Le blocage perdure au Mali puisque la période de transition de l’après- coup d’État est dans l’impasse, vu que la junte ne veut pas du renouvellement du bail avec le gouvernement par intérim.
Le capitaine Amadou Sanogo, à la tête du coup d’État du 22 mars au Mali, a appelé les autorités du pays qui gouvernent par intérim à organiser une coalition afin de désigner un président pour assurer la transition jusqu’à l’élection du prochain chef d’État.
Depuis le camp militaire de Kati, son quartier général, le chef de la junte militaire a demandé au Premier ministre d’organiser cette concertation nationale avec toutes les forces vives de la nation, sans aucune exclusion. Cette coalition, placée sous la présidence du chef de l’État par intérim aura pour objectif le choix du président de la transition, c’est-à-dire l’homme ou la femme qui sera, “nous osons l’espérer, une solution au blocage politique au Mali” a expliqué Sanogo, qui s’était conformé à la Constitution après l’avoir abrogée en remettant officiellement le pouvoir au président de l’Assemblée nationale, le 6 avril, après un bras de fer avec la Cédéao et la communauté internationale. Il semblerait que le nom du futur président intérimaire constitue la pomme de discorde entre la Cédéao et les putschistes. La junte souhaite voir son leader, le capitane Sanogo, succéder à l’actuel président par intérim, Dioncounda Traoré, ancien président de l’Assemblée nationale et présenté comme le favori de la Cédéao. La situation s’est corsée à l’approche de la date butoir sur l’intérim : dans une semaine cette phase doit expirer sans qu’on sache à Bamako ce qu’il en adviendra. Au point où les observateurs s’interrogent sur la fuite en avant des divers acteurs politiques maliens qui donnent l’impression de ne pas être convaincus de la gravité de la situation. Alors que le pays est, en outre, coupé en deux et que l’islamisme djihadiste y prend ses quartiers, la classe politique et les militaires se livrent à des querelles byzantines.
Et pourtant, soulignent les constitutionnalistes, à la lumière de la Constitution en vigueur, tout est clair. Tout sauf Dioncounda Traoré pour assurer la gestion des affaires du pays jusqu’aux prochaines élections, a décidé le chef de la junte suspecté de préparer un deuxième coup d’État. Manifestement, le capitaine est peu empressé de regagner les casernes et le blocage a encouragé les nombreuses bandes armées qui écument le septentrion, le Nord du Mali, autoproclamé indépendant par l’Azawad incapable de faire face ni à l’avancée des islamistes, Aqmi, les djihadistes touaregs et une nouvelle franchise d’Al-Qaïda pour le Sahel saharien, ni à la crise humanitaire dans le nord du Mali. Washington a invité le capitaine Sanogo à ne pas empêcher le processus de normalisation de la vie politique malienne. Celui-ci pliera-t-il face aux injonctions américaines ? En tout cas, tout le monde est derrière la Cédéao pour faire comprendre aux mutins que le temps du pouvoir obtenu à la suite d’un putsch est révolu. La communauté internationale malgré les travers qu’elle comporte, ne le permettrait plus. C’est d’autant plus vrai pour le Mali que des islamistes veulent imposer leur loi dans le Nord du pays.
À Gao, les enfants sont interdits de jeu, pas même le foot ! À Tombouctou, son patrimoine historique mondial est détruit… Chaque membre des familles dans ces villes aux mains des islamistes a eu quatre exemplaires du Coran, des voiles pour leurs femmes et filles, des fausses barbes contrefaçon pour les hommes ! Plus de portraits sur les murs. À la place, des calligraphies des noms de Belmokhtar, le chef d’Aqmi. Petite consolation, la lutte pour le pouvoir qui fait rage à Bamako s’est transplantée dans le Nord. Course contre la montre entre le MNLA, le mouvement indépendantiste des touaregs, les islamistes touareg d’Ansar Dine, Aqmi et le nouveau venu, la franchise d’Al-Qaïda dans le Sahel.
Et pour corser tout cela, il est fait état d’un autre pion dans le puzzle nord-malien : un nouveau groupe armé, dénommé le MRRA, le Mouvement républicain pour la restauration de l’Azawad. Cette nouvelle organisation armée serait composée de Songhays, de Peuls, d’Arabes et de Touaregs pour défendre non pas l’indépendance, mais une large autonomie politique. Son objectif serait de combattre les islamistes afin de récupérer l’Azawad pour le réinstaurer au sein de la République du Mali.
liberte-algerie.com
Mercredi, 16 Mai 2012 10:00
Le Capitaine a déjà le pouvoir.
SANOGO VA FAIRE UN SECOND COUP D’ETAT DANS QUELQUES JOURS…C’EST LA SEULE OPTION POUR QU’IL DEVIENNE PRESIDENT…CA VA CHAUFFER…
Dionkouda, fais gaffe au baton du CAPI
Moussa Ag
Sanogo degage! On ne t’aime pas. Voleur!
Tu n’as pas honte sinon il faut aller liberer le nord du Mali et venir chercher le pouvoir.
Toi tu peut aller donner l exemple
en allant au nord
au lieu de crier sur ton clavier
bouger toi un peu si tu es si presse que ca
Les maliens et les maliennes n’ont rien compris jusqu’a present.
Je vous dit haut et fort: il ya trois 3 Rebelions au Mali qui sont:
-CNRDRE
-MNLA
-Ansar Dine
Sanogo ne sera pas notre president.
C’est Dioncounda qu’on veut comme notre president de la transition
Les nostalgiques de l’ordre ancien sont toujours très actifs sur le net mais ils ne réussiront pas à nous distraire comme ils l’ont fait pêndant les dix ans de gestion catastrophique du pays par des voyous comme ATT et compagnies. Le redressement se fera avec ou sans vous qui insultez Sanogo tous les jours. Le combat pour la vraie démocratie continue!
Honte au rédacteur de cet article qui ne sait pas que tout le Mali veut une convention nationale. Ils ont pu se rendre à Ouaga mais ne veulent pas s’asseoir au Mali pour parler des problèmes maliens. Quel honte. Qu’ils soient maudits ceux qui empêchent le Mali de retrouve sa paix et sa quiétude sociales. Que DIEU bénisse le MALI.
L’ALGERIE A SES PROPRES DEMONS DONT ON PARLERA TRES TRES BIENTOT.
AUTANT IL EST *****URGENT**** POUR LES POPULATIONS DU NORD DE COMMENCER LA *****RESISTANCE(les militaires du CNRD+E ont abdique)****** CONTRE AQMI ET LES AUTRES CAFARDS, AUTANT IL EST IMPERIEUX QU’A BAMAKO , KATI ET « AU SUD », ON ENTAME LA **** »DESOBEISSANCE CIVILE »***** JUSQU’AU JOUR OU LA JUNTE disparaitrait.
Tant que la population dans les villes (Bamako, Kati, Segou Sikasso ect…) ne fait pas pression sur les politiques et les militaires, CEUX-CI NE VONT PAS BOUGER.
IL EST TEMPS QUE LA CEDEAO COMMENCE LES BOMBARDEMENTS AERIENS. IL NE FAUT PAS « DONNER AUX ANSAR DIENS, INDEPENDANTISTES DOMINES, AQMIENS ET AUTRES CAFARDS DE SE FECONDER INVITRO’LEMENT » ET DE S’INSTALLER.
« HONTE AUX MILITAIRES QUI SE CACHENT A BAMAKO, KATI, KOULIKORO… ALORS QUE LES 2/3 DE LEUR PAYS SONT OCCUPES. A BAS LE MILITAIRES CITADINS »
On veut pas de lui.
Il tuer ce con de capitaine pour finir avec cette situation.
Je t rappelle que ce n est pas Sanogo qui a cre cette situation
mieux vaut pour d etre bien informé avant de dire de sotise
Je suis très outré de ce qui passe actuellement au Mali. Ce n’est pas le moment de la division à cause des intérêts personnels mais plutôt le moment de s’unir pour défendre l’intérêt de la nation.Je me demande parfois si les protagonistes mesurent la gravité de la situation. Nos frères, sœurs et amis qui sont dans le nord soufrent énormément. Soyez réalistes et mettez vous à leur place! On a déjà compris la position de M.D. TRAORE, qui a dis qu’il ne sera pas un obstacle pour le Mali. Si l’on regarde les derniers mouvements du CNDRE, on constate qu’il veut coute que coute arracher le perchoir et cela peut constituer un grand danger pour notre pays. Je demande à Sanogo et ses acolytes, pour l’intérêt suprême de la nation, qu’ils se retirent de la course et fassent une propositions d’au moins noms civils à la CDEAO et le nom qui fera l’unanimité dirigera la transition. Je demande à Sanogo de faire beaucoup attention, la plus part des maliens sont incapables de tenir des propos véridiques en face de leur chef, la raison: c’est des opportunistes.Je crois bien que le cas d’ATT te servira de leçon.
Le Capitaine Sanogo, sauveur annoncé, est en passe de devenir une malédiction pour le Mali?
Que DIEU épargne le grand MALI des malintentionnés . Prions pour ce grand pays qui traverse des difficultés majeures. Bon courage CEDEAO.
Vive le MALI uni et prospère.
DEHORS TOUS LES DIVISEURS DU MALI IMCAPABLES DE NOUS REUNIR ENSEMBLE…. GOD SAVE MALIBA
Bravo Mr mainpropre c’est une très bonne analyse.. Je rajoute tant que sanogo vivra le Mali ne trouvera jamais la paix et la tranquillité, ce bon a rien veux créer un contre pouvoir, faire de notre pays une anarchie, priorité aujourd’hui c’est de liquider sanogo, le Mali est un pays de de respect,paix et sagesse, après la mort de sanogo nous trouverons trouver des solutions a tout le reste de nos problèmes .
Sanogobaboba,ne t’en fais pas,rien ne peux faire échaper sanogo à la mort car Abedine et sa compagnie ne le lâcheront jamais car il a faire à un dogon.Ce dernier est loin de ces colonels et généraux qu’il a arrêter sans résistance.Va t’il faire toute sa vie à se réfugier à Kati entouré de nos armes que ni son père ni lui n’ont payé ?Mais payé avec l’argent d’impôts et de taxes de ce peuple ,y compris ceux du nord.
je pense que Ag amani s’il accepte est l’homme de concensus : homme politique non partisan , homme religieux , originaire du nord et ex pm donc connait la situation sociologique et politique du Nord
la junte peut occuper les structures perennes de l’Etat: SE, conseil sup militaires, une superstructure de securité….
recuperer le Nord c’est surtout avoir une bonne strategie de partenariat(economique d’abord, militaire ) avec les pays et etats impliqués
Nous soutenons le CNRDRE et la COPAM pour leurs mains propres et voici quelques raisons:
1. Le Président capitaine Hamadou Aaya SANOGHO : Après un concours d’entré réussi à la « PRITANE » militaire de Kati, il poursuit son cycle jusqu’au BAC où malheureusement il échoua à prés plusieurs tentatives et se voie ainsi la porte de « «l’EMIA » verrouillée au nez. Orgueilleux, il décida de réintégré l’armée comme « madame, monsieur, tout le monde », cette fois ci et avec le soutien du Général KAFOUGOUNA l’objectif est atteint. Sous l’œil vigilant de ce dernier, Il gravie ainsi des échelons petit à petit (un sac à dos, comme on l’appelle) jusqu’à se faire une place dans l’armée malgré ses ennuis avec l’alcool. Le paroxysme sera atteint le jour où on l’autorise d’aller suivre les études aux USA , il inséra le nom de certain comme membre de sa famille et les venda des visa à 2 millions de francs………
2. Son premier ministre Dr Oumarou Marico : Etudiant félon selon Me TAPO, il n’a jamais pu terminer son cycle à l’Ecole de Médecine. Etudiant ennuyant et brouillant, il fut renvoyé à l’exil de façon intelligente par le Prof Haliou Nouhoumou Diallo (en l’octroyant un diplôme et bourse d’étude) à l’extérieur. Comme à l’extérieur ses ennuis étaient sans effet (sur sa terre d’accueil), il retourna au Mali sans autre diplôme mais conserve qu’à même son titre de médecin généraliste …….
3. Son Ministre de la communication younnouss Amèye Dicko : Ancien ministre sous Alfa Oumarou KONARE, il acheta les anciennes groupes électrogènes à la place des neufs pour le compte de l’ECICA et de l’ENI qui n’ont jamais pu démarrer. (demander aux ancien élèves et étudiants de 96-98). Comme ne suffisait pas, il acheta à nouveau des vieux Bus qui devront transporter les étudiants (pour rappel, ses BUS de couleur jaunes étaient garés dans la cour de l’IUG de Bamako) qui demeurent clouer au sol…….
4. Son Ministre des Finances Blaize SANGARE : Ancien délinquant financier, après avoir mis en genou la caisse des retraité, il retrouve sa liberté provisoire qu’après le paiement d’une caution. …..
5. Amion Guido du CODEM est la main magique de ses frères qui ne veulent pas se faire voir.
6. (la suite viendra).
Merci,mon frère main propre si tous les maliens pouvaient faire de telle analyse pour nous éclairer sur la personne de tout un chacun on allait pas arriver là.Une chose est certaine le monde va tourner et les maliens vont mourir finir,sanogo ne sera président de se pays.On préfère prendre un étudiant de l’université pour président mais tout sauf sanogo, que lui et ses acolytes le sachent.Le ne représente devant la CDEAO et la communauté internationale.Que les maliens sachent une chose,tant on a pas accepté les décisions de la CDEAO,notre pays restera toujours dans cette misère, dans laquelle ce délinquant soldat et sa bande vaillous nous ont plongé.
@mainpropre, notre sanogo national n’a meme pas obtenu son DEF. Il a été plutot renvoyé en 9e année puis reversé dans l’armée au grade de sergent (le plus jeune sergent de l’histoire de notre armée). Quand on réussit facilement (c-ad sans rien prouver comme le coup d’état du 22 mars), on tante toujours des nouveaux exploits. Que Dieu préserve le Mali intégralement uni et divers
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