À l’occasion des festivités du 14 juillet, l’ambassadeur de France dans notre pays, Joël Meyer, a donné une réception mercredi à sa résidence. Étaient présents, le président du Conseil national de Transition, Malick Diaw, plusieurs membres du gouvernement, les chefs de missions diplomatiques et consulaires, des organisations accréditées dans notre pays et les anciens combattants.
S’adressant à ses invités, l’ambassadeur Joël Meyer a indiqué que ces 18 derniers mois ont été particulièrement rudes et difficiles. Mais pour lui, le partenariat entre le Mali et la communauté internationale n’a pas été moins déterminé ni déterminant s’agissant de la coopération sécuritaire. Selon lui, grâce à la montée en puissance des FAMa et de leurs partenaires, «nous avons collectivement porté des coups décisifs au JNIM et à l’EIGS».
Pour le diplomate français, il est parfois facile de critiquer quand on est à Bamako ou à Paris. D’après lui, les populations maliennes qui vivent sous la menace directe de ces groupes savent «la valeur de l’engagement conjoint de nos forces, le sacrifice de nos soldats….». Joël Meyer a indiqué que la France entend « apporter sa contribution à ce pays en transition en poursuivant sa coopération et en cherchant à l’améliorer ». Selon lui, l’action de son pays se poursuivra aussi longtemps que le Mali le souhaite. Et ses interventions continueront à se dérouler en fonction des demandes exprimées par les partenaires maliens sous forme de «complémentarité».
Pour sa part, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale a rappelé que les relations d’amitié séculaires entre le Mali et la France ont toujours eu une dimension originale liée à une histoire partagée, faite de moments difficiles, souvent d’incompréhensions compréhensibles en amitié.
Selon Abdoulaye Diop, aujourd’hui, la coopération bilatérale entre les deux pays couvre tous les secteurs de la vie socio-économique du Mali. En plus des autres aspects de cette coopération, il a rappelé que dans le domaine de la défense et de la securité, la France est engagée fermement aux côtés de notre pays pour lutter contre le terrorisme et l’extrémisme violent sous toutes ses formes.
RÉADAPTATION- Abdoulaye Diop a réitéré l’engagement des autorités à maintenir et renforcer la lutte contre le terrorisme notamment en ciblant les groupes actifs dans le nord du Mali pour préserver la stabilité de notre pays. D’après lui, le Mali est un verrou stratégique extrêmement important en Afrique de l’Ouest, dans le Sahel et en Afrique en général. C’est pourquoi, a-t-il insisté, le traitement du dossier malien doit se faire avec beaucoup de doigté, de sens de responsabilité et de réalisme.
« Nous comprenons les difficultés auxquelles l’État français fait face par rapport à son engagement aux côtés du Mali. Nous vous comprenons, faites l’effort aussi de nous écouter et de nous comprendre », a déclaré Abdoulaye Diop, qui se réjouit de la reprise des opérations conjointes entre l’Armée malienne et Barkhane. Il a souligné la nécessité de poursuivre l’engagement commun entre les deux pays dans la lutte contre le terrorisme dans le cadre d’un partenariat rénové.
«Il est important pour nous de refonder, réfléchir et repenser ce partenariat pour encore le solidifier. Nous devons interroger les bases de ce partenariat et nous assurer que nous partons sur des bases solides, mutuellement respectueuses des attentes de nos populations», a indiqué le ministre Diop. Pour lui, dans un monde globalisé et face aux défis de plus en plus complexes, la relation entre les deux pays doit évoluer et s’adapter aux changements qui s’opèrent au Mali, en France, dans la sous-région et sur la scène internationale.
Parlant de la Force Barkhane, le chef de la diplomatie malienne a indiqué que la réadaptation de son dispositif doit tenir compte des préoccupations du Mali. Mais également, cela doit se faire dans le cadre d’un dialogue entre les autorités maliennes et françaises. Le ministre Diop a précisé que le peuple malien n’a rien oublié et n’oubliera rien de tout ce que la France a fait et continue de faire dans le cadre de l’amitié entre les deux pays. Cependant, il a rappelé que quand il était nécessaire, nos parents ont aussi été engagés pour la préservation de la liberté et de l’indépendance de la France.
Enfin, le ministre Diop a réaffirmé la détermination des autorités de la Transition à respecter les engagements pris vis-à-vis du peuple malien et de la communauté internationale. Il s’agit de mener à bien la feuille de route dans les délais convenus et réussir la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation.
Dieudonné DIAMA
On s’en fou de la France. Eelle n’a quitter le Mali.
Roi Biton
Le Rwanda a t elle attendu d avoir les moyens
financiers technologiques et économique de sa politique pour dégager la France ?
On ne ore jamais lorsque l on se bat pour sa dignite
Tu peux perdre financierement mais au moins tu gardes ta dignité c est ce que kagame a fait car a une vision long terme
Mr Diop i’l faut pas perdre plus de temps avec la France et diversifie tes partenariats avec les anglophones et Russes
Regardez l Ethiopie et le Rwanda !!!!
La France imprimedes FCFA pour avoir nos matières premières.Et pas des dollars ou des euros
Le système du FCFA il faudra en sortir rapidement
Ttes nos balances commerciales sont déficitaire depuis notre adhésion a ce FCFA a cause du rationnement du crédit
On vous prête si vous faites des importations de produits de consommation mais pas lorsque vous achetez des machines pour transformer et produire sur place sauf taux usuraire
C est un système qui plonge nos jeunes ds un désespoir car pas de perspective long terme car pas d entreprise signe de ce nom capable de créer beaucoup d emploi d ou l informel et la débrouille
Les rwandais sont ils morts
Que fais-tu des 800 000 rwandais massacre’s?
Kagame’ etait un officier des renseignements ougandais! Ce sont les forces ougandaises qui l’ont aide’ a’ prendre le pouvoir a’ Kigali! Sur un tout autre plan, je t’informe que le Rwanda n’etait pas une colonie francaise!!!
Kagme’ a une integrite’ que j’admire. Pour terminer, je souligne qu’une tres grande puissance a aide’ le Rwanda a’ etre la’ ou’ il est.
J appelle le pouvoir Malien a dire leurs 4 vérités au Français
On a besoin de savoir faire sinon en Afrique on a tout
L
Les Français ne vont jamais te suivre ds une refondation de relations gagnant gagnant ar vivent de notre incrédulité et méconnaissance ils vont jamais vous transmettre leur technologie donc arrêter de chercher du gagnant gagnant avec eux!!!!!
Ce n’ est pas dans leur ADN!!!!!!!!!!!
Eux c est gagnant perdant et ils changeront jamais tant que rapport de force en leur faveur
Il sont hypocrites et roublard c est dans leur ADN le negre est un produit pour eux Mr Diop
Il faut diversifier nos partenaires stratégiques en urgence Chine Russie Corée Iran Turquie Japon Allemagne Suède Brésil Angleterre etc… Voilà les pays a aller vous rendre et faire des propositions de partenariat gagnant-gagnant
L’es Allemands vont racheter le leuron Français de fabrication de rails donc c est avec eux au il faut travailler
Pas avec ce vieux pays en perte de vitesse !!!!!!!
Il faut être fou pour faire confiance à la France et à la Otan.
Bien dit Mr le Ministre , mais l’ appréciation de vos propos diffère selon les deux types de maliens : les maliens qui aiment le Mali vous apprécient tandis que les maliens qui aiment la France désapprouvent vos propos ! Aujourd’hui c’est le problème de terrorisme qui préoccupe ces laquais maliens de la France ! C’est aujourd’hui qu’ on parle de défaillance de notre armée , la première rébellion touareg a été matée par l’ armée malienne sous les directives du capitaine feu Dibi Silas Diarra , ensuite ce fut le tour du régime de Moussa Traore pour mater une tentative de rébellion touareg avec l’ appui des BRDM qui sont de fabrication russe . Les pères de l’ independance savaient que depuis les années 1961 la France a commencé à inciter les touaregs et autres à la rébellion , les pères de l’ independance savaient aussi que la France mettait le bâton dans les roues du Mali sur fond de mépris avec relation maître et esclave témoin le discours de Modibo Keita en 1961 quand il demandait à l’ armée française de quitter le territoire malien en précisant qu’ il voulait un partenariat gagnant gagnant dans le respect de la souveraineté du Mali ! Cette demande de Modibo est reprise par le ministre Diop dans les contextes actuels , il faut aimer le Mali pour accepter cela ! Les maliens complexés qui aiment la France ne peuvent pas accepter ces propos ou comprendre la portée de ces propos !
papy il n’y a pas de Colons meilleurs ou de Colonisation meilleure, en d’autres termes il n’y a pas de bons ou meilleurs maitres! Mais il faut l’esclave se libere et reste libre mais c’est ce qui manque chez nous au Mali et c’est la faute de nos dirigeants politiques qui se sont succedes depuis le coup d’etat contre Modibo Keita en 1968!
Kinguiranke, je ne parle pas de bon ou mauvais colon loin de la. Je parle plutôt de méthode de colonisation. Les autres colons savaient qu’ils devraient un jour rentrer chez eux sauf le France. Les anglais sont partis sans tourner le dos avec leur livre sterling “£”. Raison pour la quelle ils sont autonomes vis a vis de leur ex colonies. Aujourd’hui le monde des transactions en FINANCES et Banques passe par LONDRES qui y trouvent leurs commissions, une autre raison du Brexit pour rester neutre et survivre.
Par contre la France n’a JAMAIS penser a devenir indépendante de ses ex colonies de part sa méthode de colonisation basée sur l’assimilation et la continuité neocoloniale, la France s’est donc noircie et africanisée. Elle s’est tellement accrocher a nous, nos ressources avec son franc CFA qu’elle n’est plus capable de competir correctement sur quoi que ce soit en Europe parmi ses paires et le reste du monde développé. C’est triste pour la France, le seul rôle qui lui permet pour gagner sa vie est de rester un bandit de grand chemin en Afrique francophone. La France ne domine aucune industrie dans ce monde, elle est condamner a payer des rançons aux impérialistes tapis dans le monde qui l’aident a piller l’Afrique autant que cela peut durer et prendre leur parts du butin.
La FIN de l’exploitation en Afrique sera RESOLUE tôt ou tard et voila tout le dilemme de la France agonisante qui s’accroche comme une sangsue.
Bon weekend.
La Francafrique surtout dans le Sahel: Mes amis comme nous sommes en weekend et approchons la fête des Juifs et des Musulmans je voudrais rester NEUTRE pour une fois: La Grande différence entre les formes de colonisations européennes nous ont européennes tous les problèmes en francafrique: Les autres colons “Britanniques” ont juger JUSTE de laisser la PYRAMIDE de société du sommet a la base comme ils les ont trouver et eux les colons britanniques se tiennent a l’écart de cette formation culturelle en s’appuyant UNIQUEMENT sur les dirigeants de la pyramide pour gérer le reste de la société dans le pays. Les français eux ont penser pouvoir transformer des peuples noirs a penser français avec une mentalité BLANCHES… c’est a peut près quelqu’un qui veut transformer un bois en crocodile. Des lors qu’ils ont transformer et assimiler quelques élites noirs ils pensaient que ces derniers a leur tour pourraient changer le reste de la pyramide de la société noir en culture française en passant par l’école. Hélas c’est seulement maintenant que les français se rendent compte qu’on ne peut changer la culture d’un peuple sans l’exterminer car il n’y a pas de peuple sans CULTURE propre. Ainsi dit, la France et le Mali doivent revoir leurs copies de coopération et faire face a cette réalité culturelle africaine que RIEN dans ce monde ne pourrait changer ni par les écoles encore moins par les armes.
Chacun doit définir et mettre sur la table qui sont ses ennemis et qui sont ses amis. Sinon trois siècles de présence physique française en terre africaine risque de voir la France quitter l’Afrique pour de bon. Tout le problème est dans les méthodes de colonisation antérieure et de nouvelle coopération que la France doit apprendre a maitriser et surtout consulter la leçon Britannique en Afrique coloniale et maintenant indépendante pour enfin changer sa copie. La Terre africaine appartient EXCLUSIVEMENT aux africains et la France y est étrangère.
Bonn weekend et bonne fêtes.
Mr Diop, si on n’a pas les moyens de sa politique, on fait la politique de ceux qui ont les moyens. Je suis sure que vous etes tres conscient de cette sagesse… diplomatique! Je ne sais pas ce que vous voulez dire avec…. REFONDER LES RELATIONS DIPLOMATIQUES ENTRE LE MALI ET LA FRANCE. Peut etre qu’il faut nous donner quelques precisions. Les jeunes colonels pensent qu’ils peuvent changer le monde! C’est l’age! Ils ont besoin des personnes sages pour leur montrer ce qui est possible et ce qui ne l’est pas et comment agir face aux partenaires etrangers!
RESTONS PRAGMATIQUES, REALISTES, PRUDENTS ET SAGES! IL NE S’AGIT PAS DE NOS PETITS SENTIMENTS PERSONNELS MAIS DES STRATEGIES QU’IL FAUT DEPLOYER POUR LA PROTECTION DES 20 MILLIONS DE MALIENNES ET DE MALIENS!
LE petit Roi Biton de Ségou, aucune colonie de la France n’est développé regardez le pays anglophone et lisphone il t’a beaucoup de différence avec les francophones au niveau du développement. Il faut arrêter les conneries. La France sont en Afrique pour uriner sur la population
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Lamine, quand il s’agit seulement d’accuser et d’insulter la France, c’est très facile. Ce qui l’est moins, c’est de se mettre au travail. La France ne serait pas intervenue au Mali si nous n’avions pas échoué nous-mêmes, si nous ne nous étions pas vautrés dans la facilité, vautrés dans la corruption et la gabegie.
Pour autant, je ne dirais pas que la France ne s’est pas lourdement trompée en soutenant aveuglement le MNLA, une infime partie du peuple touareg, contre toute la nation malienne.
Une fois de plus, au lieu d’insulter, il nous faut nous mettre sérieusement au boulot. Le monde n’a pas pitié des pleurnichards. A bon entendeur, salut.
La France c est Le Drian qui dit les Touaregs sont nos amis.!!!!!!!!!!! Les autres sont quoi?
Juppé qui dit les rebelles ont remporté une victoire éclatante sur le terrain !!!!! Victoire contre qui?
La France qui limoge l ambassadeur Christian Rouyer car contre collusion avec Mnla car travail le avec Ansari dîne
Pourquoi ?
Empeche FAMAS d entrer à Kidal pourquoi ?
ITu as raison Abdoulaye Diop le peuple Malien n oubliera jamais ce que la France a fait pour nous. C est à dire rien de bien
On oubliera jamais son double jeu et ses résolutions a la ONU pour embargo contre le peuple Malien
Ses manœuvre sur le Franc CFA et ses abus de position dominante de ses firmes ainsi que son refus de faire des transferts de technologie mais préfère faire des de la coopération bidons
Dons de matos via Orange par ci par là etc…
Lamine, SABALI!!!!
Je vous prie de lire et mediter sur les lignes suivantes de l’histoire de la conquete coloniale:
“…… Amis et ennemis
La vieille politique impériale de diviser pour conquérir et régner est érigée en art dès les années 1880 par les officiers français qui jouent, souvent en vain, sur les oppositions qu’ils pensent distinguer entre amis et ennemis, races conquérantes et races conquises, et entre religion musulmane et religions autochtones. Les acteurs africains ne rentrent cependant que rarement dans ces catégories rigides et poursuivent leurs propres objectifs. Ainsi, Samori a combattu les Français mais il a également conclu plusieurs traités avec eux, espérant faire coexister ses projets expansionnistes avec ceux des Français. Les exemples de chefs de guerre africains alternant entre le statut d’ami et celui d’ennemi sont nombreux. Ainsi Diosé Traoré, célèbre figure de la région du Bélédougou au nord-ouest de Bamako, allié majeur, dans les années 1880-1890, du conquérant français avec qui il combat les envahisseurs foutanké musulmans, meurt en 1915 dans son tata assiégé par une colonne française.
Guerre et pacification : la « méthode Gallieni »
Une particularité de la conquête du Soudan réside dans l’expérimentation par Gallieni, dès les années 1880, de principes de pacification, qui seront par la suite considérablement améliorés par d’autres officiers au Tonkin. Cet ensemble de principes devient la « méthode Gallieni », référence incontournable des campagnes de pacification françaises, y compris en Afrique, où les idées de Gallieni avaient pourtant été vivement rejetées par son successeur Archinard et par les « Soudanais » en faveur du recours systématique à la force. L’une des spécificités de la « méthode Gallieni » consiste en effet à conjuguer des actions militaires de conquête et des mesures de « pacification », qui reposent notamment sur l’extension progressive et systématique d’un territoire à partir d’un poste ou d’un chef-lieu de cercle (pratique dite de la « tache d’huile ») et sur la « mise en valeur » des territoires, politique administrative coloniale. Le gouverneur Angoulvant, qui dirige la conquête et la pacification d’une grande partie de la Côte d’Ivoire de 1909 à 1911, affirme que la pensée de Gallieni « a fait brillamment ses preuves notamment au Soudan, au Tonkin, à Madagascar ; elle est devenue classique, elle est infaillible ». Dans le deuxième territoire militaire qui couvre une vaste région du fleuve Bani (Mali) aux bassins des trois Volta (Burkina Faso), le gouverneur général Ernest Roume et son successeur William Ponty dénoncent ainsi le recours systématique à la manière forte et privilégient des méthodes pacifiques inspirées de Gallieni. Parmi celles-ci figurent en bonne place le principe de la tache d’huile, la « politique des chefs » qui instaure la nomination de chefs autochtones en remplacement des chefs imposés à l’époque de la conquête, et la politique des races qui s’appuie sur le vieux principe de diviser pour régner, ainsi qu’une nouvelle notion, l’apprivoisement, notion reprise par Ponty dans un rapport du lieutenant-colonel Largy. Ces politiques indigènes n’étaient que la poursuite de la guerre par d’autres moyens. Quand elles se révélaient inopérantes, les militaires et administrateurs locaux évitaient les conflits armés en niant l’existence des zones et villages insoumis.
Les nombreux soulèvements armés qui éclatent au début de la Première Guerre mondiale mettent fin aux illusions de la politique d’apprivoisement. Les combattants africains ne parlent ni de résistance ou de rébellion contre un pouvoir établi, mais de guerre opposant des adversaires indépendants. Une vingtaine d’années après la fin de la conquête, les militaires français doivent engager de nouvelles guerres de conquête dans des régions pourtant considérées soumises et pacifiées, et ne l’emportent qu’avec difficulté au prix de lourdes pertes humaines et de nombreuses destructions matérielles.”
PLUSIEURS DE NOS PROBLEMES VIENNENT DE L’IGNORANCE! CEUX QUI OUBLIENT LEUR HISTOIRE SONT CONDAMNE’S A’ LA REPETER!!!
Lamine, SABALI!
Est-ce que ton epouse est sortie de prison apres tant d’annees d’incarceration pour afin qu’elle puisse se reunir avec ses filles?
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