Le parti lumière et le développement du Mali : Les propositions de Seydou Diawara dit Martin

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La situation que vit actuellement le Mali ne laisse aucun de ses fils indifférent. C’est le cas du président du parti lumière pour l’Afrique, Seydou Diawara dit Matin, le Libérateur.

 

Le Mali manque de programmes pour faire réellement face  à cette crise cyclique, c’est la conviction de Seydou Diawara dit Martin qui vient d’avancer des propositions allantes dans ce sens. Pour matérialiser ses nobles ambitions, il propose à ce que Gao soit érigé en deuxième capitale politique du pays. En plus, M. Diawara fera remarquer que la construction de route, deux voies Gao-Ségou, Kidal-Gao et deux voies Tombouctou-Douentza est une alternative sérieuse pour désenclaver les Régions du Nord. Il suggère aussi à ce que Ségou puisse être la première zone militaire du Mali. Cela, avec la construction des casernes modernes. Vu l’étendue des superficies cultivables dans la zone, expliquera t-il, les miliaires peuvent être utilisés dans domaine de l’Agriculture. Pour ce qui est de la ville de Koutiala, le président du parti lumière demande à ce qu’elle puisse devenir une véritable zone industrielle. Avec la construction des usines pour la confection des tissus, du bazin, des treillis militaires, etc., afin de fournir les autres pays de la Sous-région en tenues militaires. Surtout est-il que cette localité excelle dans la production de cotonnière.

 

 

Dans ce vaste chantier imaginatif du chef du parti lumière, il sera construit à Sikasso trois usines jus de mangues et d’autres jus de fruits et deux autres à Koulikoro. Il opte également pour une véritable politique d’intensification de la culture du maïs et du mil. La zone est réputée pour ces variétés de cultures. Alors qu’à Kayes la solution est réaliste. Il s’agit de la création des écoles de mines. Cela, en raison des potentialités minières de la Région. Pour Mopti, il prévoit un vaste projet de formation d’éleveurs et de pisciculteurs. Il propose à ce que soit développé le tourisme à  Bandiagara, Djenné et dans toute la 5e  Région. Dans le vaste désert de Kidal, il prône la culture de maraichage et construction d’une usine de farine qui sera ravitaillée à partir de Tombouctou. Mieux, faire de Tombouctou un haut de l’islam moderne comme ce fut cas à Touba au Sénégal. Au-delà de ces propositions, M. Diawara estime avec fortes  convictions que la construction des lycées agricoles sur l’ensemble du territoire national pourrait avoir un impact bénéfique et réel sur la politique nationale de lutte contre le chômage des jeunes. «Notre pays gagnerait mieux à valoriser son Agriculture; car, il ne peut fabriquer ni des vélos, ni des motos et, encore moins, des voitures. Si chaque Chef de famille donne 1000 francs CFA par jour comme prix de condiments. Au total, pour un million de personnes, ça donnerait un milliard de francs».

 

 

Sur le même registre, ‘’Libérateur’’ demandera de réduire le nombre de juristes et d’économistes en formation.  En somme, ce sont des propositions phares du président du parti lumière qui, si elles pouvaient mises en application effective, permettront au Mali de renouer avec le progrès.

 

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1 commentaire

  1. Une question simple, dont les réponses pourrons aider le Mali à faire face à ces crises récidives dans sa partie septentrionale:
    – qui paye la facture de guerre au nord?
    parce qu’il faudra bien quelqu’un pour payer dans la mesure ou il n’y a pas de fait sans cause.
    – pourquoi certains pays européens soutiennent le MNLA?
    parce qu’il faudra bien quelqu’un pour payer la facture de guerre.
    A ces deux questions se trouve bien une réponse au problème de développement du nord mali.
    1. Il est sans doute qu’il existe du pétrole au Nord, mais au delà du pétrole un point stratégique pour le commerce international (l’histoire du mali en explique bien).
    En plus des propositions sur l’office du Niger de M. DIAWARA, le Mali dispose des possibilités de faire partir des pays exportateur de blé sachant que l’Algérie est un gros consommateur il suffirait de désenclavé avec un réseau de chemin de fer qui passe dans toutes les capitales régionale jusqu’à la frontière algérienne.

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