La nouvelle coalition des forces vives pour l’organisation des concertations nationales se mobilise pour dire haut et fort son adhésion à l’organisation des concertations nationales. Selon cette nouvelle coalition composée entre autres : de l’Alliance IBK 2012, la coordination des organisations patriotiques du Mali (COPAM, l’association des chasseurs du Mali, l’association des élèves et étudiants du Mali, la coalition des jeunes du Mali, les concertations ont été initiées pour que toutes les forces vives de la nation y participent.
Cette tribune servira aux uns et aux autres (pro-et anti-putsch) d’exposer leurs points de vue pour sortir le pays de la double crise. Pour oriente leurs militants, ils ont organisé ensemble un grand meeting d’information le Samedi 24 novembre 2012 au stade omnisport Modibo Keita.
Pour la coordination des organisations patriotiques du Mali (COPAM), son président Younousse Hamèye Dicko a fait savoir la position de son organisation à travers une déclaration lu au cours du grand meeting. Il s’est dit être prêt à aller à des concertations souveraines et largement inclusives.
Selon la COPAM, «seuls les enfants gâtés de la république refusent d’aller à ces concertations. C’est comme un parent qui partage des jouets entre ses enfants, et que l’un refuse de jouer par ce qu’il n’a pas eu tous les jouets. C’est à ce jeu que joue le Front uni pour la sauvegarde de la démocrati et la République (FDR)», dixit M. Dicko.
Auparavant l’Alliance IBK 2012 avait aussi dit sa position par l’intermédiaire de son porte parole M. Amadou Soulalé. Selon lui, on doit laisser tous nos différends et penser au Mali, aujourd’hui seul le Mali doit compter, mais hélas, si nous pensons que certains de nos frères ne partagent pas les mêmes avis, c’est pourquoi aujourd’hui je les appelle solennellement.
Maliens de tout bord, retrouvons nous pour parler comme l’ont toujours fait nos ancêtres, laissons de coté tous ces clivages pour qu’on se retrouve afin autour de notre mère patrie, car la souffrance n’a fait que trop duré. Les chasseurs aussi s’étaient prononcés à travers le doyen Tiemoko Doumbia.
Selon lui, «la préoccupation principale des chasseurs est la libération du nord, si c’est par la concertation qu’on pourra finir avec la tergiversation nous sommes prêts pour la concertation…».
Après le doyen, se sont succédés Ibrahima Traoré du bureau de coordination de l’Association des élèves et étudiants du Mali (AEEM), Yacouba Diarra de la coalition des jeunes, et le très brouillant honorable Oumar Mariko du Parti SADI qui a tenu un de ses discours Che guévaristes dont lui seul a les secrets. Il était en duo avec son fidèle camarade de toujours Tabouré.
En tout cas l’accord cadre qui a permis au Mali d’avoir un président de la transition avait bien parlé des concertations, mais la nouvelle date adoptée par le président de la transition (10 décembre) coïncide en principe avec la journée d’organisation de l’Espace d’interpellation démocratique (EID) organisé chaque année à la même date. A-t-il pensé à ça ?
Issa KABA
emoo lit d,abord le contenu , chercher a connaitre les propos des uns et des autres
pourquoi les gens ne veulent pas s’asseoir face à face pour décider quelque chose comme l’ont fait nos aiyeux ,pourquoi avoir peur de se rencontrer si nous voulons tous le bonheur des fils de ce pays,surement quelqu’un cache quelque chose.
NE PAS ACCEPTER L’IMPUNITÉ, RENDRE JUSTICE ET ÉVITER LES AMALGAMES, LES INSULTES, LA HAINE ET LE RACISME (POUR CERTAINS) POUR RENDRE POSSIBLE LES NÉGOCIATIONS ET LES CONCERTATIONS NATIONALES
Bonjour,
Des amalgames, la haine, le racisme et des insultes réciproques entre certains Maliens et le MNLA, ainsi que l’impunité en ne rendant pas justice comme il le faut, risquent de retarder, voire de rendre impossible, les négociations et les concertations nationales.
Il convient que le ping pong d’accusations et d’insultes s’arrête, de part et d’autre, pour que les Maliens se retrouvent à travers les concertations nationales et les négociations, fassent leur autocritique et envisagent un avenir meilleur en ouvrant leurs cœurs.
Concernant les projets de développement au Nord Mali, dans le cadre du pacte national et du programme décennal de développement des régions nord, beaucoup d’argent a été injecté dans ces projets, mais, malheureusement, mal géré et inégalement réparti entre les zones du Nord Mali mais aussi entre les communautés et les habitants de ces zones.
Certains, cas de certains Touaregs, ont en beaucoup profité tout en laissant la majorité, constitué d’autres touaregs et des membres d’autres communautés, souffrir à côté d’eux.
C’est à cause de tout cela et pour une gestion équitable des ressources que j’ai proposé dans la lettre ouverte au Président et aux Maliens, afin de garantir la réussite de la restauration de l’intégrité territoriale et de l’unité nationale, un développement équitable de TOUTES LES RÉGIONS DU MALI et l’intégration équitable de TOUTES LES COMMUNAUTÉS dans un cadre démocratique, décentralisé et sécurisé, ainsi que le bonne gouvernance de la décentralisation.
Bien sûr, tout cela ne se fera pas d’un coup mais un ordonnancement et une planification rigoureuse, consensuels, seront nécessaires.
La discrimination positive pourra être appliquée pour certaines zones (au Nord tout comme ailleurs au Mali).
En se basant sur le guide et la plateforme de concertations nationales et de négociation pour une sortie durable et honorable pour tous de la crise Malienne, que j’ai proposés en ligne sur internet (maliweb, essor, agora21, facebook, …), au Président du Mali et aux Maliens, ils trouveront un cadre d’entente établissant la CONFIANCE ENTRE MALIENS et permettant la RÉSOLUTION EFFICACE DE LEURS PROBLÈMES ET LE BIEN-ÊTRE DE TOUS.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC et GOUVERNANCE
E-mail: Webanassane@yahoo.com
Comment IBK est il tombe si bas en s’accouplant avec le COPAM…. pour adopter des positions ridcules…. Ah megalomanie quand tu nous tiens…. ces vieux lascars meritent juste de passer au poteau…
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