Au lieu que sa compétence et son expérience en politique couplées de sa popularité soient des atouts pour lui, c’est le contraire qui se produit pour le maire du district de Bamako, Adama Sangaré car s’est de lui qu’il s’agit. Sa popularité fait de lui un homme craint sur l’échiquier politique national. En effet, à la veille de l’élection présidentielle, le Maire Adama Sangaré était soupçonné de ne pas rouler pour son parti, Adema, Pasj/ mais plutôt pour son grand frère de quartier, Modibo Sidibé des Fares. Dès lors, les mentors de l’Adema qui dirigeaient la transition ont tout mis en œuvre pour qu’il n’apporte ni son expertise politique, ni son soutien financier à Modibo Sidibé. Ils ont monté des dossiers au nom des tierces personnes pour le jeter en prison à Koulikoro. Après la présidentielle, le maire a recouvré la liberté provisoire. Investi candidat de l’Adema en commune III au compte des législatives du 24 novembre, Adama Sanagré continue à faire peur à ses adversaires politiques. Notamment le RPM, parti du président de la République IBK, qui ne jure que de récupérer la circonscription électorale de la commune III du district de Bamako. Mais tant que Adama Sangaré est vivant et libre de ses mouvements, cette ambition de ses adversaires demeurera un rêve. Conscients de cette réalité, ils veulent faire de la diffamation et de l’intoxication de véritables outils campagne électorale.
Faut-il le rappeler, sa détention pendant plusieurs mois à la prison de Koulikoro est jugée arbitraire par certains juristes près du dossier. Car disent-ils juridiquement, on n’a rien à reprocher au Maire Sangaré. Le seul tort qu’a commis, explique son entourage est de vouloir appliquer les textes en vigueur à travers le retrait des parcelles qu’il avait entrepris, il y a deux ans. Et cela avec l’accord du département de tutelle. Même si le Président ATT avait publiquement donné raison à M. Sangaré, il ajoutait qu’il est difficile d’appliquer correctement les lois au Mali. Malgré ce jeu trouble d’ATT, Adama Sangaré, convaincu que personne n’est censé ignoré la loi et que personne ne saurait être au dessus de la loi a décidé de poursuivre son action. Toutefois, au fil du temps ces mêmes autorités de tutelle qui avaient donné leur quitus pour ce processus ont fait marche arrière, en exposant Sangaré aux critiques non fondée des citoyens en colère. Ce qui fait qu’aujourd’hui, le maire est considéré comme un diable par certains de ses détracteurs. De toutes les façons, selon plusieurs spécialistes de cette situation, il peut y avoir de problèmes administratifs et non la mauvaise foi d’Adama Sangaré. Cela a été témoigné par le fait qu’aucune responsabilité personnelle du maire n’a été prouvée et le dossier a été qualifié de non consistant. Donc, le dossier est vide. Nonobstant cet état de fait, ses adversaires politiques en manque d’inspiration politique continuent à raconter que le maire du District a un millier de dossiers en justice. Ce qui est sûr il garde toujours un casier judiciaire vierge. Et est bien candidat aux législatives en Commune III où il jouit d’une grande notoriété.
Oumar KONATE
Pas seulement ça, M. Cissé lisez quand il écrit: “car s’est de lui qu’il s’agit.”
Pas seulement ça M. Cissé, lisez quand il écrit:<>
Il n’y a certainement pas de correcteur dans ce journal.
Bonjour_et_tous_les_espaces_verts_vendus_pour_s_enrichir
Certes_il_est_compétent,_mais_malhonnete_et_pour_cela
doit_être_écarté_pour_barrer_à_jamais_le_mythe_de_l_impunité
au_Mali
Oumar KONATE, tu devrais avoir honte d’écrire. Lis bien cette partie de ton texte : « Après avoir tout concocté afin qu’il ne puisse pas participer à la présidentielle en lui jetant en prison,… »
C’est une faute impardonnable pour un journaliste, fut-il stagiaire. Pourquoi votre Directeur de publication laisse passer une telle bavure littéraire? C’est un complément d’objet direct. Le pronom approprié est « le » et non « lui ». Mais je comprends, c’est la médiocrité qui encourage l’injustice et l’iniquité.
Oumar KONATE, tu devrais avoir honte d’écrire. Lis bien cette partie de ton texte : <>
C’est une faute impardonnable pour un journaliste, fut-il stagiaire. Pourquoi votre Directeur de publication laisse passer une telle bavure littéraire? c’est un complément d’objet directe. le pronom approprié est “le” et non “lui”. Mais je comprend, c’est la médiocrité qui encourage l’injustice et l’iniquité.
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