L’Alliance pour la démocratie et la République (ADR), a organisé une conférence de presse, le week-end dernier à l’Hôtel Nord-Sud. La conférence de presse était animée par le Pr. Younouss Hamèye Dicko du RDS, assisté de : Bamba Gagny Kiabou de la COREAM et Modibo Sangaré de l’UNPR, tous membres du collectif. Il faut signaler que la rencontre avait pour objectif, d’informer l’opinion nationale, du refus de l’ADR de suivre la CEDEAO dans son « acharnement » contre le peuple malien.
D’entrée de jeu, le Pr. Younouss Hamèye Dicko, président du RDS et non moins coordinateur de l’ADR, a expliqué que son regroupement s’oppose à toutes ingérences de la CEDEAO dans les affaires du Mali et dénonce à cet effet, ses décisions prises concernant notre pays, par le sommet extraordinaire des chefs d’Etats, le 26 avril 2012 à Abidjan, notamment une transition de douze mois, dirigée par le président par intérim et l’envoi au Mali de troupes de la CEDEAO. C’est, aux forces vives de la nation malienne de décider de la personne qui doit conduire la période transitoire et non à la CEDEAO a déclaré le Pr. Dicko. A l’entendre s’exprimer, la tenue d’une convention nationale s’avère nécessaire pour mettre en place les organes de la transition et fixer la durée de cette période transitoire. Par rapport à l’envoi des troupes de la CEDEAO, les dirigeants de l’ADR trouvent que cette solution ne ferait qu’aggraver la situation. Aussi, le Pr. Younouss Hamèye Dicko de rappeler que l’armée nationale a besoin d’appui logistique, mais pas de troupes au sol.
Le Prof Younouss Hamèye Dicko pense que le président intérimaire a accepté que la CEDEAO usurpe de la souveraineté du peuple malien, en prenant des décisions sans considérer de quelques manières que ce soit, les forces vives du pays. Le coordinateur de l’ADR de confier ceci : « c’est au peuple malien de se mobiliser pour libérer les régions Nord du pays ». Pour ce faire, outre l’organisation rapide d’un forum des forces vives de la nation, l’ADR demande au Gouvernement le respect, entre autres : de la défense de l’intégrité territoriale, par la libération des régions de Kidal, de Gao et de Tombouctou; de la restauration de l’Etat; du redressement de la démocratie par l’organisation, dans les meilleurs délais, d’élections libres, transparentes et crédibles, à travers un fichier électoral propre et fiable, lequel pour lui, reste encore un combat non gagné par la classe politique.
Par Mahamane Touré « Hamane »
Conférence de presse du FDR:
Le front invite le nouveau gouvernement à jouer collectif
Le vendredi dernier à la Maison de la Presse ; le Front uni pour la sauvegarde de la Démocratie et de la République (FDR) a organisé une conférence de presse qui était conjointement animée par Me Kassoum Tapo ; Tiébilé Dramé et M. Maïga, du mouvement de la jeunesse du FDR.
Cette rencontre avec les medias visait à faire part au peuple de la satisfaction du FDR par rapport à la décision prise par la CEDEAO, à l’issue du sommet extraordinaire des chefs d’Etat, le 26 avril 2012, à Abidjan, d’une part et d’autre part, de donner son point de vue, sur la situation de crise que connaît notre pays. Les principaux conférenciers à savoir : Tiébilé Dramé et Kassoum Tapo, ont affirmé que le FDR n’a pas été consulté pour la mise en place du nouveau gouvernement de transition mais, que cela ne veut pas dire que le front constituerait une entrave au bon déroulement des travaux de l’équipe qui a été formée pour la gestion des affaires de l’Etat pendant la période transitoire. Tiébilé Dramé de confier, que le FDR s’est réjouit des décisions prises à Abidjan, par La CEDEAO, à l’issue du sommet extraordinaire des chefs d’Etat et de la dite organisation.
Quant à Me Kassoum Tapo, il a déclaré avoir regretté son arrestation par la junte, mais qu’en même temps, son arrestation n’est rien par rapport à la crise que connaît notre pays aujourd’hui. Les conférenciers de souligner que le FDR invite le premier ministre Docteur Cheick Modibo Diarra et son gouvernement à « jouer collectif » pour réussir efficacement la transition. En clair, le FDR estime que le gouvernement de transition qui a été mis en place par le CNRDRE et la CEDEAO, en écartant les partis politiques dans le processus de sa mise en place, ne doit pas faire cavalier seul, car, de son avis : « il n’y a pas de démocratie sans les partis politiques ».
Par Mahamane Touré « Hamane »
bravo djangoyatera ton commentaire me rempli de joie croire que le mali est tombé aussi bas grace a ses propre fils.dommage que certains suivent encore ce soldat sans scrupule assoifé de pouvoir qui ne pense qu’a se remplir ses poches.deçu comme beaucoup de maliens a l’exterieur.pourquoi lors des manifestations a bko il ya eu plusieurs morts mais cela n’a pas ete annoncé…dommage mali tes fils ton abandonné.quand au professeur younouss il ne vaut mm pas un commentaire.ces personnes qui me degoute.
bravo djangoyatera,ton commentaire me rempli de joie.croire que des idiot suivent encore ce soldat me rempli de haine.je peux savoir pourquoi on annonce le nombre de mortslors des manifestations recentes.dommage que un prof de tel envergure se prononce lamentablement.deçu,je suis deçu comme beaucoup de maliens a travers le monde.pitié pratri,pitié mali tes fils t’ont abandonné.
Quelle analyse pertinente, franchement on est là et on verra. Comme on dit “qui règne par les armes périra par les armes” et “ne voit pas celui qui ne veut pas voir”. On sait tous VU le MASSACRE INTER ARMÉE à BAMAKO, que le MALI seul ne pourra jamais libérer le NORD MALI ça c’est clair et net, ARRÊTONS DE NOUS GARGARISER DE NOUS TAPER SUR LA POITRINE DE SE DIRE FIER…de nous RAPPELER LES SOUNDIATA LES SAMORY ETC… C’est fini ces temps et soyons réalistes car même avec l’aide de la CEDEAO (qu’on refuse au passage pour l’instant juste pour permettre aux nouveaux maître du Monde de bérets verts de SANOGO de s’enrichir) on n’y arrivera pas et on verra qu’on va être obligé un jour d’appeler les OCCIDENTAUX : qui vivra verra. BATTONS NOUS BIEN A BAMAKO ET APR7S C EST LES GENS DU NORD MALI MÊME QUI VONT NOUS DIRE DE RESTER A BAMAKO SE BATTRE ENTRE NOUS / QU ILS NE VEULENT PLUS DE NOUS / ON DIRAIT QU’ILS SONT AVEUGLES SANS AUCUNE INTELLIGENCE TACTIQUE NI POLITIQUES CES MILITAIRES
Cher Bagnarou, a ton nom même on sait qui tu es. Vaux tu mieux que les bellah? C’est la citoyenneté qui compte. Espece d’aigrefin. Vas te faire voir ailleurs mauvais citoyen.
On est avec vous Professeur et votre regroupement. On se pose la question souvent à savoir si la CEDEAO est elle une institution Économique ou juridique. Maliens et maliennes, donnons nous la main si non Alassane et Blaise sont en mission de la France.
Ce pas etonnant de la par de ce dernier car c’est un bellah
Que DIEU n’entende pas le FDR. En réalité ce n’est même pas un front pour la démocratie et la république mais c’est les ennemis du pays (F= farfelus, R= réunis, pour D= déstabiliser le PAYS). Pourquoi consulter des irresponsables? Ce que je sache c’est que chacun d’eux sera pris un à un par le capitaine. Un conseil à vous. L’heure n’est pas pour le moment aux jeux d’intérêt personnel mais à l’intérêt national mes chers farfelus.
le mali a quoi pour defendre son integrite quoi des bidasse qui se cache a bamako refusant de partir aux nord et que le peuple malien admire ces bidasse ,,,sachant que leur famille creve au nord mali les bidasse mange du riz au grat avec leur chef sanogo tandis que vos famille creve de fain au nord mali malien si vous ne vous reveiller pas et chasser sanogo et ses bidasse cest vous qui aller crever de fain vous naver rien pays enclaver a 100/°° et vous ne vouler pas quont vous aide alors vous aller maigrir et les bidasse et le ch.ien sanogo vont grossir cest la regles
Je suis content d’entredre la vérité dite aux cadres du Nord, des cadres comme younous Hamèye dicko que je très bien pour n’avoir rien fait à sa commune ADJORA à plus forte raison au reste du Nord. Rharous ne dispose même de piste rurale à partir de Gossi. Moi préfère que le Mali se passe de la force de la CEDEAO car malgrès que les régions du Nord soient occupées le Mali dispose de la ressource Humaine pour les libérées. Le Peuple malien doit se ressairir seulement et vous verrez que notre cher et beau pays reprendra les rails. La polotique détruit autant qu’elle peut construire un pays. L’armée malienne traverse la plus grosse crise qu’elle n’a jamais connu. Je doit dire une seule chose à Sanogo que sans lui le Mali va exister et il ne faudrait pas qu’il se croit indispensable pour vouloir dicter ses états d’âme aux maliens et à l’armée malienne. Je lui dis également que l’homme c’est celui qui respecte sa parole mais sans qu’il ne le sache que par ses agissements tout enfant avisé peut voir manifestement que Sanogo regrette d’avoir céder le pouvoir,avoir laissé faire partir ATT. Sanogo tu es têtu comme un âne car j’ai la conviction que les sages du Mali t’ont parlé par leurs sages conseils. En Psychologue vous souffrez mentalement de la phobie des rebelles.
Organise toi pour te libérer de cette phobie en débarrassant le Nord de ces bandits mais accepte pas le faire avec l’aide de quelque force que soit-elle.
Que Dieu protège le Mali. Amen
Le Premier Ministre a été très clair, tous les politiciens qui arrivent à se debarrasser du démon de partisan qui l’habite est le bien venu. Malheureusement, ces politiciens ne sont pas capables de laisser leur interêt personnel pour le Mali.
très bien dit Pr!!!
on est d’accord avec toi!!!
arrêtons toutes ces agitations pour permettre aux nouvelles autorités de travailler, car ce n’est pas dans cette cacophonie qu’on va pouvoir libérer le nord.les ennemis du Mali sont ceux-là mêmes qui empêchent aux gens de travailler.il n’y pas un homme providentiel qu’on connait qui peut faire mieux que tout, faisons confiance aux hommes et aux femmes qui ont été choisis pour conduire notre destin, jusqu’à ce que le temps nous permette de porter un jugement sur eux, mais tel qu’on est entrain de se tirer, rien ne pourra se réaliser.
Nous n’avons pas les moyens logistiques de guerre pour aller libérer le nord-Mali et nous ne voulons point non plus que la CEDEAO nous aide dans notre guerre mais en contre partie qu’elle nous offre “ses moyens” pour tirer sur la population de Bamako, ah! Quel triste sort maliens. Yacccoooo!!!
Pauvres de nous; Combien de temps resteront nous aveugles; la CEDEAO ne nous a pourtant pas empêché de rejoindre le NORD. Ces combats entre forces de défense et de sécurité ont fait des victimes inutiles;Quelle malédiction.
Pr Younouss,il faut arreter de tromper le peuple.Cest vous meme les cadre du nord qui ont vendu le nord en l’abandonant.Ton cercle Gourma Rharous que je connait souffre de tous les maux.Quel a été votre contribution pour les régions nord du Mali?.IL faut arreter de tromper le peuple sinon l’histoire vous jugera un jour.OUI les maliens doivent se battre pour liberer le nord,mais ça commence par les Nordistes. D’autres ont bcp fait,mais il faut des actes au lieu des discours utopiques
Idy,
toi tu as fait quoi pour tes gens?
tu peux nous l’expliquer!!!
quelle a été ta contribution pour les gens de ta région?
tu crois que le Pr est Président de la République ou député?
les politiciens ne peuvent émettre que des idées. c’est le jour où ils ont le pouvoir qu’ils peuvent faire quelque chose pour leur région.
t’en fait pas, le Pr ne t’a pas attendu pour faire des choses pour son coin.
tu es prétentieux je trouve!!!
Mr Badjan, ne rejettez pas ce que Idy a dit. Ce Bellah (Younouss) n’ose pas foutre le pays au nord sinon il fera la corvée de l’eau et du bois pour ses maitres Touaregs. Qu’il arrete de nous distraire. A chaque crise, il se met à l’opposée de la majorité comme la crise ivoirienne, ou le coup d’état du 22 mars. Voila des gens qui ont donné confiance à ces militaires qui ne veulent plus lacher le pouvoir. Si la CEDEAO intervient dans les affaires du Mali ce que nous avons des problemes qui dépassent nos moyens. C’est aussi simple que ca.
vous parlez trop , et vous n’etes meme pas en mesure de resoudre nos problemes, les politiciens maliens et nos militaires sont tous nuls. On n’est pas en mesure de resoudre le probleme du nord, si la CEDEAO doit nous aider dans ce contexte, nous devons l;ecouter, sans pour autant la suivre betement.
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