A Bamako, la réunion du Groupe de contact et de suivi sur le Mali s’est achevée ce vendredi 19 avril 2013. Cette rencontre fut l’occasion de faire un point sur les préparatifs de l’élection présidentielle – censée se tenir en juillet 2013 – et sur le chantier de la réconciliation nationale.
A la rencontre de Bamako, une question centrale domine les débats : l’élection présidentielle malienne aura-t-elle bien lieu au mois de juillet 2013 ? Au cours du huis-clos, le ministre malien de l’Administration territoriale a martelé que oui, en donnant des détails avec force. Mais nombreux sont les invités qui sont restés – un peu – sur leur faim.
Mohamed Bazoum, ministre des Affaires étrangères du Niger, par exemple : « Aujourd’hui, il y a eu une certaine substance dans l’information, relativement aux élections, qui nous a été donnée, pas plus, constate-t-il. Mais évidemment, entre les exposés que l’on peut faire et la situation réelle, il se peut qu’il y ait un décalage. »
L’objectif reste le même : organiser au moins la présidentielle au mois de juillet. Les partenaires étrangers et les acteurs locaux seront tous impliqués pour que le scrutin se tienne.
Que vont devenir les groupes armés ?
Outre le passage de la Mission internationale de soutien pour le Mali (Misma) sous mandat onusien pour plus d’efficacité et plus de moyens, ainsi que la nécessité d’engager rapidement le dialogue avec tous les fils du pays, la réunion du groupe de soutien de suivi sur la situation du Mali a également abordé la question des groupes tel que le MNLA.
Ce dernier est toujours présent sur le territoire malien, avec des armes. Au maximum dans un mois, tous seront désarmés, assure le gouvernement malien.
L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) participait à la rencontre de Bamako, son directeur pour la paix, de la démocratie et des droits de l’homme, revient sur les deux points majeurs abordés à Bamako :
Christophe Guilhou
Directeur pour la paix, la démocratie et les droits de l’homme à l’OIF La crainte que l’on a aujourd’hui, c’est que les élections puissent ne pas se passer dans des conditions totalement satisfaisantes. Le pays est encore en guerre, vous avez encore des combats dans une partie du pays, et c’est ça, aujourd’hui, le principal souci. Le deuxième souci, c’est que le temps nous est désormais compté |
Par RFI
ils dictent des ordres aux dirigéants Maliens,ils se precipitent pour l’exécutés!!!!
C’est la realité des choses, la mondialisation.
Les USA par ex ne peuvent aider le Mali directement tant qu’un gouvernement élu ne sera en place (ils ont jusqu’à présent fourni une aide symbolique à la France et augmenter leur présence au Niger)
Sans élections, pas d’aide internationale (le gouvernement reste issu d’un coup d’état, et aucun peuple étranger ne veut aider des putschistes…)
A part si le Mali pense pouvoir se passer d’une partie des aides, pas d’alternative
1 le pauvre travaille
2 le riche exploite le pauvre
3 le soldat defend les deux
4 le contribuable paie pour les trois
5 le vagabond se repose sur les quatre
6 le poivrot boit pour cinq
7 le banquier escroque les six
8 l’avocat trompe les sept
9 le medecin tue les huit
10 le croquemort enterre les neuf
11 le politique vit des dix
ON SE CROIRAIT AU MALI
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