Mali, Alliance des États du Sahel : Vers la mise en place de l’architecture institutionnelle

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En prélude à la rencontre des ministres des Affaires étrangères de l’Alliance des États du Sahel (AES), la réunion préparatoire des experts du Burkina Faso, du Niger et du Mali, se tient depuis hier au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale sous la présidence du chef de la diplomatie malienne, Abdoulaye Diop. Les travaux, organisés en différents sous-comités; à savoir « Diplomatie et questions institutionnelles », « Défense et sécurité » et « Questions de développement économique », prennent fin aujourd’hui par des recommandations visant à rendre opérationnelle l’AES.

C’est un grand pas qui vient d’être franchi dans la matérialisation de la volonté du président de la Transition du Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, du chef de l’État du Mali, le colonel Assimi Goïta et du président du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie du Niger, le général Abdourahamane Tiani. Après la signature de la Charte du Liptako Gourma, le 16 septembre dernier, instituant l’AES, ces dirigeants entendent traduire cette création en acte concret. D’où cette réunion de propositions des organes de l’Alliance.

Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale a indiqué que cette mutualisation des efforts a déjà permis de réaliser des succès significatifs en matière de défense collective. À cet égard, Abdoulaye Diop a réitéré sa reconnaissance aux Forces armées du Burkina, du Mali et du Niger qui luttent, au quotidien, pour la préservation de la paix et la sécurité dans notre espace commun. Selon lui, les experts soumettront aux ministres des Affaires étrangères des propositions pour une structure institutionnelle de l’AES avec les différents organes à mettre en place à travers des mécanismes de fonctionnement et d’articulation clairement établis. Il s’agit de formaliser ces instances au moyen de textes additionnels à la Charte.

FÉDÉRER LES FORCES- En s’adressant aux experts des trois pays, le ministre chargé des Affaires étrangères a affirmé que les attentes légitimes des populations sont importantes. «Elles sont nombreuses, nous avons une occasion, aujourd’hui, malgré les défis auxquels nous faisons face, une opportunité inédite d’apporter la solution appropriée et durable à la conjecture complexe», a ajouté le chef de la diplomatie malienne, précisant que le Burkina, le Mali et le Niger sont liés par une histoire, une culture et des valeurs communes. C’est pourquoi, Abdoulaye Diop a souhaité que les pays de l’AES parlent d’une seule et même voix partout où cela est nécessaire.

Durant les travaux, les experts plancheront également sur le choix entre une approche holistique englobant tous les domaines de coopération possibles ou une Alliance axée sur des domaines prioritaires. Au-delà de l’action diplomatique et politique, les participants feront des suggestions relatives à une intégration économique plus poussée afin de renforcer le développement de nos États. Le ministre Abdoulaye Diop s’est dit convaincu que les décisions prises au cours de ces travaux préparatoires jetteront les bases de l’AES. «Nous sommes ici en tant que représentants d’une vision partagée, celle d’une région forte, stable et prospère», at-il rappelé. Espérant que les décisions tracent la voie vers un Sahel sûre, pacifique et prospère pour les générations à venir.

Pour sa part, la cheffe de la délégation du Burkina Faso a souligné l’acte historique posé par la signature de la Charte en vue de fédérer les forces pour venir à bout des attaques terroristes qui endeuillent nos pays. Occasion, a relevé l’ambassadeur Séverine Bationo Kansono, de poursuivre la mise en place progressive de l’architecture institutionnelle de l’Alliance à travers l’examen des actes additionnels.

De son côté, l’ambassadeur Alassane Ousmane qui conduisait la délégation de la République du Niger a fait savoir que c’est une étape décisive dans l’opérationnalisation de l’institution commune. Pour lui, son pays entend jouer pleinement sa partition dans le fonctionnement de l’AES. «Cette organisation dispose d’atouts majeurs découlant de l’histoire, de la géographie, de la culture, des liens d’amitié et de coopération unissant ces pays», at-il apprécié. Parlant de l’AES, il dit que c’est un premier cadre d’intégration sous régionale pleinement souverain, profondément ancré dans nos réalités socio-culturelles et fermement engagé à prendre en main son destin. Alassane Ousmane a déploré l’absence de solidarité de certaines organisations à l’endroit des populations de l’Alliance.

En principe, la rencontre ministérielle de l’organisation est prévue pour le jeudi prochain. Il faut rappeler que samedi dernier, ce sont les ministres de l’Économie et des Finances de l’AES qui étaient en conclave dans notre capitale. Leurs travaux ont été sanctionnés par plusieurs recommandations touchant des domaines aussi divers que stratégiques comme les échanges commerciaux, la circulation des personnes et des biens dans l’espace commun, la sécurité alimentaire et énergétique, la transformation industrielle et le financement.

Namory KOUYATÉ

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17 COMMENTAIRES

  1. ARCHITECTURE INSTITUTIONNELLE
    DE L’AES (Alliance des États du Sahel) : Proposition de Dr Anasser Ag Rhissa

    L’Alliance des États du Sahel est une institution régionale composée des États du Mali, du Niger et du Burkina Faso.

    Elle a été créé le 16 septembre 2023 à Bamako par le Niger, le Mali et le Burkina Faso.

    La charte du !iptako Gourma a permis la création de l’AES.

    L’AES assure la coopération au niveau régionale des politiques de développement et de défense collectives.

    L’Alliance précurseure de l’AES était intégrée au G5 sahel. C’était la coalition régionale et internationale de lutte contre le terrorisme proposée par Dr Anasser Ag Rhissa aux États du sahel et à l’ALG (Autorité du Liptako Gourma).

    Les ENJEUX de l’AES sont, entre autres, la lutte contre le terrorisme et l’insécurité ET son utilisation des technologies au service du développement durable, de la sécurité et de la paix en mettant en avant le QUARTET sécurité, développement, paix et justice.

    Sa stratégie d’évolution doit prendre en compte le quartet précédent.

    L’AES doit participer activement à l’intégration sous régionale, régionale et mondiale.

    Son siège sera au Niger.

    Dr Anasser Ag Rhissa propose de faire evoluer l’AES en fédération des États du sahel en 2025.

    2. PRÉSIDENCE TOURNANTE DE L’AES

    La Présidence de l’alliance des États du sahel (AES) est tournante chaque année.

    Le pays qui abrite le siège assurera la première Présidence de l’AES.

    L’institution AES de chaque pays membre est placée sous le Ministère des affaires étrangères, donc le Ministre des affaires étrangères  du pays concerné la gère.

    3. UN SECRÉTARIAT EXÉCUTIF PERMANENT

    IL GÉRERA LE FONCTIONNEMENT OPÉRATIONNEL DE L’AES

    Sous le commandement d’un présidium, Le rôle du secrétariat permanent est de déterminer la vision de l’AES, de synchroniser les tâches des  différentes entités de l’Alliance des États du Sahel ET de gèrer le fonctionnement opérationnel de l’AES.

    Le secrétariat exécutif permanent fixe la politique globale de gouvernance de l’alliance des États du Sahel en liaison étroite avec les Chefs d’États de l’alliance des États du sahel.

    Il sera placé dans le pays assurant la présidence tournante de l’AES pendant l’année en cours.

    Un comité présidium de l’AES,  CP-AES, formé des différents Chefs d’États de l’AES assure le présidium de l’AES,  fixe les directives de gouvernance et les  politiques à suivre.

    Ce comité présidium de l’AES est piloté par le Président de l’AES, qui est le Président assurant la gouvernance tournante de l’AES.

    4. CO-PRÉSIDENCE DE l’AES

    Un panel constitué des autres présidents de l’AES assure le rôle de vice-présidents de l’AES.

    En cas de vacance du poste du Président de l’AES, un des vice-présidents du panel choisit par ses pairs  lui succédera.

    5. COMPOSITION DU SECRÉTARIAT EXÉCUTIF PERMANENT DE L’AES.

    Le secrétariat exécutif permanent est géré par un secrétaire exécutif permanent de l’AES.

    Il est composé des services suivants.

    – Service du personnel
    – Service de Gouvernance
    – Service d’Information
    – Service de développement résilient
    – Service des Infrastructures et communication

    – expert conseiller spécial du Président de l’AES 

    – expert conseiller du Président du conseil des Ministres de l’AES, 

    – expert conseiller spécial du secrétaire permanent du l’AES, 

    – expert conseiller en développement durable et économie verte, en particulier, pour la coordination de la stratégie intégrée de la jeunesse et des femmes au sein de l’AES.

  2. AES, une autre boîte à fantasmes pour peuples fainéants ! Compagnie aérienne commune, traités de commerces, patati patata… C’est à croire que le Liptako-Gourma, le Conseil de l’entente, la CEAO, ou le CILSS n’ont jamais existé. On nous parle de libre circulation des personnes et des biens comme si celà n’existait pas, de liberalisation du commerce inter-états comme s’il y avait restriction, de la démagogie pure !

    L’intégration économique et le commerce ne se font pas à coups de décrets. Qu’est-ce que le Mali peut importer du Niger et du Burkina ou vice-versa et qui nest pas déjà fait ? Bande de salauds, arrêtez de nous prendre pour des Mongols, 😎😎

  3. Niamey, le 28 novembre 2027

    A SEMs Tchani, Assimi Goïta,  Ibrahim Traoré, Chefs d’État des pays de l’AES

    Objet : Partenariat sur la base du séminaire international Intitulé Guerre informationnelle collective dans l’espace AES (Alliance des États du Sahel)

    Messieurs,

    Ce séminaire est organisé par l’ONG Tilwat international en partenariat (en cours), entre autres, avec les Présidences du Mali, du Niger et du Burkina, les conseils nationaux de défense du Mali, du Niger et du  Burkin, les Primatures du Niger, du Mali et du Burkina, les Ministères de la communication du Niger, du Mali et du Burkina, les Ministères des affaires étrangères du Niger, du Mali et du Burkina, les Ministère de la défense du Niger, du Mali et du Burkina et les Ministères de la sécurité intérieur  du Niger, du Mali et du Burkina, le Ministère de la réconciliation nationale du Mali,
    Les Ministères de l’administration territoriale du Niger, du Mali et du Burkina, la Haute autorité à la consolidation de la paix du Niger, le CNDP du Niger Et les assemblées nationales du Niger, du Mali et du Burkina.

    OBJECTIFS ET STRATÉGIES

    Confrontée à une crise multiforme, la zone sahel, en particulier la zone des trois frontières, doit être protégée et sécurisée pour permettre son développement durable résilient et inclusif.

    Pour ce faire, il faut lutter efficacement contre le terrorisme à travers la coopération entre acteurs (États, institutions, communautés, citoyens, politiques, ..)  en se basant sur  la sécurité, la défense collectives et la mutualisation des forces et des ressources.

    Il faut donc une vision et des stratégies idoines : Communiquer,  Coopérer ensemble et Mutuliser les forces et les ressources  pour sécuriser, défendre et développer les États de l’AES (Alliance des États du Sahel) et du Sahel en général en se basant sur la bonne gouvernance, les TIC (Technologies d’Information et Communication) ET l’intelligence économique.

    Ce séminaire assurera aux forces  vives des pays de l’AES un renforcement de capacités sur les concepts de la guerre informationnelle collective et son application dans l’espace couvert par l’AES. Ces concepts permettront de comprendre la guerre informationnelle et à en être un acteur actif, réactif voire proactif.

    En plus des participations (cinquante)  accordées dans le cadre du partenariat,  les partenaires  pourront inscrire à leurs frais d’autres participants.

    Voir la page 2/2 SEM-Guerre informationnelle-TICs -Bonne Gouvernance-AES.

    Bien cordialement

    Dr Anasser Ag Rhissa

    Président de l’ONG Tilwat International

    Expert TIC, Gouvernance  et Sécurité

    Email : Anasser_AgRhissa@yahoo.fr

    TEL 0 0 2 2 3 95955792

  4. 1/2 SEM-Guerre Informationnelle- 
            TICs-Bonne Gouvernance-AES

             Séminaire International

    Guerre_Informationnelle_TICs_AES

    Version du 28 novembre 2023

    DATE : 18 à 22 Janvier 2024 à  Niamey

    Lieu : Centre de conférences

        GUERRE INFORMATIONNELLE

    LES TICs (Technologies d’Information et Communication) ET LA BONNE GOUVERNANCE au service de la sécurité, de la défense, de la guerre collectives contre le terrorisme et pour le développement durable résilient et inclusif, la lutte contre la corruption, la communication et la coopération entre les  pays de l’AES (Alliance des États du Sahel) et du sahel

    Ce séminaire est organisé par l’ONG Tilwat international en partenariat (en cours) avec les Présidences du Mali, du Niger et du Burkina, les conseils nationaux de défense du Mali, du Niger et du  Burkin, les Primatures du Niger, du Mali et du Burkina, les Ministères de la communication du Niger, du Mali et du Burkina, les Ministères des affaires étrangères du Niger, du Mali et du Burkina, les Ministère de la défense du Niger, du Mali et du Burkina et les Ministères de la sécurité intérieur  du Niger, du Mali et du Burkina, le Ministère de la réconciliation nationale du Mali,
    Les Ministères de l’administration territoriale du Niger, du Mali et du Burkina, la Haute autorité à la consolidation de la paix du Niger, le CNDP du Niger Et les assemblées nationales du Niger, du Mali et du Burkina.

    A. OBJECTIFS ET STRATÉGIES

    Confrontée à une crise multiforme qui ne cesse de s’aggraver, la zone sahel, en particulier la zone des trois frontières, doit être protégée et sécurisée pour permettre son développement durable résilient et inclusif.

    Pour ce faire, il faut lutter efficacement contre le terrorisme à travers la coopération entre acteurs (États, institutions, communautés, citoyens, politiques, ..)  en se basant sur  la sécurité, la défense collectives et la mutualisation des forces et des ressources.

    Il faut donc une vision et des stratégies idoines : Communiquer,  Coopérer ensemble et Mutuliser les forces et les ressources  pour sécuriser, défendre et développer les États de l’AES (Alliance des États du Sahel) et du Sahel en général en se basant sur la bonne gouvernance, les TIC (Technologies d’Information et Communication) ET l’intelligence économique.

    B. CRISE MULTIDIMENSIONNELLE

    La zone des trois frontières fait partie de celles où  opéraient le G5 sahel et la coalition régionale et internationale de lutte contre le terrorisme qu’il intégrait.

    Cette dernière est la Précurseure de l’Alliance des États du Sahel (AES) comprenant pour l’instant le Niger, le Mali et le Burkina.

    La Fédération de Russie et les  acteurs de l’AES estiment que le maintien de la paix et de la sécurité dans le Sahara-Sahel revient aux États de la région eux-mêmes, en donnant la primauté aux « solutions africaines aux problèmes africains ».  

    D’où l’intérêt de ce séminaire de renforcement de capacités sur la GUERRE INFORMATIONNELLE et l’usage des TICs (Technologies d’Information et Communication) ET de LA BONNE GOUVERNANCE au service de la sécurité, de la défense, de la guerre collectives contre le terrorisme et pour le développement durable résilient et inclusif, la lutte contre la corruption, la communication et la coopération entre les  pays de l’AES (Alliance des États du Sahel) et du sahel.

    Contact

    Dr Anasser Ag Rhissa

    Président de l’ONG Tilwat International

    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
    Email : Anasser_AgRhissa@yahoo.fr

    TEL 00227 81204817

  5. 2/2 SEM-Guerre Informationnelle- 
            TICs-Bonne Gouvernance-AES

             Séminaire International

    Guerre_Informationnelle_TICs_AES

    Version du 28 novembre 2023

    C. DURÉE ET LIEU DU SÉMINAIRE

    La durée du séminaire est de cinq  jours s’étalant du 18 au 22 janvier 2024. Il aura lieu à Niamey au centre des conférences.

    D. PUBLIC CONCERNÉ

    Ce séminaire  s’adresse à des responsables aux niveaux des gouvernances stratégique, tactique et opérationnelle mais aussi aux personnels des ministères, des administrations et des entreprises privées et à leurs responsables TIC, sécurité, défense, techniciens, systèmes d’information, réseaux et systèmes.

    E. CONTENU ET PROGRAMME

    1. Introduction et objectifs de la GUERRE informationnelle

    – Les TICS et la bonne gouvernance au service de la guerre d’information, de la gouvernance et de la gestion

    Cas d’un pays de l’AES (Alliance des États du aSahel) soumis à une guerre d’information : cas de la guerre d’information entre le Mali et la France.

    – Différences entre une guerre et une opération de guerre.

    Communiqué de presse de SEM le Général Yamoussa Camara ”Ce qui se passe au Mali n’est pas une guerre, mais une opération de guerre”, Président du conseil national de défense du Mali.

    – Cas de la lutte collective contre le terrorisme :  cas de l’AES avec une défense collective

    – Cas d’une guerre entre pays différents

    – Cas d’une opération de guerre

    – Cas d’une guerre entre une armée d’un pays (avec éventuellement ses partenaires ) et  une armée d’un ou plusieurs mouvements armés et/ou d’autodéfense.

    Cas du Mali avec la défense collective AES

    2. Intelligence collective et Méthodologies inclusives pour les compromis entre forces vives

    – Méthodologie du Dialogue National Inclusif, cas du Niger

    – Approche participative pour travailler ensemble indépendamment des bords politiques.

    3.  Guerre informationnelle, bases de renseignepents et Intelligence économique

    –  Sécurité, défense collectives et surveillance des territoires à travers une coopération multi-domaines (international, national, régional et local) et multi-territoires via des TICs, des bases d’informations et de renseignements

    – Cas entre l’AES et ses partenaires dans la lutte contre le terrorisme

    – Stratégie de Dr Anasser Ag Rhissa pour la lutte collective contre le terrorisme au sein de l’AES et au sahel

    – Communications d’égal à égal (Peer to Peer) et Architectures de services de grilles : OGSA (Open Grid Services Architectures)

    – Les communications et architectures Peer to Peer ouvrent les Chemins de l’égalité et de la souveraineté des domaines et des territoires.

    – Vers des architectures ouvertes et coopératives de services de grilles

    4. Architectures orientées services, contenus et Sémantique

    – Les plateformes globales de défense stratégique et de sécurité durable.

    CAS DE LA SURVEILLANCE ET  DE LA  DÉFENSE STRATÉGIQUE DU TERRITOIRE

    – Le  Web Sémantique.

    5. VERS DES PLATEFORMES SÉMANTIQUES  COLLABORATIVES DE GESTION DE CONTENUS ET SERVICES

    Guerre informationnelle ouverte

    Autonomic computing (traitement autonome) : AUTO-GESTION pour une guerre informationnelle AUTONOME en toute indépendance et respect de la souveraineté

    F. PARTENARIAT

    Dans le cadre du partenariat, chacun des pays de l’AES, Niger, Mali et Burkina, dispose de douze participations à  ce séminaire, à savoir :

    – Trois places pour la catégorie  des responsables gouvernance,

    – Trois places pour la catégorie Directeurs,

    – Trois places pour la catégorie spécialistes techniques,

    – Trois places pour la catégorie autres (société civile, jeunes, femmes, …).

    G. Inscription payante

    Toute inscription au séminaire hors partenariat est payante à raison de trois cent mille francs par participant de la catégorie responsables Gouvernance,  deux cent mille francs par participant de la catégorie Directeurs, SG et conseillers, cent cinquante mille francs par participant de la catégorie spécialistes techniques et cent mille par participant de la catégorie autres.

    H. CONTACT

    Dr Anasser Ag Rhissa

    Président de l’ONG TIlwat International

    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité

    Email : Anasser_AgRhissa@yahoo.fr
    TEL 00227 81204817

  6. “(L)es experts soumettront aux ministres des Affaires étrangères des propositions pour une structure institutionnelle de l’AES avec les différents organes à mettre en place à travers des mécanismes de fonctionnement et d’articulation clairement établis. Il s’agit de formaliser ces instances au moyen de textes additionnels à la Charte.”

    Il est très important que les ministres et les experts de l’AES introduisent dans leur Charte commune et dans leurs Constitutions nationales respectives une disposition de nature constitutionnelle prévoyant l’interdiction de stationner ou de transiter sur leurs territoires des troupes militaires étrangères d’États non-membres de l’Union africaine.

    C’est un moyen juridique très efficace pour réaliser une sorte d'”effet cliquet” par rapport à l’expulsion des territoires nationaux de l’AES des pays esclavagistes et colonialistes européens.

    Il faut absolument constitutionnaliser la fin de l’occupation militaire de l’ancien colon pour rendre son départ irréversible. C’est une condition essentielle à la réussite du projet en cours d’intégration dans un bloc commun du Burkina-Faso, du Mali et du Niger.

    L’ancien colon doit savoir que c’est vraiment fini et qu’il doit cesser d’organiser des actions de déstabilisation clandestines

  7. BAMBARADION et autres trolls de la maudite France: Aujourd’hui a cause du contrat d’exploitation maritime de poissons signe entre le grand boucher humain de Dakar Macky Sall le sous-prefet de Paris et l’Union Europeenne, nos pécheurs Sénégalais sont tous au chomage et n’arrivent pas a nourrir leurs familles car ne trouvant plus de poissons dans la mer, alors ils prennent les pirogues pour confronter l’ Atlantique et la Méditerranée pour migrer en Europe, je leur dit allez et migrez par milliers tous les jours et remplissez la maudite France et toute l’Europe car c’est votre DROIT HUMAIN DE BASE!

  8. Les chefs d’Etat cedeao n’utilise jamais leur cervelle.Trop compliqué.Il y en a qui font la sieste durant leur réunion.
    Punir tout est peuple, une solution banale et non reflechie meme si c’est pas humain.
    C’est facile.Pas besoin de reflechir.
    Ces chefs d’Etat ne se donnent jamais le max de temps pour elaborer un plan qui sauve le peuple des sanctions.
    Pour eux bazoum vaut mieux que les 20 millions de Nigeriens.Ils ne se rendent meme pas compte qu’ils sont la lie du monde entier.
    Le pouvoir rend le plus souvent aveugle, on le sait.
    Faut une vraie organisation.J’espere que c’est l’AES

    • Mon cher frere, les chefs d’etat de la CEDEAO sont des écervelés esclaves de la maudite France, c’est Macron qui réfléchit pour eux et ils appliquent ses decisions.

  9. KIKIWAGNER

    C EST-CE QUE JE T’AI DIT LA FRANCE ” EST LE PAYS LE PLUS MISÉRABLE AU MONDE” MAIS CA N’EMPÊCHE QUE LES BODAS DES AFRICAINS SONT TOUJOURS CHEZ NOUS ET CA CONTINUE D’ARRIVER PAR AVIONS PAR BATEAUX PAR CENTAINE MOUAHHAHAHAHAHAHAHAAHAHAAHHA

    KIKIWAGNER POUR CE QUI EST DES TRAFICS DE DROGUES ET AUTRES BANDITISME/ INCIVILITÉS QUELLE EST LEURS ORIGINES A CES GENS-là ????

    LORD DE LA MORT DU JEUNE ARABE TUER PAR UN FLIC IL Y A DES VIOLENTES ÉMEUTES EN FRANCE ET LE JEUNE THOMAS ET D’AUTRES FRANÇAIS DE SOUCHE TUES RÉCEMMENT Est-CE QU’IL Y A DES ÉMEUTES ???? NON AUCUNES ÉMEUTES

  10. Attention!Attention!Attention! Il faut que nous apprenons de nos erreurs du passé avec les cas de la CEDEAO, de l’UEMOA et de l’UA. Ne nous mettons pas au service des anciens colons et des esclavagistes du passé, sinon nous répliquerons ces organisations fantoches qui ne servent en rien à l’émergence de notre très chère Afrique. Vous les administrateurs qui avez la charge aujourd’hui de mettre en place les textes fondateurs de cette importante organisation qui sera le levier de cette nouvelle Afrique de l’Ouest, vous devrez anticiper, innover, et créer afin que cette entité puisse jouer parfaitement son rôle de leader éclairé pour cette ouverture vers un avenir prospère, radieux et charmant. Il ne faut pas que nous soyons des mendiants qui tendent la main, alors qu’ils sont assis sur un tas d’or, quel paradoxe? Prions très fortement afin que cette organisation ne soit pas comme celles que nous voyons aujourd’hui et qui constituent un blocage pour le développement de notre Afrique. Le problème de notre Afrique d’aujourd’hui n’est pas dû au seul manque de ressources humaines, mais à l’existence aussi de ressources humaines conscients et moralement bien bâties.

  11. BRAVO AU GRAND NOBLE KOUYATE POUR CETTE MISE A JOUR, MERCI POUR LA PLUME, MERCI POUR L’ESPOIR. ENSEMBLE NOUS ALLONS BATIR UNE AES POUR LE BONHEUR ET LA PROSPRITE DE NOS PEUPLES BURKINABE, MALIENS ET NIGERIENS NOBLES, INSOUMS ET LIBRES!

    • @ KIKIWAGNER

      SURTOUT BRAVO AUX VRAIS MALIENS QUI BOSSENT AU LIEU DE PASSER SES JOURNÉES A INSULTER LES GENS EN RESTANT SON BODA KINKELIBA DEVANT SON PC

      • BAMBARADION combien de PUNAISES DE LIT tu as mis aujourd’hui dans ton gros boda puant avant de te mettre devant ton PC pour raconter des inepties.

        • KIKIWAGNER
          NOUS AVONS TROP DE PUNAISES EN FRANCE COMME TU AIMES LE DIRE, NOUS AVONS BCQ DE MISÈRE EN FRANCE , CHERTÉ DE LA VIE, PLEINES DE MAUVAISES CHOSES ETC…. MAIS VOUS AFRICAINS CA NE VOUS GENE TOUTE LA MISÈRE EN FRANCE . VOUS N’ARRÊTEZ PAS DE VENIR CHEZ NOUS NOUS AIDER À BOUFFER NOS PUNAISES. PLUS Y A LA MISÈRE EN FRANCE PLUS VOUS VENEZ SQUATTER NOS RUES. LES RUES DE PARIS ET ILE DE FRANCE RESSEMBLENT PLUS AUX QUARTIERS DE BAMAKO DE MOPTI SIKASSO NIORO, QU’A UNE VILLE FRANÇAISE. MOUHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAAH PAUVRE MALI , MALI BANA MALI BINA MALI TIGNANA FALI SARRA BOTI BANA

          • As-tu oublie que Marseilles est la ville la plus miserable car tombée sous le poids de la drogue et des trafiquants de drogue!

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