Quatre jours seulement après le lancement des Forces alternatives pour le renouveau et l’émergence (FARE) ses responsables se sont réunis en Assemblée constitutive le dimanche 03 mars 2012. L’espoir naissait chez certains. Un bureau provisoire dirigé par Alou Kéita, opérateur économique, a été mis en place. Mais sur le terrain, le parti est vite confronté à des difficultés de toutes sortes, pour son implantation, en raison de la personnalité de certains membres de la délégation cumulé à l’amateurisme des services chargés des relations publiques, à l’extravagance et à l’arrogance de certains proches qui mettent sous l’éteignoir des personnes volontaires dévouées pour la cause du FARE. Du coup, l’ancien Premier ministre semblait esseulé. Aujourd(hui son rêve de devenir président s’est envolé, les caciques du parti étant partis sous d’autres cieux.
Arrivées pourtant quatrième à l’issue du premier tour du scrutin du 28 juillet dernier, les Forces alternatives pour le renouveau et l’émergence (FARE) ont plus que mouillé le maillot surtout pour un parti créé au forceps à la veille des élections. Mais ce résultat tangible est à mettre à l’actif de Modibo Sidibé, la plupart des cadres ayant brillé par l’indiscipline, l’arrogance et la suffisance, le tout ensorcelé par un service de communication défaillant mené par un vieux routier égocentrique ne maitrisant pas la communication politique moderne. Conséquences : la mayonnaise annoncée n’a pas pris, cumulée au dysfonctionnement criard dans le staff de campagne avec des mots d’ordre non suivis et des personnages encombrants et dubitatifs.
Beaucoup voyaient en Modibo un homme d’expérience avec 19 années passées dans la haute administration : ministère de la Santé, Affaires étrangères, Primature. Bref, l’homme est familier de la sphère étatique. Mais pendant la campagne, des langues se sont déliées pour dire qu’il manque d’initiatives et qu’il n’a pas préparé le terrain durant tout le temps qu’il occupait les postes ministériels. Voilà pourquoi d’aucuns considéraient sa candidature comme un parachutage de plusieurs étages.
Présenté comme un modèle par les cadres des Forces alternatives pour le renouveau et l’alternance, Modibo certes intègre, ne s’est jamais investi comme il le fallait lors de la dernière présidentielle. Faut-il conclure qu’il a lâché ses amis d’hier après l’échec des dernières présidentielles ?
Les départs
A commencer par Zhao Ahmed Bamba qui dirigeait d’une main de fer le parti à Sikasso. Après la défaite de Modibo au premier tour, monsieur Bamba fut choisi parmi les siens comme directeur de campagne de la liste FARE-RPM. Il est aujourd’hui membre à part entière du parti présidentiel. Zhao, qui avait des affinités avec des cadres RPM a profité de son arrivée au ministère de l’Equipement pour s’afficher Tisserand bon teint. Le cas d’Amadaou Sylla dépasse l’entendement et prouve l’immaturité et le caractère alimentaire du politicien malien. Honorable Sylla avait juré de ne jamais quitter les FARE, selon nos informations. Il en fut directeur de campagne lors des dernières joutes électorales. Modibo a tout donné à cet homme. Ils ont été professeur à l’ENA : pendant que l’ancien Premier ministre donnait des cours de criminologie, l’élu de la nation était le professeur attitré de comptabilité nationale. Son départ des FARE prouvent qu’il avait rallié Modibo pour ses intérêts politiques et non par conviction pour l’homme.
Puis, il y a le cas Zoumana Mory un inconditionnel de Modibo, mais qui travaillerait actuellement avec la formation politique au pouvoir. Lui a déjà travaillé avec IBK mais avait refusé de le suivre au RPM, les deux étant des transfuges du parti rouge et blanc (l’ADEMA). Ses déclarations ont fini de museler un parti dont la création avait fait naître un réel engouement chez certains, mais l’effet boule de neige attendu fut un échec. Le parti FARE a-t-il aussi payé les bourdes politiques de cet homme ?
Face aux maladresses des uns et à l’inexpérience des autres, la formation FARE ANKA – WILI parti fut mise à rudes épreuves, l’argent alloué pour la campagne détourné à l’image de Soumaïla Cissé de l’URD nonobstant des instructions données par Modibo lui – même.
On se rappelle aussi que lors du lancement du parti, le secrétaire général a évoqué le scepticisme ouvertement affiché par certains, des tracasseries de toutes natures destinées à détourner la nouvelle formation politique de son objectif… La détermination et l’engagement d’un homme, Farikou Camara, le frère d’Abdoul Karim Camara Cabral, ont été entendues par une oreille de sourd. Au-delà de Modibo, le FARE est mort – né.
Issiaka Sidibé
Le problème on peut pas travaille dans ce pays !!! Tout le monde voix uniquement sont intérêt et non l’intérêt de la nation. Est ce que Modibo Sidibé a passe quel que part sans laisse des traces ??? Ne soit pas méchant, l’homme peut avance le mali. Chef Modibo, le ciel vous couvre, la terre vous supporte , et la nature vous protège. Courage 😳 😆
Pour ceux qui suivent l’actualite politique du Mali et celle des FARE en particulier doit comprendre que cet article devrait paraitre quelques mois apres la presidentielle de 2013. Les faits sont anterieurs et ne correspondent pas forcement a l’actualite de sept 2015
Issiaka journaliste esseulé.
Ce journal est tout sauf matinal.
C’est une attaque gratuite.
La preuve que Modibo est incontestablement le futur président du Mali.
Les militants Fare doivent être encore fiers de Modibo..
Ecrire et publier le 1er septembre au Mali un article de cette nature et dire qu’on est journaliste me pose un problème. Quelle considération peut accorder à ce journal et ce Issiaka Sidibé est une calamité dans cette profession.
Pour un mort-né je pense que Issiaka aurait dû travailler sur un autre sujet. Quel est l’intérêt de d’écrire sur un parti qui n’existe pas? Il faut se dire que ce monsieur Issiaka Sidibé est indigne du journaliste c’est genre d’article qui sens les discutions entre copains de grin dans l’intention de nuire. Aucun argument, un article qui tombe du ciel sans rapport avec le texte national, il écrit comme s’il avait rêvé ou comme s’il veut conjurer un mauvais sort à lui jeté.
Je ne ss pas des FARE mais je sais que ça c’est vraiment loin du journalisme ! c’est l’expression type du journaliste corrompu et indigne.
Je donne un peu raison à ce journaliste.Un constat en CVI il y’a de cela des mois ,un jeune courageux avec son groupe du nom de Assan Traoré, multiplient des mises en place des comités avec ses propres moyens, et au finish, un petit groupe est là se faire plaire à modibo,et en affaiblissant le parti pour le compte d’autres partis, et Modibo est là sans rien dire et meme le comité directeur est au courant, DONC ATTENTION NE BAISSEZ PAS LES BRAS DE CEUX QUI ONT L’AMOUR DU PARTI
Simplement pitoyable ! Ce Issiaka Sidibé peut-il avoir le culot de se réclamer du journalisme ? Quel intérêt pour le lecteur dans un tel chiffon? Pauvre presse malienne, que de chemin à parcourir sur le chemin du professionnalisme avec de tels individus qui n’ont visiblement rien à voir avec la noble profession.
Monsieur le journaliste, un tel article est un non événement. Au lieu de nous tenir informer de ce qui est d’actualité, tu reviens sur les présidentielles passées. Aussi, pas besoin d’être un geni pour savoir que c’est un papier commandé.
MODIBO SIDIBE C EST L HOMME DE L ALTERNANCE .LES INITIES EN POLITIQUE ONT COMPRIS
BONNE JOURNEE ET VIVE LE MALI
Modibo Sidibe est ne pour gouverner,comme le dirait l’ autre ” les grands homes ne naissent pas,ils grandissent”,seulement nous sommes dans un pays ou la conviction politique fait defaut.Les vrais supporters ne partiront jamais,nous sommes de ceux la.MODIBO SIDIBE AMBIKO,MODIBO SIDIBE AMBIFE,MODIBO SIDIBE PRESIDENT
Monsieur Issiaka Sidibé pour quel intérêt avez vous choisi de consacrer tout votre temps et votre énergie pour publier un torchon du genre? Si c’est pour semer la division dans les rangs du Parti, vous avez tiré à terre car Votre ardeur dans la désinformation n’entamera en rien la détermination des militants des FARE ANKA WULI. Retenez ceci pour dit, une poignée d’hommes et de femmes déterminés, convaincus de la justesse de leurs idéaux, vaut mieux que des milliers de laudateurs, de buveurs de sauce et que sais je encore. Le RPM rejette des “militants” aujourd’hui mais en 2012, quel était le nombre de ses militants? Rappelez vous également qu’en 2007, l’actuel Président de la République fut secouru en commune IV pour garder son fauteuil de Député.
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