Presque plébiscité, IBK patauge dans la gestion d’un pays qu’il doit pouvoir relever et mettre au travail. Afin que ce pays sorti d’une situation chaotique puisse procurer de l’espoir à ces nombreux jeunes en chômage. Malheureusement, allergique aux critiques constructives d’une presse au service de la Nation, IBK tente de se justifier. Ainsi, chaque occasion est mise à profit pour se défouler contre ceux-là qui l’ont servi contre la vérité historique de 2000 et 2001. Lorsqu’il fut débarqué de l’Adéma Pasj en se retrouvant hors du Mali. Oui, l’homme fort de Sébénicoro et aujourd’hui du Mali, en 1994, à la suite des mouvements de réclamation des élèves et étudiants, après avoir molesté vos enfants, voici en substance ce qu’il disait : Pauvres fils, refusez d’étudier, nos enfants vont étudier à l’extérieur et viendront vous gérer comme nous sommes en train de gérer vos parents. Ironie vingt ans plus tard, ses vœux s’exaucent avec l’arrivée en forcing de son fiston à l’Assemblée nationale devant deux hommes incontournables en Commune II, Mandjou et Mao. C’est ça aussi le nouveau Mali. Celui du bourgeois. Allahou Akbar !
“Qui veut aller loin, ménage sa monture.”. De ce fait, il faut savoir dans quel pays nous vivons. Est-ce une république de la médiocrité ?
Certainement que oui. Puisque le gouvernement IBK est composé de vieux briscards au passé douteux et au talent négatif. Oui, le pays de la médiocrité avec un gouvernement familial et de belle famille. Finalement, il est important de demander au Président plébiscité ce qu’il entend par médiocrité. Est-ce la presse qui critique ses actions ou c’est dans le sens étymologique du terme ? S’il s’avère que notre Président parle de la médiocrité dans le sens étymologique, nous sommes d’accord d’avoir une presse responsable et améliorée. Mais, il faut savoir que notre Président fait son jugement parce qu’il est allergique à la critique. Il sait bien ce que nous disons. Alors, nous lui dirons que tous les Maliens veulent l’amélioration, le changement à tous les niveaux. D’où la confiance placée sur sa personne. Il est donc important qu’il sache raison garder en ne réveillant pas les vieux démons. La dégringolade de l’école malienne a commencé en 1994, il était Premier ministre et président du parti état. Il doit alors mettre de l’eau dans son vin en évitant de s’acharner inutilement car le chantier est immense et vaste. Au lieu de se défouler inutilement qu’il nous sorte de la débandade, du désespoir. Alors, bonne chance M. le Président, que Dieu vous donne la force et l’intelligence nécessaire pour relever les nombreux défis qui vous attendent et répondre aux attentes d’un peuple meurtri et désabusé !
Boubacar DABO
je ne suis un anti ni un pro du député Hamadaou Sylla. Mais je suis pour la fiabilité l’objectivité et la neutralité des hommes de presses. De ce fait, sans doute, vous êtes un agitateur qui a pour mission d’intoxiquer l’opinion publique. Il est temps que vous arrêtiez de publier des calomnies et de propos mensongers et diffamatoires qui pourraient troubler l’ordre public. Donc attention et encore 1000 fois attention, car vous êtes sur une pente glissante. vous n’avez pas assez d’éléments pour juger la situation de Touba. Pour gagner des miettes, êtes-vous obligé de publier des imbécilités et des conneries? êtes-vous diplômé d’imbécilités jusqu’au quel niveau. Il est fort préférable de vous renseigner bien sur Touba, son histoire, et les caractères de ses ressortissants avant d’entamer n’importe quelle démarche concernant cette ville. Un conseil s’impose : SOYEZ PRUDENT ET RESPECTUEX. N’essayez jamais d’allumer un feu que vous ne parviendrez jamais à l’éteindre sinon vous serez maudit.
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