Selon lui, cet événement de grande envergure, qui devra se tenir en 2016, constitue une opportunité pour notre pays de montrer au monde et à l’Afrique les progrès accomplis depuis la fin de la transition.
Pour le Mali, qui a déjà organisé l’édition 2005, cela constitue une occasion de tester ses infrastructures d’accueil et son système de sécurité affaibli par les événements du 22 mars et l’occupation du pays par les groupes armés. Déjà IBK a prévu de réunir prochainement son staff afin d’élaborer une stratégie et mettre en place une équipe pour s’occuper de l’organisation de cette grande rencontre internationale.
K THERA