Il suffit d’une balade dans la capitale malienne pour être immédiatement mis au parfum. Ici, c’est toujours l’attente. L’éternelle attente d’un Mali meilleur où il ferait bon vivre. Plus de deux ans après l’élection présidentielle qui a porté au pouvoir IBK, pour Brin, ce Bamakois à la soixantaine bien tassée, qui a tout vu, tout entendu et tout subi, c’est la déception : « En 2013, on était plein d’espoir. Mais ici, l’espoir ressemble à un horizon. Il recule au fur et à mesure qu’on avance ». Mauvaise foi ou réalité ? Force est de reconnaitre que depuis l’investiture du président, si la recréation est finie, les sempiternels problèmes demeurent: immobilisme du pouvoir, peu de congrès et peu d’explications.
Brin n’est pas le seul à se plaindre. Pour preuve. Dans ce restaurant coquet de Bamako-coura, les conversations vont bon train .La « clim » est à son maximum. Il fait frais, très frais même dans la salle. Pourtant le froid n’empêche pas les langues de se délier. «A part la fin du 1+3 (IBK+ses trois vice-présidents : Boubèye, Bathily, Tereta), que l’on détestait, rien n’a vraiment changé depuis les élections. Mais qu’est-ce qu’ils fabriquent ! », s’énerve ce client. Un habitué des lieux ironise sur les quatre chantiers prioritaires (sécurité, emploi, infrastructures et santé) énoncés par le candidat IBK; entre les deux tours de l’élection présidentielle : « Ils sont terminés, avant même d’avoir été entamés. C’est cela, le Mali démocratique ! » Dans la salle, le mécontentement est a son comble. « On ne s’attendait a voir le pays couvert de sécurité et de routes et les emplois se multiplier en l’espace de six mois .Mais tout de même ! D’accord, le Premier ministre, Modibo Kéita, a pris des mesures pour qu’on récupère les biens spoliés. D’accord, le ministre de l’Agriculture a été changé, des patrons suspendus .Mais les autres dirigeants corrompus sont toujours là. Notamment ceux qui ont magouillé dans les contrats d’achat de matériels militaires. On espère que la commission chargée de réviser les contrats publics va réellement faire quelque chose», espère cette dame. Un autre client renchérit: «pour que la population reprenne espoir, il faudrait que ceux qui ont volé sous Alpha et ATT soient sanctionnés et même sous IBK que la santé, les routes et salaires s’améliorent .Or, c’est loin d’être le cas. » Certains cadres profitent du laisser-aller général pour gagner quelques sous, raconte une demoiselle. Parfois, on arrête les coupables, mais ils sont rarement sanctionnés. Brusquement, comme pour donner raison aux clients, le climatiseur donne des signes de faiblesse. Tous les regards se tournent fébrilement vers l’appareil. Il crachote, siffle, éternue. Après avoir jeté un cri rauque, la clim rend l’âme. Rires. La patronne, elle, fulmine. Heureusement, le courant n’est pas complètement parti. Juste une grosse baisse de tension. Côté pouvoir, le mutisme ? Alors que la population désespère, cherchant des signes d’espoir, le pouvoir, lui, se tait de la part de Modibo Kéita, rien de surprenant. Il s’est toujours méfié des médias. On attend qu’il présente son projet de budget, mais il se fait attendre», confie Tom, jeune cadre dans une compagnie de téléphone mobile. Même mutisme du côté d’IBK. Toujours à l’étranger où chez lui à Sébénicoro. Il n’apparait pas, ou peu, en public. Depuis, pas de conférence de presse par lui-même et son Premier ministre fonctionne au ralenti et qui n’a pas l’expérience des institutions internationales. S’insurge Bill de passage. L’indécision ? D’aucuns pensent que le Gouvernement, mais également la Présidence, partagent la responsabilité des retards actuels. Force est de reconnaître qu’après l’investiture d’IBK, l’équipe présidentielle n’a guère bougé, malgré l’urgence de la situation. Mis également à l’index, le Premier ministre, accusé d’être un des éléments du blocage actuel.
Une critique que récusent les proches du Premier ministre. « Ici, l’administration ne fonctionne plus depuis des années. Il n’y a pas de continuité de l’Etat. La corruption et le laisser-aller sont devenus un fait de société. Nous sortons de plusieurs années de crise et d’une transition où tout le monde s’est servi.
L’ancien gouvernement n’a laissé ni matériel ni budget ni programme. Tout cela a retardé la mise en place du travail des équipes. Que pouvions-nous faire de plus », martèle ce cadre d’une banque et que tout le monde accable le gouvernement, l’opposition la première. On subit l’incurie du 1+3 (IBK+Boubèye, Bathily, Tréta) qui nous a laissés laminés. Le Mali se réveille lentement. Il faut lui donner du temps. Telle ne semble pas être la position du FMI, qui exige toujours l’élaboration d’un programme économique lisible. Comment faire face à la dette publique extérieure estimée à des sommes abyssales ? Et surtout comment « vendre un budget d’austérité » à une population qui souffre depuis des années ? Commente un homme politique secoué par une toux et qu’il est temps qu’IBK cesse de « vendre la cause » de son pays, car il est plus à l’aise pour défendre les challenges politiques que les dossiers économiques et financiers. Certains vont jusqu’à dire que la léthargie et les difficultés que connaît le gouvernement arrangeraient IBK. « Il laisse le doyen Modibo Kéita s’embourber. Ça le dédouane de ses responsabilités.
En outre, il n’a pas envie d’un Premier ministre fort, qui pourrait lui faire de l’ombre », confie cet observateur avisé, tirant sur une cigarette. Dans ce restaurant chic, on reproche à IBK d’avoir maintenu auprès de lui certaines personnalités qui n’ont que leurs bouches de lui faire croire à un électorat fictif. Certes, la tâche n’est pas facile, car il lui faut tenir compte de ceux qui l’ont « soutenu » et des équilibres régionaux. Un constat : une économie délabrée et des finances exsangues. Parmi les urgences : les salaires, la santé et surtout la réforme du système judiciaire, jugé partial et corrompu, pour sécuriser les investissements. Une population malienne perturbée, contestataire et aigrie, les investisseurs ne se bousculent pas au portillon.
Le doyen Modibo Kéita résistera-t-il aux critiques dont il est l’objet ? Certains réclamaient son départ. « Ce n’est pas la solution. De toute façon, n’importe quel Premier ministre sera confronté aux mêmes problèmes. Il devra gérer une sorte de mini-transition caractérisée par l’austérité », confie un diplomate à la retraite et fidèle client de ce restaurant. A l’évidence, si changement il doit y avoir, ce ne sera pas avant la fin du mandat. En outre et aujourd’hui, le président IBK doit plancher rapidement sur des projets de lois portant notamment sur la régionalisation, la réorganisation de la justice car la « plupart de ces lois auraient dû être adoptées avant les élections de 2013.
Mais rien n’a été fait pour préparer l’après-transition, précise un jeune proche de l’APM, à ses dires. Si la reconduction de Modibo Kéita a secoué la majorité politique malienne. Cette demoiselle- universitaire confirme que le doyen Modibo Kéita est connu pour être rigoureux et à l’abri du besoin, fut plusieurs fois ministre. La reconduction a été un véritable coup de massue pour la formation du chef de l’Etat qui ne s’y attendait pas. Cette reconduction du doyen prouve que le cercle rapproché d’IBK manque de stratégie politique et qu’il a mésestimé certains facteurs identitaires. « IBK devra éviter de relier l’opposition au seul destin personnel de Soumaila Cissé, c’est une garantie qu’il n’y aura pas de parti-Etat, et qu’un débat démocratique peut s’instaurer.
La pensée unique, c’est terminée. IBK devra focaliser le débat sur les vrais enjeux qui sont économiques », explique Ami, vendeuse ambulante, qu’elle est proche du Fare Anka Wili. Reste à savoir si l’opposition se comportera en républicaine. Certains sont sceptiques. « Il n’y a pas de tradition démocratique, et l’opposition n’est pas relayée par des syndicats puissants ni par une société civile forte. Les ONG sont tournées vers l’humanitaire et la recherche de financement », explique poliment cet expatrié sirotant du café.
Pour le régime, la partie s’annonce serrée, sinon difficile. La situation est d’autant plus complexe que les problèmes politico-économiques doublent d’une forte insécurité. Car les conflits perdurent dans le nord du pays, qui reste «un vrai chaudron, des pans entiers de la région échappent au contrôle de Bamako», explique un militaire avec sa barbe de plusieurs jours. Elmourabitoun et ses comparses sont toujours actifs. Le Gatia, longtemps utilisé par Bamako, repris langue avec son ennemi juré d’alors. En outre, symptomatique de l’insécurité et de la faiblesse en moyen aérien des FAMa, des revendications territoriales se font jour un peu partout : au Centre du pays entre Ségou, Tombouctou et Mopti, ce triangle est sous obédience d’un certain Amadou Koufa, les localités de Fakola et de Misséni sous le contrôle de Souleymane Kéita aux arrêts extrême-sud du Mali.
L’immense Mali reste un territoire convoité que certains aimeraient bien morceler pour mieux l’exploiter. Et la réforme de l’armée, la « grande muette », est une vraie gageure, d’autant plus que l’armée est considérée comme « un corps malade, rongé par les parasites que sont certains officiers qui détournent la solde ou les arriérés des subordonnés à leur profit, illustre la radiation de 800 gendarmes à cause de leurs arriérés en 1994. Les règlements de compte entre militaires issus d’unités différentes, qui ne se sont pas fait de cadeau pendant la transition, sont légion et que d’autres demandent justice ou réparation .Il faudrait une psychothérapie collective pour réconcilier tout le monde en dehors du champ politique », explique cet officier au visage poupin, raffolant une banane en dessert. A Bamako, dans la moiteur de ce sympathique restaurant, logé non- loin des bases militaires, les clients se délectent de viandes, du tô à la sauce gluante, de poisson et tant de victuailles. Ici, on semble loin des problèmes. Et pourtant, ils sont bien réels. Dans une parcelle voisine, des adeptes de l’islam de réveil prient avec force gémissement. Pour eux, la religion reste l’espoir. Un espoir bien tenu, toutefois, Matala, un journaliste, lui, ne désespère pas. Il n’a peut être pas tort. Car un des points positifs de ces problèmes est l’émergence d’une nouvelle génération d’hommes politiques, plutôt jeunes et pour certains compétents, dont quelques-uns seront forcement les leaders de demain. Du moins ce qu’on peut dire, le pays dont IBK hérite est divisé. D’autres hommes politiques ont des velléités d’émancipation auxquelles IBK s’attaquera et va-t-il résister ?
Par MatalaMouck : correspondance spéciale
Aucun digne fils du Mali ne peut parler de son pays comme vous le faites en ce moment.Même les aveugles savent que IBK est en train de faire un exploit exceptionnel.Avez vous déjà oublié les conditions dans lesquelles il trouvé le pays?
Aucun malien ne dira qu’il ne mange pas en ce moment à sa faim.Soit vous mentez tout simplement ou soit vous ne vivez pas du tout dans notre Mali.Certes,tout n’est pas parfait mais nous ne sommes pas dans un enfer.D’ailleurs,tout le monde sait que le monde entier traverse une crise financière sans précédent;et même nos donateurs en savent quelque chose.Trouvez donc autre chose à raconter.
Dites moi,lorsqu’un journaliste se donne comme mission d’intoxiquer son peuple,comment doit on l’appeler?En tout cas il est tout sauf journaliste.Mais le plus triste c’est que ce sont nos opposants qui les payent pour faire ce sale boulot.N’avez vous donc pas de dignité au point de vendre notre avenir commun pour des miettes?
C’est ensemble qu’on peut avoir la force pour faire de grandes choses.Cette pour cette raison que nous avons décidé de faire l’union sacrée autour de IBK pour qu’ensemble on puisse relever tous les défis liés au développement.Merci président et sache qu ton peuple te soutient.
On peut mentir sur certaines choses et ça peut passer.Mais il y a d’autres sur lesquelles on peut pas mentir.Cher journaliste, vous oubliez que c’est sur le mali que vous écrivez et que ce sont des maliens qui vont vous lire.
Arrêtez de foutre la merde aux gens.
Vous vous acharnez sur le Président et sa politique.Lui il travaille sans même vous écouter.Comprenez donc que ce que vous dites n’est pas du tout important.IBK a un seul souci: le bien être de ses compatriotes
Tout ce que nous pouvons faire c’est de soutenir le président pour ce qu’il fait dans le sens du bien être des maliens.
Nous avons toujours eu confiance en IBK et nous continuerons d’avoir confiance en lui car les actes qu’il pose prouvent une qu’il est une personne digne de confiance.
Il ne cesse de se battre pour améliorer les conditions de vie de ses compatriotes.
Nous pensons qu’il est vraiment l’homme qu’il faut à la tête du Mali.
Les journalistes doivent comprendre qu’un président est jugé sur 5 ans et non 2 ans. Nous pouvons dire que le bilan est positif dans la mesure notre économie est assainie et les actions de développement se posent, nous ne pouvons qu’être fiers du président.
Les institutions financières FMI et autres approuvent le mode de gestion de notre finance et prévoit une croissance de 5,7%. Cette croissance rejaillira sur la population mettant fin aux souffrance de nos parents.
IBK est pour la bonne gouvernance c’est pourquoi il veut tout mettre en oeuvre pour éradiquer la corruption de notre société. Cela représente un réel frein de développement et il a jugé bon de mandater les nouveaux magistrats de mettre un accent particulier sur la corruption
Le ministre Modibo est le parrain des accords de paix donc c’est lui peut mener à bien les discussions avec les groupes armés pour trouver un terrain d’entente pacifique pour le bonheur de tous.
Ce monsieur est à féliciter et encourager pour son travail et je peux l’affirmer que le président ne s’est pas trompé de personnes
Les accords de paix sont dans leur phase d’application qui d’ailleurs est d’une avancée louable. Nous notons la libération de prisonniers et la mise en place de la commission vérité et réconciliation et DDR. Aujourd’hui, nous sommes heureux de la cogestion de la ville de Kidal
Les partis signataires de ces accords sont prêts pour aller définitivement à la paix tant recherchée.
Aucun malien ne peut se plaindre de la gestion des affaires d’IBK durant cette année. Le pays est sombré dans une crise sans précédent. Conscient de cette situation, je suis convaincu que le bilan d’Ibrahim Boubacar Keïta est salutaire.
Il est pour la bonne gouvernance c’est pourquoi il veut tout mettre en oeuvre pour éradiquer la corruption de notre société. Cela représente un réel frein de développement et il a jugé bon de mandater les nouveaux magistrats de mettre un accent particulier sur la corruption
Le premier ministre est un infatigable travailleur. C’est pourquoi, le président ne manque pas d’occasion pour lui un éloge. Avec lui, l’économie a pu être assainie et cela a permis d’éponger la dette intérieure. Le premier ministre Modibo de par son expérience a mené les négociations de l’accord d’Alger qui, aujourd’hui, est à un niveau appréciable
Je pense que rien n’est pas encore perdu car le président de la république est un homme de vision et il sait ce que le peuple attends de lui. Nous devons donc le soutenir en cette nouvelle année et je pense que nous ne serions pas déçu car malgré la crise qu’a connu le pays avant son accession au pouvoir et à laquelle des solutions sont en train d’être trouvées; il y a eu quelques avancées dans plusieurs domaines et cela va se poursuivre.
Ce n’est pas en coup de bâton magique que le président peut changer ce pays. Comment peut-on à un homme qui est là que seulement 3 ans. Une question me revient de façon récurrente. Qu’est ce que les prédécesseurs d’IBK ont fait pour que le Mali avance?
Rien ils sont donc à la base de ce grand retard. Sinon, je pense pas la crise aurait détruit la ville mais on n’a rien vu d’extra sous leur régime
« Je veux être, avec vous et pour vous, l’artisan de l’émergence du Mali de nos rêves. Je veux redonner espoir à cette grande Nation qui rêve d’occuper fièrement sa place, et toute sa place, dans le concert des Nations qui comptent. Pour le Mali, je veux être ce capitaine de bateau qui tient fermement la barre en faisant fi de tous autres calculs mesquins ou de tous agendas secrets. Pour vous, mes chers compatriotes, il n’est pas de sacrifices qui ne méritent d’être consentis, dussent-ils être ultimes »
JE PENSE QUE TOUT EST DANS CET EXTRAIT DU DISCOURS DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE A L’OCCASION DE LA NOUVELLE ANNÉE.
TOUT LE PAYS CONNAIT DES DIFFICULTÉS ET NOTRE PAYS NE DÉROGE PAS A LA RÈGLE MAIS ON NE DOIT PAS LES UTILISER POUR CALOMNIER CELUI QUI TIENT LE POUVOIR MAIS IL FAUT PLUTÔT PROPOSER DES VOIES ET MOYENS POUR QUE CETTE SITUATION PUISSE ÊTRE JUGULER. LE PRÉSIDENT IBK A PRIS LE POUVOIR DANS DES CONDITIONS QUE NUL N’IGNORE DANS CE PAYS ET DIRE QU’EN DEUX ANNÉES ONT LUI DEMANDE DE FAIRE DU PAYS LE PLUS MODERNE D’AFRIQUE.
NOTRE PAYS NE POSSÈDE PAS LES MÊMES ATOUTS QUE CERTAINS PAYS QUE CERTAINS CITENT EN EXEMPLES ET SI LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE EFFECTUE AUTANT DE VOYAGE C’EST JUSTEMENT POUR RECHERCHER DES PARTENAIRES QUI PEUVENT ENTREPRENDRE DES ACTIVITÉS QUI PUISSENT OFFRIR DE L’EMPLOI A NOTRE JEUNESSE ET BOOSTER NOTRE ÉCONOMIE MAIS MALHEUREUSEMENT IL NE BENEFICIE PAS DE LA COMPRÉHENSION DES UNS ET DES AUTRES A CAUSE DE LA MANIPULATION DE L’INFORMATION QUE FONT DES PERSONNES QUI SE PRÉSENTENT COMME DES SAUVEURS DE CE PAYS MAIS QUI EN RÉALITÉ A UN MOMENT OU A UN AUTRE ONT OCCUPE DES RESPONSABILITÉS TANT AU PLAN NATIONAL QU’INTERNATIONAL SANS QUE PERSONNE ENCORE MOINS LE PAYS NE PUISSENT EN BÉNÉFICIER. COMPRENONS IBK CAR IL EST LA SOLUTION POUR NOTRE PAYS ET AIDONS LE A ATTEINDRE SES OBJECTIFS.
VIVE LA PAIX ET LE DÉVELOPPEMENT AU MALI!
Je crois que le chef de l’état n’est pas du tout coupé des réalités des Maliens; il a une vision pour eux mais je crois que ce sont les moyens qui manquent pour leur mise en œuvre. Les bailleurs de fonds ont promis des choses qu’ils n’ont pas tenues. Je crois aussi que même si nous ne devons pas vivre de l’aide extérieur nous en avons assez besoin pour sortir de la crise.
Les Maliens doivent se donner la main pour bâtir ensemble le Mali.
Comme dit un célèbre adage que l’union fait la force.
Compte tenu de la devise du Mali, un peuple, un but ; une foi, les Maliens sont tous les mêmes alors donnons-nous la main pour renforcer cette devise et faire renaître le pays qui a trop souffert. IBK est aujourd’hui comme quelqu’un qui travaille sous la pluie comment peut-on apprécier sa sueur? Le pays était dans une mauvaise posture lors sa prise de pouvoir alors comprenons-le
Vive le développement, Vive le peuple malien; Vive le président IBK
Le premier ministre Modibo kéïta est un grand homme qui connait les aspirations des populations de ce pays car ayant servi dans plusieurs domaines et pendant de longues années. Son programme montre qu’il a une belle optique de développement pour pays. Mais celui-ci ne semble pas depuis un certain bénéficier de l’aider politique de certains membres du gouvernement et de certaines personnes véreuses qui veulent toujours marquer sa gestion du sceau de l’échec à travers des campagnes de dénigrements et de désinformation à son endroit ce qui n’est pas du tout normal pour un pays qui sort de crise et qui a besoin de la compétence de tous ses fils.
Nous devons donc l’aider avec le président IBK à apporter d’abord la paix, la justice dans notre pays et l’essor économique que nous attendons tous.
Notre pays a certes des problèmes mais nous devons savoir aussi qu’il n’est pas très aisé de reconstruire un pays qui sort d’une crise multidimensionnelle et multi-sectorielle. Mais avec la vision qu’il a pour le pays il doit pouvoir y arriver et on doit croire en lui. La résolution des problèmes de notre pays passe aussi par la mise en œuvre de l’accord de paix pour lequel un comité de suivi national vient d’être mis en place et dégagera les voies et moyens pour que celui-ci ( l’accord de paix) ne connaisse plus de blocages afin que nous ayons la paix, socle du développement.
Le premier ministre Modibo est un homme sage et intègre d’où la confiance à lui accordé par le président IBK. Je crois sincèrement que si le peuple tout entier et les membres du gouvernement l’accompagnent dans la vision qu’il a pour notre pays; celui-ci sortira très bientôt dans la situation peu satisfaisante dans lequel il se trouve. La question du développement du pays n’est pas une question de parti politique mais de vision et le premier ministre en a une bonne pour notre pays. Soutenons ses actions et celles du président IBK pour le bien-être de notre pays et par ricochet du notre en tant que population.
Je crois que les prérogatives pour qu’un pays puisse se développer sont d’abord la paix et la stabilité politique et je crois que nos plus hautes autorités à savoir le président de la république et le premier ministre en sont conscientes et feront tout pour mettre en œuvre l’accord de paix pour que le pays soit réunifié, sécurisé dans son ensemble afin que le développement réel puisse être amorcé.
Aussi, on peut remarquer qu’il y a eu quelques avancées malgré tous les problèmes que le pays à connu.
De grands défis attendent le premier ministre Modibo et son équipe gouvernementale. Partant de la réunification du pays à la réduction de la pauvreté en passant par la lutte contre la corruption.
Les défis sont énormes mais je crois que si le premier ministre bénéficie du concours de toutes les personnalités de ce pays et des membres de son gouvernement; il pourra atteindre ces objectifs.
Au delà du conseil des ministres il peut même établir un cadre où les ministres communiqueront avec les populations sur leurs activités afin que le peuple soit imprégné du travail qui est fait et donner son appréciation et préconiser des solutions.
Le président de la république a une très bonne vision pour notre pays parce qu’ayant été responsables de plusieurs domaines.
Cependant, il ne bénéficie plus depuis un certain moment de l’apport de certains collaborateurs avec lesquels il avait l’ambition de réaliser son ambition pour ce pays pour de simple questions de leadership au niveau du gouvernement. Il est acculé de toute part par des détracteurs prétendant qu’il n’a pas de vision pour le pays. Situation qui je penses à susciter le dernier recadrage gouvernemental afin que les choses puissent bouger pour le bien de la population. Chose à laquelle nous devons osez y croire et de notre modeste contribution y participer.
Depuis l’arrivée d’IBK, il est en train de redresser lentement mais surement notre pays. Le pays malgré, la crise multidimensionnelle, est parti sur de nouvelles bases. L’économie, l’agriculture, l’éducation, la mine, la sécurité et tant d’autres domaines commencent à se rétablir durablement.
Je pense que la population doit comprendre une chose,c’est que nous revenons d’une crise militaro-politique qui a fragilisé le pays. Donc, les choses peuvent pas aller comme sur des roulettes. Il faut faire confiance à IBK et son gouvernement et je pense qu’ils ont besoin de nos soutiens pour sortir le pays dans sa léthargie.
Le problème dans notre pays c’est notre opposition qui manipule la presse et certaines personnes afin de jeter le discrédit sur la gouvernance d’IBK c’est pour cette raison que la majorité a entrepris une démarche vers cette opposition afin que cela puisse prendre fin.
Quand on sait d’où vient notre pays on ne demanderait pas l’impossible.Les choses ne se font pas comme par magie.Le meilleur allié d’un développement durable est le temps.Donnons donc le temps au président IBK pour mettre son brillant programme de gouvernance en oeuvre.
Le président IBK était l’homme dont le pays avait besoin. Son élection est la traduction des populations de sortir de la crise et des maux qui minaient les pays. IBK a dit: “Je serai le président de la réconciliation nationale, une réconciliation nécessaire pour répondre aux exigences légitimes de la population : reconstruction de l’État de droit, redressement de l’armée et de l’école, lutte contre la corruption, développement économique et social.Et c’est ce qui est en train d’être fait
Le président iBK est en train d’honorer toutes ces promesses de campagne.Seuls les aveugles réfusent de le voir.Mais le plus important c’est que la population malienne dans sa grande majorité est avec le président IBK.
(illustre la radiation de 800 gendarmes à cause de leurs arriérés en 1994.)un passage de cet article.Est ce que c’est le président IBK qui était au pouvoir en 1994?
C’est vrai que le Mali a traversé des moments difficile ces derniers temps. Mais, cela ne veut pas dire qu’on doit s’en prendre à tous les individus des institutions de l’Etat. J’ignore ce que ces deux ministres ont fait, mais souvent les choses peuvent être mal interprétées.
Si IBK décide d’être le seul maître à bord, alors ne vous fatiguez pas à le critiquer, car tout ce qui va arriver à ce pays sous son régime. Il sera tenu coupable de cela et sera juger après son mandat.
Soyons reconnaissant envers nos dirigeants, quoi qu’il en soit ils ont aussi travaillé. Nous ne pouvons pas dire le contraire, en croisant les bras. Peut-être que la situation de notre pays allait s’empiré plus d’avantage.
Il faut comprendre que le régime IBK a trouvé le pays dans cette période difficile, comme nous ne le savons tous. Par contre, la situation de notre pays ne peut uniquement être considérée comme sa faute même s’ils ont aussi commis des failles.
Rappelez-vous chers maliens, le Mali est à nous tous, et non au chef de l’Etat et son gouvernement. De ce fait, il est normal que nous unissions nos forces pour la sauvegarde de notre pays. Certes, nos dirigeants jouent leurs rôles, mais à nous aussi de contribuer à la reconstruction de notre pays.
Le Bateau Mali peut beau tanguer mais ne chavira jamais, le président IBK et son gouvernement sont à pied d’œuvre. Ayons juste le courage de se patienter et attendre la fin du quinquennat d’IBK enfin de le juger.
Je ne prends pas partie pour IBK, mais depuis son arriver le pays commence légèrement à se développer, délicatement mais assurément, il est en train de redresser le pays. Il est vraiment l’homme de la situation soyons honnête. Il peut gérer le Mali comme il se doit, il a la compétence nécessaire. Sa politique de gouvernance reste la meilleur mode gérance approprié pour sortir notre pays de cette crise.
La gouvernance d’IBK quoi qu’on dise reste la meilleure. Malgré la charge de son programme de la campagne présidentielle de 2013, il est encore confronté à d’autres problèmes plus colossaux que prévus. Le Président de République est déterminé et attentif pour redresser le pays. Les détracteurs essaient de tromper l’opinion publique, pour en tirer profit, mais le peuple reste indifférent face à cela.
Le président de la république a accomplis un travail très remarquable, il a adopté une politique de gouvernance qui commence depuis la souche de tous les maux dont fait face notre pays, ainsi pour mieux cerner l’obstacle. Par sagesse, expertise, professionnalisme et son sens de patriotisme IBK se bat sans relâche avec bravoure, détermination et bonne foi, voilà pourquoi il arrive lentement et surement à redresser le pays.
Je juge que la gouvernance la mis mandat d'IBK d'un bilan très positif, parce que lentement et surement, commençant par la base étape par étape IBK mène un travail très remarquable. Les détracteurs essayent de tromper la conscience et l’opinion publique en leur faveur dans le seul but de nuire au régime en place.
La gouvernance actuelle est jusqu’à présent est bonne, le problème est que la vision de plusieurs personnes se limitent juste à aujourd’hui. Pour tirer conclusion du mi-mandat du président passé à la magistrature suprême, on doit d’abord prendre en compte l’état actuel dont il trouva le pays et aussi des difficultés en général dans le pays.
Les détracteurs dupe la conscience des honnêtes citoyens en leurs faisant croire que le gouvernement leurs à tourner le dos ou même que le régime d’IBK n’est pas à la hauteur des maux du Mali. Ils poussent les citoyens à mettre en cause la crédibilité du régime en place, alors tout ce dont les journalistes racontent est loin de réalité.
Normal, que le mi-mandat soit ainsi pour ceux qui veulent qu’elles le soient. Après tout on ne peut pas redresser un pays qui fait plus de 20 ans dans la malice des dirigeants dans les régimes passés. Un pays qui a été trahi pendant toutes ces années avec une économie rabaissé, une armée nulle, une éducation vouée à l’échec, la sécurité des personnes et des biens et même l’intégrité territoriale sont tous menacés et le pays se retrouva sans mille doutes dans un chaos total.
Cet article est un article incitateur à la haine, les journalistes apatride, de mauvaise foi et corrompus se permet de manipuler la conscient des pauvres citoyens avec des stupidités de toute sorte. Ces journalistes crève la faim la stabilité de leur pays importe peu le plus important à leur yeux est de se remplir la poche avec des miettes, qui peuvent même pas couvrit leurs déplacements.
Le travail dont le président IBK est en train d’accomplit est très salutaire et il n’est pas aussi évident qu’il arrive a accompli tout cela. Vue la crise multidimensionnelle et existentielle dont travers le pays IBK arrive par plusieurs efforts et sacrifice à relever le défi. On ne doit pas critiquer le régime au pouvoir mais plutôt mais plutôt le soutenir.
Les mots ne peuvent changer beaucoup de chose. Elle donne de l’espoir, la patience, la confiance et rassure avant la régulation de la situation. Mais au-delà des mots IBK a prouvé réalisé plusieurs œuvres. Il a amélioré plusieurs secteurs notamment l’augmentation des salaires, le classement des cadres et l’adoption d’un budget pour les armements et équipements des militaires qui étaient déposés à l’assemblée nationale depuis 2002 sans être adopté lors des régimes précédents et aussi le changement des conditions de vie des forces armées maliennes.
Le gouvernement actuel du Mali a donné l’impression de bien faire plus que ses prédécesseurs. Je ne peux en vouloir à ce gouvernement jusque lui en vouloir. Mais tôt ou tard ce même journaliste dira le contraire de ce qu’il dit dans cet article, aujourd’hui.
Et pourtant les conditions de vie des maliens ont changé dans ces derniers mois de gouvernance d’Ibrahim Boubacar Keïta. Malgré la crise socio-économique que nous connaissons depuis 2012, les situations de vie des maliens ont évolué.
Les maliens n’ont aucune raison d’être insatisfaits, après tout ce qu’Ibrahim Boubacar Keîta. Nous savons tous que vous êtes en train de monter un scénario, cher journaliste. Mais vous pouvez rester tranquille, IBK est engagé pour satisfaire tous les citoyens, mêmes les pessimistes que vous êtes.
Les maliens ne sont pas insatisfaits, ce sont certains opposants comme vous (journaliste) qui sont à la conquête de la déstabilisation du régime d’IBK. Et vous n’avez aucune affection pour ce pays, vous voulez tout simplement inciter à la haine et à la révolte.
Mon cher rédacteur, plus vite que la musique, on danse mal. Donc, ce régime est à deux ans et quelques mois, attendons d’abord qu’il fasse ses cinq premières années pour passer aux critiques. Les maliens ne sont pas insatisfaits. Peut-être que vous vous l’êtes parce que vous ne trouvez plus de quoi faire sur ce site à cause de votre connerie.
Au moment où quelqu’un se bat corps et âme pour la cause commune et au moment où toutes ses nuits sont blanches pour voir son peuple heureux, des détracteurs et des pessimistes le critiquent à la longueur des journées. S’il vous plait soyez un tout petit peu reconnaissants.
A ma conviction, ce sont seulement nos opposants et les individus mécontents du régime d’Ibrahim Boubacar Keïta qui pensent qu’après deux ans de gouvernance des affaires publiques, son bilan est mitigé et négatif. Alors qu’en réalité le pays avance lentement mais surement. Les maliens peuvent être mécontent de l’insécurité mais pas autres choses.
Si réellement vous êtes conscient, Boubacar, que le Mali traverse une crise, pourquoi dit donc faire une telle critique ? 😉 😉 😉 IBK pouvait-il faire autre que de son mieux pour offrir le bonheur promis aux maliens ? Réellement, dites-moi s’il n’y a pas eu d’amélioration dans les conditions de vie des maliens ? 💡 💡 💡 💡
Le président de la république a fait ce qu’aucun autre chef de l’Etat démocratiquement élu dans ce pays n’a pas pu faire. Cela ne me surprend pas non plus. Je me souviens de son slogan pendant les campagnes présidentielles : le Mali d’abord ; Pour l’honneur du Mali et pour le bonheur des maliens. Ce slogan est confirmé par les actes qu’il a posés. Sa gouvernance est sans doute bonne, après tout ce qu’il a fait aux affaires.
Le Mali avance lentement mais sûrement. Les journalistes maliens sont presque tous des sceptiques. Ils ne veulent rien du régime en place. Tout ce qu'ils veulent, c'est la chute d'Ibrahim Boubacar Keïta.
Le seul groupe dont les maliens en a marre est celui des dénigreurs que sont nos journalistes et opposants. On ne veut plus de vos critiques non fondées, de vos bêtises, de vos carences d’informations, de vos manques de compétences et de vos manques de réputations sur la scène internationale.
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