L’ancienne ministre de l’éducation nationale est sans doute la favorite de ce scrutin. Sa campagne a démarré en grande pompe, le lundi le 11 mai passé, en présence des plus grands cadres du parti présidentiel et de la majorité présidentielle. C’était une forte délégation, composée de ministres, de présidents d’institutions de la république, de responsables de structures socioprofessionnelles, de députés et de leaders d’opinion qui était venue témoigner son soutien à la candidate de la mouvance présidentielle.
En prenant la parole, le Secrétaire général de la Section RPM de la CV, Amadou Ouattara, a rassuré l’assistance quant à la victoire dès le premier tour de la candidate Mme Togola Jacqueline. Il a indiqué que le choix de Mme Togola repose essentiellement sur ses compétences et les valeurs qu’elle incarne. Des valeurs qu’elle a amplement portées lors de son passage au département de l’éducation. Il a exhorté tous les militants des partis membres de la Convention des partis politiques de la majorité présidentielle (CMP) à se mobiliser pour la victoire de leur candidate.
Dr Boulkassoum Haidara, président par intérim du RPM, a invité les 15 partis qui ont décidé de soutenir le RPM a fait preuve de solidarité et d’engagement en vue de lancer un vibrant appel à l’opinion nationale : celui de l’unité et de la cohésion qui prévalent au sein de la mouvance présidentielle.
Le 1er secrétaire à la communication du bureau politique national du RPM, Boubacar Touré, estime quant à lui que cette élection partielle est un test de la popularité d’IBK : «Si nous ne gagnons pas cette élection, les détracteurs du régime diront que c’est la preuve du désamour du peuple vis-à-vis d’IBK. Allez-vous accepter cela ? Alors, votez massivement le 31 mai pour barrer la route de l’Assemblée nationale au candidat de l’URD».
Solidaires de leur allié, les différentes formations politiques de la majorité présidentielle ont tour à tour exprimé leur détermination à faire élire Mme Togola Jacqueline Togola à l’issue du 1er tour du scrutin.
Mme Togola est titulaire d’une maitrise en lettres de l’École normale supérieure de Bamako (Ensup), obtenue en 1975. Elle fut membre du Conseil supérieur de la communication et élue présidente de cette structure en 2009, fonction qu’elle occupera jusqu’à sa nomination au poste de ministre de l’Éducation.
Seydou Karamoko Koné
C’est bien normal Mme TOGOLA que ceux-là de qui vous avez mis fin aux magouilles et autres trafics de sujets vous en veulent à mort.”Ou
ti fè bi, ou ti fè sini wa hali sinikènè fana ou ti fè!Mais comme on le dit, si vous êtes sur le droit chemin au début les gens vous traitent de “fou”, peu à peu les plus lucides vous rejoindront ainsi de suite jusqu’àce que vos pires énnemis d’hier deviennent vos alliés: il en aurait été le même cas pour Mahomet & de Jesus Christ.Continuez sur votre chemin qui est celui de la vérité chere madame, l’avenir vous donnera raison.
Cette cannibale aussi !!! cette incapable même. On n’a pas oublié sa gestion calamiteuse des examens scolaires. Aucune logique dans ce qu’elle entreprend.
Elle a gouté au miel et à la graisse humaine.
An ti i fè bi an ti i ta sini.
Si je devrais voter en CV, j’allais donner ma voix à cette brave dame, Madame Jacqueline Togola Nana Marie qui a eu à poser un acte concret à son passage à l’EN.Souvenez-vous.Madame la ministre pour traquer les trafiquants de sujets de nos examens, a donné des l’argent à des faux acheteurs de sujets.Ils ont contacté des vendeurs présumés de sujets au niveau du service examens et concours de l’EN pour leur exprimer leur besoin.Tous les agents du ministère qui ont mordu à l’hameçon ont été épinglés et traduits en justice.C’est des patriotes comme Mme Togola qui peuvent sauver notre démocratie.
Traquer les innocents et le petit fretin oui mai les vrais coupables s’il y en a sont toujours sous les clims
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