Les mots et les maux : Cherté de la vie, le calvaire au quotidien de la ménagère

150
Son Excellence Ibrahim Boubacar Keita
Son Excellence Ibrahim Boubacar Keita

Il y a 2 ans que le peuple investissait de sa confiance le président Ibrahim Boubacar Kéita à la magistrature suprême du pays. Tout ou presque a été dit ou écrit à ce sujet. Néanmoins, un constat accablant se dégage aujourd’hui pour la majorité de nos compatriotes : jamais le mal-vivre n’avait atteint une telle proportion dans l’opinion nationale. Des problèmes de sécurité à la cherté de vie en passant par l’absence de perspective, les nerfs des Maliens sont au bord de la rupture.

 

Malheureusement, tous ne semblent pas partager ces dures réalités. D’où, d’un côté, l’écrasante majorité “qui tire le diable par la queue” (tel qu’on le dit dans le jargon populaire) et de l’autre une infime minorité voulant tout nier en bloc et peindre une situation devenue quasi-insupportable comme le fait d’autrui.

Entre les deux tendances, un peuple désabusé et inquiet face aux incertitudes d’un vécu quotidien, dont tous les paramètres semblent échapper à son contrôle.

Ainsi pourrait-on résumer “les discours qui se suivent et se ressemblent au Mali depuis des années”. En effet, pour les plus hautes autorités, “le pays respire à nouveau à pleins poumons” avec un taux de croissance parmi les trois plus élevés de la sous-région. La confiance est de retour tant à l’intérieur qu’à l’extérieur.

Les bailleurs et investisseurs étrangers affluent. La dette intérieure a été entièrement épongée. La reprise est palpable à tous les niveaux. La relance de l’économie nationale est bien amorcée. Les conditions de vie n’ont jamais été aussi meilleures que ces dernières années… et patati et patata !

Qu’en pense notamment le Malien lambda ? Nul besoin d’effectuer en la matière un sondage scientifique d’opinion pour mesurer le désarroi et la désespérance actuels de nos compatriotes. Au regard des difficultés quotidiennes pour joindre les deux bouts, il y a véritablement de quoi s’interroger sur les motivations profondes qui sous-tendent cette farouche volonté à vouloir présenter une situation catastrophique comme reluisante et pleine d’espoir.

Selon un adage populaire de chez-nous “pour mieux apprécier la souffrance qu’endure une brochette de viande, il faut prendre sa place”.

C’est ainsi que je me suis hasardé dimanche à appeler une petite vendeuse ambulante de tomates fraîches. Le but était de m’enquérir du prix de vente des tomates disposées en vrac sur un plateau qu’elle portait sur la tête.

Arrivée à mon niveau, elle s’est attelée d’abord à regrouper en petits tas de 4 unités sa marchandise jusque-là dans un désordre indescriptible dans le récipient qu’elle portait sur la tête.

Après cet exercice soigneusement exécuté, elle se décida enfin à répondre à ma question : “tomati yé djoli-djoli yé ?”. Autrement dit “combien coûtent tes tomates ?”

Répondant d’abord par des “Han ? Han ? Han ?” réguliers chaque fois que j’insistais pour savoir le prix, elle se décida enfin de me dire “binani-nani”, c’est-à-dire “200 F CFA le tas (de 4 tomates)”.

Procédant à un facile calcul mental rapide, je conclus que la tomate était vendue à 50 F CFA l’unité. Mais pour en avoir le cœur net, je posais la question à la bonne petite vendeuse. Elle me répondît goguenardement “à peu-près”. Comment “à peu-près ?”. Voyant mon étonnement, elle me dît “oui ! Parce que on ne vend pas par unité” (â tè kélén kélén féré lâ).

Déduction, pour consommer de la tomate produite chez-nous mêmes ici au pays, il faut débourser au moins 200 F CFA pour 4 petites tomates fraîches.

Alors, j’ai mesuré toute la gymnastique que nos braves épouses ménagères sont contraintes au quotidien pour nous préparer nos petits et grands plats préférés de tous les jours.

Lorsque j’en ai parlé à une collègue, elle m’a simplement invité à faire un tour au marché pour apprécier le calvaire actuel des femmes (nos épouses, mères et sœurs) sur tous les marchés du pays.

J’avoue que je n’en ai pas encore eu le courage. Peut-être que je n’irais jamais jusque-là ou du moins pas pour cette seule raison. Car, “bien que les yeux ne portent pas de charge, ils savent quand même en apprécier le poids”.

Alors, ceux qui chantent à longueur de journée que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, vivent-ils les mêmes réalités que nous autres ? Jamais les mots n’ont été une solution définitive aux maux relatifs aux conditions de vie des populations.

B. Sidibé

 

Commentaires via Facebook :

150 COMMENTAIRES

  1. C’est normal que la vie soit coûteuse, car sous le temps d’ATT on n’était presque tous corrompu, donc comme cela IBK est venu mettre fin à cette pratique les aigris se mobilisent contre lui. Courage IBK, l’avenir du Mali est entre vos mains.

  2. Je viens de lire les commentaires et je suis curieux que tout le monde parle de la même manière. Mais ce que je retiens c’est la cherté de la vie, et je crois nos autorités prendra acte de cela. Qu’ils un peu avec les fournisseurs comment gérer cette situation.

  3. Mais c’est normal qu’un pays en sorti de crise les choses deviennent couteuses. Alors pourquoi c’est critiques indirectes. Il faut que la population se lève pour dire non à ceux augmente le coût des condiments.

  4. “Bien que les yeux ne portent pas de charge, ils savent quand même en apprécier le poids”. C’est un proverbe que je ne partage pas l’idée tellement, car si on voit un sac rempli de kankeliba on ne peut pas connaitre la charge si on ne le touche pas. Mdr !!! 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

  5. La cherté de la vie n’a pas commencé maintenant, en plus ce n’est pas la faute à IBK que les prix ont rehaussés. Le jour où les transporteurs de sotrama ont augmenté le prix c’est IBK qui est à la base ? Il faut que les maliens s’unissent sinon même dans 10 ans ce phénomène restera ici.

  6. Le bilan se dégage à la fin d’un programme et au milieu, ce n’est même pas le cas de chez nous ; on est à deux ans seulement et les ennemis aboient partout. On doit attendre d’abord qu’on soit au moins à trois ans pour commencer un peu à prédire.

  7. La cherté des produits ne dépend pas que du président de la république. Le président, en connivence avec le ministre en charge, a décidé que le prix de quelques produits régresse. Des produits importés sont subventionnés. Ne mettons tout à la charge du gouvernement. il déjà fait l’essentiel maintenant; que la population fasse la sienne.

  8. Si les prix des denrées alimentaires ont augmenté c’est parce que les fournisseurs aussi font augmenter leurs prix. Je pense cela n’est pas la faute d’IBK. Ce n’est pas lui qui fixe les prix des produits. Aussi, les commerçants maliens aiment profiter des occasions. Il faut que nous arrêtions de vouloir toujours coller sur le dos du Président en exercice. Nous avons tous notre part de responsabilité à assumer dans les situations pareilles.

  9. Avec IBK l’économie du Mali est grimpante et la situation du nord est en train de connaitre des améliorations de jour en jour. Vraiment, je sais quand même qu’il reste encore beaucoup à faire mais il faut reconnaitre qu’il s’est beaucoup donné pour qu’on arrive jusqu’ici. MERCI IBK

  10. IBK a promis de mettre fin à la corruption mais la lutte contre la corruption n’est pas chose aisée du moment où tout le monde s’adonne à cette pratique. C’est parce que pendant deux les maliens n’ont pas trouvé de porte ouverte pour voler qu’ils accusent IBK de mauvaise gérance. IBK est le Président idéal qui l’affaire du Mali d’aujourd’hui.

  11. Si tel est le cas, moi ma conclusion est qu’IBK est un bon président. J’invite également mes autres frères de doubler leurs efforts dans le soutien actif du président de la république. Notre devoir est d’accompagner massivement le gouvernement dans l’intérêt supérieur de la nation toute entière.

  12. Au moment où IBK venait au pouvoir personne ne croyait plus qu’on pouvait trouver le calme au Mali. Aujourd’hui grâce à IBK avec l’aide d’Allah on peut dire que le calme est là. Alors, de la même façon qu’il a trouvé un moyen d’aboutir à ce résultat il n’y a pas de doute qu’il fera plus avant la troisième année. Mais pour y arriver il a besoin de la compréhension de tous. Nous devons être patients car la patience est un chemin d’or que nous devons emprunter.

  13. Décidément les débats d’idées deviennent difficiles sur maliweb. On ne peut plus donner son avis ou son opinion sans être taxé de pro ou d’anti-IBK. Ici on a l’impression que certains considèrent que IBK est leur propriété privée à l’exclusion des autres Maliens. Et pourtant lors des élections de 2013 ce sont 77,66 % des Maliens qui ont accordé leur confiance en cet homme. A l’époque on avait certainement besoin de tout le monde. Mais aujourd’hui, il est exclusivement “réservé” à certains au détriment d’autres. Cette attitude belliqueuse ne changera rien dans cette donne. IBK est et reste jusqu’à preuve du contraire le président de tous les Maliens, n’en déplaise à ceux qui veulent se l’approprier indûment. Ce n’est pas une bonne manière de rendre service à l’homme en lui faisant croire que tout va bien ou en lui cachant certaines réalités. N’est-ce pas que la presse est dans son rôle à travers des articles pareils? Personne ne peut accéder à la magistrature suprême sans l’accompagnement de la presse et des médias. Donc, la solution n’est pas de s’en prendre à tous les journalistes qui n’écrivent pas dans le sens souhaité par les uns les autres. C’est pas cela le rôle et la mission de la presse. Elle se doit plutôt de s’intéresser aux préoccupations profondes des populations ainsi qu’aux maux de la société.

  14. Je tire mon chapeau pour vous mon Président. Vos deux ans de gestion sont une réussite. Je sais qu’avec le temps les autres verront la valeur de tout ce que vous avez fait pour le Mali. Merci pour cette luère d’espoir que vous nous procurez.

  15. IBK a promis aux maliens une amélioration de leurs conditions de vie. Il tiendra toutes ses promesses. Des circonstances sont survenues et ont fait que jusque-là il lui reste encore beaucoup à réaliser. Toutefois, il nous faut comprendre que cela ne découle pas de sa volonté. Les maliens doivent faire preuve de compréhension. Il lui reste encore trois années qui ne sont pas trois jours.

  16. Momo et Kader

    Le printemps arabe est bien sûr parti d’un ras-le-bol du vendeur de banane mais ce n’était pas la cherté de la vie mais les lois islamistes rigoureuses et la gestion égocentrique du parti islamiste en Tunisie. Mo mo tu as dis que comparaison n’est pas raison alors que tu approuvés une comparaison ici. En plus le printemps arabe s’est étendu dans d’autres pays tels que la Libye. Ce pays avait un PIB de 6 millions/hbts avec le litre d’essence 55f cfa le litre. On ne peut pas dire que c’est la cherté de la vie qui a engendré la révolte tunisienne. Il faut encore voir le cas de l’Égypte qui reste toujours dans l’impasse

  17. Un proverbe dit «petit à petit l’oiseau fait son nid », mettons pas la charrue avant les bœufs. IBK lentement mais surement IBK arrive à redresser le pays tant affaiblit par une crise sans précédent.

  18. On ne peut pas aimer une chose et son contraire, le peuple malien aspire au développement sans faire de sacrifice. J’invite tous les vrais patriotes, je dis et redire tous les vrai patriote à apporter sa pierre à l’édifice. IBK est un grand économiste, il gère très bien la situation. Le Ministre de l’économie et des finances Mahamadou Igor Diarra est en train de relever l’économie malienne, raison pour laquelle temporairement nous remarquons que les denrées de première nécessité ont augmentés. La population doit prendre son mal en patience dans peu de temps le gouvernement trouvera une suite favorable à tous.

  19. Le mois passé nous avons assisté à la rechute du prix de la viande, seulement pour vous soulignez que le gouvernement n’est pas en reste même le gaz butane est subventionner par l’Etat. L’Etat fait de son mieux comme il peut pour qu’au moins les denrées de première nécessité soit à la porter de la population. Comme on le dit si bien « Il n’y a pas de fumée sans feu ». Les autorités ont simplement poussés le bouchon loin pour que l’économie de notre pays puisse se redresser et voler de ses propres ailes.

  20. Tu as raison comme le dit l’adage bamanan « La dépouille de la chèvre est sans propriétaire et l’hyène se décide toujours propriétaire ». C’est dans ce genre de situation que la population devient elle-même son pire ennemie.

  21. Vue la crise multidimensionnelle dont traverse le pays les commerçants et les fournisseurs doivent faire preuve de patriotisme et de bonne foi. Les fournisseurs, les commerçants grossis et détaillants profitent toujours de la situation pour rehausser le prix des denrées de première nécessité. Le pays appartient à tous et tout le monde doit donner le meilleur de soit pour sa bonne cause.

  22. IBK kankélétiki on croit encore en lui 😀 😀 😀 en deux walahi ça va chez nous 😀 😀 😀 Déjà, 36% des 200 000 emplois promis par IBK pour ce quinquennat sont pourvus. A ce rythme, il n’y aura pas de doute que l’homme de parole respectera ses engagements. KANKELETIKI an dalebila alibi

  23. C’est quand il s’agit du manger que la cherté se fait voir au Mali, n’importe quoi ce journaliste.
    Tu fermes les yeux sur des grosses dépenses que font les maliens, et t’en prend au président, ce n’est pas à IBK de changer le vrais comportement des maliens, il faut que ce changement soit venu des maliens eux-mêmes.
    Une chose, Le Mali est un pauvre pays, Mais les maliens font le contraires.

  24. Monsieur le journaliste :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: l’État a subventionné la campagne agricole 2014-2015 avec des intrants agricoles 😀 😀 😀 IBK a signé un contrat qui va offrir aux cultivateurs 1000 tracteurs 😀 😀 Si vous ne l’aimez pas :mrgreen: :mrgreen: personne ne vous oblige de le soutenir mais il ne faut pas essayer de propager votre virus d’égoïsme :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: IBK vous êtes la solution 😀 😀 😀 Nous croyons en vous encore et pour toujours 😀 😀 😀 Bonne chance pour le reste monsieur le président de la république du Mali ❗ ❗

  25. Momo, je ne suis pas naïf comme tu le dis et je ne t’ai pas manqué de respect à ce que je sache. Le respect doit etre reciproque dans un debat harmonieux.
    j’ai raison de m’en prendre à lui. D’abord lisez ma réponse à kader en haut, ensuite je ne pense pas que ce soit raisonnable d’évoquer le prix d’une vendeuse libérale de tomates comme difficultés du pays. Nous savons tous comment sont acheminés ces produits dans nos marchés de Bamako. Le jardinier le donne au prix normal mais le revendeur ajoute son intérêt et le transport pour faire un prix bombé. Si l’Etat exige la réduction des prix, c’est cette population qui refusera de s’ acquitter de ses devoirs en disant que l’Etat les a empêché d’avoir plus d’argent Deplaces-toi seulement à quelques kilomètres de Bamako et tu te rendras compte que nos denrées alimentaires sont moins chers qu’on ne le nous fait croire. J’ai visité le marché de Kati, de Fana et de Konobougou, je pense que ce journaliste doit en faire autant pour se démarquer de la diffamation

  26. Oui, IBK a été élu.
    Oui, le peuple a investi IBK à plus de 77% de votes favorables.
    Oui, la situation du pays reste préoccupante, malgré tout ce qui se dit ou fait.
    Mais, IBK reste avant tout un homme.
    Peut-être, un homme seul et bien seul.
    Car, pris en otage qu’il est par une meute d’opportunistes et de mange-mils politicards.
    Les mêmes esprits zélés n’ont pas tardé à envahir tous les espaces de débats.
    Les réseaux sociaux sont infectés de leurs invectives.
    Et pourtant, nul doute qu’IBK a besoin d’être secouru, d’être aidé.
    Faudrait encore que lui-même soit disposé à cela.
    En fin de compte, tous devront se convaincre que seul doit compter LE MALI, au-delà de toutes autres considérations et nonobstant toutes contingences politico-politiciennes.
    UN PEUPLE – UN BUT – UNE FOI!
    Jamais ces quelques mots n’ont revêtu autant une signification profonde qui nous interpelle tous.
    Le pays n’est pas qu’au bord du précipice, il est au fond du gouffre!
    Le nier, c’est faire preuve de mauvaise foi ou pire.

    • Les maliens n’ont pas encore conscience de ce qui leurs arrivent. Nous devrons savoir que cette situation de critiques absurdes incitent précipitamment à la révolte et c’est qui arrange les politicards qui polluent les réseaux sociaux pour trimbaler que les n egations du président. Ils veulent écraser IBK et on doit savoir qu’en écrasant notre président dans la situation présente du pays, nous contribuons à rayer le Mali de la carte. Donc soutenons IBK, cela va du bien de tous les maliens

  27. Bien dit Momo. En 2011, Ben Ali, le président tunisien était à mille lieux d’imaginer qu’une banale bagarre entre un agent municipal et un vendeur ambulant dans une ville située à des centaines de kilomètres de la capitale pourrait être à l’origine d’une révolte populaire qui allait au finish balayer son régime. Selon l’adage “il ne faut jamais dire que tu n’as rien à voir dans une bataille entre deux margouillats”. Ce n’est ni le PM, ni le Ministre de l’économie et de finances, ni les autres membres du gouvernement qui ont prêté serment devant le peuple Malien. C’est le président la république, seul membre de l’Exécutif, à avoir bénéficié du privilège de cette onction populaire. D’ailleurs, IBK ne dit pas autre chose. Car, son sommeil ne peut être reposant que lorsque le peuple sera à l’abri de bien de maux, dont la cherté de la vie. Il s’y emploie surement au quotidien.

    • Là voila, j’admets quand tu dis que c’est seul le président qui prêter serment devant le peuple. Mais il faut écouter les archives d’Afrique sur Dadis de la Guinée, il donne une réponse claire à cette hypothèse. Il dit que le président est comme le chef de famille. Il éduque ses enfants mais il n’est pas là quand ses enfants blessent quelqu’un au déhors. Il est ténu responsable parce qu’il est le chef de famille de laqueĺle provient cet enfant.

  28. Do not hold responsible the state that all the problems, the population and vendors have their large share in this case the rise in prices of foodstuffs. It should themselves agree among themselves first. In some markets, there are cheaper products, at select merchants and the same time, there are more expensive in some markets, with some merchants, how can this be explained? There must be an agreement on prices set before them solved.

  29. Je pense que ceux qui disent que le président IBK n’a rien à voir dans cette situation se trompent. Car c’est lui que le peuple a élu à une écrasante majorité. Pourquoi? Pour soulager les populations dans leur quotidien. Et puis, le cas tunisien en 2011 est assez révélateur en la matière. La révolte dite du Jasmin est partie d’un fait presque banal à partir du zèle d’un agent municipal à l’encontre d’un simple vendeur ambulant de fruit, notamment de pommes. D’où la nécessité d’élever le niveau des débats et sortir des égouts de basse classe et appréhender tous les problèmes de façon sereine et moins passionnée. Le Mali y gagnerait à coup sûr!

  30. LAFIA MIMI, vous avez raison. Les maliens ne se soucie pas de la cherté quand il s’agit de dépenser dans les insensés, belle voitures, des grandes maisons et autres.
    L’objectif de ce journaliste est connu de tous, il s’en prend au président lorsqu’il y’à un endroit où s’adresser.

  31. VIVE LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
    VIVE LA PAIX ET LA RECONCILIATION
    VIVE LE DEVELOPPEMENT DU MALI
    VIVE KANKELETIGI
    VIVE DANBE TIGI
    Les jaloux vont maigris.

  32. Kader, l’État ne peut pas intervenir sur le prix de toutes les denrées alimentaires. Par exemple un jardinier qui cultive des tomates vient proposer les prix qu’il veut sur ses produits au marché sans passer par l’Etat. Il n’a aucune raison de le faire. Nous savons tous que la hausse des prix est un phénomène qui dépend de la gouemandise de nous mêmes. Tout le monde veut profiter au maximum de ses produits pour avoir plus de fric; ici à Bamako. Sinon, rends toi à Sinaï tu auras de la pomme de terre ou de la patate gratos, les condiments de jardin n’en parlons pas. Ces aliments ne sont mêmes pas considérés. Ou encore à Nino ou le riz consiste la monnaie d’échange et le kilo d’oignon à 65f au plus. Ce n’est pas le régime IBK le mal du Mali mais plutôt les maliens eux mêmes.
    Comment tu peux comprendre qu’avec les périmètres irrigués de Baguineda, le prix du riz se trouve en hausse? Parce que à cause de la gourmandise les cultivateurs l’exportent pour plus d’argent. Les arguments, ça n’en manque pas mais ne nous laissons pas tombés dans le piège des ennemis de la nation

  33. Nous devrons faire confiance au régime en place, car il fait tout pour le bonheur des Maliens, il faut que la population Malienne se mette en tête que le pays était dans une situation où tout le monde vivait dangereusement à cause de l’insécurité due au régime précédent.

  34. Il est temps qu’on comprenne ceux qui sont de devoir du président d’une république.
    IBK ne vas pas descendre pour faire respecter aux marchands un prix.
    S’il y’a des problèmes il faut savoir à qui on doit d’adresser.
    En un mot IBK n’est pas le ministre de l’économie malienne, il est le président de la république.
    😯 😯 😯

  35. Dear journalist, the problem is not the President, but the unwillingness of the Malian population for the proper development of Mali. We need the Malian population understands that the rise in prices is not dependent on the state. The authorities are doing their best to remedy this problem. The proof is that the meat prices to fall following an agreement between the government and the union of butchers.
    We need suppliers and dealers also understand that without their participation, the state can not make a miracle. The state is already doing its best.
    We need the people themselves understand that the state does not have a big role to play in this situation. So the hat can be brought to any state.

  36. S’il s’agit d’aller regarder le match de football au stade Omnisport Modibo Keita les maliens ne manquent pas d’argent. S’il s’agit d’aller regarder un concert de Gaspi, d’Iba One, Tal-B…. les maliens ne manquent pas d’argent. S’il s’agit d’aller regarder un concert de Salif Keita, ou Oumou Sangaré ou encore Babani Koné à 50.000f le prix d’entrée les maliens sont toujours au rendez-vous. Le Grand Sumu n’a jamais été en carence des faroteurs, et des spectateurs qui payent 10.000f juste pour aller regarder. Il est où la cherté, du moment où un papa est prêt à donner 500.000f à son enfant pour le gaspiller dans une boite de nuit en une seule nuit. Malgré la cherté nos mamans ont toujours de l’argent à distribuer dans les mariages. Bast@aaaaaaaaaaaaa, le Mali va très bien.

  37. Nous devons soutenir IBK et l’accompagné pour son travail, car tous les reproches faites par certains journalistes et des opportunistes concernant la gestion des choses sont des réprimandes inutiles.
    Je suis d’accord avec vous KOLLY, car l’Etat peut intervenu pour seulement au moment de la prise des décisions, il ne peut ni s’imposer ni prend des décisions, car chaque structure a un responsable.

  38. Oui, l’espoir est permis 😀 😀 😀 parce que le Mali bouge 😀 😀 😀 Malgré les difficultés conjoncturelles 😥 😥 😥 , le Mali progresse, avec un taux de croissance de 7,2%, 😀 😀 😀 contre 1,7% au moment où IBK venait aux affaires 😥 😥 😥 , en septembre 2013. Qui dit mieux ❗ ❗ ❗

  39. Depuis des années l’Etat consent de gros sacrifices pour favoriser la production intérieure. C’est pourquoi il réduit régulièrement les prix des intrants, des semences et investit des milliards de francs dans des subventions de tous genres aux producteurs. En retour, les prix à la consommation devraient s’en ressentir au moins. Il n’y a donc pas de raison que la tomate coûte si chère au Mali. Cette cherté injustifiée annihile tous les efforts de l’Etat en matière de soutien et d’encouragement à la productivité. C’est bien de produire en quantité et en qualité, faudrait-il encore que cette production soit accessible au plus grand nombre.

    • Monsieur n’es tu pas au courant que 😀 😀 😀 le Mali s’acquitte ses dettes intérieures pour relancer 😀 😀 😀 l’économie, avec le payement aux banques et aux particuliers 😀 😀 😀 de la somme de 500 milliards de nos francs 😀 😀 😀 en l’espace de six mois. 😀 😀
      Finis les périodes 😀 😀 😀 où le Trésor Public s’était mué en mafia pour finalement payer 😀 😀 😀 les différents mandats. 😀 😀 😀 Le pays est liquide. 😀 😀 😀 Les salaires, 😀 😀 😀 récemment majorés, sont versés régulièrement, très tôt d’ailleurs. 😀 😀

  40. Monsieur le journaliste, je pense que l’Etat ne peut pas intervenir dans tous les domaines, il y des domaines que l’Etat peut intervenir directement, mais cela n’est pas le cas, cela n’est pas un raison pour accuser le gouvernement au plus forte raison le président IBK.

  41. On ne peut pas plaire à tout le monde monsieur le journaliste 😆 😆 😆 votre article est nul et pas de cohérence la dans :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: IBK, c’est la solution que cela te plaise ou pas à moins de deux ans le vieux a fait des pas et des supers pas vis-à-vis du bilan de ses prédécesseurs en deux ans. 1552 logements offerts et 20 000 de plus d’ici 2017, l’aéroport de Bamako vient d’être choisi comme le plus sécurise et capable d’exporter vers Europe, plus de 16 000 emplois créés, avant-hier IGOR aussi a fait une révélation que le Mali pour sa première fois au Mali les recettes vont dépasser le cap de 1000 milliard. IBK la solution et nous sommes fiers de vous.

  42. Monsieur le journaliste, tout le monde sait le pays était dans une situation de crise, alors il est très difficile de faire sortir le pays dans une situation de crise, malgré tout cela le président IBK a fait son mieux pour le bonheur des Maliens.
    Nous demandons à la population de rester calme et avoir une confiance solide à IBK, car le pays vivant à la crise depuis des années et des années. Le président de la république fait tout pour que le Mali ne soit pas tombée dans le KO.

  43. Je me demande ce que les attendaient et attendent toujours d’IBK. Après avoir été élu à la Magistrature Suprême de notre pays en période exceptionnelle, la rébellion qui n’épargne rien. Les compatriotes malintentionnés disent encore que la vie est devenue chère sous le régime d’IBK. Aucun malien n’est censé ignoré cette cherté depuis le régime d’Alpha Oumar Konaré. Mais je ne suis pas surpris d’attendre cela de la bouche d’un journaliste. Car nos journalistes sont tous des corrompus et des détracteurs payés par les opposants, tels que Soumaïla Cissé et Tiébilé Dramé. 💡 💡 💡 🙄 🙄

  44. To solve everything must be destroyed first, IBK was elected with a record of 77% of votes. Also understand that it is not after two years one could straighten a country plunged into the abyss for twenty years. No this is quite impossible. To rebuild the country must rely on ourselves, because Mali has no friend but it relies on itself to exit stalled. Open your eyes and look reality in the face, people who are supposed to help us in the implementation of the peace agreement are our own enemies. So as of today we have to rely only on our own funds.

  45. La patience est un chemin d’or.
    L’économie du Mali ira comme ça se doit d’être.
    A chaque chose en son temps et à chaque temps a ses choses….

  46. Qu’on se dit la vérité, IBK n’a absolument rien à avoir dans la cherté de la vie. Le problème du Mali vient de ses fils eux-mêmes. Bien avant aujourd’hui, les marchands maliens ont profités de la crise pour monter les prix de leurs marchandises. Une fois que ces prix montent il n’y a plus question de les diminuer. Tout ceci se fait sous les yeux et au su de tous. Mais qui a pris la peine de marcher un jour pour dire que le prix du mil, du riz, du sucre ou encore du lait a augmenté ? Donc ce n’est pas aujourd’hui qu’il faut raconter des charabias. Le temps de la revendication est passé.

  47. Charity, 1974 il y a de cela 41 années. Combien étions-nous déjà à l’époque? Et puis n’est-ce pas l’année de la grande sécheresse au Sahel? Arrêtes de nous raconter des inepties, tu n’es pas plus cultivé que ce journaliste dont le seul crime à tes yeux est d’avoir raconté un cas parmi les milliers de difficultés du Mali de 2015.

  48. Le Mali est en train de traverser un moment très difficile de son histoire. L’heure est de se donner les mains pour montrer à l’ennemi combien de fois nous sonnes unis, car seul l’union fait la force. Ces conditions de vie sont dites à la crise et ses inconvénients.
    Mais si dieu le veut avec la bonne volonté du président IBK, des changements serons faites.
    IBK n’abandonnera jamais le peuple et il est toujours présent pour le Mali.

  49. La cherté de la vie dans notre pays a été le quotidien des maliens depuis la gouvernance d’Alpha Oumar Konaré en passant par celle d’Amadou Toumani Touré, le médiocre des chefs d’Etat médiocres de cette planète. Je me souviens lors d’un de ses discours, ATT disait aux maliens que chacun est entre les mains des bienfaits et des bénédictions de sa chère mère (en Bamabar: Bè bi Ba bolo). Ce n’est pas aujourd’hui que le malien est confronté à ces maux, il s’agit de la cherté de la vie et du calvaire au quotidien de la ménagère. 😯 😯 😯 😛 😛 😛

  50. Et BON DIEU!!! La vendeuse de tomate qui vend sa marchandise à 200f est la faute à IBK encore. Quand est ce que les maliens prendront conscience et fourré le pied dans ces genres de journalistes qui nous pourrissent la vie? Si nous nous asseyons et regarder ces vendus semer le trouble, c’est toujours sur nos têtes que ça tombera. Moi je ne sais pas comment un prix de tomate ou de carotte ou encore de poisson ait quelque chose à voir avec les deux ans d’IBK

  51. Que voulez-vous enfin de compte, IBK ne peut pas tout résoudre en un clin d’œil. Plus pressé que la musique tu risques de danser mal et même très mal. De plus ne mettez pas tout sur le dos du président de la République. Certes c’est le premier responsable, mais ce n’est pas lui qui vend les condiments aux marchés. La cherté des condiments n’est nullement la faute de nos gouvernants, mais c’est plutôt nous les citoyens.

  52. La cherté de la vie n’est pas une chose d’extraordinaire dans un pays qui traverse la crise. Au moins Ibrahim Boubacar a pris le pouvoir en faveur de cette crise, contrairement à ses prédécesseurs. Les gestions de ces derniers ont été toutes frappées par les maux que vous dites ici, M. le journaliste. et pourtant eux ils sont venus en temps normal. je peux même dire qu’IBK a hérité de ces mauvaises gestions des affaires publiques qui ont donné naissance à la crise d’aujourd’hui. 😛 😛 😛 😀

  53. CONTRE TOUS, pourquoi t’en prendre au journaliste qui n’a fait que relaté un fait vécu. Comparaison n’est pas raison. Car, il n’y a aucune comparaison possible entre le revenu moyen d’un Sénégalais encore moins d’un Français avec celui d’un Malien. La cherté de la vie doit se mesurer à l’aune du revenu moyen des populations. En la matière il n’y a aucune comparaison possible entre le Mali et les 2 pays auxquels tu fais si naïvement référence ici.

    • Ibrahim Boubacar Keïta gave the impression to Malian to do better than his successors through his patriotic acts. This is the signature of a peace deal, the military program law, the institution of the leadership position of the political opposition, of social housing N’Tbacoro 15552, the 16000 jobs created , the first place has occupied our airport in West Africa, orders for aircraft, you name it. This two-year multi-dimensional crisis. You have to be ungrateful not to validate the results of 2 years of governance IBK

  54. Pour résoudre il faut tout détruire d’abord, on a élu IBK avec un record de 77% des voix. Comprenons aussi que ce n’est pas au bout de deux ans qu’on peut redresser un pays plongé dans le gouffre pendant vingt ans. Non cela est tout à fait impossible. Pour rebâtir ce pays il faut compter sur nous même, car le Mali n’a plus d’ami mais il compte sur lui-même pour sortir dans l’impasse. Ouvrez vos yeux et regarder la réalité en face, les personnes qui sont sensés nous aidé pour la mise en place de l’accord de paix sont nos propres ennemis. Donc à compter d’aujourd’hui on ne doit compter que sur nos propres fonds.

  55. Ibrahim Boubacar Keïta a donné l’impression aux maliens de faire mieux que ses successeurs à travers ses actes patriotiques. Il s’agit de la signature d’un compromis de paix, de la loi de programmation militaire, de l’institution du poste de chef de file de l’opposition politiques, des 15552 logements sociaux de N’Tbacoro, des 16000 emplois créés, de la première place qu’a occupée notre aéroport dans l’Afrique de l’Ouest, des commandes des aéronefs, j’en passe. Cela pendant deux ans de crise multidimensionnelle. Il faut être un ingrat pour ne pas valider le bilan des 2 ans de gouvernance d’IBK. 😯 😯 😯 😆 😆

  56. Une enquête d’opinions aujourd’hui démontrera surement que pour la majorité des Maliens, l’Etat ne joue pas entièrement sa part de responsabilité pour réguler les prix à la consommation sur les marchés. Ici, partisans et adversaires du régime sont tous logés au même enseigne. Bien que les revenus ne soient pas les mêmes, chacun s’approvisionne sur le même marché. Donc, il y a lieu d’inviter les autorités à plus d’engagement dans l’amélioration des conditions de vie des populations. Celui qui a faim n’a point d’oreilles pour écouter encore moins comprendre les discours politiciens.

  57. Pour votre info, la cherté de la vie n’ a rien à voir avec la gestion du pays sinon Paris ne serait pas sans nul doute la ville la plus chère. Si vous vous rendez au Sénégal, vous verrez que le Mali n’est pas encore cher. Certains journalistes font part de leurs incompétences à chaque fois

  58. C’est vraiment décevant de retrouvé un journaliste sans aucune culture de son propre pays. Toute personne vivant sur la terre malienne sait que la crise économique de 1974, sous le général Moussa Traoré, n’a pas de similaire et ne l’aura pas. Sauf si un minable comme ce journaliste lui-même arrive au pouvoir. Aucun malien ne souhait un tel président pour le pays. Vous pouvez penser ce que vous voulez, mais le bilan des deux ans d’IBK au pouvoir restent une réussite au vu et au su de tous les citoyens. 💡 💡 💡 :mrgreen: :mrgreen:

  59. @Jeune patriote, je pense que la politique économique du pays est définie et conduite par le gouvernement. Alors pourquoi intervenir pour réduire le prix de la viande et pas celui d’autres denrées de première nécessité? Il y a là visiblement une fuite de responsabilité de l’Etat. L’Etat à travers le gouvernement, est le principal régulateur des prix sur le marché national. Cela fait partie de son rôle régalien. Arrêtons donc de défendre l’indéfendable. Car, tous nous souffrons des conséquences de cette absence d’Etat juste et responsable.

  60. Sandji koro wochi tii don, sinon rien ne prouve qu’IBK ne se déploie pas comme il le faut pour sauver l’honneur du Mali et du peuple y compris. La cause pour laquelle il a été élu à savoir la résolution de la crise du septentrion malien fut conclu à moins deux ans de son quinquennat. Mais force est de reconnaitre que les ennemis du Mali ont renversé la situation paisible que notre chère patrie a eu pendant quelque temps.

    La France et l’ONU font tout pour mettre l’accord de paix issu des assises d’Alger. Pour plus de détails, cet accord qui prône le retour définitive de la paix, l’unité et la réconciliation de toutes les fils du Mali impacte négativement le souhait des occidentaux. A reconnaitre que ces opportunistes veulent juste nous voir diviser enfin de profiter des ressources naturelles qui anime le sol du nord Mali. C’est à nous de comprendre notre président et le soutenir dans ce moment difficile.

  61. Mes chers amis, j’ai eu à le dire et je le répèterai autant de fois que je vois mes frères et sœurs et chers compatriotes en désespoir ‘’ L’ESPOIR EST PERMIS ET FAIT VIVRE LA OU IL N’Y A PAS DE VIVRES’’.
    Je me permettrai point de jurer sur quoi que ce soit, mais je réitère mon intime conviction vis-à-vis à ce régime. Le temps était chaud et difficile à surmonter quand le peuple investissait le président dans sa mission. Dieu merci, les grands pas furent posés et depuis lors les choses commencent à bouger.
    Seulement, je tiens à dire à tous ceux qui sont impatients de se patienter avant la fin du quinquennat. Sur cinq ans, il n’y a que seulement deux ans qui sont écoulés et il lui reste encore TROIS ANS. Rien ne confirme qu’il ne parviendra pas de surmonter et de s’y émerger pour être à l’attente de la population.
    Je répète encore un dicton bambara qui dit que : « On ne se méprend pas sur la nature d’une mauvaise danse qui commence ».

  62. Avec la crise que traverse notre pays rien ne peut être à la normale pour le moment. On doit être patient et prié pour que cette crise se termine. Le meilleur est à venir, soutenons seulement IBK

  63. Le problème est que tout le monde est affolé par l’argent, sinon ces légumes dont le journaliste vient de citer sont cultivés chez nous ici, au moins on doit les avoir à des prix abordable. On est trop méchant l’un envers l’autre

  64. A mon avis, les producteurs doivent tenir compte de la situation actuelle du pays et diminué un peu le prix de leurs produits, sinon le gouvernement ne peut pas intervenir dans tout cela.

  65. Hum ! Si on veut que l’économie de notre pays soit parfaite, on va devoir accepter tout cela et patienté, un pays ne peut avancer sans la souffrance deh

  66. Je pense que le gouvernement n’a pas grand-chose à faire dans cette affaire. Il y’à des choses dans lesquels l’Etat ne peut pas intervenir.
    Si la plupart de nos produits viennent de l’extérieur, on doit se mettre cela en tête. Ceux qui pensent que tout cela aussi est dû à l’arrivée d’IBK se trompe.

  67. Les problèmes ne peuvent pas être résolus en même temps comme par coup de baquette magie, bien que nous soyons dans une économie libérale, donc l’état n’ayant pas grand rôle à jouer en ce qui concerne la baisse des prix, le Gouvernement fait tous pour chercher une solution au problème. Ils ont déjà posé un premier pas en baissant le prix de la viande, nous devons patientez.

  68. Le Gouvernement se bat pour l’amélioration de nos conditions de vie, mais, nous même population fessons tous pour nous compliquer la vie, pourquoi ? Parce que, très récemment le Gouvernement a signer un accord avec le syndicat des bouchers pour la baisse des prix de la viande, mais allez voir dans certains marché, le prix de la viande est le même, certains boucher ont maintenu leurs prix. Avec cela, comment voulons-nous que les conditions s’améliorent ? Je suis vraiment désolé, le problème n’est pas l’état, mais la population elle-même.

  69. Il ne faut pas tenir responsable l’état ce tous les problèmes, la population et les vendeurs, ont leurs grandes part dans cette affaire de la monté des prix des denrées alimentaires. Il faut qu’eux-mêmes s’entendent entre eux d’abord. Dans certains marchés, on trouve des denrées moins cher, chez certains marchands et à même temps, on trouve plus cher dans certains marché, avec certains marchands, comment cela peut s’expliquer ? Il faut qu’il y ait une entente sur les prix fixés, avant de les solutionnés.

  70. Cher journaliste, l’état n’a pas grand rôle à jouer dans cette affaire. Cette affaire a pris de l’ampleur sous l’œil de mauvaise volonté des fournisseurs et des revendeurs. La preuve en est que, malgré la signature de l’accord entre l’état et le syndicat des bouchers, dans certains marchés, le prix de la viande est toujours à 3000 de nos Frans. Ce qui prouve la mauvaise volonté des vendeurs.

  71. Cher journaliste, le problème n’est pas le Président, mais la mauvaise volonté de la population malienne pour le bon développement du Mali. Il faut que la population malienne comprenne que la monté des prix ne dépend pas de l’Etat. Les autorités font de leur mieux pour remédier à ce problème. La preuve en est que, le prix de la viande à baisser suite à un accord entre le gouvernement et le syndicat des bouchers.
    Il faut les fournisseurs et les revendeurs comprennent aussi que, sans leur participation, l’Etat ne peut pas faire un miracle. L’Etat fait déjà de son mieux.
    Il faut que la population elle-même comprenne que l’Etat n’a pas un grand rôle à jouer dans cette situation. Donc le chapeau ne peut être aucunement porté à l’Etat.

  72. mr sidibe, il fallait faire un tour au marché comme te l’a suggéré ta collègue. Tu serais revenu complètement “ivre” d’amertume. Ces gens ne font que du blablabla.

  73. Un aspect isolé dans l’océan de difficultés qu’éprouvent les populations maliennes en ces temps-ci, mr le journaliste. On ne sait plus à quel saint se vouer dans ce pays!

Comments are closed.