Législatives : Un sous-préfet en cause à Nara

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Niamé Keïta, candidat RPM
Niamé Keïta, candidat RPM

A l’issue du second tour des élections législatives, l’alliance Adema-Adp est arrivée en tête avec 52,31% des voix. Cette alliance était opposée à la liste Rpm, conduite par l’inspecteur général de police, Niamé Keïta, ancien directeur général de la police. Cependant, ce résultat provisoire provoque beaucoup de remouds à Nara et une vive contestation de la part des candidats de la liste Rpm.

 

 

En effet, selon nos sources, le préfet de Nara avait nommé des présidents de bureaux de vote dans toute sa circonscription. Mais dans la sous-préfecture de Falou, le sous-préfet aurait pris l’initiative de nommer ses propres présidents de bureaux de vote. En faite, il est accusé d’avoir placé des hommes à lui, tous proches de ‘Adema. Résultat : plus de 3000 voix sépareraient la liste Adema de ses concurrents.

 

Ainsi, les candidats de la liste Rpm n’entendent pas cautionner ce résultat. Ils auraient réunit des preuves de l’impartialité du sous-préfet qui aurait tout mis en œuvre pour faire gagner l’Adema. Le mardi dernier, Nancouma Keïta, secrétaire général du Rpm a fait le déplacement à Nara afin de s’enquérir de la situation qui y prévaut. Et le Rpm s’apprêterait à attaquer les résultats provisoires proclamés.

 

 

Au même moment, l’épouse de Dioncounda Traoré, Mme Traoré Mintou Doucouré est indexée d’être au centre de pratiques déloyales à Nara. Objectif : faire gagner le parti de son mari.

 

La Rédaction

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4 COMMENTAIRES

  1. LIMER APRRENTI POLITIQUE CONTRE ANCIEN POLITICARD : QUE LE POLICIER PROUVE LE VOL AVEC PREUVE PALPABLE ET/OU QUE LE POLITICARD MONTRE SON SAVOIR FAIRE … EN VOL PARFAIT ❗ 😆 😆 😆

  2. La question qu’on doit se poser est de savoir si c’est le préfet et qui doit désigner les présidents des bureaux de vote dans tout le cercle. Si la réponse est oui, pourquoi le gouverneur ne doit pas le faire dans toute la région. Je crois qu’il faut laisser chacun faire son boulot.

  3. LE MALI A DES PROBLEMES. DES JOURNALISTES QUI NE SAVENT MEME PAS FAIRE LA DIFFERENCE ENTRE PARTIALITE ET IMPARTIALITE.

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