Le président de la République en France : Pour la commémoration du centenaire de la fin de la première guerre mondiale et pour un forum sur la paix

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commémoration du centenaire de la fin de la première guerre mondiale

Le président de la République, Ibrahim Boubacar Keita est arrivé, hier en fin d’après midi, à Paris où il prendra part à la commémoration du centenaire de l’armistice qui marque la fin de la première guerre mondiale (1914-1918). L’avion du chef de l’Etat a atterri à l’aéroport de Bourget où il a été accueilli par l’ambassadeur de notre pays en France, Toumani Djimé Diallo et la communauté malienne.

Ibrahim Boubacar Keita assistera aujourd’hui à Reims, en compagnie de son homologue français, Emmanuel Macron, à une cérémonie en la mémoire des soldats de «l’Armée noire » qui intègre la série de célébrations du centenaire de la fin de la guerre. Les deux personnalités inaugureront un monument dédié aux combattants français de la première guerre mondiale. Ce conflit mondial avec ses corollaires de violence, d’exactions voire de crimes contre l’humanité aurait fait plus de 9,5 millions de victimes.

Un voyage retour dans le passé s’impose pour expliquer tout le sens de la commémoration de la fin de la première guerre mondiale. C’est en 1914 que ce conflit d’une rare violence a embrasé le monde et fait trembler les différents belligérants, notamment les pays européens parce que cette partie du monde était devenue le théâtre des opérations. Des combattants noirs (africains) ont combattu pour la France et y ont versé leur sang. C’est donc un devoir de souvenir que de célébrer le mérite de ces combattants au même titre que les autres poilus, surnom donné aux combattants de la France pendant la première guerre mondiale.

Les initiateurs du centenaire de la fin de la guerre n’ont cessé, depuis 2014 qui les a vus initier la commémoration, de rappeler la nécessité d’enseigner ce pan de l’histoire de la France qu’elle en partage avec les pays africains. Selon eux, la commémoration du centenaire de la première guerre mondiale est porteuse d’enjeux majeurs. Il s’agit donc de rendre hommage aux braves combattants qui ont consenti le sacrifice ultime pour le triomphe de la paix et de la stabilité dans le monde.

A Reims, le chef de l’Etat et son homologue français déposeront une gerbe de fleurs sur le monument. Il est aussi prévu un tête à tête entre les deux dirigeants qui s’accordent globalement sur les valeurs de paix et de sécurité.

Le président participera aussi au Forum de Paris sur la paix. Il faut rappeler que les questions de paix et de sécurité ont été, ces derniers temps, des grandes thématiques dominantes des discussions des dirigeants du monde lors des grandes rencontres. Parce qu’il s’agit de mettre en place des mécanismes de prévention des conflits qui anéantissent l’espoir des peuples qui connaissant la guerre, les conflits fratricides et autres. Mais le Forum de Paris, à n’en pas douter n’apportera certainement pas une solution toute faite aux différentes préoccupations. Mais il pourrait déjà esquisser des pistes de réflexion.

Envoyé spécial

Bréhima DOUMBIA

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6 COMMENTAIRES

  1. 😀…ces negres francises et,ou arabises sont de vrais chiens de pavlov, dresses,conditionnes. .. 😀

  2. Boua **re de Paris a quitte le Mali et les M**** et puants **m***avec Mme la Ministre des Affaires Etrangeres a bord de AIR-FORCE-ONE-IBK.

  3. Les africains sont bizarres et très bizarres, sinon comment comprendre que la France qui commémore ce centenaire en dépensant des millions d’Euros alors qu’elle garantie depuis toujours le payement des pensions de ses anciens militaires et les africains qui ne font rien pour donner aux familles qui ont pris en charge ces anciens combattants durant leur période de galère jusqu’à leur mort dans les conditions les plus lugubres. Au lieu de prendre les choses par le bon bout, l’africain se cantonne sur les détails inutiles incapables de faire avancer son environnement et son bien être. Ce qui reste certain, la France doit à des milliers de tirailleurs qui ont soufferts après les deux guerres et dont les parents fils et filles existent encore dans tous les villages africains.

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