Après la démission du Premier ministre malien Soumeylou Boubèye Maiga, un nouveau pas vers la nomination de son remplaçant… Le président de la République prend lui-même les choses en main, en tenant compte des nouveaux rapports de force.
Le chef de l’Etat malien a reçu ce vendredi des responsables de partis de la majorité. Après les entretiens, tous ont confié avoir rencontré un homme ouvert au conseil, avant la nomination d’un Premier ministre et la formation d’un nouveau gouvernement.
Ce samedi, Ibrahim Boubacar Keïta reçoit également des responsables de l’opposition malienne. Et c’est quasiment une première avant la formation d’un gouvernement. Par nature, depuis qu’il est à la tête de l’Etat, IBK est plutôt partisan d’une majorité qui gouverne et d’une opposition qui critique.
Mais entre-temps, les digues ont sauté au Parlement. Partis de l’opposition et de la majorité se sont donné la main pour contraindre à la démission le Premier ministre Soumeylou Boubèye Maïga, qui a en fait servi de fusible au président.
Ce dernier sait que désormais il doit savoir où mettre les pieds en ménageant sa majorité « rebelle » et l’opposition. Si cette alliance conteste ses futurs choix, il y aura blocage et il lui sera très difficile de mener les réformes souhaitées.
On attend le nom du nouveau chef du gouvernement. Parmi les premiers ministrables les noms de deux membres du gouvernement sortant circulent, ainsi que celui d’un fonctionnaire international.
Le pays a besoin d’apaisement selon Baber Gano
Pour le parti du chef de l’État, le Mali a surtout besoin d’apaisement. Il appartient à l’opposition de décider si elle entre ou non au gouvernement, nous déclare Baber Gano, joint par téléphone, « je pense que, si le président dans sa disponibilité actuelle de faire participer ou de faire une ouverture à l’ensemble des partis politiques de la majorité et de l’opposition, je ne vois pas pourquoi l’opposition ne participerait pas. Il s’agit d’un gouvernement de mission pour mettre en œuvre des chantiers, des réformes politiques institutionnelles ».
Le Mali a besoin d’apaisement et de « cohésion sociale », nous déclare encore Baber Gano. « Le pays a besoin de réussir – ensemble – toutes les réformes pour la révision constitutionnelle ».
Egalement sollicité par RFI, le président du Haut Conseil Islamique, l’imam Dicko, n’a pas souhaité commenter la démission du Premier ministre dont il avait demandé le départ.
Publié le 20-04-2019
…NOUS ATTENDONS POUR VOIR!…..JE PROPOSE DICKO-DICKY OU MBOUILLE NIOKOROH-YOKORO ….ET POURQUOI PAS NFP OU KINGUIRANKE EN REMPLACEMENT A SOUMEYLOU LA LANGUE-DOUCE….
Un dormeur, un noceur, quelqu’un qui a un gout insolent pour les delices de la vie comme Boua IBK veut prendre les choses en main? Veritablement le Mali souffre et n’a pas de leader en Boua car il est tres incompetant et tres incapable. Boua ka bla!
(De$)United $tates of AmeRacailles ®
PS: Et puis que vient faire ce fait divers sans intérêt rédigé en gros caractère, alors qu’il n’a strictement rien à voir avec le sujet!
MALIWEB, reveillez-vous!😎😎😎
Depuis quand publie-t-on SUR LA MÊME PAGE deux articles traitant de sujets TOTALEMENT DIFFERENTS ?????
“Le président de la République prend lui-même les choses en main”😁😁😁😁😁
“LUI-MÊME” !… Elle est bien bonne ! Heureusement, encore, qu’il prenne “LUI-MÊME”😁 les choses en main pour nommer un PM !!!
QUI D’AUTRE qu’un président de la république est habilité à nommer un PM!😁😁😁
En écrivant qu’il prend “LUI-MÊME” les choses en main, ça présente les choses comme s’il s’agissait d’un “exploit” personnel de Zonkeba, alors que la nomination d’un PM n’est dû ressort de…..PERSONNE D’AUTRE!😁😁😁😁😁
On nous prend vraiment pour des cons…😎
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