C’est ce qu’a déclaré le leader de l’Alliance pour la promotion et le développement du Mali (APDM-Equité) lors du lancement officiel de la nouvelle formation politique le samedi 8 juin au CRES de Badalabougou.
A l’endroit du futur président, il a indiqué que ce dernier doit être un patriote, un visionnaire, rigoureux et fédérateur en mettant l’intérêt supérieur du pays avant tout. Il aura la lourde et historique responsabilité de réconcilier le Mali et lancer les plus grands chantiers de développement que le Mali ait jamais connus.
Autre sujet évoqué lors de son allocution : la corruption et la justice sociale. Aux dires du président, le souci majeur et la philosophie fondamentale du parti est la promotion et la défense de l’équité dans la gouvernance globale du Mali et dans la gestion des affaires publiques. «Mais également cette même doctrine politique nous commande d’engager la lutte pour plus de justice sociale au Mali, pour l’égalité des chances de réussite pour tous etc.» a-t-il affirmé. Avant d’ajouter que l’un des défis du parti est la lutte contre la corruption qui constitue un fléau préoccupant et très grave qui freine ou annihile tous les efforts de développement de l’économie déjà fragile.
Créée le 3 avril 2013, l’APDM-Equité est une nouvelle formation politique qui a une seule mission fondamentale : la promotion et le développement du Mali.
Elle a pour but de défendre la démocratie et l’esprit d’initiative, de moraliser la classe politique pour l’émergence d’une société d’abondance et de faire participer les citoyens au développement d’une économie populaire. Dans son combat pour la préservation des principes de démocratie, de l’unité nationale et de l’intégrité du territoire, l’APDM-Equité a fait le serment de construire un Mali de paix en y instaurant une cohésion sociale érigée sur la solidarité entre les hommes.
Bandiougou DIABATE