Devant la presse, l’élu ADEMA/PASJ de Koutiala est revenu à la charge en affirmant détenir de nouveaux éléments compromettant contre le ministre Tréta et déclare être prêt à l’interpeller de nouveau, dès l’ouverture de la prochaine session parlementaire prévue pour le mois d’octobre. Un rebondissement qui en dit longtemps sur l’opportunité de cette sortie en cette veille de renouvellement du Gouvernement où tous les coups sont permis pour liquider un adversaire. Accusé par certains de faire le jeu d’un fournisseur, l’Honorable Koné s’en défend et explique qu’il est Malien, de surcroit un paysan, donc concerné par le problème, avant d’être à la solde de quelqu’un ou d’être de la majorité présidentielle.
«Ce n’est pas un problème de majorité présidentielle ou d’opposition. Je suis Malien avant d’être d’un camp. Si ton ami ne te dit pas la vérité, il faut payer un ennemi pour qu’il le fasse à sa place. J’ai interpellé le ministre dans ce sens à travers 17 questions que je lui ai adressées en son temps» a déclaré le député Koné. Avant de préciser que ce n’est pas tout l’engrais de la campagne agricole en cours qui est en cause.
«Contrairement à ce qu’on affirme sur les antennes et dans les colonnes de la presse, j’ai toujours dis que cette affaire ne concerne qu’une partie de l’engrais importé pour la campagne agricole 2015/2016. Je n’ai aucune preuve pour affirmer que l’engrais incriminé représentait un danger pour la santé publique ou encore une menace pour la faune. La menace que cet engrais porte sur le rendement de la campagne, surtout pour ce qui est de la campagne cotonnière» soutient-il. Et Bakary Koné d’ajouter qu’il ne fait aucun doute que les attentes ne seront pas comblées au compte de la campagne agricole en cours. Le député ADEMA a, par ailleurs, fustigé, au cours de cette conférence, le comportement de certains responsables agricoles qui sont en train d’utiliser les moyens de l’Etat pour se promener dans des champs au nom d’une supervision de la campagne agricole et qui refuse de dire la réalité du terrain. Sur les éventuels éléments de preuve à charge qu’il aurait contre le ministre Tréta, le conférencier s’est montré plus explicite : «Je détiens une liste de plus 400 paysans qui ont utilisé des engrais hors norme. Tous ces paysans soutiennent que les engrais de la SOMADECO ne se dissolvent pas. Même avec la forte humidité du moment. J’interpellerai de nouveau le ministre Tréta à la session d’octobre» a martelé le conférencier. Mais le hic est que la SOMADECO n’est pas la seule société incriminée dans cette affaire. Un rapport du ministère de tutelle atteste que l’engrais de mauvaise qualité n’a pas été importé que par la SOMADECO sur laquelle le député en mission tire aujourd’hui à boulets rouges en même temps que sur le ministre du Développement rural. Toutes choses qui font dire, à tort ou à raison, à certains détracteurs que l’élu de la capitale de l’or blanc, Bakary Koné, fait non seulement le jeu d’un fournisseur qui tire les ficelles de cette manipulation médiatique avec comme finalité recherchée la sortie de Bokary Tréta du Gouvernement mais aussi veut se faire une place au soleil à la veille des joutes communales et régionales prévues pour le 25 octobre prochain.
Yaya Samaké
Bakary Koné, ne nous ramène pas en arrière, tu es un attardé mental. Ce pays cherche à aller de l’avant. On a pas besoin d’idiot de votre acabit comme député. Va faire manœuvre au Dibida; vu ta carrure tu te feras des millions. Député, je pense que c’est pas fait pour toi. Tu as un QI proche du 0. Si tant est que tu as un cerveau.
Trop d’interpellation, il ne faut pas utilisé la démocratie pour punir à tord un être, après tout ses interpellations il est grand temps de laissé l’affaire engrais frelaté pour continuer de faire le pays. trop c’est trop…
Dites à Bakary Koné qu’on a envie d’avancer et non de régresser. l’affaire engrais hors norme est entre des bonne main.
Interpelé Bokary Treta à l’Assemblée Nationale dix milles fois si vous voulez bien, tant que le résultat n’affirme pas sa complicité dans ce dossier. IBK ne lèvera pas le petit doigt sur lui encore moins la justice. Pour les Députés maliens il est très facile d’accuser les autres, alors que bon nombres d’entre eux ont peur de se rendre au nord par peur.
Si quel qu’n se sent humilié et concerné plus sur cette affaire des engrais frelatés, c’est tout d’abord le président IBK. Donc de grâce épargnez nous vos comiques, vous n’êtes les seuls concernés.
Pourquoi se précipiter ? Si ça pourri ça va se sentir, quel qu’en soit la nature de ce scandale nous finirons par apprendre la vérité. De ce fait, on doit rester calme et attendre le résultat final de la commission d’enquête.
Mais ce député veut quoi en fin, il ignore que les gens évolue au Mali. cet affaire est partie le laissé, et bientôt o comprendra l’innocence de tréta.
Ces paysans ne peuvent pas mentir, s’ils n’ont rien vu il est normale qu’ils le disent. Cette histoire des engrais hors norme n’a pas débuté aujourd’hui, mais plutôt sous le régime d’ATT, donc ne faisons pas comme si c’est la fin du monde.
cet affaire des engrais bat son plein allure en justice, alors je pense que pour évité d’autres polémique, on doit laissé cela aux mains de la justice et passé à une étape supérieur.
Cette affaire est très complexe, tréta est devenu le sible de Diadjéba, tout ça pour nuire au pouvoir du président IBK.
Vous n’êtes pas le seul concerné par cette affaire d’engrais frelaté mon cher honorable, donc gardé votre s’en froid et attendez la décision du chef de l’Etat. Rien ne nous presse de réagir sans connaitre la vérité, IBK a tout le temps devant lui de bien étudier ce dossier.
De toute évidence, ce problème d’engrais frelaté nous concerne tous, l’honorable Bakary Koné a raison d’y prendre part. Mais à mon avis c’est un peu tard, car le régime actuel a déjà cerné ce scandale. Avec les résultats des enquêtes , cette histoire ne s’éteindra pas aussi facilement.
la politique malienne est foutu, les familles politique ne travaillent plus pour la réussite de leurs partis mais pour se nuire entre eux. On se rappel que, Bafotigui Diallo, Tréta et Bakary koné sont tous de l’RPM. ce parti doit bien avoir une interne dans laquelle les décision et les règlements se font pour des interpelations.
Laissons le comité d’enquête faire son travail, après ses résultats nous pourrions juger le gouvernement. Pour le moment, cherchons une solution dans l’insécurité qui prévaut au sein de notre pays.
Il ne suffit pas de parler juste par ce qu’on a envie de parler, mais plutôt quand c’est nécessaire. Ce scandale des engrais frelatés est sous l’œil de nos dirigeants, IBK ne compte pas y mettre un terme sans pour autant tirer au clair ce dossier.
Nul n’est et ne sera au-dessus de la loi. Soyez en sûr, si les résultats des enquêtes démontre que le Ministre du Développement Rurale est impliqué dans le scandale de l’engrais frelaté. Alors là rien ne peut arrêter la colère d’IBK face à lui, quel qu’en soit les liens qui les unis.
L’heure n’est pas de créer une autre polémique au sein de notre pays. Le président de la République a déjà ouvert une commission d’enquête sur ce sujet, bientôt nous s’aurons qui ont causé ce scandale. C’est ainsi, que le gouvernement peut procéder à la punition.
Interpelé Bokary Treta à l’Assemblée Nationale ne pose pas de problème, le souci est d’avoir des preuves qui prouvent qu’il est impliqué dans cette affaire. Jusque-là personne n’a pu rassembler des preuves sur lui, donc le chef de l’Etat ne peut pas le punir dans l’ignorance.
j’ai souvent tendance à entendre que la curiosité est un mauvais défaut, malheureusement je suis très curieux. Ce mauvais côtés de moi me pousse à demander au député Bakary Koné de publier prochainement cette liste de ces 400 paysans.
Bakari Koné ne comprend rien, il est certainement embobiné par un autre pour nuire à tréta, il ignore que la trahison en politique est une chaîne qui fait le tours.
Tréta à essayé de tout faire pour évité cela, mais le coup de la trahison est trop fort, lorsqu’on est trahis par un ami qui nous connais bien, là on n’est vraiment trahit
je ne voie pas pourquoi ses gens essayent d’impliqué tréta ?
ils sont de la même famille politique
ils sont tous conscient que depuis longtemps des engrais frelaté entre au Mali.
je suis sûre que tréta saura leurs montré la preuve..
AFFAIRE ENGRAIS FRELATE
L’avis d’appel d’offre en question était tout sauf juste et ouvert, car l’un des gros fournisseurs de la place, Djadié Ba, PDG de Gnoumani -sa, a été exclu du marché. Des consignes fermes auraient été données là où il faut pour empêcher Djadié Bah d’acquérir le dossier d’appel d’offre.
En affaire, c’est comme à la guerre (il n’ya pas de pitié). Furieux de sa mise à l’écart d’un marché très juteux, on le sait, l’opérateur économique n’est pas resté assis en croisant les doigts, il a informé qui de droit et a mis ses relations en contribution jusqu’à l’extérieur du pays.
Lorsque les premières commandes d’engrais, de pesticides et de semences sont arrivées sur le sol malien, Djadié Ba a passé le relais aux députés Bafotigui Diallo du Rpm, ensuite Bakary Koné de l’Adéma (un allié du Rpm). La suite est connue car, dès le vendredi 28 mai 2015, dans le N°167, votre bihebdomadaire préféré, Le Tjikan, a vu juste en titrant à sa une « le ministre Tréta bientôt dans un champ d’épines… »
Les dessous politiques d’un scandale financier
En interpelant le ministre du Développement Rural devant l’Assemblée Nationale pour qu’il s’explique des tenants et aboutissants de l’affaire d’engrais de mauvaise qualité importé, le député Bafotigui Diallo du Rpm attira l’attention de l’opinion sur les dessous politiques de cette affaire en ces termes : « quand il s’agit des intérêts du pays, le parti passe en second plan… » « Je ne veux pas que l’image de notre parti et du président IBK soient associées à des actions qui puissent les porter préjudice un jour… ».
Il faut rappeler que lors des législatives de 2013, le Pdg de Nyumani-sa, Djadié Ba sous les couleurs de l’ADP-Maliba a été un candidat sérieux contre celui du Rpm dans la circonscription électorale de Nionon. Au second tour, le Rpm l’emporta après que la Cour Constitutionnelle ait annulé de nombreuses voix favorables à Djadié Ba pour cause d’irrégularités. Après cet 1er affrontement dans les urnes, le Rpm ne voudrait plus faire cadeau à Djadié Ba. Et, lui accordé un marché juteux comme celui des engrais, même s’il répond aux critères, équivaut à financer un adversaire politique.
De tout ce qui précède, le ministre du Développement Rural apparait dans l’opinion publique, comme le principal suspect dans l’affaire d’importation à coût de milliards, d’engrais de mauvaise qualité et en grande quantité au titre de la campagne agricole 2015/2016. Va-t-il tomber seul ?
Diadié Bah, opérateur économique, conseiller du président ATT et un présumé délinquant financier de classe exceptionnelle. Diadié Bah, est l’un de ceux qui se cache derrière ce statut d’opérateur économique et de conseiller à présidence pour mieux profiter de l’argent du pauvre contribuable. Le voilà depuis un certain temps réclamant à l’Etat 2 milliards 900 millions avec la complicité de la justice malienne.
Usant de son influence de conseiller spécial à la présidence, cet opérateur économique ne recule devant rien. Il s’est longtemps joué de la justice malienne dans l’affaire des exonérations en s’octroyant les faveurs de certains juges contre espèces sonnantes et trébuchantes. L’on se rappelle de l’ascension fulgurante de sa société Nioumani.SA, qui s’est vu du jour au lendemain imposée sur le plan national comme l’une des plus grandes sociétés importatrices d’engrais au Mali. Il est d’ailleurs le seul opérateur ayant bénéficié de toutes les campagnes d’exonération et son quota du lot global. Qui pouvait refuser un marché au tout puissant conseiller spécial du président ATT et non moins membre du fameux Pdes ?
Ainsi, Diadié Bah aidé de son influence de membre du Pdes a pu hisser sa société à un niveau incroyable avec un chiffre d’affaires important, un parc automobile des plus fournis après Gdcm, acquis en l’espace de quelques années.
Ne reculant devant rien, il vient de réussir à l’aide de faux documents à faire condamner l’Etat à travers des agents du ministère de l’Agriculture à la dernière session de la cour d’assises, par l’arrêt n°192 du 13 décembre 2013 à lui payer la somme d’un milliards neuf cent douze mille cent trente-huit Francs CFA à titre de dommages et intérêts, car il accuse ces agents de faux en écriture, corruption et complicité. Nioumani.SA estime avoir été lésé par ces agents dans le cadre de leur fonction et que leurs actes lui auraient causé, tenez-vous bien, un préjudice moral.
Sachant que l’Etat malien à travers le Ministère de l’Agriculture est civilement responsable des agents incriminés, il est le véritable condamné.
Le rappel des faits sur les 3 milliard
Les faits remontent aux années 2008 et 2009 où le gouvernement dans le cadre de l’initiative riz a décidé de subventionner les engrais et semences certifiées en les faisant parvenir aux producteurs agricoles à travers des opérateurs économiques sur la base de cautions techniques délivrées par les services compétents du Ministère de l’Agriculture.
C’est ainsi que pour couvrir la campagne agricole 2010-2011, la société Nioumani.SA affirme avoir fourni aux producteurs de la région de Koulikoro des quantités d’intrants dont le montant s’est élevé à 3.431.065.251 FCFA, alors même que les besoins de la région en cette campagne sont estimés selon les structures d’Agriculture à 1.800 000 000 FCFA. A l’époque, les services techniques du ministère des finances et le ministre de l’agriculture en personne avaient condamné le montant hors norme de la Société Nioumani-SA.
Selon les explications qui nous ont été fournies, les travailleurs de la société, qui devaient exécuter le marché de livraison d’engrais, étaient bien au courant que plus des deux tiers des cautions étaient fausses. Ils savaient aussi que les informations y figurant (superficies, tonnages d’engrais, d’urée…, dates de livraisons et de réceptions…) étaient incorrectes. Malgré cela, ces travailleurs ont acheminé les documents jusqu’à la Direction de Gnoumani SA. Laquelle n’a pas hésité à présenter les cautions aux ministères de l’Agriculture et des Finances pour être payée par le Trésor public. Pour résumer la thèse des techniciens, si certains agents des services agricoles ont fauté, c’est naturellement avec la complicité des travailleurs de Gnoumani SA, y compris la Direction.
Mais le scandale financier a été évité à l’époque de justesse, grâce à la vigilance de la Direction nationale de l’agriculture, à quelques encablures de la tenue du Conseil Supérieur de l’Agriculture. Depuis, on sait que c’est sur le cercle de Kati que Diadié Bah et ses acolytes avaient jeté leur dévolu. D’ailleurs, c’est dans la même zone que la suspension de Gnoumani SA court toujours, pour ce qui concerne la livraison d’engrais.
Appelé à la barre à l’audience de la cour d’appel du 05 mars 2013, Moussa Camara, Directeur national adjoint de l’agriculture a répliqué en soutenant qu’il ne connait pas cet employé de commerce encore moins le rencontrer pour traiter une quelconque affaire de cautions » On a constaté un surplus de production de cautions techniques en dehors des zones ciblées. La quantité d’engrais annoncée n’a pas été fournie. Nous sommes formels », a-t-il ajouté.
Sur la même lancée, Daniel S. Kelema, Directeur National de l’agriculteur a indiqué qu’il « s’est rendu compte d’un dépassement de 175% de la facture de Gnoumani-SA de la subvention d’engrais de l’Etat. Selon lui, dans le rapport de mission portant sur 8 fournisseurs, des anomalies ont été décelées au niveau de la Société Gnoumani SA. » Le problème se situe au niveau de Kati avec 314 cautions qui sont fausses. Cependant, 143 cautions sont bonnes parce que la quantité d’engrais a été fournie. Le montant à payer est évalué à 121 Millions 700.000 FCFA. Les cautions sont délivrées en fonction de la superficie déterminée. Sur les 463 cautions, 314 ont été remises à qui de droit, a expliqué le Directeur national de l’agriculture.
Le représentant du Contentieux de l’Etat a, pour sa part, demandé à la Cour de mettre l’Etat hors de cause dans cette affaire de surfacturation de consommation d’engrais. Pour lui, il s’agit d’une entreprise frauduleuse. Et que la moralité de la société Gnoumani SA reste douteuse.
L’ultime démarche de l’opérateur économique-magouilleur fut en direction de Koulouba. Le Président de la République, Amadou Toumani Touré, très conciliateur, dont il était le conseiller, mais bien informé de la gravité du dossier, lui a fermé sa porte. Dans les jours qui suivirent cette rencontre avortée, ATT a démontré qu’il voulait faire jaillir la lumière dans cette sale affaire, en limogeant le Chef de la Brigade du Pôle économique et financier de Bamako. Celui-là même qui, selon nos sources, aurait tenu des propos «partiaux», lors des interrogatoires dans ce dossier. Il serait revenu aux oreilles du Chef de l’Etat que cet Officier – enquêteur voulait étouffer l’affaire, en faveur, bien sûr, de Diadié Bah.
C’est au cours d’une inspection de routine portant sur les subventions de l’Etat que la société Gnoumani SA de Diadié Bah a été épinglée par les services techniques du Ministère de l’Agriculture qui ont découvert une importante fraude en procédant au recoupement des factures concernant les subventions. Ils ont découvert que « Gnoumani-Sa » du puissant conseiller du président ATT, Diadié Bah a produit deux factures d’un montant total de 2.223.754.443 CFA pour la seule Direction Régionale de l’Agriculture (DRA) de Koulikoro. Or il se trouve que l’ensemble des besoins de cette région ne dépasse pas 1, 8 Milliard CFA. Alors que plusieurs sociétés ont livré pour couvrir les besoins de la Région de Koulikoro, notamment : Somadeco, Société Mali Paysans sarl, Toguna, Smci sarl et « Gnoumani-Sa » de Diadié Bah qui réclame 2,2 milliards. Pendant qu’il n’a pas livré plus de 20% des engrais dans la région de Koulikoro.
Sur la base des informations qu’il a publiées, « Gnoumani-Sa » a plutôt livré dans les régions de Sikasso et Ségou. Et l’Etat, selon Diadié Bah, lui doit la somme de 3,4 milliards CFA. Si pour Sikasso et Ségou, les services techniques du ministère de l’Agriculture n’ont pas décelé d’anomalies à la date d’aujourd’hui, ce n’est pas le cas pour la région de Koulikoro. Ce qui fait dire aux autres fournisseurs que Diadié Bah monte les enchères en parlant de boycott afin de faire oublier ses fraudes dans la région de Koulikoro. Et si l’on sait que dans ce milieu tout le monde se connaît, c’est une peine perdue pour lui.
Avec ce scandale financier dont il est le seul à avoir le secret, notre fameux opérateur économique n’est pas à son premier coup d’essai. L’on se rappelle volontiers les démêlées du même Diadié Bah dans les affaires du Paccem à Ségou et même du Pasaop. Dans ces deux affaires, il a toujours réclamé quelque chose qui ne lui est pas dû à tel point que sa société est mise sur la sellette de ces projets et programmes. Après ces affaires sulfureuses Paccem, Pasaop, c’est autour de l’Etat de se faire plumer par les soins de Diadié Bah.
Ne se limitant pas aux scandales financiers qui risquent de le bouffer avec sa société, Diadié Bah a longtemps été aussi cité dans l’affaire de l’assassinat de Moriba Yattassaye. Un jeune opérateur économique de Niono dont le corps a été retrouvé à quelques encablures des bureaux du sous préfet de la ville l’année dernière. Même si sa culpabilité n’a pas encore été établie, nombreux sont ceux qui voient sa main derrière cette ignominie.
Cet homme a tellement de casseroles qu’il traine, qu’il a tout fait pour s’arroger une immunité parlementaire heureusement que les 9 sages de la cour constitutionnelle n’ont pas perdu le sens du devoir comme certains l’ont fait.
IBK a dit que nul ne serait au-dessus de la loi, qu’il en soit ainsi, afin que nul ne s’enrichisse plus impunément sur le dos de l’Etat.
TOTO INTELLIGENT
En effet, depuis la découverte, en mai dernier, de la grosse magouille, Diadié Bah n’a pas hésité à frapper toutes les portes. Après s’être livré en spectacle devant les siens, à Niono, il a contacté l’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture du Mali (APCAM). Lors d’une de ses nombreuses rencontres, le président de cette institution, Bakary Togola, qui n’a pas toujours sa langue dans la poche, aurait laissé entendre que «si le ministère se montre très intransigeant sur ce dossier, c’est qu’il a des arguments solides».
Le Ministre TRETA a juste été victime d’un complot dans cette affaire, nous devons patientez et laisser la commission mise en place, faire son travail.
cet histoire d’engrais dite frelaté est de très longes dates. Alors il est très important de savoir comment retirer la corde.
TRETA doit faire très attention, ses vrais ennemis sont près de lui et se font passé pour ses collaborateurs, sinon, pourquoi, c’est un député du RPM qui a soulevé cette histoire d’engrais ? Ne dit-on pas souvent que le linge sale se lave en famille ? Et d’ailleurs cette affaire date de depuis 2000 !!!!!!!!!!! Et pourquoi ce député de l’ADMA l’interpelle maintenant.
Selon un adage, « c’est en fessant semblant d’être ami à ton ennemi que tu peux l’avoir aisément » Certains aigris se font passé pour des partisans du RPM, mais en réalité, ce sont des ennemis qui cherchent à venger leur criminel de patron qui est ATT et qui d’ailleurs doit être jugé pour haute trahison de la nation.
A mon avis on doit attendre que les résultats des analyses qui sont en cours soient proclamés. Et après cela Tréta aura ce qu’il mérite, donc arrêtons de lui juger pour le moment
DIADJE BAH et ses partisans, cherchent juste à nuire au pouvoir d’IBK. Il cherchait à salir TRETA et à le décrédibiliser devant la population.
Je demande vraiment aux députés de laisser cette affaire dans les mains de la justice. C’est à elle de s’en charger et non les pauvres députés comme vous êtes.
Il se peut que Djadjeba se trouve aussi derrière cette affaire d’engrais frelaté. Par ce qu’au temps d’ATT, c’est lui qui était chargé d’amener les engrais comme il n’est plus chargé de ce poste, sa peut être une manière pour lui de se venger
Les députés Bafotigui Diallo, Bakary Koné sont tous impliqués dans l’affaire dite des engrais frelatés. Le Ministre Bocary Tréta est innocent jusqu’à ce que sa culpabilité soit établie, selon l’esprit d’une loi. Déjà une commission ad-hoc a été mise en place après l’interpellation de l’honorable Bakary Koné. Cette commission n’a pas encore dit ses derniers mots. Attendons qu’elle soumette ses conclusions à qui de droit. Ce qui est étonnant dans cette histoire c’est que Tréta a affirmé qu’il n’y a pas d’engrais frelatés au Mali. Tiébilé est perdu de la circulation de cette histoire. Au début, il était lui aussi très motivé. Les députés interpellateur de Bocary Tréta sont en exercice de leur fonction.
Ce que Diadié bah ignore, c’est que le dossier ou plutôt les traces qu’il a laissées derrière lui pendant les sales opérations sont indélébiles : 314 cautions signées de sa main, plusieurs fausses factures et autres faux documents. De plus, nos investigations nous ont permis de savoir qu’entre toutes les 314 livraisons et les signatures des cautions, il n’y avait que deux jours d’intervalle. Impossible, aux dires de certains techniciens du secteur agricole que nous avons rencontrés.
Bien dit mon frère ce députe est une honte pour le pays c’est des gens comme lui qu’il faut se débarrasser pour une stabilité sociale dans le pays. Il se hasarde sur un terrain qu’il ne maitrise pas. Il doit au moins chercher des preuves concrètes. S’il veut se faire un électorat ce n’est pas la manière
Treta n’a rien avoir avec cette histoire d’engrais frelaté, c’est vraiment un piège.
Seulement au Mali on voit des députés débiles comme ça. Rien qu’à voir sa photo, on sait que c’est un CON. Il faudrait maintenant qu’il aille se faire foutre avec son histoire d’engrais. Espèce de cul-terreux de merde. Si ça continue il faut aller bombarder l’assemblée nationale, comme ça on sera débarrasser de tous ces CONS
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