Arrivé à Bamako en début de soirée en provenance du Nord du Mali, le Ministre français de la Défense, Jean-Yves LE DRIAN, a été aussitôt reçu à Koulouba par le Président Ibrahim Boubacar KEITA.
Ce déplacement du Ministre français de la Défense dans notre pays intervient au lendemain de la signature de l’Accord de paix pour la réconciliation au Mali par la Coalition des Mouvements de l’Azawad (CMA). Il a pour objet, a déclaré M. Le DRIAN, de féliciter le Président IBK pour l’aboutissement du processus d’Alger dont le couronnement a été le parachèvement de la signature de l’Accord par la CMA le 20 juin dernier.
De l’avis de M. Le DRIAN, cet évènement constitue un grand moment pour le Mali qui consacre l’aboutissement des efforts du Président IBK pour aller vers une paix durable. En substance, tout redevient possible, à condition de réussir la mise en œuvre du processus.
» …Même si demain c’est une nouvelle étape qui s’ouvre, il importait de marquer ce moment, a confié M. Le DRIAN aux journalistes. Et d’ajouter : « Je suis venu à la fois par respect et par amitié pour le Président du Mali et pour le peuple malien ».
A la question de savoir si la France maintenait sur place la Force Barkhane et quel en serait le nouveau dispositif dans le contexte d’après 20 juin, M. Le DRIAN a répondu que « le rôle de la Force Barkhane est de combattre les groupes terroristes. Et cette mission, elle est à la fois au Mali, mais elle est aussi au Niger, au Burkina au Tchad et en Mauritanie. C’est sur l’ensemble de la zone, et la Force Barkhane continue sa mission, parce que les groupes terroristes continuent à exister et à essayer d’enrayer l’intégrité des territoires. On le sait donc, la Force Barkhane se maintient. »
La Force Barkhane restera donc au Mali avec le même effectif et renforcera son partenariat avec la MINUSMA, dira le ministre, afin de contribuer à la mise en œuvre de l’Accord qui porte sur au moins quatre volets majeurs sur le plan politique ou encore sur les chantiers du développement, de la réconciliation et de la sécurité.
Le DRIAN estime que pour réussir le chantier de la sécurité, les forces présentes sur le terrain notamment Barkhane et MINUSMA se doivent de joindre leurs efforts.
Il convient de préciser que la France fait partie du Comité de suivi de l’Accord de paix et de réconciliation et, à ce titre, elle compte jouer toute sa partition aux côtés des autres membres pour la mise en œuvre du processus. Cette assurance a été donnée aux plus hautes autorités du Mali par le Ministre français de la Défense, M. Jean-Yves Le DRIAN..
Présidence de la République du Mali
Le Drian pourquoi partir au nord et revenir a Bamako si je suis IBK je ne le reçoit pas parce que c’est pas claire.
Quel routage de gueule a quand ont va être responsable
LE DRIAN à l’image du régime de HOLLANDE est un des soutiens de la CMA. Hier, à la télé, il a annoncé sciemment que la mise en œuvre de l’accord s’articule autour de 4 grands piliers. Dans les piliers cités, il a fait exprès de ne pas mentionner la JUSTICE. Alors qu’il faut la justice avant le pardon et la réconciliation. ce n’est pas un lapsus, c’est eux qui ont forcé le régime faible de IBK à lever les mandats contre leurs poulains.
Ibk lache Traitre lache
LA FRANCE NOUS PREND POUR DES ENFANTS !
IL FAUT ECHANGER NOS MATIERES PREMIERES CONTRE DES TRANSFERT DE TECHNOLOGIE ET NON DE L ARGENT !
AUCUN PAYS AFRICAIN NE PEUT FABRIQUER D HELICOS APRES 50 ANS DE COOPERATION !
IL FAUT QUE CA S ARRETE !
L UA DOIT CREER UNE FORCE DE TYPE OTAN ET NOUER DES ACCORDS INDUSTRIELS AVEC DES GROUPES PRIVES SPECIALISES DS LE HIGH TECH !
IL FAUT SUIVRE L EXEMPLE TURQUE !
AUCUN PAYS AFRICAIN NE PEUT FABRIQUER D HELICOS APRES 50 ANS DE C
Neutre durant la Seconde Guerre mondiale, la Turquie entra dans l’OTAN en octobre 1951 en même temps que la Grèce et fut l’un des alliés les plus fiables des États-Unis durant la guerre froide face à l’Union soviétique qui, poursuivant la politique de l’Empire russe, chercha à prendre le contrôle des détroits du Bosphore.
Elle est la deuxième armée en effectifs de l’OTAN après l’armée américaine. Entrée après la guerre de Corée, la Turquie a constitué le flanc sud de l’Otan jusqu’à l’effondrement de l’URSS. Une montée en puissance de la Turquie au sein de l’Otan est observée ces dernières années, accentué par un actif rôle économique et politique dans les Balkans, au Caucase, au Moyen-Orient, Afrique et en Asie Centrale.
Un char d’assaut, un hélicoptère et maintenant, un drone. A l’heure où la crise rétrécit les budgets militaires en Europe, la Turquie a décidé de muscler ses industries d’armement, avec l’ambition d’afficher son indépendance technologique et de se faire une place sur le marché de l’exportation.
Le gouvernement en est si fier qu’il en ouvre désormais les portes à ses invités les plus prestigieux. La semaine dernière, c’était au tour du roi Abdallah de Jordanie d’avoir l’honneur d’une visite de l’usine Turkish Aerospace Industries (TAI) d’Ankara, guidé par le président turc Abdullah Gül lui-même.
Blouson de pilote sur le dos, les deux dirigeants y ont passé en revue les dernières productions “made in Turkey”. Un drone de surveillance, dont la Turquie s’enorgueillit d’être l’un des rares pays à maîtriser le développement, et un hélicoptère d’attaque.
Ces deux engins dernier-cri concrétisent une stratégie initiée il y a dix ans par le pouvoir islamo-conservateur d’Ankara, en même temps qu’il affirmait sa prétention au rang de puissance régionale.
“Auparavant, nous développions certains projets (…) dans le cadre d’octroi de licences ou de transfert de technologie, mais au cours de la dernière décennie, nous avons essayé de lancer le développement de notre propre technologie”, explique le sous-secrétaire d’Etat aux Industries de défense, Murad Bayar, “nous ne pouvons pas jouer de rôle dans la région avec des matériels et une technologie importés”.
Priorité a donc été donnée à la recherche militaire. Près de 700 millions de dollars y ont été consacrés pour la seule année 2012. Cette manne a irrigué une poignée de groupes publics, comme TAI, Rocketsan ou Aselsan, mais a surtout permis l’éclosion d’un réseau de centaines de PME, regroupées au sein de “clusters” d’entreprises.
Pour combler son retard, la Turquie a aussi profité de sa qualité de membre de l’Otan pour multiplier les projets avec les géants occidentaux du secteur, synonymes d’autant de transferts de technologies et de savoir-faire.
Son drone “Anka” est issu d’une technologie israélienne, son nouveau char d’assaut “Altay” le fruit d’un projet avec le sud-coréen Hyunday Rotem et l’hélicoptère T-129 “Atak” dérivé d’un modèle de l’anglo-italien AgustaWestland.
Ibk en prison
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