Bamako – A 73 ans, le président sortant du Mali Ibrahim Boubacar Keïta, “confiant” et “serein” à la veille du second tour de la présidentielle dimanche, est “probablement le seul chef d’Etat au monde à encore utiliser l’imparfait du subjonctif dans ses discours”, s’amuse un diplomate à Bamako.
Mais ce bon vivant s’est aussi forgé une réputation d’homme à poigne.
De sa fréquentation de prestigieux établissements français dans sa jeunesse, ce natif de Koutiala (sud), près de la frontière burkinabè, aura gardé non seulement un phrasé châtié, mais aussi une conception toute jacobine du pouvoir.
“Il est pour un pouvoir fort, centralisé, c’est sûr”, déclare son ancien compagnon de route Boubacar Bah.
En cinq ans de mandat, cet homme décrit à la fois comme généreux, colérique et clivant, désigné par beaucoup de ses compatriotes comme “IBK”, ses initiales, aura usé cinq Premiers ministres.
Parmi ses 23 concurrents au premier tour de la présidentielle le 29 juillet, figuraient bon nombre de ses anciens ministres, ce qui dénote son caractère “difficile”, selon l’un d’eux, Mountaga Tall.
Ses détracteurs, qui lui reprochent son goût des voyages et des honneurs, l’accusent surtout de ne pas avoir démontré la même fermeté pour sortir le Mali de la crise, malgré sa victoire écrasante au second tour en 2013.
“Il a été élu avec 77,6% des suffrages exprimés, mais il n’a pas pu régler les problèmes essentiels du pays: le retour à la paix et la question de l’insécurité”, affirme Abdoulaye Cissé, un soutien de l’ancien Premier ministre et candidat au premier tour Modibo Sidibé.
L’intéressé balaye les critiques, qualifiées d'”IBK-bashing” et se dépeint comme un président qui “vit en symbiose avec son peuple, sait son peuple, travaille à faire avancer son peuple”, citant notamment l’accord de paix de mai-juin 2015 conclu avec l’ex-rébellion à dominante touareg, malgré les
retards enregistrés dans son application.
“Je me sens en forme parfaite et je crois que cela a surpris. Beaucoup m’eussent souhaité dans le fond d’une chambre, reclus”, a-t-il dit fin juillet, au retour d’une tournée électorale auprès des diasporas maliennes de trois pays d’Afrique, en allusion aux rumeurs récurrentes sur son état de santé.
– Ascension fulgurante –
Après des études littéraires dans son pays, au Sénégal et en France, Ibrahim Boubacar Keïta devient dans les années 1980 conseiller du Fonds européen de développement (FED), puis chef d’un projet de développement dans le nord du Mali.
Après avoir milité contre le général Moussa Traoré, renversé en mars 1991 par un coup d’Etat militaire, il connaît une ascension fulgurante sous Alpha Oumar Konaré, premier président (1992-2002) de l’ère démocratique du Mali.
Premier ministre de 1994 à 2000, M. Keïta, qui se réclame de la gauche, mate sans états d’âme une crise scolaire et des grèves qui paralysent le Mali, et ferraille contre l’opposition. De cette période, il gardera une image de fermeté qui fera son succès en 2013.
A la suite d’une brouille avec Alpha Oumar Konaré et le parti au pouvoir, il se présente à l’élection présidentielle de 2002 sous les couleurs de sa propre formation, le Rassemblement pour le Mali (RPM), mais n’arrive qu’en troisième position.
Amadou Toumani Touré, dit “ATT”, un militaire qui a pris sa retraite de l’armée, l’emporte au second tour et se fait réélire dès le premier tour en 2007, devant “IBK”.
En mars 2012, “ATT” est renversé par des militaires qui l’accusaient d’incurie face à la rébellion dans le nord du pays, un putsch qui précipite la déroute de l’armée et la prise de contrôle de cette région par des groupes jihadistes, alliés un temps aux rebelles avant de les supplanter.
A l’élection présidentielle de 2013, après l’intervention internationale lancée à l’initiative de la France contre les jihadistes, Ibrahim Boubacar Keïta, considéré comme un recours, tient sa revanche en accédant au palais de Koulouba, la résidence officielle et les bureaux des présidents maliens.
Il compte bien y prolonger son bail de cinq ans pour “consolider les acquis, amplifier les réussites et corriger les manques”, selon son entourage.
“Il ne faut jamais préempter une élection”, mais “nous pouvons y aller avec confiance et sérénité”, a-t-il affirmé à la veille du second tour.
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L’imparfait du subjonctif et l’inconditinnel de l’imparfait sont très peu utilisés. Aujourd’hui le français est devenu standard. On parle pour se faire comprendre par ton peuple. Le latin et grec sont des langues mortes,même les descendants de Gaule n’utilisent plus. Donc c’est bizarre de parler latin devant le public, ceux-ci n’est pas de niveau. Le niveau c’est l’innovation, c’est la sciences, le développement comment résoudre les difficile problèmes de ton pays
Boua c’est le “Petit Negre de Paris” alors il parle leur langue pour leur faire grand plaisir et leur faire comprendre que lui IBK est decendant des Gaulois comme eux. Boua n’est pas fier de sa nationalite Malienne et du fait qu’il soit ne dans une famille Maninka. C’est comme le roi MAUDIT de segou qui a avec fierte abandonne la nationalite de son pere et de sa mere.
Un trait de complexe est commenté comme un art.
De plus, les maliens ont d’autres besoins que d’écouter un mauvais pédant.
C’est pas avec ces tournures ridicules de grammaire que se nourrit os compatriotes.
On aurait aimé qu’il vole moins parle moins et voyage moins pour se consacrer aux besoins primaires des Maliens. Auto-suffisance alimentaire, accès à l’eau potable et aux soins. Une école correcte pour les jeunes, un environnement non pollué, Bamako un peu plus propre, l’électricité au service des populations etc.
Il peut s’asseoir sur ses imparfaits du subjonctif.
Voilà le mal du pays. Après de grandes études, il devient conseillé. On ne parle jamais de sa profession. Par ce que tout simplement c’est du subjonctif et de l’imparfait. Sa vie utile a commencé après 35 ans. Le président de l’imparfait du subjonctif. C’est normal qu’avec “IN CHala hou” qu’il devienne président et avec “IN CHala hou” il règnera.
Le Mali c’est bien sans aucun doute vote ou pas vote, il passe n’en déplaise qu’aux râleurs.
Je pense que si raleurs il y a, ce sont des Maliens a part entiere et qui aiment leur pays autant que Boua. Nous voulons de l’imparfait du subjonctif en Malinke ou en Bamanan. Voter pour IBK c;’est voter pour la SOMALISATION du Mali.
es médias Atlantistes s’exitent sur les manifs (NON spontanées) à Moscou ou à HK …
Mais aussitôt à peine 12h après ces tueries par fusillades anti hispaniques à El Paso au Texas et à Dayton dans l’Ohio qui ont fait maintenant 31 morts en l’espace d’a peine 12h, ces pro-Atlantistes oublient et se proclament pro-démocra$$i€, comprenez par là: ce sont des ATLANTI$TE$ qui sont tout simplement derrière tout ça, qui jouent, usent et abusent de la patience de Pékin qui a pourtant reculée sur le projet d’extradition (ce qui fait que ces Atlantistes veulent faire obstructions et entraves à la justice!) si ils étaient si méchant que ces Atlantistes le prétendent, les robinets des 4-5 gros tuyaux qui d’approvisionnement HK en eau potable élément vital auaient pu être fermé histoire de rafraichir la mémoire de certains qui prétenderaient toute indépendances et qui diraient que HK ce n’est pas la Chine, ça leurs rappeleraient à ces Hong-Kongais de qui ils dépendent et que c’est la Chine qui les alimentent & les nourrissent … Mais bon comme les Atlantistes, ils ont l’art de cracher dans la soupe…
Ces occidentaux veulent pousser à la faute pour ensuite crier sur tout les toit tels des loups en montrant du doigt en disant “vous voyez” en faisant mine de faire les gros yeux et pour montrer leur gros muscles en faisant semblant de reverser la table alors que ça sert à manger dessus pour une personne normalement constituée…
Alors que les U$A de Trump étaient occupé (en plus de ses menaces commerciales) à tenter d’installer des missiles autour de la Chine ..
francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/armee-et-securite/les-etats-unis-veulent-deployer-de-nouveaux-missiles-en-asie-sur-fond-de-tensions-avec-la-chine_3563149.html
Les U$A veulent vraiment tenter le diable à se lancer dans une guerre (commerciale & maintenant militaire)
Ces Atlantistes ont volé la place de la Chine durant ces siècles derniers! Maintenant qu’elle retrouve à peu près sa place qui devait être la sienne, ces Atlantistes comme trump a déclaré récemment que la Chine avait trop vécue, en gros qu’on devait se sucider pour leur laisser la place, trop facile, on ne se laissera jamais faire nous ne voulons pas subir ce que nos “cousins” Amerindiens ont subit!
Une fois de plus ces Atlantistes nous ont déclaré la guerre comme ils ont revé de (re)faire comme aux siècles des guerres de l’opium quand ils se sont prit à plusieurs contre la Chine!
Il est temps que l’Empire contre-attaque!
imparfait du subjonctif c pas un hasard car cela reflète l’homme. S’il est driver il est docile et parfait comme atteste son passage à la primature mais laisser à lui même comme chef il n’a aucune vision ( subjonctif et imparfait) et préfère se la couler belle en écoutant ses louanges et en se faisant passer pour celui qu’il n’est pas.
Merci Ben pour la verite d’Allah, si c’etait l’imparfaait du subjonctif en Maninka ou en Bamanan nous serions suu celebrer, mais le petit negre de Paris nous fait voir sa couleur, c’est pourquoi le Cherif de Nioro MBouille Haidara a abandonne IBK tout comme l’Imam Dicko, les 4 Premiers Ministres et leurs gouvernements et beaucoup d’autres. Tu regardes aujourd’hui autour de toi, plus de pauvrete et plus de sang Malien coule qu’en 2013 quand IBK venait au pouvoir, les paisibles peuples Dogons et Peulhs ne peuvent plus vivre ensemble, les Tamackeks, Arabes et Sonrais ne peuvent plus co-habiter. Les populations de Kayes se trouvent usurper de leur or car elles ne respirent que la poussiere de son exploitation, etc .Voter pour IBK c’est voter pour la SOMALISATION du Mali.
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