AW BE’ KA SABALI!!!
IBK NE BOUGERA PAS DE KOULOUBA AVANT 2023 ET L’AGENDA SUR LEQUEL IL A ETE’ REELU, SERA APPLIQUE’!!!!
maudit soit toi. idaa bidioula.
« Les négociations sont pour l’instant dans l’impasse et chacun campe sur sa position »,
LAISSEZ CE VAURIEN D’IBK FAIRE SON GOUVERNEMENT AVEC SA MAJORITE. ET DANS 6 MOIS AU PLUS, SON REGIME S’EFFONDRA…. LES MILITAIRES ENTRERONT DANS LA DANSE ET ON REPARTIRA A ZERO AU COMPTEUR…..
C’EST LE MOINDRE MAL QUI PEUT NOUS ARRIVER, CAR LE PAYS EST DEJA COUCHE…
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